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Une petite sauterie pour fêter nos examens

Chapitre unique

Avec plusieurs femmes
Chloé bataille avec sa clef pour ouvrir son petit studio. Elle a les bras chargés de sacs de courses, tout comme Marie et moi. Je pose mes sacs, m’approche pour la débarrasser des siens tout en la chambrant comme quoi elle n’est pas très douée, mais... hop, elle a déjà ouvert avec un sourire triomphant.
Nous sommes tous les trois en seconde année, et les partiels se sont plutôt bien passés, voire très bien passés. D’ordinaire, j’évite de crier victoire trop tôt, mais cette fois...Marie pose ses sacs dans un élan qui manque de les faire glisser par-dessus la table, aussi délicate qu’à son habitude ; Marie et moi posons les nôtres avec davantage de précautions, d’autant que nous portons les trucs fragiles. Chloé ôte son bonnet, ses cheveux très bruns et très longs se libèrent sur ses épaules et cascadent dans son dos, puis jette sa doudoune sur le dossier d’une chaise.
Je sors avec Chloé depuis la fin de l’année dernière, elle est pétulante et bourrée d’énergie, une vraie pile électrique. Son corps est une liane musculeuse et fine, elle aime la baise sous toutes ses formes, toujours partante, même pendant ses règles. Elle a des yeux magnifiques, extrêmement expressifs, presque globuleux, avec des cils très longs et très fournis. Aujourd’hui, elle porte une robe en tricot rayée, sur des bas en laine épaisse, sa silhouette longiligne s’affaire dans la kitchenette pour ranger ses courses.Marie est sa meilleure amie, plus posée en comparaison (mais en vrai, le monde entier est beaucoup plus posé que Chloé), elle a un physique violemment quelconque, des lunettes. En toute honnêteté, j’aimerais dire que ses lunettes mettent ses yeux en valeur, mais non. Ses cheveux châtains, plutôt chouettes, descendent jusqu’aux épaules, pull beige, pantalon noir.
— Je mets les bières au frais, ça te va ? Il reste de la place ? demande Marie.— Vas-y, je t’ai laissé l’étage du bas, lui répond Chloé en virevoltant d’un placard à l’autre. Commence par le champ’ ! Marie l’alcoolo va nous faire rouler sous la table ! lui lance Chloé en pinçant une fesse au passage.— Léo, ça va, on ne voudrait pas te presser, surtout ! se moque-t-elle à mon intention.
J’attends dans l’encadrement de la porte depuis tout à l’heure, mais sans exagérer, on ne peut pas entrer tous les trois dans la cuisine, surtout avec mon mètre quatre-vingt et mes épaules. Rien de foufou, c’est juste que ça se voit que je fais partie du club d’aviron de la fac.
Le champ est en fait un mousseux premier prix que les filles achètent dès qu’on peut fêter un truc. Et aujourd’hui, on peut : nous avions bien bossé tout octobre et novembre, vraiment efficaces, et on maîtrise les sujets. Dès la sortie de la salle d’exam, j’avais eu la sensation presque physique de la tension qui quittait mes épaules. Les vacances d’hiver se profilent, pas d’examen avant fin janvier. C’est vachement mieux que l’année dernière, où nos vacances étaient pourries par les partiels dès la rentrée.
Bref, nous voici tous les trois chez Chloé, nous allons déguster un petit repas de derrière les fagots et trinquer à notre réussite annoncée ! Nous nous installons en tailleur autour de la table basse, sur des coussins. Chloé a bien des chaises et une table, mais trop petites ou trop cassées.Le festin de ce soir, c’est de l’impro : poulet rôti en promo, et frites. Nous rions de bon cœur, et Chloé m’enfourne des morceaux de poulet dans la bouche. Rien de sensuel, c’est juste pour la déconne.Marie et Chloé calent rapidement, elles ont l’habitude de repas plus légers, l’ambiance s’est calmée, on finit les bouteilles tranquillement. La discussion dévie sur ce qu’on va faire pendant les vacances.Chloé demande à Marie où elle en est avec Bertrand, un camarade de promo qui semble avoir un faible pour elle.
— Bof, c’est le point mort. Je ne sais pas, il est un peu perché quand même.— Bon ma cocotte, il va falloir te bouger quand même, les mecs, si tu ne vas pas les chercher, si tu restes derrière ta porte fermée à double tour, tu vois ce que je veux dire... mais non, mais attends... tu pleures ?— Oui, non, désolée. C’est que, tu vois, vous êtes là, vous deux, vous êtes super amoureux et tout, et moi, ben... Non, j’me sens conne, putain.
Marie pleure maintenant à chaudes larmes. Je m’éclipse discrètement pour leur laisser de la place, et vais dans la cuisine attaquer la vaisselle.Je reviens chercher les restes, et surprends la dernière phrase : "... pas compte que j’étais amoureuse de Léo". OK. Gênance, la phrase vient de Marie.
