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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 10

Inceste
Une petite voisine très surprenante ... 10



— Hnnnnnn Oui encore ! Aaahhhh oui, comme ça !!
Ses jambes largement écartées calées dans les plis de mes coudes, je pilonne sans aucune retenue sa fabuleuse chatte largement ouverte par le marathon sexuel que l’on s’offre depuis deux jours.Ses énormes seins ballottent de bas en haut au rythme de notre copulation bestiale, et les pétrir d’un coup, en me redressant, continuant mes va-et-vient en elle sans ralentir, est un délice aussi tactile que visuel. La chair tendre épouse et réagit sous mes doigts, les larges aréoles roses dardant dans le creux de mes pouces tandis que leur rondeur et leur volume excite encore un peu plus mon désir.
— Oooooh oui prend-moi les seins ! Pince-les ! Agrippe-les fort ! Fais-moi mal doucement mon beau !
Mon beau. Que j’aime quand elle m’appelle comme ça.
Sarah est une furie cachée. Je n’ai jamais connu de femme qui aime autant baiser qu’elle. Non pas qu’elle ait constamment envie, genre addict. Mais même s’il se passe peu de temps sans que l’on ne s’envoie en l’air, c’est surtout au sens de l’intensité que je l’entends. Quand son désir s’éveille, elle n’a plus de limite et ne cherche qu’à rassasier une envie débordante, encore et encore, et la mienne aussi, sans aucun égoïsme de sa part.
Pour mon plus grand bonheur, je dois dire, et pour ma grande chance, également.
— Aaaahhh oui !!! Ahnnnnnn j’adore ... t’es trop bon ... Aaahnnnn t’es ... une machine à baiseeeeeer !
Le compliment me ravit, mais j’ai quand même dû sérieusement améliorer ma façon de vivre depuis que Sarah et moi vivons ensemble. Je me suis remis à courir pour retravailler un coeur qui avait oublié ce que sa racine cardio veut dire, notre alimentation a gagné sensiblement en qualité puisqu’on passe le plus clair de notre temps à cuisiner entre deux saillies, et j’avoue que le nouveau moi me plaît quand même beaucoup. Bon ok il faut quand même que j’avoue que pour satisfaire la libido débordante de ma magnifique milf ( elle s’affuble elle-même de ce sobriquet) j’ai quand même recours à mes petites pilules roses de temps à autre.
— Ahnnn ouiiiiiii putainnnnnn oui !! oui !!! AAAHHHH !!!
Je la tiens littéralement par les seins, la tirant vers moi pour mieux entrer en elle, que dis-je, pour rentrer plus loin encore en elle.On dirait qu’on la dessinée pour moi. Elle a tout ce que j’aime chez une femme, et on dirait que je comble, au propre comme au figuré, tout ce qu’il y a à combler chez elle. Je la regarde au bord de la jouissance encore une fois, pilonnant avec délice son fourreau accueillant pendant qu’elle se branle très vite le clitoris ... Vingt seconde plus tard elle hurle son plaisir :

— AHNNNNN OUI !!!! OUI !!!! Jouis aussi !!! Viens en moi !! REMPLIS-MOI !!!
******

