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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 11

Voyeur / Exhibition
Une petite voisine très surprenante ... 11



L’image est parfaitement nette. Un grand lit défait, un peu de bazar ça et là. 
— Greg n’a jamais vraiment été un maniaque du rangement, me dit Sarah appuyée contre moi dans notre lit.
On s’est installés comme au cinéma, diffusant l’image du stylo-caméra espion que Sarah a fait installer par Emma dans la chambre de son ex-mari sur l’immense écran de notre chambre. Sarah en nuisette de dentelle transparente et moi en boxer, c’est un cinéma assez dénudé, tout de même.
— Viens par là dis-je, en me redressant pour m’appuyer contre les coussins de la tête de lit et en ouvrant mes jambes à l’équerre.
Sarah vient alors s’adosser contre mon torse, assise entre mes cuisses. Je lui sers de dossier, pour mon plus grand plaisir et elle s’appuie sur moi sa tête près de mon épaule. On voit Emma passer devant l’objectif furtivement, et quand elle s’allonge à plat ventre de profil à la caméra, Sarah et moi constatons qu’elle ne porte aucun vêtement. Et tout pianotant sur son téléphone elle s’adresse alors à nous.
— J’espère que la vue vous plaît les pervers ! dit-elle en se tournant vers l’objectif et en faisant un clin d’oeil. 
Elle se remet à taper sur son smartphone tout en continuant de nous parler.
— Ok, Papa sera là dans 2 minutes, il se gare. Ne soyez pas ... surpris de ... son attitude quand il arrivera, ok ? Je veux dire, continue-t-elle alors en regardant de nouveau vers la caméra, Papa est souvent ... stressé quand il rentre du boulot, alors il a besoin de ... de se détendre. Ne vous inquiétez pas de ce que vous verrez, ok ? termine-t-elle comme pour nous rassurer.
Sarah tourne son visage vers le mien dans une moue mi-intriguée mi ... titillée : Connaissant la personnalité très ... riche, surtout sur le plan sexuel, d’Emma, on peut s’attendre à quelques surprises.Mais quand on entend à l’écran la porte d’entrer s’ouvrir et se refermer, Emma interpelle son père devant nous :
— Papa ?! Je suis là !
Il ne répond pas, ce qui apparement ne surprend pas sa fille.Quelques bruits de-ci-de-là parviennent jusqu’au micro jusqu’à ce qu’on entende sa voix en arrière plan.
— Hmm, super t’es là. Bien, tourne-toi, vers ... là-bas, s’il te plaît.
Son ton est rude, l’ordre est presque sec, et Emma obéit alors assez étonnamment. Elle fait un quart de tour, toujours à plat ventre mais désormais la tête sur l’oreiller, appuyée sur ses coudes, la caméra nous offrant depuis le pied du lit une pleine vue sur ses jambes entrouvertes, laissant deviner sa fente lisse et son fessier sublime. Tournant la tête vers l’arrière et vers l’objectif, elle regarde son père dont on devine qu’il se déshabille rapidement.
— Mets ça sous ton ventre, dit-il tout aussi sèchement.
Un petit coussin arrive sur le lit et Emma le glisse comme demandé, se retrouvant le cul relevé et sa raie désormais offerte et ouverte exposant ses lèvres intimes et au dessus son oeillet plissé et ... brillant...
— Tu t’es ... préparée ? lui demande-t-il alors mystérieusement.— Oui Papa, comme à chaque fois, répond Emma, posant sa main gauche sur une fesse et les ouvrant encore plus impudiquement.— Bien. Ecarte plus, alors, dit son père, grimpant sur le lit en apparaissant dans le champs de la caméra.
De dos à nous, il enjambe et pose un genou à côté des jambes de sa fille, au dessus d’elle, et garde une jambe fléchie dans une position qui ne cache rien de ce qu’il va faire. Entre ses cuisses la vue que la caméra nous offre est celle de son énorme sexe bandé qu’il tient dans sa main, juste devant le postérieur relevé de sa propre fille.
— Ecarte bien Emma, dit-il simplement.
Et quand il pose son gros gland sur l’anus de sa fille, puis s’enfonce lentement mais inexorablement jusqu’à ce que toute la longueur de sa queue soit entrée d’un seul coup dans le fondement de la jeune femme, Sarah et moi sommes estomaqué par le gémissement long et rauque que celle-ci pousse. Il se met alors à aller et venir en elle avec des à-coups secs et brusques, sans précaution, et sans aucune... retenue.
