Résumé : Devenue par la force des choses et plus tôt que prévu patronne d’une entreprise, je mène tout de front et n’ai pas le temps pour autre chose. Encore que mon secrétaire me fait lentement changer d’avis au travers de jeux plus sensuels les uns que les autres… C’est la lumière du soleil qui me réveille et je dois réfléchir deux secondes pour me souvenir que je suis dans la chambre de Paul. Il n’est pas couché à côté de moi, mais je l’entends siffloter et, en attendant son retour je regarde autour de moi puisque hier soir nous étions un peu impatients tous les deux…Le soleil entre à flot par la grande ouverture vitrée du toit, car il n’a pas mis le voilage en place hier soir et qu’en fait il est déjà près de dix heures. Houlà c’est la première fois depuis, depuis je ne sais même plus quand, que je fais une telle grasse matinée. Mais je me sens vraiment bien et requinquée. Sa chambre est de taille moyenne mais la clarté et les murs blancs la font paraître plus grande. Comme je l’ai noté hier soir il y a un grand placard, une table de chevet de son côté et surtout des livres partout. Une grande toile colorée et abstraite face au lit amène de la couleur dans la pièce qui sinon est plutôt dépouillée. Comme il ne revient pas et que j’ai un impératif, je sors du lit et me souvenant d’une partie des lieux vais faire ce que j’ai à faire. Ensuite je sors, mais il n’est pas encore revenu et je le hèle. En réponse il se met à chantonner – pas aussi horriblement que ce à quoi je m‘attendais d’ailleurs et je me guide là-dessus pour aboutir après un petit couloir de dégagement dans la cuisine. Juste vêtu d’un short un peu ample il m’accueille avec un sourire et je vais l’embrasser. Je note qu’il a préparé un jus d’orange et je lui fais un sort – au jus de fruit pas à lui - . Je regarde autour de moi, la cuisine est en pur formica fifties mais paraît tout aussi solide qu’à l’époque. - C’est la seule pièce ou je n’ai rien changé, trop de souvenirs. - J’adore. J’avance un peu , un bar fait jonction avec le salon ou c’est une explosion de couleurs en raison des multiples tableaux abstraits qui le décorent. Comme dans la cuisine et la chambre une grande ouverture au plafond déverse la lumière. C’est très moderne et j’avance encore vers l’extérieur. Une paroi vitrée largement ouverte sur l’extérieur et que je franchis me fait déboucher dans un large patio ou le vert des plantes domine. Un quart est couvert d’un toit plat et l’autre partie est à ciel ouvert. C’est quand je vois les murs hauts et arrondis qui entourent l’espace que je comprends soudain où nous sommes. - Bon sang on est dans la maison ronde ! Ah tu m’as bien eue. - Je voulais te faire la surprise. - Ah ça c’est réussi et ce patio ! Attends c’est une petite piscine au milieu de cette véritable forêt ! - Ce ne sont que quelques plantes. - Une vraie petite jungle oui, et un petit bassin rond au milieu. - En fait il y a une fonction jacuzzi aussi et j’aime la verdure alors je me suis lâché. Tu sais je suis tout seul alors j’ai décidé de créer mes rêves. - Eh bien puisque c’est ainsi, je vais aller créer les miens.Je tourne les talons, le laissant sans voix et étonné. Mais c’est pour revenir une minute plus tard, vêtue de mes dim-up ou plutôt uniquement vêtue de ceux-ci… Il a le souffle coupé mais réagit immédiatement et enlève son short. - Je comprends mieux l’absence de toute trace de bronzage maintenant. - Je te l’ai dit, je vis seul ici et la nudité me paraît aller de pair avec cet espace primitif. - J’ai toujours rêvé de pouvoir le faire et là, tu réalises un fantasme. - Oh j’ai l’intention d’en réaliser plein d’autres avec toi…Un tel aveu nous pousse l’un vers l’autre pour un long baiser empli de tendresse. Ensuite je le remercie pour m’avoir laissé dormir concédant que j’en avais sacrément besoin. Lui me remercie pour ma tenue qui est un régal pour les yeux. Je lui souris et tourne sur moi, le laissant complaisamment me regarder. - Tes jolis seins, ton