— On est pas un peu dingue quand même ? me demande Sarah, délicieusement nue et allongée sur le côté en me regardant.— Toi oui, c’est sûr. Moi si ça n’est pas fait, ça ne va pas tarder.
Elle me claque gentiment l’épaule.
— On est en fin de quarantaine et on passe notre temps à baiser. C’est normal ?— Pourquoi tu préfères le scrabble ?— Non, je préfère ta bite.— Parfait alors !
On éclate de rire tous les deux.
Ça fait 3 petits mois que Sarah à définitivement emménagé chez moi. Et d’un commun accord avec son mari, leur maison a été divisée en deux pour leurs filles. Les travaux qu’ils ont décidés de faire, tous les quatre, pour transformer la maison en deux entités indépendantes ayant chacune leur jardin ont donné des devis assez dingues, et après de bonnes et franches discussions, j’ai décidé de leur proposer, à mon tour, de les réaliser.Et j’ai remporté le dossier. J’ai démissionné, et me voilà maintenant entrepreneur à plein temps, ce qui était au départ ma formation, soit dit en passant.
— Monsieur le chef de chantier a-t-il prévu une autre réunion avec la patronne, me demande Sarah toujours aussi délicieusement nue sur notre lit et roucoulant visiblement une envie encore présente ...— Prévu, non, mais la satisfaction de la cliente est ma priorité, dis-je en me glissant lentement entre ses cuisses qu’elle m’ouvre sans hésitation.
Quand je pose ma langue sur ses lèvres charnues encore mouillées de nos sécrétions mutuelles, l’odeur de nos corps ne me gêne pas un seul instant, et je me mets sans attendre à la lécher goulument.
— Hnnnn t’es aussi diabolique que doué ... feule-t-elle en écartant encore un peu plus ses jambes potelées.
Ses chairs sont un délice, et ma langue et le reste de ma bouche se délecte de lécher, mordre et se planter dans l’antre franchement ouverte de ma belle. Je ne résiste pas plus et enfourne deux doigts au fond d’elle sans aucune résistance ...
— Ahnnnn ouiiii ... Aaahhh oui mets-moi ... tout ... tout ce ... que tu veux ...
Elle soulève alors ses cuisses, ouvrant ce compas impudique au dessus d’elle et j’accède alors à l’autre orifice qui lui non plus n’a pas été épargnée ces deux jours. Deux autres doigts plus tard, je l’embroche de toute par en léchant ardemment son clito très érigé.
— AHHH !!! Ooooh putain oui !!!
Mes deux paires digitales s’enfoncent avec frénésie, et la gourmande s’écartant elle-même ses lèvres poilues pour que j’accède encore plus loin, je n’hésite pas et en enfonce deux de plus dans sa chatte. Ma main disparait dans son gouffre, seule le pouce demeurant visible et signalant que ma paume entière la fouille au plus profond. Ses gémissement deviennent cris et je m’en régale. Quatre centimètres plus bas, l’autre paire de doigts n’en est pas de reste.
— AAHHH OUI !!! Aaahhh, oui rentre !!! AHHH !!! Rentre en moi comme ça, OUI !!!
Je n’hésite plus encore une fois, et c’est au tour de son cul de recevoir 4 doigts, et mes mains s’enfoncent en elles tour à tour au son de ses cris presque bestiaux. Sa voix devient rauque, elle grogne plus qu’elle ne gémit ou parle ... Ses cuisses écartées par mes coudes, elle est pliée en deux sur le dos, ses orifices béants s’ouvrant pour laisser passer mes paumes et mes doigts .
— Rhaaaaaa !!! ARHHHHHH PUTAINN !!! Aaaahnnnn je ... AAHHHHH !!!
Je pousse en elle, déboitant mes poignets, la pénétrant comme si la suite était que j’entre à mon tour entièrement dans son ventre.
— Aahhnnnnn oui !!! Oui tout, Mets-moi tout !!!
Je tente alors l’extrême, et essaye de glisser mon premier pouce dans sa chatte si élargie que sa chair blanchie ...
— AAAHHHHH !!! AAHHHHHH Je...
La douleur n’est pas le plaisir, j’abandonne ce côté et tente la même chose de l’autre ... Et quand mon deuxième pouce entre dans son fondement, mon poing entier dans son cul et son anus en corolle, dilaté autour de mon poignet, les hurlements qu’elle pousse sont d’une perversion exquise. Mon autre main toujours à quatre au fond d’elle contre son utérus, je pousse mon poing dans son rectum en le faisant aller et venir rapidement, tandis que devant mes doigts vibrent et mon pouce écrase son clitoris dur comme une petite pierre. Quelques instants plus tard l’orgasme la terrasse, contractant tous ses muscles.
— OUI !!! OUI !!! AAHHHHH PUTAIN !!! OUIIIIIIIII !!! AAAAAHHHHHHH !!!!
Elle retombe d’un coup, s’affalant en croix sur le drap souillé de plaisir.
— Ooohhh c’était .... C’ét ....
Je sors doucement mes mains de chaque orifice détruits par tant de brutalité ... et la regarde ouvrir les yeux vers moi et sourire ...
— Tu ... m’as ravagée de plaisir ...
Quelques minutes plus tard on s’endort l’un contre l’autre.
******

