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Une petite ville de Province

Chapitre 10

Erotique
Elle était toujours assise sur son genou droit.
-    Bon à mon tour pour signer.
Il lui prit le stylo des mains et se pencha pour signer en mettant sa main libre dans le dos de Jacqueline.
-    Maintient la feuille.
Lui ordonna-t-il.
Elle se doutait bien que cette posture n’était pas vraiment convenable, elle n’osa pour autant lui dire quoi que ce soit et utilisa ses deux mains pour stabiliser le contrat pendant qu’il paraphait le document.
-    Contente d’être embauchée ?-    Oui maître.
Dit-elle timidement.
-    Eh bien, voilà qui manque d’enthousiasme.
Elle rougit ne sachant quoi faire.
-    Regarde-moi.
Elle se tourna vers lui.
Il avait toujours sa main dans le dos de Jacqueline et l’autre, maintenant libérée, s’était posée sur son genou.
-    Si tu es bien obéissante, tu ne regretteras pas, je vais t’apprendre tout ce qu’une jeune fille de ton âge doit savoir.
Elle ne savait pas si elle devait avoir peur de ses propos ou le remercier de sa gentillesse.
-    Tu pourrais être ma fille, tu en as l’âge. C’est donc mon rôle aussi de t’éduquer.
Son père, il ne lui parlait pas beaucoup, si ce n’est pour la réprimander sur sa façon de se tenir ou sa manière de parler. L’éducation, chez elle, c’était une paire de gifles pour lui apprendre les bonnes manières. Sans explication, dès le premier écart et elle prenait une claque.
Non, ce n’était pas une enfant battue, c’était ainsi qu’il fallait éduquer les enfants à cette époque. Même l’instituteur, avec sa règle n’hésitait pas à frapper sur les doigts du chenapan.
Le notaire avait, lui aussi un ton autoritaire, il lui avait même donné de la badine, mais il l’avait aussi félicité, ce que son père n’avait jamais fait.
Oui, elle aurait finalement préféré l’avoir, lui, comme père… même s’il avait plutôt l’âge de son grand-père.
-    Et n’oublie pas, tu dois encore faire tes preuves.-    Oui Maître.
Il hésita puis se dit qu’il était un peu trop tôt pour lui voler un baiser. Il la laissa un peu sur son genou, sa main caressant celui de Jacqueline doucement.
Bon, ce n’est pas le tout, mais il faut que je t’explique quelques petites choses maintenant.
-    Ton travail consiste à taper des actes, mais aussi à m’accompagner quand je vais faire des états-des lieux ou des estimations de bien. Il te faudra alors prendre des notes pour ensuite retaper au propre dès notre retour à l’étude.
Il lui avait expliqué cela en la regardant et sans l’avoir libéré. Elle était toujours assise sur lui et ne savait trop ce qu’elle devait faire.
Il continua ses explications, son regard s’attardait de plus en plus sur sa poitrine. Il cherchait à estimer la taille du bonnet.
Il avait envie de le peloter, de dégrafer son chemisier, mais il savait qu’il fallait avancer étape par étape sans en griller aucune.
Et cette lente progression était finalement assez excitante… et pas si lente que ça.
Jacqueline était naïve et bien docile, mais il ne pouvait se laisser croire qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’il faisait et de là où il voulait aller  et elle le laissait faire sans rien laisser paraître.
Effectivement Jacqueline s’était posée des questions sur l’attitude de son patron, mais s’en était voulu rapidement.
Quand elle s’était retrouvée dans ses bras après ne pas l’avoir attendu arriver, elle avait eu le sentiment qu’il en profitait pour la toucher, alors que finalement s’était-elle dit il n’était venu que l’aider.
Voilà que maintenant, il lui faisait signer son contrat de travail. Elle aurait dû être fière et contente de cette preuve de confiance qu’il lui faisait.
Oui bien entendu, il la fit s’asseoir sur ses genoux, elle avait été surprise qu’il fasse cela et s’était faite des idées sur ces intentions, alors que finalement, comme il lui a dit, il se comporter avec elle comme un père.
Il la grondait quand elle faisait une bêtise,  la félicitait et était aussi là quand elle avait besoin d’aide.
Il se comportait comme n’importe quel père, ou presque, car si son père la grondait facilement, il ne l’avait jamais félicité de quoi que ce soit et ne l’avait jamais soutenue ou aidé à quoi que ce soit.
Elle était finalement bien ingrate vis-à-vis de son patron.
Quand il eut terminé ces explications, il caressa de la paume de sa main sa joue.
-    Bon, maintenant au boulot.
Elle comprit qu’il fallait qu’elle retourne dans son bureau et se leva donc pour partir.
La main du notaire caressa ces fesses.
-    Et la semaine prochaine, tu mets une tenue plus attrayante.
Elle le regarda d’un air désolé, elle pouvait reprendre effectivement sa jupe, mais était-ce suffisant aux yeux de son patron.
-    Oui n’oublie pas que tu seras un peu plus en contact avec les clients et que tu devras m’accompagner lors de mes visites.
Il lui prit la taille et la guida pour qu’elle se retourne et soit face à lui.
-    Une jupe plus moderne.
Il prit la jupe et la fit glisser vers le haut de ses jambes pour raccourcir un peu la longueur.
-    De cette longueur et je la verrai bien noire.
Il toucha le chemisier d’une caresse du dos de ses doigts qui lui permit de sentir le relief de sa poitrine.
-    Un peu plus léger et classe le chemisier.
Elle ne savait trop ce qu’elle devait faire.
Elle n’avait pas encore touché sa paie et ses économies étaient bien trop faibles pour se permettre l’achat d’une nouvelle jupe et d’un nouveau chemisier… et il n’était donc pas possible de reprendre sa jupe, car il faudrait aussi la teindre… et elle ne savait même pas si cela était possible.
Le notaire vit le désarroi de Jacqueline.
Il prit quelques billets dans son portefeuille qu’il posa sur son bureau, prit une feuille et commença à écrire.
-    Tiens, je te fais exceptionnellement une avance sur ton prochain salaire pour te permettre de faire ces achats.
Il lui demanda de lui signer le reçu et lui donna les billets.
-    Et n’oublie pas d’être élégante, car dès lundi nous allons chez un de mes plus gros clients.
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