— Ecoute, c’est pas grave, les sentiments, c’est pas des sciences, ça ne se contrôle pas. Regarde-moi : je ne t’en veux pas du tout, et tu n’as pas à t’en vouloir d’être amoureuse de lui, c’est comme ça, je comprends complètement. Ecoute, écoute, là, je ne vais pas te dicter, je ne vais pas te dire comment vivre ta vie, mais déjà, t’as pas à t’en faire pour ça d’accord ? Tu n’as rien à te reprocher ni à te faire pardonner, tout va bien.
Je hoche la tête, passé le moment de surprise, je suis assez flatté. Et mon cœur se gonfle d’un coup, Chloé est vraiment une personne superbe.
— Bon allez, je suis super désolée d’avoir plombé la soirée. Marie s’essuie le visage. Si on passait à autre chose ? On se fait un jeu de société ? — Bof,— Un jungle speed ?— Mouais, OK.
On écarte la table basse. Le jeu nous fait oublier l’épisode précédent. On bataille le totem sur la moquette. Plusieurs fois, il s’envole dans le décor, roule sous l’étagère ou le clic-clac, jusque dans la cuisine. Les filles ont décidé de se liguer contre moi. Une fois ou deux, elles m’attrapent le bras, et ça finit en pugilat amical. Chloé s’assied sur moi pour m’empêcher de jouer, les deux me plaquent, etc. nous avons tous les trois les joues empourprées par l’alcool et le jeu.Chloé a ôté son collant en revenant des toilettes. Moi je me suis mis en t-shirt. Marie semble crever de chaud sous son pull.
— Vas-y, mets-toi à l’aise.— Mais j’ai qu’un pull, je vais pas rester en soutif quand même.
Un bref silence imaginatif lui répond, avant que Chloé ne se reprenne et lui propose de lui prêter un truc. Elles reviennent, Chloé lui a prêté une blouse assez fine. Marie n’est pas Dolly Parton, mais ça suffit à stresser les boutons du haut. Le jeu se poursuit, Chloé semble pensive.
— Tu sais Marie, je réfléchis, et si tu veux... hem, si tu veux tu peux essayer Léo. — Hein ?— Hein ?— Je dis : je peux te le prêter.— Quoi ?— Quoi ?— C’est marrant votre numéro de duettistes, mais vous m’avez comprise : Marie, tu es attirée par Léo. Léo, pas la peine de te poser la question, ça fait cinq minutes que tu louches sur les seins de Marie, et puis merde, on est des adultes, on n’est plus au Moyen-Age, donc go.
Marie et moi la dévisageons par-dessus le totem.
— Tu veux dire quoi exactement ?— Eh bien, tu peux faire tout ce que tu veux avec lui, je te le prête !— Hey dis donc, c’est sympa de me demander mon avis !— Allons, je lis en toi comme un livre ouvert mon bébé...
Elle me pousse doucement, mais fermement vers sa copine. J’avoue que je suis bien embarrassé, je ne suis pas spécialement attiré par Marie, c’est juste que je trouve sympa ce petit détail du tissu tendu sur sa poitrine. Marie a les yeux humides, je ne sais pas si c’est de la panique, de la gratitude, de la tristesse ... Je me penche vers elle pour l’embrasser doucement. On se sépare aussitôt et on regarde Chloé. Celle-ci nous encourage :
— Allez, faites pas vos timides !— Tu as dit, je peux faire tout ce que je veux ?— Ouais, tu es d’accord Léo ?
J’acquiesce de la tête, et je commence à être excité par l’incongruité de la situation. Nous nous embrassons de nouveau, avec la langue cette fois. Marie n’ose pas trop, puis explore ma bouche. Elle s’active davantage, penche la tête de droite et de gauche. Elle avait juste posé ses mains sur moi, elle les passe maintenant derrière mon cou.
On se sépare, elle m’a un peu essoufflé.
— Je peux vraiment, je peux vraiment lui faire ce que je veux ?
Marie et Chloé ont la même expression : les yeux pétillants, et elles se tortillent sur place. Marie m’embrasse sans aucune retenue cette fois, et caresse mon torse. Elle se recule, me caresse encore. Soulève mon t-shirt. Je crois qu’elle commence à faire abstraction de ce qui nous entoure. Elle passe sa paume sur mes abdos, m’embrasse le cou. Se rapproche de moi, me fait asseoir en tailleur et s’assied sur moi. Nous nous embrassons et nous galochons quelques longues et sulfureuses minutes. Nous reprenons notre souffle. Chloé nous regarde toujours.
— Pourquoi vous vous arrêtez ?— Hein ? Mais je...— Tout ce que tu veux ma chérie, tout. Ce. Que. Tu. Veux.— T’es sûre ? Tu ne vas pas le regretter ? insiste Marie, mais cette fois un poil provocante.— J’en suis sûre. C’est super excitant de vous regarder.
Et sur ce, Chloé enlève sa culotte.
