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Une patronne trop sévère

Chapitre 4

Hétéro
De toute la semaine, Alicia ne revit pas le cousin de son mari. Ce dernier avait une formation de trois jours dans un établissement loin d’ici. Étrangement, elle n’était pas rassurée pour autant. Chaque fois que la porte s’ouvrait, elle s’attendait à le voir entrer, le cœur battant, mais chaque fois, ce n’était que sa secrétaire. Elle s’en voulait d’être déçue à chaque fois. Pourquoi attendait-elle leur prochaine rencontre avec tant d’impatience ? Cet homme ne lui plaisait pas, en aucune façon. Pourtant, son corps lui criait l’inverse. En femme d’affaire rigoureuse, elle se raisonna, essayant de garder une attitude normale face aux autres. Mais intérieurement, elle bouillonnait de frustration.  Ce dimanche, elle fut surprise de voir que la table du déjeuner était mise et questionna son mari. 
— Chéri, nous recevons du monde ?— Bien sûr, je te l’ai dit vendredi. Tu ne m’écoutes jamais.— Je ne m’en souviens plus. J’ai beaucoup de travail en ce moment, je suis désolée. Qui as-tu invité ? — Ma tante Agnès et ses enfants. — Tous ? Même Lucas ?— Bien sûr, c’est aussi mon cousin. Pourquoi tu ne l’apprécies pas ? C’est quelqu’un de bien quand on prend la peine de le connaître. — Je n’aime pas recevoir des employés à la maison, tu le sais très bien. J’ai besoin de fractionner vie privée et professionnelle pour mieux me détendre. Et puis ton cousin n’est pas vraiment le genre de personne que nous côtoyons habituellement. — Ma tante et son mari sont des gens simples, tu ferais mieux de t’en inspirer au lieu de les critiquer. Eux savent profiter des choses importantes de la vie. — Ah oui ? Ils doivent beaucoup baiser alors, railla-t-elle, sur le coup de la colère.— Qu’est-ce que tu insinues par là Alicia ? s’indigna Gérald — Rien du tout. Je vais me préparer, je te laisse le soin d’accueillir tes invités, fit-elle avant de remonter dans sa chambre. 
Ce fut seulement une heure plus tard qu’elle descendit, les invités étant déjà présents depuis une demi-heure. Elle n’avait pas réussi à se calmer plus tôt. Revoir Lucas et qui plus est, dans sa propre maison, l’affolait. Qu’allait-il bien lui faire en représailles de sa fuite mardi ? Avec une boule dans la gorge, elle s’obligea à aller affronter son bourreau. Dès qu’elle entra dans la pièce, ses yeux se posèrent sur lui immédiatement et elle sentit ses joues s’empourprer. 
Avec un de ses habituels sourire commercial, elle s’avança pour saluer la tante de son mari, ainsi que sa fille et son gendre. Lucas discutait avec Gérald, dégustant un single malt vingt ans d’âge qu’Alicia avait offert à Gérald Noël dernier.
”Ce rustre ne sait certainement même pas fait la différence entre un grand whisky et un blend de supermarché, quelle bêtise de lui faire goûter ! songea Alicia pendant qu’elle conversait avec Agnès. ”
 Lorsqu’ils passèrent à table, Lucas se débrouilla pour venir s’asseoir en face d’Alicia, ce qui la troubla davantage. A peine fût-elle assise que son téléphone vibra, l’avertissant de l’arrivée d’un SMS. ” Ôte ta culotte et donne-la moi.”
Ces mots la firent frémir. Elle lui jeta un regard gêné puis s’excusa avant de quitter la table. Elle reitra le sous-vêtement aux toilettes puis le roula en boule dans sa main pour que personne ne voit. Ensuite, elle revint à table, le plus naturellement du monde et une fois assise, elle jeta la petite culotte par-dessous la table, sur les genoux de Lucas, en priant pour que personne ne remarque. Lucas sourit en recevant le bout de tissus, qu’il fourra dans sa poche avant que sa sœur ne le voit. Il attendit le milieu du plat de résistance pour envoyer un second message.
” Rejoins-moi dans ta salle de bain.” 
Dès qu’il vit son regard interrogateur se poser sur lui, il haussa les sourcils, lui commandant silencieusement de trouver une solution, et lança d’une voix claire.
— Désolé, je peux savoir où sont vos toilettes ?— Au fond du couloir l’avant dernière porte à droite, lui indiqua Gérald.
Alicia attendit une longue minute, puis fit semblant de recevoir un appel important pour aller s’isoler. Elle vérifia bien que personne ne l’avait suivie avant d’entrer dans la salle de bain et lorsqu’elle le vit, tout son corps s’enflamma. Il posa un doigt sur ses lèvres, lui intimant le silence puis chuchota :
— On a pas beaucoup de temps, il va falloir faire vite. Retourne-toi.
Elle obéit, frémissant d’impatience de le sentir enfin en elle. Alicia s’appuya contre la vasque en marbre blanc et souleva sa jupe pour lui révéler sa croupe nue. Lucas ne résista pas à l’envie d’englober de ses mains ces globes de chair qui se tremoussaient devant lui. Mais il savait qu’il n’avait pas beaucoup de temps aussi, il enfila une capote et fit glisser son gland dans son sillon, jusqu’à l’entrée de sa grotte humide. Il la possèda d’un coup de rein, s’enfonçant en elle entièrement, puis entama des va-et-vient le plus lentement possible. Son sexe parfaitement compressé par cette chair si chaude, se fraya un passage jusqu’à venir buter en son extrémité. Il dût lui couvrir la bouche de sa main tant elle gémissait, incapable de se contrôler.
