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Une sœur pas comme les autres

Chapitre 3

Un passage en passion.

Inceste
Je n’ai pas trouvé les mots. Il s’est passé énormément de choses. J’étais perdu. Je ne savais pas comment vous l’expliquer, comment l’écrire et aujourd’hui, je passe le cap. Peut-être l’acceptation de ces moments passés. Vous devez vous dire que je dois être répugné de ce qui s’est passé avec ma sœur. Non. Loin de là. J’ai beaucoup aimé. Je pense que le côté interdit m’excitait beaucoup. Le goût du risque. La nature de tout homme, en soi. Cela fait tellement longtemps que je ne suis plus venu ici que vous avez dû oublier mes péripéties. Une fellation volée après une soirée. Une envie qui s’est révélée. Le dernier épisode que je vous ai raconté était cet orgasme qu’elle s’était donné dans la salle de bains. Et cette branlette intense que je m’étais prodiguée. À 24 ans, je m’étais senti retombé dans l’adolescence. Excité trop facilement. En même temps, elle était bandante et elle l’est toujours. Une fille aux formes bien proportionnées. Une petite brune. Des seins fermes et doux à la fois. Un cul mis en valeur. Le genre de filles que tout mec a envie de se faire. Après cette jouissance, il ne s’est rien passé pendant deux ou trois semaines. Elle était de nouveau distante par rapport à moi. Elle m’adressait parfois un petit clin d’œil. Ou se mettait dans une position exagérée. Rien de plus. Puis, je dois dire que je la voyais moins. J’avais repris les cours. La semaine, dans mon logement étudiant. Le week-end, chez moi. Cela diminuait nettement les occasions. Je m’étais fait à l’idée de ces deux moments volés. Je n’étais plus dégoûté ce qui s’était passé. Cela était assez dur au début. Finalement, je ne me suis pas caché de ce plaisir ressenti. Je ne pouvais rien y changer et après réflexion, je ne voulais pas que cela change. Les bonnes mœurs nous disent qu’il ne faut pas aimer avoir envie de sa sœur. Mon corps me disait autre chose. Trois semaines que j’avais repris les cours. Boire un verre avec des amis, la semaine. Relire mes cours, le week-end. J’étais studieux. Pas le plus studieux. Là aussi, dans ce domaine, j’étais banal. Je m’étais peut-être touché une ou deux fois. Des vidéos amateurs. Celles que j’affectionne. Et je n’ai pas pensé à ma sœur durant ces moments. J’avais accepté la situation. Je n’y ai plus pensé jusqu’à ce samedi soir. Mes parents étaient invités chez des amis à eux. Cela faisait déjà quelques années qu’on ne prenait plus la peine de venir et faire semblant d’apprécier le temps. Nous restions donc à la maison, chacun dans sa chambre. Ou un en bas, l’autre dans sa chambre. Ce soir-là, j’étais dans le salon. Rien d’extraordinaire ne passait à la télévision. Un samedi soir pourri. J’aurais pu mettre Netflix et me trouver un film ou une série, mais je n’avais pas la tête à cela. J’avais entendu ma sœur entrer dans la salle de bains, prendre sa douche et ma main se porta à mon entrejambe. Subitement, j’avais eu envie de me toucher. Je pensais à nouveau à nos moments et je fus rapidement dur. Très dur. J’avais envie. La masturbation ne me suffisait plus et je n’avais pas encore trouvé une nouvelle copine. J’étais frustré. Certains comprendront sûrement de quoi je parle. D’autres ne pourront qu’en avoir une vague idée. J’attendais donc qu’elle termine de se laver. Avec impatience. L’envie ne faisait que monter durant ce temps. Cette attente langoureuse. Presque douloureuse. Je ne sais pas combien de temps est passé. Cinq minutes. Vingt. Je n’avais plus la notion du temps en tête. J’écoutais. L’eau s’était stoppée. Je commençais à monter les escaliers. La cage d’escalier me paraissait plus étroite. Mon envie, plus pressante. J’arrivais devant la porte de la salle de bains lorsqu’elle s’ouvrit. Derrière, ma sœur. Ses cheveux bruns mouillés, en train d’être séchés par ses mains expertes. Une autre serviette couvrant son corps. On s’est regardés quelques secondes, même pas. Ce genre d’instant qui se termine avant qu’on prenne conscience qu’il existe. Ma main glissa sur le nœud maladroit de sa serviette, comme si elle savait que j’allais monter pour la dénuder, à la sortie de la douche. Mes yeux se perdirent sur son corps alors que je devinais un petit sourire se dessiner sur ses lèvres. Nous allions le faire. À l’instant, j’ajoutais pour moi-même : nous allions enfin le faire. Sa main glissa sur mon boxer. Je ne m’étais pas rendu compte que je n’étais vêtu que d’un sous-vêtement et d’un t-shirt. Je bandais. Mon envie ne s’était pas dissipée. J’ai cru, pendant un bref instant, qu’elle allait se livrer là, sans mot dire. Ses doigts passèrent sous cette barrière de tissu, son pouce glissa sur mon gland, qui perlait déjà avant qu’elle ne retire sa main et que sa langue ne prit l’idée de glisser sur ce pouce humide. Je me mordis la lèvre d’excitation. Elle glissa contre moi avant de se diriger d’un pas léger vers sa chambre, la laissant ouverte, invitation à la rejoindre. Le moment était un peu fou. Je voulais arrêter. C’était ma sœur. Mais au fond de moi, rien ne me disait