— Mouais, ché pas trop dit Léa sans grande motivation.— Bon les filles va falloir vous décider parce que là ça devient urgent ! s’écrit Sarah à l’attention de sa double descendance. 
Si couper en deux une maison n’est pas compliqué en soit, couper une maison entre deux jeunes femmes au tempérament bien trempé est une autre histoire. Et si l’on a bien avancé sur le gros oeuvre, c’est les décisions de déco qui commencent à s’éterniser.
— Bon, on va faire simple si je puis me permettre, m’essayé-je à dire.
Les trois beautés posent chacune leur menton dans leurs deux mains en me regardant. J’ai l’impression un court instant d’être Brad Pitt.
—Léa, toi t’es plutôt bois, matériaux bruts et naturels non ?— Ouaip.— Emma, toi c’est verre, metal et moderne ?— Hay.— Bien, vous allez aller dans ces trois magasins, là, me choisir chacune votre évier, votre lavabo, votre douche, etc ... Ensuite vous NOTEREZ toutes les références de vos choix et vous m’envoyez ça par mail. Si après-demain j’ai pas la ref pour le plan de travail ou le pommeau de douche, je décide pour vous, Ok ?— Ok ! répondent-elles en choeur.— Et pour les couleurs ? tente Emma — Nada, tout en blanc, vous apprendrez à peindre vos murs, c’est du niveau 3ème. Pour des tronches comme vous, ça devrait passer.
Mes trois naïades rient en choeur et la réunion de chantier se change en barbecue, beaucoup plus sympathique.
******

C’est toujours un plaisir de dîner avec trois sublimes femmes. Et depuis quelques semaines et les travaux en cours en face, Léa et Emma prennent la plupart de leurs repas avec nous. Léa travaillant en ville dans un labo, elle dort la plupart du temps chez un ou une amie mais parfois dans l’une des chambres qu’on a aménagées dans la maison en travaux. Quant à Emma, qui a également trouvé un travail dans le coin après son diplôme, elle vit en face.
Enfin ... ça c’est la version officielle.
— Bon je vais y aller, dit Léa en terminant de débarrasser son assiette.— On te vois demain soir ? lui demande sa mère en faisant de même.
Je n’ai pas un rôle de pacha dans ma maison, mais Sarah et les filles ont décidé que, comme je bosse sur le chantier la plupart de la journée, elles s’occuperont de la maison sans que j’ai à lever le petit doigt. Je n’ai jamais été macho pour un sou, mais je me suis mis à en apprécier le confort patriarcal que ça peut procurer, en sachant que ça ne durera pas pour la vie, bien sûr.Et donc à ce moment très sympathique de la soirée, je suis calé dans le canapé tandis que les abeilles butinent entre la table et la cuisine.
— Je te dirai si je viens dans la journée ça va ?— C’est parfait.— Fais une bise à Emma pour moi, dit alors Léa en prenant sa veste.— Ça sera fait.— Bisou le beau gosse ! me crie la jeune femme en sortant.— Bise la puce !
Sarah vient me rejoindre au moment où j’entends son téléphone vibrer.
— C’est Emma, me dit elle en me montrant le SMS sur son téléphone :
[SMS,Emma]< Cc M’man. Je sors de la douche.< Papa m’a demandé si je voulais passer, mais ... j’aimerais bien ... rester avec vous (emoji qui tire la langue)
Sarah me regarde en souriant.— T’en dis quoi ?— Tu décides ma belle, tu le sais bien.— Ça fait quelques jours qu’on n’a pas ... — Tout me va, terminé-je.
Sarah répond au SMS.
[SMS,Emma,Sarah]> Viens quand tu veux ma chérie, on t’attend (emoji clin d’oeil)< A dans dix minutes alors.
Sarah pose son téléphone, m’embrasse et monte vers la salle de bain. Encore frais et les cheveux humides de ma douche, je ferme les yeux et m’enfonce un peu plus dans les coussins. C’est un sentiment toujours étrange, même si ça fait maintenant quelques semaines que ... qu’Emma nous tient parfois compagnie, depuis cette fameuse soirée. cf chapitre 9Bercé par le bruit éloigné de Sarah sous la douche, je me laisse aller à un mélange de souvenirs, et d’idées toutes plus délicieuses les unes que les autres.
******

