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Une passion délicieuse

Chapitre 1

Inceste
— Ce que j’aime avant tout, moi, c’est sucer!... Je sais que ça peut paraitre bizarre, mais je préfère de loin faire une bonne fellation, en y mettant tout mon cœur, que n’importe quoi d’autre, y compris une bonne et profonde pénétration.
Voici ce que j’ai pu entendre d’une belle jeune fille après un tête à tête délicieux.Lutin appréciant la vie et les relations sans complexe à géométrie variable, j’avais connu cette coquine il y a 3 semaines. Notre relation lutine était parfaite pour nous deux : aucun attachement, juste du plaisir et de bons moments passés ensemble, que ce soit au lit ou en soirée ou lors de diverses sorties et activités.
Je questionne naturellement Aurélie sur cette affirmation délicieuse mais qui appelle certaines questions… et réponses. Un de nos petits jeux.Elle m’explique alors qu’elle adore les jeux de plaisirs avec la bouche, en bonne gourmande comme elle croit bon d’ajouter. Je m’étais bien rendu compte de cette passion et d’un savoir-faire pour le moins expert
Voici la suite de son récit que je vous retranscris :
Je ressens des sensations beaucoup plus fortes, et il m’arrive souvent, pour ne pas dire à chaque fois, de ressentir des orgasmes intenses au moment où la semence de mon homme se déverse au fond de ma gorge, ou sur mon visage, ou sur mes seins. Ou partout en fait ! C’est fou ce que je ressens à ces moments là, mais je suis alors incontrôlable, et je ne veux plus rien d’autre que du sperme, du sperme, du sperme... Je m’en délecte, je pourrai m’en badigeonner le corps, et je ne perd jamais une goutte de ce précieux liquide.
Je ne sais pas d’où vient ce goût pour le sperme. Peut être de mon initiation par mon cousin, l’été de mes 16 ans? Lui en avait 19, et il venait souvent à la maison pour me donner des cours de soutien en maths. Mes parents ne se sont jamais posés la question de savoir pourquoi Olivier était si heureux de venir donner des cours à sa petite cousine. Ça a commencé un jour où ma mère était partie faire une course et mon père était au travail. Ce jour là, j’avais eu la flemme de m’habiller car il venait à 10h, et 10h, en vacances, c’était un peu tôt. J’avais juste enfilé une robe de chambre par dessus ma culotte, mais celle-ci avait la fâcheuse manie de s’entrouvrir... Je remarquais à plusieurs reprises les yeux de mon cousin braqués sur mes cuisses, alors que j’étais en train de me battre avec je ne sais quelle équation, et je ne faisais à vrai dire pas grand chose pour l’en dissuader... Au bout d’un moment, je ne me sentais plus du tout concentrée par les maths, et je ne pensais qu’à une chose: assouvir cette envie qui me pressait de plus en plus et me faisait tremper ma petite culotte. Je prétextais une envie soudaine d’aller aux toilettes, mais, gagnée par l’émotion, sans doute, je trébuchais et e rattrapais tant bien que mal sur les genoux d’Olivier, et même plus haut que ses genoux... Je sentis alors sous ma main quelque chose d’extrêmement gros et d’extrêmement dur, et cela me fit piquer un fard gigantesque. Je n’osais plus bouger, et je devais être rouge pivoine... Mon cousin éclata de rire. Heureusement qu’il était moins coincé que moi. Il me demanda si je voulais voir sur quoi était ma main... Tu m’étonnes que je le voulais, mais je ne pouvais pas décemment le lui dire. Pourtant, j’ai pris tout mon courage à deux mains, et je lui ai dit, d’une toute petite voix: "oui".
Il a alors guidé ma main vers sa braguette, et m’a tout naturellement demandé de la lui ouvrir.Je n’en pouvais plus, excitée comme je l’étais et je me suis exécuté, transie d’un mélange de peur et de désir. J’ai enfin découvert ce qui était le sujet de tous mes fantasmes, depuis quelques mois. C’était chaud, c’était doux, ce n’étais pas du tout comme je m’imaginais, mais qu’est-ce que c’était bon!!! Je l’ai caressé un moment, puis Olivier pris ma main en imprimant un mouvement de va et viens, de plus en plus rapide. J’étais comme hypnotisée. Lorsque le flot de son sperme surgit de son sexe, j’eus un mouvement de recul, de panique aussi, mais je me ressaisis vite, et remarquai cette odeur tenace et forte qui agitait tout mes sens. — "Goute, si tu veux", me proposa mon cousin après s’être un peu remis. Je portais ma main à ma bouche, et goutais du gout des lèvres la semence. Je sentis soudain des spasmes de plus en plus forts, et j’eus l’envie de me frotter le visage avec son sperme, mais c’était sans doute beaucoup trop pour une première fois, n’osant pas, je me contentais de lui sourire.