— Han! AH ! Pa... Ahnn !! Papaaahh ! Aaaahhh !! AAH !!! Dou ... doucement!!! AHNNN !!
Ignorant la supplique de sa propre fille, la bestialité de ses coups de reins qu’il lui inflige est d’une sauvagerie incroyable.
— Aaah !! AHNN !!! Papa je ... AAHHH !!! AHN !!!
L’énorme mandrin sort et rentre encore et encore dans l’orifice visiblement habitué à ce genre de pénétration extrême. Je savais Emma particulièrement adepte de la sodomie, mais la voir ainsi ravagée sans préparation par un engin d’un diamètre si impressionnant, pendant qu’elle gémit à chaque vigoureuse poussée, est d’une perversion démente. Contre moi et juste en dessous, Sarah est subjuguée par la vision de sa fille ainsi brutalisée, et quand ma main se pose entre ses cuisses, elle les écarte sans quitter des yeux l’écran quand mes doigts découvrent son intimité déjà trempée.
Greg s’enfonce ardemment dans sa fille, quand d’un coup il y reste planté, approchant un instant son visage du sien et le son du micro captant à peine mais clairement ce qu’il lui dit.
— T’a ... t’adores ça ma chérie, je le sais, tu ... Hnnn... tu te fais prendre le cul régulièrement et ... pas que par moi je me trompe ?— Haaa Papa je ... Ahnnn ...— Réponds, ordonne-t-il.— Hnnn Papa je ... oui ... oui j’aime çahhhh...— Et ?— Ahnnnn !! Je ... oui je me fais ... je me fais sodomiser souvent ... Haaaaa !!— Alors tu vas me donner ton cul encore, d’accord ?
Greg reprend alors de pénétrer Emma, ressortant sa queue lentement d’abord, puis retombant d’un coup au fond d’elle sans crier gare.
— AAHHNN !! Aaaahh !!! D’a ... D’accord ! Haaa !!! Vas ... AH !! Vas-y !! lui concède alors Emma.— Hnnn oui ... Hnn !! HNN !!! Oui t’aimes ça ma chérie, Hnnn !!!— Ahh !! Haaaa oui Papa !!! AHNNNN !!! Aaahhh oui j’aime ça !!!
Il intensifie encore plus ses à coups, se levant sur ses pieds et se mettant à se laisser tomber sur sa fille, enfonçant de tout son poids l’énorme masse de chair en elle, perforant les entrailles de sa fille de plus en plus vite et de plus en plus loin.
— Ooohhhnnn !!! OHNNN !!! AHHHH !!!! Oh Papa tu .. AHH!! AHHH !! Aahh oui comme ça !!! 
Et quand je me penche vers sa mère dont les yeux sont rivés sur le spectacle pornographique et incestueux, je devine à sa façon de se mordre la lèvre que cela lui rappelle quelques souvenirs. Les cris de sa fille remplissent la pièce tandis que son père s’acharne à l’enculer sans pitié.
— Aaahhh Papa !!! AHHHH !!! Aah oui !!! OUI !! hurle Emma pendant que le sexe de son père lui défonce les entrailles.— Hnn t’es ... Hmph ... une gentille fille ... Hnnn ... tu va bien me ... Hnnn ... me vider ...— AHH oui PAPA !!! Aaahnn vas-y !!! Oui !!! — Hmph !! Han ! Putain oui il est trop bon ton cul ma chérie !— Ahnnn oui Papa !! Baise-le !!! Prends-le !! Ahnn !!! Défonce-moi le cul Papa Ouiiiiiii !!!
Emma criera encore longtemps avant qu’il ne ralentisse, hurlant à son père de l’enculer plus fort encore tandis qu’il la pilonne sans pitié en lui martelant l’anus jusqu’à ce qu’elle crie de plaisir sous l’orgasme anal démentiel qu’il lui procure.
Quand il finit par jouir en elle, et se retire ensuite, il la laisse ainsi terrassée à plat ventre, son anus béant laissant apparaitre ses entrailles, un filet de sperme dégoulinant peu à peu sur sa chatte et les draps.
— Je ... tu crois que je devrais faire ... quelque chose ? me demande Sarah restée silencieuse tout au long de cette terrible scène.— A toi de voir, je ne sais pas.
Sarah se tourne vers moi, à genoux sur le lit et je vois bien qu’elle a été secouée.
— Il ... c’était vraiment très hard ce qu’il ... lui a fait, non ?
Elle pose alors les yeux sur mon érection franchement évidente, je n’ai alors pas besoin de répondre. Elle fait glisser son index délicatement le long de ma tige jusqu’au gland gonflé.