La sensation est purement exquise. Lente, suave. Je n’ai pas ouvert les yeux, à aucun moment. Et quand j’entends Sarah descendre les escaliers je sais qu’elle ne va pas être complètement surprise par ce qui l’attend dans le salon ...
— Et bien je vois que ça n’a pas trainé ... dit-elle en passant dans mon dos un sourire dans la voix.
Savourant la délicate attention qu’Emma me prodigue, je me force à garder encore un instant les yeux clos.
— Mmmhh... désolée Maman, répond celle-ci en reprenant sa respiration. Ton mec était trop mignon affalé dans le canapé.— Et bien continue alors, ne te gêne pas pour moi...
Quand Sarah viens s’assoir dans le fauteuil en face, la tentation est trop grande, et j’ouvre les yeux en redressant la tête. Ma sublime brune est entièrement nue, ses cheveux encore humides attachés négligemment, quelques uns collés ça et là à sa poitrine tombant magnifiquement. Je n’ai jamais compris les accrocs aux seins fermes et bien ronds, les pomelos circulaires, naturels ou pas, qui semblent parfois avoir été posés là sur la cage thoracique. Ceux de Sarah, et d’Emma aussi d’ailleurs, sont en sublime forme de poire, pendant murement dans un arrondi majestueux chez Sarah, leur lourdeur se soupesant à l’oeil, invitant sans retenue les mains à venir les remonter, les caresser sous les orbes de douceur et les plis délicats qu’ils forment. Les pouces n’ont ensuite qu’une envie, venir frôler, se frotter, titiller les aréoles roses et larges autour des mamelons qui s’érigent chez l’une comme l’autre très vite quand elles sont excitées. Quant à ceux d’Emma, ils balancent allègrement sous elle à ce moment, secoués par les mouvements qu’elle imprime à son corps agenouillé entre mes jambes.
Sarah s’abandonne lentement dans le fauteuil, une jambe posée sur l’accoudoir moelleux, exposant à mon regard la caresse qu’elle entame entre ses cuisses. Ses doigts s’enfonçant lentement dans le doux tapis de poils encore humides de sa douche, elle promène déjà délicatement un majeur sur les deux lobes de chairs proéminents, détaillant leur longueur exceptionnelle, ouvrant sensiblement les ailes d’un papillon sensuel en regardant sa fille de dos et la tête de celle-ci qui monte et descend entre mes cuisses.
— Redresse tes fesses ma chérie, dit-elle alors à Emma, qui obtempère sans ralentir sa cadence.
Sarah se redresse alors et vient derrière elle sur le tapis épais, glissant sa main entre les cuisses trempées de sa fille qui se cambre aussitôt, sa bouche restant figée dans un "O" délicieux autour de mon sexe, et ses yeux se ferment pour savourer la caresse digitale que sa mère entame de lui prodiguer.
Je pose mes mains à mon tour sur son jeune visage, glissant mes doigts en peigne dans ses cheveux de chaque côté. Et quand je tire doucement sa tête vers le bas, guidant inexorablement sa délicate bouche à finir d’engloutir le membre qu’elle suce depuis un quart d’heure, ce n’est qu’une fois entièrement enfoncé dans sa gorge que je me mets à la faire aller et venir dans de courts mouvement, mon gland bien logé dans le fond, ses yeux se remplissant de larmes involontaires mais exprimant toute son envie d’être utilisée ainsi ...
— Elle la prend bien désormais n’est-ce pas mon beau ? me demande Sarah qui accentue ses pénétrations des orifices que la croupe d’Emma lui offre.— En effet, je gage que son père à dû la former dans tous les sens du terme avec son énorme machin.— Au moins il a une qualité, dit Sarah en riant tandis que je continue à faire aller et venir la bouche trempée des sécrétions d’Emma sur mon sexe bandé.— Moui, je n’aurait jamais pensé que le gros sexe d’un autre homme serait intéressant, lui dis-je en souriant de même.
Les yeux d’Emma, muette fellatrice, ne me quittent plus pendant que je me masturbe dans sa bouche et sa gorge. Mais c’est Sarah qui semble contorsionner ses poignet et je devine que derrière les fesses de sa fille, elle la soumet à un traitement des plus pervers. Car quand je devine qu’elle frotte et étrille le clitoris d’Emma de plus en plus vite, engendrant des gémissement dont seules les vibrations résonnent dans mon sexe, je sais que la jeune femme ne va plus tarder à jouir. Et quelques secondes plus tard, tout son petit corps se contracte, tandis que sa mère la branle frénétiquement et que j’enfonce sa tête entièrement son mon sexe une dernière fois avant de la libérer d’un coup et d’entendre le hurlement de plaisir qu’elle libère.
******