Alicia ondoyait de la croupe pour faire coulisser la verge en elle et bien vite, Lucas lui asséna de vifs à-coups, ses bourses frappant à un rythme effréné contre ses cuisses. Au comble du plaisir, Alicia lui mordit la main et ce dernier la pilonna plus fort jusqu’à ce qu’il sente les spasmes de son orgasmes entourer son sexe. 
Il sortit alors de son fourreau, retira la capote et sortit la culotte sur laquelle il éjacula. La culotte ivoire était couverte de semence collante et il lui ordonna d’un air amusé de la remettre pour la fin du repas. 
Au début choquée, elle décida finalement de lui obéir, n’ayant pas de temps à perdre à discuter ses ordres. Il sortit une fois qu’elle eut remis la culotte, satisfait de sa petite soumise. Il comptait bien encore la baiser aujourd’hui, il fallait qu’il trouve un moyen. Ce ne fut que le repas achevé que l’idée s’imposa à lui, alors qu’Alicia s’excusa.
— Vous m’excuserez, mais il faut que j’aille fleurir la tombe de ma mère. Je n’ai jamais d’autre moment que le dimanche pour cela, vous comprendrez sûrement. J’espère que nous nous reverrons bientôt. Au revoir. A tout à l’heure chéri. 
Lucas y vit comme un éclair de providence. Il attendit dix bonnes minutes avant de ’s’excuser et partit à la recherche de sa belle patronne. Il connaissait le cimetière où elle allait se recueillir et il fut ravi de la trouver là, accroupie devant la tombe de sa mère. 
— Qu’est-ce que tu fais là ? s’écria-t-elle, irritée.— Tu crois que ce petit coup dans la salle de bain m’a suffit ? Après le coup que tu m’as fais mardi ?— Lucas, pas ici. C’est la tombe de ma mère !  — Parce que ça te gêne vraiment ? Si je te proposes de te lècher la chatte sur sa tombe, tu vas refuser ? — Je… hésita-t-elle, tiraillée entre désir et raison. — A toi de décider, je te laisse le choix pour cette fois.— D’accord. 
La raison s’étant envolée, Alicia s’assit sur le rebord et écarta les jambes. Elle observa les alentours, puis, voyant qu’il n’y avait personne, elle souleva sa jupe. Lucas commença par déposer de légers baisers sur ses cuisses, descendant jusqu’à son triangle, qu’il vint explorer de la langue. Lorsqu’il chatouilla son bourgeon si sensible, elle s’agrippa à ses cheveux et se laissa aller au délices de ces caresses. De sa langue il joua entre ses replis, fit glisser ses doigts entre ses lèvres pour venir en planter deux dans sa matrice. Il lapa sa cyprine au goût ambré, puis vint agacer son œillet tandis que la pauvre femme n’en pouvait déjà plus. 
— Prend-moi, je t’en supplie… Je veux te sentir, implora-t-elle — Ici ? Non, viens avec moi, j’ai très envie de te prendre sur le capot de ta voiture. 
Alicia le suivit sans rechigner, trop impatiente de se sentir comblée. Ils allèrent jusqu’au parking où Lucas désigna la Mini Cooper rouge. 
— Allez penche-toi sur le capot, tend moi bien ton cul. 
Elle s’exécuta et attendit qu’il vienne la prendre. Au lieu de cela, une main vint s’abattre sur sa fesse avec violence, ce qui la fit protester.
— Eh ! Ça va pas ?— Tu mérites une punition pour ce que tu as fais mardi soir. Si tu ne veux pas qu’on nous surprenne, je te conseille de te laisser aller avant que quelqu’un débarque.  
Elle lui jeta un regard méprisant avant de finalement se remettre en position. Une deuxième fessée claqua. Puis une troisième. Une quatrième. Lucas caressa alors doucement la peau rougie, descendit sa main jusqu’à sa vulve trempée pour en recueillir son nectar, qu’il vint étaler sur son anneau serré. Il y présenta sa verge et tenta d’y entrer mais elle s’y opposa, resserrant ses fesses pour l’empêcher d’entrer.
— Non, s’il te plaît… Pas cette fois, pas comme ça… Je ne l’ai jamais fait.— Bordel, ne dis pas ça, ça me donne encore plus envie de te la mettre quand même. — Je t’en prie…
Il grogna et se rabattit vers l’autre orifice. Il prit grand plaisir à s’y enfoncer doucement pendant que ses mains malaxaient sa poitrine. Enfin, il se mit à la pilonner, de plus en plus fort jusqu’à ce que la blonde crie sous les assauts incessants de cet homme. Il lui fourra sa culotte encore pleine de semence dans la bouche pour atténuer ses cris et la baisa encore plus fort. Quand il sentit qu’elle allait atteindre le point de non retour, son doigt vint s’enfoncer dans son petit trou. Dès qu’il eut inséré un deuxième doigt, elle rugit de plaisir et il sentit ses muscles se contracter. Lucas savoura les délicieux spasmes de son orgasme, puis, quittant son antre, il retira le préservatif et explosa sur sa croupe, sa semence dégoulinant sur son œillet. 
Lucas attendit qu’Alicia soit habillée et remise de leurs ébats pour la réprimander. 
— Sache que la prochaine fois, ton cul y passera. Je te laisse le temps de te préparer. Mais vu comme tu as aimé mes doigts… je pense que tu vas adorer ma queue. A demain, chère cousine.
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