Après ça, les cours de maths du matin avaient une toute autre saveur. J’attendais avec impatience le cours, et je pense que mes parents n’ont rien compris à tant de soif d’apprendre.J’avais réellement soif d’apprendre, mais pas vraiment de maths. Le lendemain, mon cousin me proposa de le prendre dans ma bouche, et j’entamais avec entrain ma première fellation. Son sexe était assez gros, et je ne pouvais pas le mettre entièrement dans ma bouche, mais je ne m’étais jamais sentie aussi excitée. J’y mettais les deux mains, le léchais sur toute la longueur de sa verge, jusqu’à son énorme gland que j’arrivais à peine à introduire en entier entre mes lèvres. Viens enfin le moment où je sentis son pénis grossir encore un peu, et s’agiter convulsivement. Mon cousin se mis à gémir, et me dit de ne surtout pas arrêter, chose que je n’aurais fais pour rien au monde. Je sentis soudain un jet puissant qui vint jusqu’au fond de ma gorge. Je toussais un peu, et ne pu m’empêcher de retirer son gland de ma bouche. Mais c’était pour mieux recevoir les jets suivants sur mon visage, sur mes cheveux... Il m’en avait mis partout, mais je n’étais pas du tout dégoutée, au contraire... Spontanément, je me mis à lui nettoyer le sexe avec ma langue, et j’adorais ça. Mon pauvre cousin était un peu subjugué: sa petite cousine de 16 ans qui lui nettoyait le sexe après lui avoir administré une fellation digne d’une star du X, il devait être un peu étonné.
Tout le mois de juillet se passa comme ça... Tous les jours de la semaine, ou presque, je prodiguais à mon cousin sa petite fellation du jour, en échange de ses cours de maths. Je pense qu’il n’a jamais été aussi bien payé pour ce travail ni pris autant de plaisir. Il m’a bien sur proposé 2 ou 3 fois de me caresser un peu en retour, mais je m’y suis toujours refusé, un peu par peur de lui montrer mon corps, et aussi parce que je préférais calmer moi-même le feu qui brûlait en moi, après qu’il soit parti. J’avais pris mes petites habitudes: mes parents n’étaient quasiment jamais là le matin, alors il me donnait mon cours, et, à la fin, je le suçais jusqu’à ce qu’il jouisse sur moi (je prétextais que je n’aimais pas trop le gout du sperme, alors qu’en fait j’adorais ça, et lui demandait de jouir sur mon visage, ou sur mes petits seins. Il s’en allait alors, après un bref remerciement, et c’est à ce moment là que j’assouvissais mes envies: je m’enfermais dans la salle de bain, et je passais le reste de la matinée à me caresser tout en ayant savouré toute seule dans mon coin son sperme. Je commençais par l’étaler sur mon corps, en particulier sur mes seins dressés, avant de me lécher un a un les doigts... A ce moment là, il suffisait que je frôle mon petit bouton pour que j’explose. Ces jouissances me laissaient littéralement anéantie, et je retournais souvent me coucher jusqu’au retour de mes parents.
Un jour, pourtant, Olivier, ayant oublié son sac, est revenu à la maison et m’a surprise dans mes petits jeux... Je vous laisse imaginer la tête qu’il a faite. Il a de nouveau sorti son sexe, déjà dans un état d’érection, et m’a fait à nouveau le sucer, moi, sa petite salope. J’ai bien sur été d’accord, vu l’état d’excitation dans lequel je me trouvais, et je l’ai pompé de toutes mes forces, tout en continuant mes caresses sur mon corps... Il n’a pas tardé à exploser de nouveau, mais je n’ai pas eu le loisir de retirer sa bite de ma bouche: il me maintenait la tête. J’ai eu alors le plus grand orgasme de ma vie, à sentir ainsi tout son sperme jaillir sur mon palais, couler dans ma gorge. J’ai eu l’impression qu’il y en avait des litres, et j’avais du mal à tout à tout avaler, au fur et à mesure de son éjaculation, mais je n’étais pas en état de penser que je pouvais recracher, ou quoi que ce soit, et puis c’était tellement bon!!!
Bien sur, depuis ce jour, je ne pouvais plus trop refuser d’avaler la semence de mon cousin, je n’étais plus trop crédible, et c’est ce que je fis, jusqu’à la fin de l’été, avec toujours plus de plaisir.
Et ce n’était que le début de ses histoires...
Ah, peut-être ai-je oublié de préciser que ce récit m’a été narré pendant que la belle me suçait lors d’une délicieuse séance de fellation qui m’a parue infinie et qui a été une des meilleures de ma vie. A plusieurs reprises elle a joué avec mon sexe en bouche pour pouvoir me faire jouir uniquement après avoir fini son histoire.
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