Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 153 J'aime
  • 4 Commentaires

Une sœur pas comme les autres

Chapitre 2

Vision jouissive.

Inceste
Cela fait une semaine. La fin des vacances approche à grands pas. J’ai encore une semaine avant de rentrer dans mon logement étudiant, un petit meublé loué à un couple de retraités. Cela sera également la dernière année de mes études. A 24 ans, il est grand temps. Alors que je devrais reprendre contact avec mes camarades de classe, alors que je devrais chercher les informations nécessaires à propos de mon horaire et des livres à commandes, j’ai l’esprit tourné vers ma sœur. D’ailleurs, je ne pense pas vous avoir donné son nom. Laura. Un nom tout aussi banal que le mien. Un peu passe-partout. Mais ce n’est pas à son nom que je pense, plutôt à ce qui s’est passé la semaine dernière. Tous mes potes aiment se faire sucer. Je pense que certains – même – ont imaginé ma sœur acharnée sur leur queue. Moi, cela s’est passé pour du vrai et je n’en reviens toujours pas. 
   Je ne suis plus descendu me branler la nuit. Enfin, si, je descendais dans ce vieux divan laid et me mettais en route mais je ne pouvais pas. À chaque fois que je fermais les yeux, je voyais sa chevelure brune et sa tête monter et descendre sur ma queue. Lorsque je gardais les yeux ouverts, sa tête prenait la place de celle de l’actrice de ces vidéos amateures que j’affectionne particulièrement. D’ailleurs, involontairement, toutes les vidéos essayées mettaient en scène des brunes. Elle n’était pas laide, pas du tout. Même pas banale. Jolie, vraiment. Je n’ai jamais vraiment porté un regard sur elle, ça ne m’a jamais traversé l’esprit mais maintenant que j’écris ces lignes, cela m’apparaît comme une évidence. Elle attire les hommes sans aucun problème. Une peau nette, légèrement bronzée. Des formes à la fois bien dessinées et discrètes. Cela rend cette fellation encore plus invraisemblable. Si elle avait été laide, j’aurais pu me dire qu’aucun mec ne la désire et qu’elle avait besoin de s’épancher sur moi. Là, non. D’ailleurs, si elle avait été moche, peut-être que je n’aurais pas joui.    Je regarde mon radio-réveil. Un objet vintage. C’est marrant car d’habitude, je prends mon portable pour voir l’heure. Huit heures passées. Certains diront que c’est tôt pour se lever en période de vacances. J’ai toujours été un lève-tôt et cette heure matinale est l’équivalent d’une grasse matinée pour d’autres. Malgré la fraîcheur qui revient en ce début septembre, après la canicule estivale, je porte un short et un t-shirt. Une tenue des plus banales, il faut l’avouer. Je me dirige vers la cuisine et vois ma mère terminer de s’apprêter. Je fronce doucement les sourcils avant qu’elle ne me rappelle que c’est la journée « Portes ouvertes » au travail de mon père. Enfin, je ne sais pas vraiment le terme. Chaque travailleur peut venir accompagné de son ou sa partenaire et participer à différentes activités payées par l’entreprise. Généralement, mon père revient toujours avec un verre dans le nez et ma mère, épuisée mais contente d’avoir fait son sport de l’année.    Je hausse les épaules. Cela fait des années que ma mère s’adresse de la même manière avec moi. Je prends le paquet de céréales, encore sur la table et me sers un bol. Oui, je sais. J’ai vingt-quatre ans et je bouffe encore des céréales le matin. Seulement le week-end, si vous voulez savoir. Cinq minutes plus tard, je me retrouve seul dans la cuisine, assis avec une tasse de café, mâchant mes céréales.    Je me redresse, d’un coup, lorsque j’entends les marches craquer. J’ai complètement oublié la présence de ma sœur. D’ailleurs, il est bien tôt pour qu’elle se lève, ce qui m’étonne. Et, surtout, c’est la première fois en une semaine que je me retrouve seul avec elle. Apparemment, avoir reçu mon foutre dans sa gorge ne doit pas l’avoir gênée. Elle s’était comportée normalement toute la semaine alors que j’étais terriblement gêné à chaque fois que je me retrouvais en sa présence, prétextant à ma mère que j’étais juste fatigué, d’où mon comportement étrange. Et pendant cette semaine, je dois vous l’avouer, je l’ai regardée. C’est ainsi que j’ai pu me rendre compte qu’elle était vraiment canon, loin de la gamine de huit ans qui jouait avec moi, à des jeux stupides d’enfants. Et je peux comprendre que certains potes aient envie d’elle, même si cela me répugne. C’est ma petite sœur. Et même si nous ne sommes pas très complices, l’imaginer faire des choses me dégoûte.    