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Une patronne trop sévère

Chapitre 3

Hétéro
Lorsque Lucas Guerrand arriva au bureau ce mardi matin, ce fut avec un plaisir non dissimulé qu’il se présenta à son poste, ayant déjà en tête un plan parfait pour que sa journée soit des plus agréables possible. Vers le milieu de matinée, alors que l’envie commençait à le tirailler, il se rendit dans le bureau d’Alicia. Il informa Carine, la secrétaire, que la directrice avait demandé à le voir et souhaitait ne pas être dérangée avant qu’ils n’aient réglé son souci informatique. La ruse fonctionna et Lucas pénètra dans la pièce au mobilier épuré, où Alicia le regarda s’avancer, assise dans son fauteuil, frémissant d’avance de ce qui allait se passer. 
— C’est mon bureau ici, tenta-t-elle de s’imposer.— Je m’en fiche. N’importe où, n’importe quand. Uniquement selon mes désirs. Ce sont les termes du contrat. — Bon et qu’est-ce que tu veux cette fois ? s’énerva-t-elle— Reste assise, on va réessayer la pipe. Et si tu t’appliques, je serais peut être enclin à te donner un coup de pouce pour la suite. 
Alicia plongea son regard glacial dans celui de Lucas et pinça les lèvres en une moue boudeuse. Elle finit par sortir elle même le morceau de chair qui se dressa devant son nez et le branla un instant. Bien vite, elle fit passer sa langue sur cette chair rougie, gonflée de sang, et la lubrifia pour pouvoir la faire glisser entre ses lèvres. Cette fois, elle mit tout son cœur à l’ouvrage et réussi à aspirer les trois quart de son sexe. Mais elle manqua de s’étouffer et le recracha.  
Lucas la gifla alors, doucement et après un instant d’hésitation, elle le reprit en bouche. Mais, à nouveau, elle dut se libérer de son étreinte et reçut une nouvelle gifle, plus forte que la précédente. Quand une troisième fois, elle se substitua à l’inquisition de cette verge bien trop épaisse, elle ne put retenir un cri lorsque la main s’abattit sur sa joue si blanche, y dessinant une empreinte rouge. Le regard dédaigneux qu’elle lui jeta le fit sourire, mais il la gronda d’une voix grave. 
— Applique-toi mieux que ça ! — Si tu n’es pas content, c’est pareil.— Ne me provoque pas Alicia. Reprends donc ma queue dans ta bouche et essaie de la garder plus longtemps cette fois. 
Ce qui énervait le plus la belle blonde, c’était de perdre le contrôle et là, elle ne l’avait clairement plus. Mais, au-delà de l’exaspération, l’excitation bouillonnait en elle et intérieurement, elle pria pour qu’il la prenne enfin. Alicia reprit donc la verge palpitante entre ses lèvres et l’avala goulument, jusqu’à sentir son nez frotter sa toison pubienne. Elle résista de longues secondes, les larmes roulant sur ses joues encore rougies. Lucas décida qu’il en avait eut assez et libéra la fière blonde pour admirer les ravages qu’il avait causé à son maquillage. Le rouge à lèvres brouillé, le mascara dégoulinant légèrement, le chignon déserré et les yeux luisants, Lucas contempla sa patronne, fier du résultat. Ainsi, elle était plus belle que jamais et il ne manquait plus qu’une seule chose pour parfaire le tableau. Il agita son sexe au dessus de sa bouche, jusqu’à ce que le flot de semence arrose son joli visage, le maculant de cet épais liquide blanchâtre. Bon prince, il lui trouva un mouchoir pour qu’elle s’essuie, mais cette dernière se lécha les lèvres avec une lueur malicieuse dans le regard. Estomaqué, il la vit récolter de son doigt le sperme encore chaud, puis, le porter à sa bouche pour le nettoyer.  
— Et bien ! Tu es relativement surprenante…— Alors, et ce petit coup de pouce ? réclama-t-elle — Tu t’es bien débrouillée… A ton tour maintenant. Mets-toi sur ton bureau. 