— Vas-y, défonce-la bien ! m’invective encore Sarah.— Mhhh !! MMMHHHH !!!— Oui ma chérie il te baise bien n’est-ce pas ? — HMMM !!! — Mmouiiii... mais là c’est à mon tour de te rendre muette, mais je crois que tu adores ça, hein ? continue Sarah.— MMMHHH !!! 
Je ne faiblis pas une seconde, martelant la chatte de ma belle-fille sans aucune délicatesse, la pistonnant par derrière en faisant claquer mes cuisses sur les fesses de la jeune femme, tandis qu’à l’autre bout du frêle petit corps de sa fille, Sarah lui maintient à son tour la bouche entre ses cuisses, se faisant lécher moins qu’elle ne se branle t et se caresse elle même en tenant sa tête par les cheveux.
— Aahnnnnn oui t’es vraiment une sacrée bonne lécheuse de chatte ma chérie, Ouiiiii, c’est bien, comme ça !!!— Haaaa !! Mmmh.. Mamannnn je ... Ahhhnnn !!!— T’arrête pas de lécher ma petite gougnotte, Mmmmhh oui encore, plus fort !!! Oui !!! Aaaahhhh !!!
Et quand l’orgasme terrasse ma belle compagne, suivi peu de temps après par celui de sa fille affalée le visage sur sa chatte trempée, je viens à mon tour enfin au bout de ce nouveau marathon sexuel en éjaculant de long traits sur le dos de la jeune femme.
Sarah me regarde, récupérant elle aussi son souffle lentement.
— Mmmmh on dirait que ma fille aime de plus en plus être notre petit jouet, non ?— Je ne sais pas, qu’en penses-tu Emma ?— Hnnnnn je ... Hmm j’a... j’adore ça ... vous êtes dingues tous les deux...— Hmm oui ça c’est sûr, répond Sarah. Il y a quelque chose que j’aimerai que tu fasses pour nous demain, si tu veux bien.— Quoi donc Maman ?
Sarah tend le bras et attrape le stylo-caméra avec lequel elle a pris goût de filmer assez souvent nos ébats.
— Je voudrais que tu filmes ce que ... tu fais avec ton père, tu veux bien ?— si ... Oui si tu veux, Maman, tu ... tu es sûre ?— Mmmmh oui ma chérie, j’en ai très envie, dit Sarah en se redressant pour se lever.
Et en me regardant je sais qu’elle a une idée absolument perverse dans les yeux.
— Maintenant laisse-nous ma chérie, je veux dormir seule avec mon mec.

( A suivre ...)
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