— Mmmh visiblement oui, c’était hard mais ... ça t’a assez plu je me trompe ? me demande-t-elle.— Pas toi ? dis-je alors en glissant à mon tour mes doigts entre ses cuisses.— Je ... Si ... ça m’a ... plu.
J’ondule doucement mes doigts, elle mouille comme quand elle est vraiment très excitée.
— Cette petite salope ne paie rien pour attendre, dit-elle en grimpant sur moi. Maintenant c’est à mon tour.
******

[SMS,Sarah,Moi]< Hey l’ouvrier tout va bien ? Nous sommes bien arrivées et ... c’est charmant dis-donc !!> Génial. Content que vous aimiez. Ici tout va bien, normalement les deux salles de bains seront finies ce soir.< Cool ! T’es un chef ! nous on s’installe et ensuite on ira flâner je pense.> Le trajet s’est bien passé ?< Je te raconterai ça. Mais oui !> Cool. Bisous Bombasse.< Bisous, à plus tard Beau Gosse.
Sarah a pensé qu’un weekend entre filles serait peut-être une bonne idée suite à la découverte de ce que Greg fait à sa fille, ou du moins de ce qu’Emma laisse faire à son père ...Je leur ai trouvé un petit hôtel sur la côte, et là je profite de mon weekend de célibataire. On est vendredi, et elles ne devraient rentrer que lundi soir, cool quoi !
******

Il est presque midi quand j’entends le scooter vrombir dans l’allée de devant. Depuis la fenêtre de l’étage où je travaille, je vois Léa en descendre, me saluer de la main joyeusement avant de quitter son casque.
— Alors l’ouvrier ? C’est pas fini encore ? dit elle en riant.— Nan Mademoiselle ! Mais vous pas taper, hein ?
Elle rit de nouveau et entre dans la maison. Vingt secondes plus tard, elle me rejoint à l’étage, de son côté de l’étage, pour être précis.
— Waouh c’est ... fini ?! C’est génial !!!— Oui c’est quasi-fini.Content que ça te plaise. — Si ça me plaît ?! C’est exactement ce qu’on avait dit !! Trop bien !
Elle me saute dessus et m’embrasse sur la joue, se laissant suspendre par les bras autour de mon cou. Son poids plume est tout bonnement hallucinant en fait. 
— Oups ! pardon, dit elle en atterrissant devant moi. Elle a toujours cette moue ingénue et coquine, mais rien à voir avec l’attitude allumeuse qu’arbore sa soeur en permanence. Léa est ... espiègle, dans son style. Beaucoup plus mystérieuse, en fait. Ses cheveux mi-long châtains dans tous les sens, elle s’habille toujours d’une manière décontractée, là par exemple c’est un short court en jean et un débardeur moulant tout simple. Elle est mince, non, en fait elle est maigre, quasiment plate de poitrine et sa taille comme celle de sa soeur, ne doit pas dépasser le mètre cinquante de beaucoup.
— Tu ... crois que je pourrai inviter ... quelques potes si tu as fini en fin d’après-midi ?— Quelques potes qui resteront dormir ici ? S’ils n’ont pas peur de traverser un peu le chantier, je vais tout remettre en route dans dix minutes, l’eau et l’électricité. Donc oui, aucun soucis pour moi. C’est chez toi de toute façon maintenant.— Hi hi ! Cool !! Génial même !!— Par contre la cuisine n’est pas finie, donc faites-vous un barbeuk dans le jardin pour dîner, ok ?— Oui oui mais ... tu manges avec nous ?— Euh ... si t’as pas honte du vieux voisin je ...— Pffff !! T’es con, bien sûr que non ! Je vais les faire venir pour 18h, ok ?— Je te l’ai dit, tu es chez toi !— Alors c’est parfait. Bon, là tout de suite je vais me caler à la piscine sur un transat.— J’ai encore quelques conneries à fignoler ici, mais je termine rapido lui dis-je alors.— Pas de soucis monsieur le chef de chantier, si t’as besoin de moi ...— Nan, va bronzer ta peau de poulet !— Bronzer ? Beurk quelle horreur !! Je garde ma peau de poulet, comme tu dis ! Sous le parasol !
Elle redescend et je reprends mes finitions dans la salle de bain tranquillement, juste en jetant un oeil de temps à autre par la fenêtre.Quelques minutes plus tard, la voilà qui s’installe au bord de l’eau et de mon point de vue surélevé le spectacle est magnifique : la fenêtre donne discrètement sur la terrasse et la moitié de la piscine. Léa vient s’assoir sous le grand parasol et commence à s’étaler de la crème solaire sans se douter une seconde que je joue les voyeur, ou en tout cas ... sans s’en soucier.
