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Une patronne trop sévère

Chapitre 8

Hétéro
Déjà bientôt deux mois que Lucas profitait du corps de sa belle patronne, qui avait fini par se soumettre, et même y prendre plaisir, malgré son caractère revêche. Le contrat s’achevait bientôt et Lucas commençait presque à le regretter. Il adorait ces séances mais il savait que toute bonne chose avait une fin. Ce vendredi soir sonnerait le glas de cette relation qui avait changé sa vie. 

Finie la guerre au boulot, la Dragonne le laissait en paix et il se rendit compte qu’il était même enjoué à l’idée d’aller travailler, chose relativement surprenante pour lui. 

Durant ces deux mois, il l’avait prise dans tous les recoins de l’entreprise, gardant le secret jusqu’au bout. C’était sur le parking qu’il aimait le plus la prendre, à même le capot de sa MiniCooper , avec la complicité du vieux gardien qui, contre un billet, gardait le silence tout en se rinçant l’œil. 
Les toilettes restaient aussi un délicieux souvenir... surtout lorsqu’il lui avait plongé la tête dans la cuvette tout en la sodomisant sans vergogne. Heureusement pour elle, les sanitaires étaient d’une propreté sans pareille, comme elle l’exigeait de toute l’entreprise. Alicia l’avait maudit ce jour-là, obligée de se sécher avec le séchoir des toilettes.
Une autre scène qui restera gravée dans sa mémoire, ce fut quand il l’avait obligée à s’empaler sur sa verge alors qu’elle passait un coup de téléphone à un client important. Elle avait eut beaucoup de mal de retenir ses gémissements et dut même s’excuser plusieurs fois à cause des trémolos de sa voix. Elle avait tenu bon, continué malgré ses difficultés et quand elle avait fini par raccrocher, il l’avait fait atteindre l’orgasme en quelques assauts. 
Décidément, il allait garder de bons souvenirs de tout ça...

Pour une apothéose digne de ce nom, Lucas avait de nouveau prévu un plan en conséquences. Alicia devait le retrouver dans la salle de réunion, à vingt heures, une fois que tout le monde serait parti. 
Elle était un peu stressée, certaine que ce dernier entretien serait déterminant pour la suite. Bien sûr, il allait vouloir la prendre une dernière fois avant de lui remettre la vidéo, mais cela ne la dérangeait pas. A vrai dire, elle n’osait pas s’avouer qu’elle était déçue que les deux mois se soient écoulés si vite. Le retour à ses journées monotones allait être dur à encaisser. Comment se satisfaire de ces quelques rares ébats dont son mari la gratifiait ? Même en reprenant sa relation avec le jardinier, Alicia savait qu’il lui manquerait quelque chose.  Ce petit truc en plus qu’elle trouvait dans leurs étreintes et qui rendait les choses si intenses. Il savait toujours comment la faire atteindre des sommets, rivalisant d’originalité dans ses ordres comme dans ses gestes. Qu’avait-il donc prévu pour cet ultime ébat ? 
 Empressée de découvrir ce qu’il lui avait réservé pour cet ultime ébat, elle le rejoignit et le découvrit seul, une corde à la main.  

— Déshabille-toi, la somma-t-il sans autre forme de politesse.

Comme convenu, elle dissimulait sous son tailleur, un ensemble en dentelle noire et un porte jarretelle soutenant des bas de la même couleur. Elle obéit et se débarrassa de ses vêtements pour venir parader devant lui. Ce dernier lui désigna une table, lui ordonnant de se coucher dessus et lui ligota les mains et les jambes à chaque pied de la table. Une fois la directrice solidement attachée, il lui annonça d’un ton fier : 

— Je vais faire rentrer plusieurs hommes, tous masqués. Ils vont se servir de toi comme d’un vulgaire sac à foutre. Tu vas adorer ça. J’attends de toi que tu te comportes bien.
— Oui. Tout ce que tu veux. 

Une demi douzaine d’homme entra alors dans la pièce, leurs visages dissimulés derrière des masques blanc, tous identiques. Alicia frémit en voyant le gabarit de certain. Ils sortirent tous leurs engins, déjà couverts d’une capote, et l’un deux s’approcha, agitant son sexe devant sa bouche affamée. Elle hésita une seconde puis croisa le regard sévère de Lucas et prit finalement le sexe en bouche. Elle le pompa avec ferveur et fit de même avec le suivant, puis ne se pria pas pour déguster chacun d’entre eux. Plus rien d’autre ne comptait que le regard fier de Lucas posé sur elle.

Elle continua ses pipes pendant qu’un homme s’occupait de lui lècher la chatte, qu’un autre lui insérait un doigt et deux autres se partageaient sa bouche.  Elle n’était plus que sensations. Déconcentrée par les deux hommes qui la fouillaient, Alicia cessa de sucer le sexe qui lui était présenté.  En représailles,  ce dernier la gifla et lui attrapa la tignasse pour s’enfiler dans sa gorge. 
Le premier qui vint s’enfouir dans sa tendre matrice s’en donna à cœur joie, martelant ses fesses sans aucune retenue, la fessant entre chaque aller-venu. Le second l’imita mais n’y trouvant pas la satisfaction suffisante, il décida d’investir son cul et la sodomisa sans douceur.
Alicia poussait des cris plaintifs, entre plaisir et douleur, si fort que l’un des hommes dut lui faire gober son sexe pour atténuer le bruit. Sur le point de jouir, le second se retira pour voir exploser sur son visage, couvert déjà de larmes et des vestiges de son maquillage. 
Chacun à leur tour ils se vidèrent sur elle, après l’avoir copieusement besogné. Ils la prirent par tous les orifices, la faisant crier si fort que les murs tremblaient et Alicia s’adonna une dernière fois à cette intense luxure. La pièce résonnait des grognements, gémissements et claquements de peaux, rendant l’atmosphère encore plus onirique. 