corps mince aux jolies courbes, tes petites fesses musclées, cette petite toison si blonde, je sais que cela va paraître bête mais jamais je n’aurais espérer pouvoir plaire à une femme comme toi. Tu es si sexy.Je l’embrasse à nouveau et l’entraîne – sans difficulté je dois dire – sur le grand matelas judicieusement placé à côté du bassin rond. J’ai envie de mener la danse, de vivre mes envies aussi je lui enjoins de s’allonger. Il comprend tout de suite et son sourire complice montre qu’il est prêt à me suivre dans mes envies. Je m’assieds sur ses hanches, bouge un peu mes fesses pour bien caler son sexe tendu contre, hum j’adore ce contact. Ses bras sont contre mes cuisses et je frotte ma petite chatte sur lui avec un petiot sourire. Hum sa peau est douce et la tension que je sens contre mes fesses prouve qu’il adore cela. Je passe mes seins sur son torse, prends mon temps pour le caresser, les mains à plat pour mieux sentir battre son cœur. Nous nous regardons et ce courant qui passe me rend toute chose… Je joue avec ses tétons, les serre, les tire vers le haut lui arrachant un gémissement mais, et alors qu’il pourrait facilement stopper il se contente de poser ses mains à plat sur mes hanches. Je tire plus fort, me penche les lèches et les mordille l’un après l’autre. Puis je remonte lentement, très lentement le laissant s’imprégner de la vision de ma fente qui arrive vers son but, sa bouche et sa langue. Je finis par m’asseoir sur sa bouche et frotte mon abricot humide dessus. Oh j’adore, je laisse mon odeur sur lui, il est avec moi tout simplement. Ensuite il sort sa langue et me déguste. Encore une fois je me répète, mais il est vraiment doué pour les cunnis et je suis rapidement toute trempée. De temps en temps je me recule, me penche et vais lui rouler une pelle chargée de mon suc. C’est enivrant, euphorisant même. Sentir passer sa langue dans mon intimité, aspirer mon clito dardé, plonger loin hummm…Je suis tentée de jouir ainsi mais le bâton de chair que je sens contre mes fesses me fait vraiment trop envie. Je me relève un peu, glisse vers le bas et le prend en bouche. Oh comme il est dur et chaud dans ma bouche, comme il vibre sous mes coups de langue, je m’enivre de sa queue et puis vais m’allonger contre lui. Il se colle sa main gauche passe sous ma nuque et viens caresser mon sein, j’écarte un peu mes fesses avec ma main et saisit sa pine tendue, me caresse un doux et long moment avec, jouant avec comme un gode vivant, savourant sa chaleur et les pulsations qui en émanent. Avant de lui glisser d’une voix rauque qui trahit mon impatience de me prendre. Il s’enfonce d’une profonde poussée en moi et je pousse un soupir de contentement. - Oh comme c’est si bon bordel, tu me remplis tellement. - Tu m’accueilles si bien, ta petite chatte est faite pour ma queue. - Ta grosse queue oui, vu comme tu me remplis ! Ah j’adore.Si sa main gauche joue avec mon sein, sa main droite s’est glissée entre nous et me caresse pendant que sa bouche s’occupe de mon sein droit ; position en cuiller classique mais si délicieuse, si complice. Les crissements des bas, mêlés aux gémissements que nous poussons renforcent notre plaisir. Ma main vient remplacer la sienne car je suis mieux placée et il en profite pour caresser mes fesses - Hummm j’aime.Il prend mes mots pour ce qu’ils sont, un encouragement et continue à peloter mes fesses, pendant que je caresse délicatement mon bouton. Nous avons le temps même si c’est dur de ne pas y aller fort et vite. Je remonte mon doigt de temps en temps pour le sucer ou le faire sucer par mon homme et même le sucer à deux et cette communion m’excite. Je ressens chaque mouvement de son corps, tout s’amplifie de plus en plus, mes seins sont devenus durs et mes tétons mordillés, sucés, pincés m’envoient des ondes de plaisir. Le rythme est devenu plus désordonné signe que les sensations sont de plus en plus puissantes. Il a laissé sa main dans mon sillon fessier et son doigt