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Une petit rouquine pas si innocente qu’elle en a l’air.

Chapitre 1

Une rencontre explosive.

Hétéro
Ça y est, aujourd’hui, je m’installe enfin dans mon tout premier appartement, je ne pouvais rêver mieux. C’est un petit deux-pièces, mais ça va me suffire largement, et puis je n’ai pas assez les moyens pour me prendre du luxe. Je viens de quitter le nid familial pour partir faire mes études à Paris, je pourrais toujours aller voir mes parents certains week-ends, mais ils ne sont qu’à deux heures d’ici en voiture. Adieu la vie d’adolescente, bonjour la vie d’adulte. Ma rentrée est dans encore trois semaines, mais je préférais venir plutôt pour me familiariser avec les lieux et avoir un peu de temps pour visiter.
Je me suis tournée vers des études dans la psychologie, c’est une filière qui m’a toujours beaucoup attirée et j’aime aider les gens, j’essaye de mettre ma positivité un peu partout sur mon chemin pour égayer le monde, je suis comme ça. Plus que vingt-minutes de trajet et je serais enfin libre pour de bon. Ne croyez pas que je suis heureuse d’avoir quitté mes parents, je m’entends très bien avec eux, mais j’ai toujours voulu être indépendante et vivre seule, j’attendais ma liberté depuis mes seize ans au moins.
Aujourd’hui, j’en ai dix-huit et j’ai bien changé depuis, ma poitrine a triplé de volume ce qui m’attire plusieurs regards masculins ça ne me dérange pas plus que ça, mais ce sont juste des mecs qui recherchent des filles à mettre dans leur lit et ce n’est certainement pas mon genre, j’ai eu quelques copains certes, mais je n’ai jamais été plus loin qu’une simple petite branlette, je préfère attendre le prince charmant comme on dit, même si je n’ai pas beaucoup d’espoir. J’ai aussi un fessier qui est devenu bien ferme grâce à la musculation, et une silhouette plutôt bien élancée je ne vais pas vous mentir, mon corps est bien sculpté, mais ça, c’est parce que je l’entretiens et c’est uniquement grâce à mes efforts, sinon je serais sûrement toujours une planche à pain. Au niveau de la personnalité comme je l’ai dit un peu plus haut, je suis de nature généreuse, positive, studieuse, mais je reste tout de même un peu réservée avec les étrangers surtout du côté masculin.
Je ne suis pas du genre à être une fille facile et à me laisser faire.
Ellipse du trajet :
Paris me voilà ! Je prends mes deux valises en main et rentre dans l’immeuble.Je suis au quatrième étage et il n’y a pas d’ascenseur, ça s’annonce être une mission bien compliquée. Arrivée au deuxième étage, je fais une pause et m’adosse contre un mur, c’est beaucoup trop lourd, heureusement que je n’ai pris que le strict nécessaire.
— Eh vous m’entendez ?
Je relève ma tête sous le coup de la frayeur. Woah quelle beauté divine cet homme ! Un homme d’une trentaine d’années est en face de moi à me parler et moi je fais quoi ? Je le reluque telle une fille qui n’a pas vu d’hommes depuis des millénaires. Il doit revenir du sport parce qu’il transpire à travers son t-shirt et ses cheveux sont trempés, oh c’est normal d’être aussi sexy ? Je ne crois pas ! Ça se voit qu’il entretient son corps, ou à moins que Dieu l’ait servi comme ça sur un plateau, mais alors je ne le remercierais jamais assez pour ce cadeau tombé du ciel. Allez Léonie, il serait peut-être temps que tu lui répondes avant qu’il ne te prenne pour une sourde ou une folle, ou bien les deux !