Je crois que c’est le signal qu’attendait Marie. Elle me caresse, mais l’entrejambe cette fois. Ce qu’elle y découvre doit lui plaire, car elle s’y attarde, commence à déboutonner mon jeans. Pas facile assis comme ça, alors elle me repousse en arrière. Je ne la reconnais plus trop. Elle défait la braguette, je soulève les fesses pour l’aider, ça amène mon boxer gonflé à hauteur de son visage, et une moue gourmande la saisit. Je surveille où elle jette mon jeans, un réflexe bébête, mais j’ai toujours peur de perdre les clefs qui sont dans ma poche. Mes yeux tombent sur Chloé, qui se caresse paresseusement, en nous regardant nous activer. J’ai été plus que passif jusqu’ici, mais je commence vraiment à rentrer dans leur jeu (moteur diesel un jour...), et défais deux boutons du chemisier. Marie est au-dessus de moi, je passe une main sous le tissu, caresse sa taille et ses reins, sa peau est brûlante.
A mon tour de lui déboutonner son pantalon. Elle a un début de réflexe de recul, puis ondule pour me faciliter la tâche. Je caresse sa culotte, du coton, son cul est petit. Mes doigts sont sages, c’est juste du pelotage. Elle descend et recule jusqu’à mes hanches. Elle, elle a passé le cap du pelotage, et fait glisser l’élastique de mon boxer. J’apprécie la fraîcheur de son souffle sur mon pénis. Elle se frotte sur moi, elle fait une pause, puis elle l’embrasse doucement, en haut surtout.
Puis de haut en bas. Puis elle lèche. Je geins, c’est plutôt sensuel, ni rentre dedans ni "en voiture Simone". Je me relève complètement, la surplombe, et présente mon pénis devant son visage. Elle reprend sa fellation du début, jette un regard à Chloé, qui se doigte ardemment maintenant, puis fait disparaître ma bite dans sa bouche. Je suis nu devant deux femmes habillées, dont ma copine, et je prends d’un coup conscience du piment de ce côté exhib’. Je manque lâcher la sauce, Marie s’en rend compte, et ralentit le rythme. Puis s’arrête, le temps de se débarrasser de ses derniers vêtements. Cette fois elle ne demande plus la permission, elle est nue et à mon grand étonnement, me laisse tout loisir de la dévisager de haut en bas : effectivement, les lunettes l’enlaidissent, en vrai elle a de jolis yeux noisette pétillants, ses seins sont moyens, assez écartés, mais j’aime bien leur forme, dressés vers le haut, de petites aréoles. Ses hanches sont petites, mais bien rondes.
Je la pousse doucement vers le clic-clac, mais elle me fait pivoter autour d’elle, m’assoit, et vient à califourchon sur mes cuisses.Nous reprenons façon mamours débutants : elle se frotte le bassin sur mes cuisses, mon gland frotte contre son ventre, tout pendant qu’on s’embrasse goulûment. Chloé s’approche de nous, nous gratifie d’un baiser et d’un clin d’œil paillard. Marie lui sourit en réponse, moi j’essaye de déchiffrer son expression et ses yeux. Visiblement, Chloé est super contente, et arbore un sourire de madone. J’écarte un peu le bassin, laisse le temps à Marie de changer d’avis. Visiblement elle a fait son choix : elle se redresse à demi puis vient s’empaler. Le plaisir déforme son visage, c’est assez comique. Puis elle prend un rythme, d’abord frotti-frotta, puis de plus en plus ample.
Son rythme s’accélère brutalement, et elle fait des bruits de gorge, son vagin se resserre brutalement autour de mon sexe, me prenant par surprise. J’éjacule brutalement, j’ai à peine eu le temps de la prévenir, et elle reste sur moi le temps que les spasmes la remplissent.
Nous continuons à claquer nos bassins, mais au ralenti.
— Ah, merci Léo, ah si tu savais, ah c’était bon.
En face de nous, Chloé est revenue sur son coussin. La robe est relevée au-dessus des hanches, et elle se fait plaisir avec un vibro.
— C’est bon ? Vous avez... ououououh... vous avez fini bande de petits obsédés ? Bon, prépare-toi Léo, à mon tour maintenant.
Elle vient nous rejoindre sur le clic-clac. On s’embrasse presque chastement les uns les autres.Nous sommes un peu à l’étroit, alors nous ouvrons le lit. Chloé et moi l’avons déjà éprouvé, et je pense qu’il est assez costaud pour nous trois. Le reste de la soirée et de la nuit est très, très sympathique. A la réflexion, je me dis que si Chloé a été aussi prompte à me prêter, ce devait être aussi dans l’espoir d’expérimenter l’amour saphique, car elles chahutent toutes les deux une bonne partie de la nuit entre les draps.
Aujourd’hui, nous continuons à nous fréquenter tous les trois. Chloé est toujours ma copine officielle, mais il arrive que Marie reste dormir avec nous. Nous restons concentrés sur nos cours et révisions, c’est juste que nous avons gagné en souplesse sur les horaires.
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