est juste posé sur mon petit anneau humide des sécrétions qui coulent dessus. - Humm ton doigt j’adore, encore chéri.Mon feu vert donné il appuie un peu puis un peu plus fort et puis l’anneau cède et il me pénètre d’un doigt. - Mmmm ça amplifie encore, oh j’aime que tu me touches partout. Hmm continue je vais bientôt jouir, c’est tout proche, mais s’il te plaît ne jouis pas en moi.. - Ça ira, tu es si belle ainsi, ta chaleur autour de ma queue et de mon doigt, mmm c’est dingue. - Plus fort, prends moi bien bien, oh ton doigt en même temps, oh bon sang. - Touche toi, fais toi jouir je te veux t’entendre. - Aaaaaaaaah , je crie je me lâche et c’est bon. Je frémis dans ses bras et me laisse aller sur la vague, surfant de plaisir en plaisir. Il a stoppé ses caresses et c’est retiré mes intimités. Je savoure un long moment, sensations de plaisir, son corps chaud, sa queue tendue et humide contre moi. Je suis bien. Enfin, j’arrive à me redresser un peu et je m’emparer avec je l’avoue une certain avidité de sa grosse queue tendue. Je pousse un long soupir, son excitation, mon propre goût qui se mélangent, c’est un cocktail qui m’excite et me monte à la tête. Je passe ma langue tout le long de sa tige, ne ratant aucun centimètre carré de peau , y cherchant nos effluves et m’en régalant. Ensuite j’aspire un peu, et puis je la sors de ma bouche pour me frotter le visage avec. Sa chaleur humide sur mes joues, mon front mon nez, je me sens coquine, d’aucuns pourraient dire salope mais avec lui, tout est naturel et c’est comme si on était ensemble depuis longtemps. Nul doute que les drames que nous avons vécus nous donnent une autre expérience, nous ont fait mûrir et surtout ont changé nos philosophies de vie. Je l’aspire, suce, mordille même un peu tout en lui caressant ses bourses chaudes et lourdes comme j’aime. Je le branle doucement pendant que je passe ma langue sur ses couilles, me régalant de prononcer ce mot dans ma tête. Oui c’est cru, c’est vulgaire mais cela m’excite de me répéter comme une litanie « je lui bouffe les couilles, je lèche sa grosse queue, je bave sur sa pine, je suis une vraie salope folle de sa queue et de son foutre « car oui, j’ai bien l’intention de le vider dans ma bouche et de déguster son jus. Pour ce faire pendant que main monte et descend sur sa pine en variant la pression et la vitesse je remplis ma bouche avec une partie de ces petites choses fragiles. Il vibre et sursaute pendant que je gobe une burne après l’autre. Mon regard ne le quitte pas, et j’adore voir mon mec gémir, se tendre et pousser de petits cris de plaisir. Il génère de plus en plus de pré -sperme, sa queue est tendue à bloc et je vais vite la reprendre en bouche impatiente qu’il jouisse et puis, j’ai une petite idée et tout en le regardant je vais effleurer son petit trou avec mon majeur. Il sursaute un peu mais ne se dérobe pas et même me sourit toujours prêt à explorer avec moi. Je me prépare car il risque de partir rapidement. Alors pour l’achever, je me recule une seconde juste le temps de lâcher : - Remplis moi la bouche de ton foutre ! J’enfonce mon doigt bien lubrifié dans son petit cul et il crie en larguant tout son plaisir. Ah son plaisir explose dans ma bouche, c’est chaud et son goût un peu particulier, ah j’y suis vraiment accro. J’avale une partie de – plutôt abondant - plaisir et puis je savoure le reste, comme une crème de plaisir. Oh c’est bon, et je me sens si coquine. Mais il a une dernière crispation et son petit jet fait que je dois un peu ouvrir la bouche. « Autant en rajouter » Me dis-je en ouvrant la bouche et en laissant couler le reste de sperme sur mes lèvres, mon menton, le long de mon cou.Ma récompense, outre le plaisir de savourer ce don et de lui offrir une image si sensuelle qu’elle s’imprimera à jamais dans son cerveau.Son « comme tu es belle ainsi » me fait basculer dans un monde tout rose de sensualité et de plaisir et je me dis que nous ne sommes qu’à la moitié de la journée…