Seul l’un des sept hommes ne participait pas et restait en retrait, ce qui intrigua quelque peu la belle blonde. elle vit Lucas l’observer avec un sourire fier. Ce dernier laissait ses camarades la ravager, satisfait de voir à quel point elle y prenait du plaisir.

Quand tous eurent leur compte et que la séduisante directrice eut enchaîné les orgasmes, et fut couverte de leurs fluides, Lucas demanda à chacun d’ôter son masque.

Devant le visage livide de leur Dragonne, tous les employés qui avaient eut à subir les affres de cette femme si intransigeante se dévoilèrent : Jimmy de la compta, en passant par José l’agent de maintenance et même Olivier, l’assistant marketing. Elle se souvint de chaque moment où elle les avait humilié, maltraité et même licencié comme Paul son ancien assistant. Toutes les personnes qu’elle avait injustement tyrannisé l’avaient entendus crier sous les coups de butoirs et avaient largement profité d’elle. Quel sale coup il venait de lui faire !  

Humiliée, elle resta pour une fois silencieuse jusqu’à ce que Lucas s’avance vers elle, pendant que les autres riaient. 

— Alors, te voilà moins bavarde sur ce coup.
— Salop ! Tu aurais dû me dire qui ils étaient. 
— Tu as accepté. ”Tout ce que tu veux” tu as dis. Et tu as pris ton pied non ? Je ne t’ai pas entendu une seule fois dire non. Plutôt des oh oui…
— Détache-moi maintenant. 
— J’y compte bien. Ces messieurs n’ont pas terminé.  

Alors qu’il la détachait, Alicia se vit devant un choix. Partir et oublier tout cela, ou rester encore et profiter. Elle dut vite se décider car déjà, Lucas lui présentait son sexe tendu, qu’elle regarda avec convoitise. Bien vite, la raison foutut le camp et seule l’ivresse des sens avait encore de l’importance. La grande blonde se fit un plaisir de dévorer sa queue, tandis que les autres approchèrent pour avoir leur tour. Ainsi encerclée de toutes ces verges différentes, elle les cajola de sa langue un à un, jusqu’à ce que Lucas décide de la prendre en levrette. 

Telle une poupée de chiffon, elle se vit manipulée et couchée sur un homme et, alors que l’un des hommes emplissait sa bouche, elle s’empala sur la verge et poussa un long gémissement tandis que le membre s’infiltrait dans son anus serré. L’homme sur lequel elle était couchée, Paul, savoura le plaisir de sentir son membre enfoui dans son cul quand il sentit qu’une autre verge forçait aussi le passage étroit. 
Alicia hurlait alors que Lucas poussait son sexe contre son anus déjà occupé. La douleur fut grande mais quand ils commençèrent à s’agiter tous deux dans son cul, elle sentit le plaisir revenir à la charge. 
Jimmy, Olivier, José, Nicolas… tous eurent leur tour et purent de nouveau replonger dans sa divine moiteur. Au bout d’une éternité, ils se repurent enfin d’elle et la laissèrent couverte de leurs fluides. Leur si sévère patronne n’avait plus rien de celle qui les réprimandait sans cesse. Souillée de leur semence, épuisée et repue, Alicia reprit doucement ses esprits.  

— Alors, tu as pris un plaisir fou ce soir, n’avais-je pas raison ? la questionna Lucas tandis que les autres partaient. 
— C’est un sacré final que tu m’offres là, se plaignit-elle. Mais oui, j’ai aimé ça. 
— Bien j’imagine que maintenant, tu veux la vidéo ? 
— Un contrat est un contrat. 

Il lui remit son portable pour qu’elle efface elle-même la vidéo, ce qu’elle s’empressa de faire. Une fois le fichier détruit, ils se fixèrent un moment, conscients du tournant que venait de prendre la situation. 
Maintenant il n’avait plus de pouvoir sur elle, du moins c’était ce qu’elle croyait. Car lorsqu’il l’embrassa, pour la première fois, elle se sentit fondre instantanément et se vit de nouveau emportée dans une étreinte plus sauvage encore. Leurs corps se heurtèrent, leurs langues s’emmêlèrent et elle se retrouva vite sur lui, à le chevaucher sans même avoir pris le temps de mettre une capote. Elle s’agrippa à ses épaules pour le maintenir au sol alors qu’elle montait et descendait sur lui, mais il parvint à la renverser et prit le dessus sur elle, plongeant dans sa chatte et dans son cul une telle ardeur qu’il ne tarda pas à jouir. Alicia le suivit dans la jouissance quand il pinça ses tétons, submergée par un puissant frisson. 

A bout de souffle, elle le regarda se rhabiller et lui proposa : 

— Et si on continuait quand même ? 
— Quoi ? s’étonna Lucas. Et Gérald ? 
— Il ne me baise plus, et avec toi je prends mon pied alors…
— Tu veux dire que tu es prête à continuer à obéir à toutes mes exigences ? 
— Toutes. Je sais que j’y trouverai mon compte. Et toi aussi.
— D’accord, mais à une condition. 
— Laquelle ?
— Je veux que tu m’appelles Maître.
— Tu peux toujours courir ! Rit-elle avant de s’en aller.

Lucas sourit. Il savait qu’elle l’appellerai ainsi, et bien plus vite qu’elle ne le croyait.
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