— Bon bah au revoir alors, je ne vais pas attendre toute la journée que vous me pondez une réponse. — Attendez ! Excusez-moi, j’étais dans mes pensées, je ne vous avais pas entendue. — Dans vos pensées, mais bien sûr, vous étiez surtout en train de me mater, mais bon je vous comprends. — Oh un narcissique, je vois ! — Oh mince, j’ai brisé vos rêves, je suis navré. — Écoutez, j’ai pas le temps pour des mecs dans votre genre, alors si vous voulez bien vous pousser pour que je puisse continuer mon chemin, ce serait vraiment sympa ! — Oh dommage pour vous, je voulais vous aider à porter vos valises au début, mais bon tant pis pour vous, vous n’avez qu’à vous débrouiller ! — N’importe quoi, je n’ai aucunement besoin d’un mec comme vous !

Cet homme se moque littéralement de moi et je déteste ça par-dessus tout, mais il n’a pas tout à fait tort, ces valises sont dix fois trop lourdes pour moi, mais ma fierté passe avant tout. Je le laisse monter, avec un peu de chance, il est au dernier étage, donc le septième et comme ça je serais tranquille. Au bout de cinq minutes, je reprends mes valises et continue ma montée. Ouf je suis enfin à ce foutu quatrième étage. En relevant la tête, je recroise à nouveau les mêmes yeux verts, Oh non, dites-moi que je rêve et que ce n’est pas mon voisin de palier ! Il se tient appuyé contre la porte de mon voisin avec son petit sourire de vainqueur, je déteste ça. Et cette fois, c’est moi qui suis pleine de transpiration.
— Alors ça va ? Elle était pas trop dure la montée, vous en avez mis du temps ! — Allez vous faire voir ! Et qu’est-ce que vous faites ici d’abord ? — Ouh j’aime bien vous voir en colère, ça vous rend très sexy, et il serait temps de se mettre à se tutoyer parce qu’on va être amené à se parler souvent puisqu’on est voisin de palier.
Nooon ! Dites-moi que je rêve, je porte vraiment la poisse !
— Je t’ai entendue tu sais, mais ne t’inquiète pas ça ne vas pas être si terrible que ça ma jolie, je suis sûr qu’on va très bien s’entendre toi et moi. — Non, mais pour qui tu te prends à m’appeler comme ça, rentre chez toi et je rentre chez moi, point barre ! — Par contre, j’essaye juste d’être gentil, mais si tu veux que ce soit la guerre entre nous, c’est ton choix, ne viens pas te plaindre après !
Et sur cette phrase, il rentre enfin dans son appartement, s’il croit m’avoir fait peur, il peut courir. Je décide à mon tour de rentrer dans le mien et de faire mon rangement, je vais en avoir au moins pour toute l’après-midi.
Ellipse du rangement :
Enfin, tout est rangé, l’appartement est nickel, c’est propre dans les moindres recoins. Après avoir passé un coup de fil à mes parents, je décide d’aller prendre ma douche. Je me change vite fait avec un short en jean et un débardeur blanc, vu qu’on est en août, la température est très élevée, surtout dans ce quartier. Je sors de l’immeuble, aucune trace de l’autre imbécile, donc tout va bien jusqu’ici. Je traîne un peu partout dans la ville pour chercher un petit bar sympa pour manger un petit bout, vu que je n’ai pas eu le temps d’aller faire les courses pour le moment. Au bout d’une trentaine de minutes, j’en trouve un plutôt sympa et calme, donc je rentre à l’intérieur et m’installe à une table. Je me prends une petite bière pour l’apéro, et surtout pour décompresser de la longue journée que j’ai passée. Je sens des regards sur moi, c’est vrai que mon débardeur met bien ma poitrine en valeur et mes tétons pointent encore à travers le tissu.
Tant que ces gros pervers ne viennent pas me parler, je suis tranquille. Je mange pendant une petite heure et pars payer au bar, un homme me regarde à côté, mais je ne m’en préoccupe pas plus que ça.
— Tiens tiens ma jolie, qu’est-ce que tu fais là toute seule à une heure si tardive ?