Elle porte un maillot deux pièces classique, noir, assez petit tout de même du fait de son gabarit, tout ce qu’il y a de plus mignon. Jetant un oeil autour d’elle après avoir enduit ses épaules, elle défait soudainement la ficelle autour de son cou et laisse tomber d’un coup le haut du maillot, se retrouvant alors seins nus à ma grande surprise. 
La vue est juste sublime : deux minuscules pommes, à peine arrondies, surmontées de deux jolis mamelons aux aréoles bien dessinées d’un rose pale contrastent à peine avec sa peau d’une blancheur d’albâtre. Elle est filiforme et si menue que sur le grand transat elle paraît être à une autre échelle lorsqu’elle s’allonge sous le grand parasol.Je la regarde un instant encore, toujours en mode voyeur. Elle continue son application de crème, ventre, hanches, jambes, puis remonte vers ses seins ... Consciencieuse, elle les enduit à leur tour, insistant peut-être un peu plus qu’ailleurs. Ses mains massent et glissent lentement, sa tête appuyée sur le dossier incliné et ses yeux fermés on dirait qu’elle se laisse franchement aller à sa détente. Et c’est lorsqu’elle se pince légèrement mais sans aucune équivoque les tétons que son smartphone sonne et qu’elle interrompt ce délicieux spectacle.
— Oui Fab ... ça va ? l’entendé-je dire. Hn-han ? Et bien ce soir, si tu veux. Petit barbeuk tranquille à la piscine, j’allais ... Quoi ? Non tu le sais Fab, le trip dîner aux chandelles c’est pas trop mon truc... Oui c’est ça. Si tu viens, c’est avec lui. Mm-han ... c’est ça, c’est toi qui vois. Margaux sera là oui, mais elle ... elle ne dormira pas ici je pense ... Ok ... Ok à toute !! finit-elle en raccrochant.
Elle pose son téléphone et se lève, le show est terminé pour le moment, me dis-je alors qu’elle plonge dans la piscine.
******

— Et toi alors Ben, tu fais quoi dans la vie ?
La question est posée par Margaux, vingt ans, dont la surface de tissu de son maillot de bain est inversement proportionnelle à celle de sa poitrine : pour faire court ses énormes nichons débordent de partout. Je vois derrière elle le regard en coin de Léa qui se foutlégèrement de ma gueule tout en discutant avec ses deux amis, Fabrice et Alan.
— Je ... rénove des maisons en ce moment. Celle-ci, en fait.— Ahhhhhh d’accord, dit-elle en se penchant un peu plus pour attraper un bout de légume grillé.
Comme si techniquement elle pouvait se pencher encore plus. Les deux petits triangles hurlent à la mort sous la pression des deux obus qui tentent par tous les moyens de sortir, et pour être honnête l’apparition régulière d’un ou deux débuts de mamelons commencent sérieusement à me chauffer. 
— Tu vis en face c’est ça ? tente-t-elle comme approche pour la 3ème ou 4ème fois.
Visiblement, je lui plais, ce qui me fait plaisir, évidement. Elle a jeté son dévolu sur moi depuis que j’ai rejoint les quatre jeunes adultes et s’acharne à me montrer son anatomie sous tous les angles possibles. Y compris l’autre partie du maillot, le bas, qui lui dessine parfaitement chaque détail de son intimité comme s’il voulait disparaitre. Elle porte un maillot, oui, mais je connais déjà parfaitement la forme de sa chatte rasée qu’elle exhibe sans le faire en ouvrant régulièrement en grand ses jambes.
— Margaux, intervient Léa comme pour m’aider un peu, arrête d’allumer Ben le pauvre, il ne va pas pouvoir se lever avec le chapiteau dans son short, sinon !
Tout le monde rigole, mais elle n’a pas tort. Je l’observe alors un peu, tandis que Margaux part dans un monologue dont le contenu m’échappe un peu. Elle badine avec les deux garçons, qui ne semblent pas spécialement se battre pour attirer chacun son attention. Elle flirte sensuellement, toujours joliment galbée dans son bikini noir, sa fluette silhouette balançant doucement entre les deux massifs gaillards de son âge.Une pointe de jalousie m’attrape, gentiment, tandis que je continue à feindre de suivre la conversation avec Margaux.
— ... parce que tu vois j’aurai pu m’en faire enlever, continue-t-elle en prenant ses seins dans ses mains...