d’arrêter, bien au contraire. Je bandais au point d’en avoir mal. Je fis descendre mon boxer sur les jambes, jetais mon t-shirt dans les escaliers et c’est nu comme un ver que je refermais la porte de la chambre de ma sœur. Les rideaux étaient encore fermés. La pénombre me suffisait à la distinguer. Allongée dans le lit. Les cuisses écartées. Les doigts taquins, me narguant. J’étais pétrifié. De plaisir. Je regardais la scène, mes pas me faisant lentement me rapprocher d’elle. Je me laissais glisser entre ses cuisses, sans aucun préambule. Je voulais la goûter, lui prodiguer un plaisir, ce plaisir, égalant sa pipe nocturne. Je sentis son étonnement à la contracture de ses cuisses alors que ma langue, sans aucune attente, vint passer sur ses lèvres. Je la sentis se redresser sur les coudes. Admirer ce spectacle. Et je pense qu’un spectateur curieux aurait pu voir la gourmandise dont je faisais preuve à ce moment. Rapidement, je la sentis répondre à mes coups de langue, de plus en plus pressants, de plus en plus taquins. Sa main glissa dans mes cheveux. Son bassin ondula, un peu plus tard. Un doigt aventureux vint rendre ce moment plus intense, plus puissant. Rapidement rejoint par un second au vu de son grognement menaçant, frustrant. Quelques minutes de ce traitement avant de me redresser. À la porte de l’orgasme. Je voulais la frustrer, faire désirer et durer ce plaisir. J’avais toujours été comme ça. Avec elle, je voulais exacerber ce plaisir, le rendre encore plus intense. Une petite moue frustrée se dessina sur son visage, vite remplacé par un regard gourmand, glissant le long de mon corps. J’en étais presque rassuré. Soulagé. Cette crampe me pesait. J’avais très envie de faire l’amour. Ou plutôt, de baiser. Mon envie était intense, brute. Et sa main se montra aussi ferme que mes désirs, venant frotter mon membre contre l’humidité de ses cuisses, de son sexe. Cela était prenant. Bandant. Je pense que ce mot est désormais associé à ma sœur. Sentir son gland frotter contre cette chair chaude et humide, cette légère aspiration - à moins que cela soit les mouvements involontaires de mon bassin – vers ce sexe qui est prêt à te dévorer, te faire fondre. Elle savait qu’elle me rendait fou. Elle était folle aussi. Je pouvais deviner la rougeur de ses joues, plus que la voir. Et son plaisir, je pouvais le sentir dans ces caresses de plus en plus humides. Je ne sais pas comment je n’ai pas pu la prendre. D’un coup. Sèchement. Mais je me suis retenu. J’étais ensorcelé. Et je voulais la frustrer, un peu. Mais à la fin, je me demandais qui frustrait qui. Je me suis vite retrouvé sur le dos, allongé, le parfum de ma sœur assaillant les narines. La vue d’elle sur moi me fit encore plus d’effet. Nous ne pouvions plus attendre, ni elle ni moi. Une fougue. Une impatience mutuelle. Un emballage qui se déchire. Un bruit à peine perceptible tellement que mon cœur battait la chamade. Je ne sais pas d’où elle le sortait. Je dois dire que je n’avais pas cela comme préoccupation en tête. Bien vite, elle se retrouva sur moi, s’empalant d’un coup sur mon sexe tendu. Cela faisait salope et j’adorais cela. Ses mains posées sur mon torse. Ses ongles s’enfonçant dans ma peau. Son sexe serré autour du mien. Une frustration de plusieurs semaines qui allait être comblée. — Oh putain...Une voix hachée par l’émotion. Son souffle se calquant sur le mien. Ses mouvements d’abord maladroits devinrent de plus en plus soutenus. Ma sœur baisait comme une déesse et au fond, j’aimais cela. J’adorais. Je voyais ses seins se balancer au rythme de ses allers et retours sur mon membre. Ferme. Les tétons raides. J’y laissais glisser une main. Emprisonnant son globe au creux de ma paume. Je comprenais l’envie de tous ces hommes. Mon regard n’était plus le même. Depuis un certain temps. J’entendis ses gémissements, à peine perceptibles au début, emplirent la pièce au fur et à mesure. Je pense que les miens n’étaient pas non plus discrets. Je ressentis énormément de plaisir. C’était rapide. Puissant. Je sentais son corps effectuer des mouvements de plus en plus anarchiques. Son corps était tendu. À un moment, je sentis son corps ralentir. Se tendre. J’en voulais plus. Juste un peu plus. Moi-même proche de mon point de rupture. Je la retournais contre le matelas, son corps offert. Avec un peu plus de force que nécessaire. Un petit gémissement franchissant la barrière de ses lèvres. — Hum...Je peux vous dire que cette simple supplique sortie de sa bouche me fit frissonner. Une sensualité mêlée à une certaine vulgarité. Je vins entre ses cuisses. Un mouvement unique et puissant. Un cri de plaisir. Une intensité palpable. Mes mouvements furent aussi désordonnés que les siens. Il ne fallut que quelques courtes minutes pour que nos corps se tendent. Un orgasme dévastateur, aussi bien de son côté que du mien. Je me retrouve allongé, près d’elle, le souffle encore haché de cet ébat passionné. Je vous mentirais si cela s’est terminé là. Je vous mentirais également si je vous disais que ma sœur n’a pas repris de douche...
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