Je crache presque ma bouchée de céréales lorsqu’elle entre dans la cuisine. Une petite nuisette. Je sais qu’elle en porte de temps en temps pour dormir. Il m’arrive de devoir plier le linge. Ma participation dans les tâches ménagères. Pourtant, il ne me semble pas d’en avoir jamais vu d’aussi sexy. Violette. À moitié transparente, cachant simplement sa poitrine et son maillot. Je ne sais pas ce qui me prend mais je me mets à rougir et à la détailler. J’ai le cœur qui bat un peu plus vite et rapidement, je détourne le regard, chamboulé par mon comportement et surtout, par le fait que j’aimais ce corps. Cela fait une semaine que je ne me suis plus touché. Et il était facile d’invoquer cette raison pour expliquer la gaule que j’ai en ce moment. Je décide de rester assis pour éviter qu’elle la voie. Elle arrive, cependant, à capter mon regard, souriant doucement avant de s’asseoir en face de moi, sur le tabouret. Elle n’a pas croisé ses jambes. L’étoffe courte remontant sur ses cuisses, légèrement halées et douces. Mes yeux remontent également avant que je ne stoppe et me lève, filant d’un pas rapide dans ma chambre.    Y arrivant, je suis essoufflé. Ce n’est pas la vingtaine de marches qui me coupe le souffle mais mon comportement de plus en plus incohérent. J’essaie de me ressaisir. Je mets ça sur le compte de ma semaine d’abstinence, faisant les cent pas, dans ma chambre, réfléchissant sans vraiment le faire. Au bout d’une dizaine de minutes, voire une vingtaine, elle monte à son tour et, rapidement, j’entends l’eau de la douche couler. Je me suis arrêté, l’oreille dressée, les sens en alerte.    Encore une fois, je suis perdu, je ne sais pas ce qui me prend. Je ne sais pas si mes pas me conduisant vers la porte de la salle de bains sont le fruit d’une idée quelconque ou d’un réflexe. Je ne sais pas si je veux me montrer que ce corps ne me fait rien ou, au contraire, me rincer l’œil. Je ne tente même pas de savoir la raison pour laquelle la porte de la salle de bains était entrouverte. Seule ma tête dépasse. Au sol, sa nuisette violette. Aucun sous-vêtement. Le fait de la savoir nue sous sa tenue provoque en moi un désir charnel, au creux de mon ventre. Mais que suis-je en train de devenir ? Un souvenir me vint à l’esprit. J’étais plus jeune. Mon père était chez son frère, je pense. Ma mère se lavait alors que Laura était en bas, en train de regarder des conneries de dessins animés à la télévision. La porte était également mal fermée. Je montais chercher un livre lorsque ma curiosité me poussa à jeter un œil. Elle n’avait pas encore passé la quarantaine mais y étais proche. Dès que mon regard s’était posé sur elle, j’avais bandé. Des seins ronds et lourds, encadrés par de longues mèches noires sur un corps blanc, soulignant le brun de ses mamelons. Mes yeux s’étaient dirigés vers sa main, glissant sous sa toison fournie. Elle avait les yeux fermés et j’étais en quelque sorte hypnotisé. Ce n’est que le soir, dans mon lit, que j’ai compris qu’elle se faisait du bien. Et je me suis aussi fait du bien, me remémorant son corps.     Je chasse ces idées de ma tête. Ma sœur est sous la douche, dos tourné. Ma main se glisse sous mon short, sous mon boxer et mes doigts s’emparent de ma verge. Mes yeux vagabondent, démarrant de ses omoplates, descendant jusqu’à la chute de ses reins et ses fesses. Galbées. Ma main commence lentement à se mouvoir. Je suis assez proche pour observer une petite tâche de naissance sous sa fesse droite. Mignonne. Je la trouve mignonne, à la fois cette tâche et je dois l’avouer, ma sœur. Elle se lave les cheveux. J’arrive à capter un bout de téton. Contrairement à ceux de ma mère à l’époque, ma sœur les a encore rosés. Et je les trouve bandants. Elle se retourne pour prendre le shampoing et je peux, ainsi, admirer la vue. Elle regardait parmi tous les flacons posés alors que je peux voir la rondeur de sa poitrine mais chers lecteurs, mon regard se pose rapidement entre ses cuisses. Elle a une fine ligne de poils noirs, un petit ticket de métro et comme ma mère, il y a de longues années, sa main vient se loger entre ses cuisses, l’autre caressant sa poitrine.    Je me mords la lèvre, émettant un petit gémissement. Elle arrête son mouvement quelques instants avant de poser un pied sur le rebord de la baignoire. Pris de panique, je me redresse et me dirige d’un pas rapide dans ma chambre. J’avais encore la queue dressée du spectacle. Le cœur battant en chamade. Ma main se porte à mon sexe et je continue durant de longues minutes mes mouvements lorsque je reçois un bip sur mon portable, m’avertissant d’un message. Je regarde le nom l’expéditeur. C’est une expéditrice. Ma sœur. J’ai peur de découvrir le contenu du message. Une photo. Je la vois en reflet dans le miroir. Une jambe posée sur le rebord du bain, ses doigts fourrageant sa chatte aux lèvres discrètes. Il ne m’en fallut pas plus pour jouir. Un orgasme dévastateur. Mes yeux se portent sur la petite légende : « Tu as raté le meilleur ». Je souris et m’endors rapidement, à la fois fatigué de cet orgasme et du peu de sommeil actuel.
Diffuse en direct !
Regarder son live