Oh pitié non ! Qu’est-ce que j’ai fait dans ma vie antérieure pour mériter d’avoir cet idiot collé au basque !
— Je peux très bien te retourner la question mon beau. — Mais c’est qu’elle veut jouer la petite !
Je secoue la tête pour signifier mon agacement et demande l’addition au serveur.
— Je suis désolé mademoiselle, mais un homme a déjà payé pour vous. — Quoi ? Comment ça ? C’est impossible, vous devez faire erreur ! — Non je vous assure, tout a été réglé. — Et bien ma jolie a un admirateur secret.
Je lève les yeux en l’air, mais décide de faire l’ignorante face à lui et je remercie le serveur avant de m’en aller. À mi-chemin je commence à ressentir une présence derrière moi. J’espère que ce n’est pas un de ces gros pervers qui m’a suivie ! Je continuais encore quelques minutes comme ça, mais je finis par me retourner parce que la situation commence vraiment à me faire peur. J’ai à peine le temps de me retourner qu’une main s’abat sur ma bouche et une autre me prend par la taille, j’essaie de crier, mais je sais très bien que ça ne servira à rien puisque sa main m’empêche d’émettre le moindre son. Je me retrouve plaquée contre un mur dans une petite ruelle peu éclairée, je tente de me débattre comme je peux, mais impossible, mon agresseur a l’air d’être bien musclé.
— C’est bon, tu as fini tes jérémiades ma jolie ?
Non, mais il se fout de ma gueule, qu’est-ce qu’il fait là à m’agresser dans une ruelle éloignée de toute population, je ne le connais peut-être pas, mais je sais bien qu’il ne me ferait pas de mal, il n’a pas une tête de méchant, ou c’est peut-être ce que j’essaie de me convaincre. Vu que j’ai arrêté de crier, il me relâche, je me retourne et lui assène une gifle.
— Mais tu es complètement taré mon pauvre, qu’est-ce qui te prend de m’agresser en pleine rue comme ça ? — Écoute, je comptais être sympa avec toi, mais avec le petit geste que tu viens de me donner, ça a suffi à me faire changer d’avis. — Ah oui et tu comptes me faire quoi alors ? — J’ai bien remarqué ton petit manège, tu as allumé tous les mecs du bar, tu ne crois pas que tu mériterais une petite punition ? — Tu es sérieux là ? Si tu crois que je le fais exprès, je vis juste ma vie normalement sans me soucier des gros pervers et j’insinue que tu dois en faire partie. — Alors là ma jolie, tu es bien loin de me connaître et tu ne sais pas ce qui t’attend si tu continues comme ça. — Si je continue comme quoi ? — Si tu continues à faire la pute !
Deuxième gifle pour lui ! Je crois qu’il l’a bien méritée, celle-là.
— Je veux bien accepter certaines choses et être gentille, mais là tu dépasses les bornes !
Je profite de son état de choc face à cette deuxième claque pour m’en aller.Je suis tout juste sortie de la rue que je sens deux bras puissants s’emparer de ma taille et ils me plaquent une seconde fois contre le même mur.
— Bordel tu vas arrêter de me plaquer comme ça contre les murs, tu vas finir par me casser des dents ! — Non j’aime bien te voir comme ça, tu fais tellement soumise !
Et il en rigole en plus, non, mais quel connard !
— Tu peux toujours rêver, je ne serais jamais ta soumise ! — Ça c’est ce qu’on verra, on en reparlera dans trois semaines quand tu seras à genoux en train de me sucer comme une vraie pute, là tu te montres toute innocente, mais je le sens, tu as l’instinct de soumise ancré en toi, tu ne le sais juste toujours pas ma jolie.
Il me libère enfin et je m’échappe en courant le plus vite possible, il ne me fait pas peur ce connard et s’il croit que je vais finir à genoux devant lui, il peut vraiment rêver au monde des bisounours.
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