Alicia ne se fit pas prier, elle avait tellement envie de sentir sa peau contre elle, peu importait la façon dont il la faisait jouir. Le travail, ses obligations… tout ceci se vit reléguer au second plan, alors que le désir d’atteindre la jouissance, lui, l’obsédait. Elle ôta ses talons, fit glisser sa jupe au sol, bien vite suivie de son string. Avec la plus grande sensualité, elle se positionna comme il lui avait ordonné, écartant les cuisses pour révéler sa vulve trempée. Par de lents mouvements, elle commença à se toucher, poussant des petits gémissements qui réveillèrent vite le sexe d’un Lucas déjà rassasié. 
Continuant ses gestes et ses soupirs, elle se demanda quand il allait venir la prendre, maintenant que sa verge avait repris de la vigueur. Lucas savait très bien ce qu’elle voulait, mais ce n’était pas encore dans ses projets. La torturer ainsi était nettement plus à son goût. Il attendit qu’elle le supplie pour enfin réagir.
— Tu avais dis que tu m’aiderais, se plaignit-elle — Un coup de pouce j’avais dis. Continues. 
Sur ces mots, il la regarda droit dans les yeux et présenta son pouce devant ses lèvres. Elle le suça, comme elle l’avait fait avec sa verge juste avant et une fois bien humide, il le porta à son petit trou. 
— Qu’est-ce que tu fais ? s’inquièta-t-elle. Jamais je n’ai…— C’est juste mon pouce. Allez continues.
Il poussa son pouce contre le muscle, qui résista un instant, puis céda, laissant entrer l’intrus. Elle poussa un petit cri de surprise et de douleur, mais sa main continua malgré tout ses caresses , qui s’intensifièrent. Lucas se cala à son rythme, son doigt entrant et sortant de son cul en même temps que ceux d’Alicia qui s’occupaient de sa chatte brûlante. Bientôt, la belle vit ses jambes trembler sous l’effet du plaisir et jouit dans un grand soupir, oubliant tout ce qui l’entourait. Lucas sortit son doigt et lui tendit : 
— Tiens, lèche-moi ça, lui ordonna-t-il
Encore grisée par son orgasme, elle accepta de mauvaise grâce et la grimace qu’elle fit au moment de le prendre en bouche, lui donna soudain très chaud. 
— Tu peux te rhabiller, dit-il — C’est bon, je peux enfin bosser ?— Pour le moment c’est bon.— Mais, et… dit-elle en désignant l’érection encore bien prononcée de Lucas.— Je reviendrai vite vers toi, ne t’en fais pas. Pourquoi ? Ça te gêne de me laisser partir avec la trique ? — Je m’en fou, tu fais bien ce que tu veux. Je pensais juste que tu profiterai un peu plus de l’occasion. J’aurais du m’en douter, les mecs comme toi ne savent pas profiter des bonnes choses comme il se doit. 
Lucas sentit la rage monter en lui. Il planta ses yeux dans ceux d’Alicia et s’approcha d’elle si près qu’elle pu sentir son souffle contre ses lèvres.  
— Provoque-moi encore une fois et c’est dans ton petit cul que je me viderai. 
Alicia frissonna. De crainte mais aussi de désir. Elle savait qu’il en arriverait là un jour ou l’autre, mais ce qu’elle ne savait pas, c’était qui remporterait la partie, entre l’envie et l’appréhension. Alors elle ne dit rien et tenta de rester de marbre alors qu’il quittait la pièce. La porte se referma et Alicia réalisa avec dégoût qu’elle attendait sa prochaine venue avec impatience.  

Lucas allait devenir fou avec cette femme. Alors qu’il pensait avoir le dessus, cette garce trouvait toujours un moyen d’imposer sa volonté. Il avait failli craquer ce matin et la prendre sur son bureau, comme elle le voulait. Heureusement que son désir de la tourmenter était plus fort que le reste. Lorsqu’elle s’était touchée devant lui cette deuxième fois, il avait sentit quel potentiel il pouvait voir en elle. C’était peut-être une salope d’avoir trompé Gérald, et encore plus d’avoir accepté son chantage, mais cette femme était sensuelle jusqu’au bout des ongles. Elle était faite pour le sexe, tout son corps appelait ce plaisir, comme si elle n’en avait jamais assez, ou qu’elle en avait été privée trop longtemps. Se pourrait-il que Gérald ne soit pas un mari aussi attentionné au lit qu’à la ville ? Lucas ne pouvait s’empêcher de s’interroger. Il attendit la toute fin de la journée, lorsque tous les employés furent partis pour venir retrouver Alicia. Sauf qu’il trouva son bureau vide.
Irrité, mais impressionné par le caractère de cette directrice pleine de ressources, il rentra chez lui, réfléchissant déjà à comment il allait se venger. 
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