Enfin, en essayant de le faire puisqu’ils dépassent de ses petits doigts par tous les côtés.
— ... mais les mecs adorent trop mes grosses mamelles tu vois ? Alors je sais pas je ...— Margaux ? dis-moi un truc, l’interrompé-je alors. Lequel des deux est ... le petit ami de Léa ?
Les deux garçons se sont engagés dans une conversation animée avec cette dernière, et sans que les trois ne s’en rendent compte Margaux se tourne vers eux, puis de nouveau vers moi.
— Hein ? Qui est ... Ah ! Lequel est le mec de Léa ? 
Elle pouffe doucement, et me dit en baissant la voix :
— Bin en fait ... c’est les deux !— C’est à dire ?— Je sais pas si ... bon ok je peux te le dire à toi : elle est avec les deux, ils sont ... en trouple quoi.— En trouple ? demandé-je sur le même ton conspirateur.— Un plan à trois qui dure, quoi !
Ma surprise doit se lire sur mon visage.
— Tu ne te doutais pas qu’elle étais si ... délurée, ta voisine, hein ? me fait-elle avec un clin d’oeil. Tu sais je suis pas trop timide non plus, moi, ajoute-t-elle en posant sa main sur ma cuisse. Je sens que que je me fais littéralement harponner mais mon téléphone sonne miraculeusement à ce moment, m’évitant d’avoir à décider de quoi que ce soit dans la seconde. C’est Sarah et son SMS qui me donne une excuse pour m’éloigner.
[SMS,Sarah,Moi]< Hello Beau gosse, tout va bien ?> Très bien. Je barbeuque avec ta fille et trois de ses amis, dont une trèèèèèès entreprenante.< MDR t’es déjà à poil ou je peux t’appeler ?
C’est moi qui l’appelle, et elle décroche aussitôt.
— Je suis encore habillé, mais je sais pas comment j’ai réussi ça.— Hi hi, c’est Margaux j’imagine ?— Bingo, tu la connais ?— Oui oui, je connais cette petite salope ! Elle chauffe tout ce qui bouge.— Merci pour l’info.— Elle a mis son bikini qui lui fait un orteil de chameau à la chatte ?— Bingo.— Hi hi, quelle nympho cette gamine ! Tu devrais la baiser, ça la calmerait un peu.— T’es ... sérieuse ?— Oui pourquoi ? Tu ne m’as pas dit que je peux m’amuser si je te raconte ?— Oui mais ...— Bin c’est pareil pour toi mon cochon. Fait-la bien crier et tu me raconteras ça demain, ok ?— Ok, avec plaisir mais ... je me trompe ou bien tu comptes en faire autant, au son de ta voix ?— Hi hi, moui, en effet il se peut qu’on ait un peu picolé avec Emma et ... que j’ai envie d’approfondir la discussion qu’on a commencé.— Mmmh, fais-je pour seul commentaire.— Bisous mon beau, amuse-toi bien alors.— Toi aussi beauté, bisous.
Et elle raccroche, me laissant réveur et chanceux d’être si ... libre. Je me retourne et me dirige droit vers Margaux, tout en m’adressant aux quatre jeunes :
— Je vais vous laisser entre vous,les mioches, je bosse demain, moi ! Merci encore pour les grillades.— Bah de rien Ben, répond Léa. Tu ... pourrais me rendre encore un service ? continue-t-elle avec un sourire en coin.— Bien sûr !— En fait, poursuit Margaux, il faudrait me ramener si ça t’embête pas, c’est à 5 minutes en voiture.— Pas de soucis ! répondé-je en voyant bien le regard de Léa.
Margaux ramasse ses affaires et enfile une espèce de robe par dessus son maillot.
— Soyez sage tous les trois ! dit-elle en me suivant vers chez moi. Bye !— Bye ! répondent-ils.
En traversant la rue vers mon garage, elle s’accroche à mon bras.
— Tu ... n’est pas obligé de me ramener tout de suite, tu sais.— Ah oui ?— Hn-han, minaude-t-elle. J’ai un truc à te montrer d’abord, viens, me dit-elle en m’emmenant alors dans la direction opposée, retournant vers la maison des filles. On passe dans la haie par le côté opposé à la piscine, et on rentre dans la maison, Margaux me tirant par la main vers l’étage. Arrivée à la fenêtre qui donne sur la piscine, elle se love contre moi, dans le noir, deux espions invisibles au dessus de Léa et de ses deux ... amis.
Et apparement les trois minutes qui viennent de s’écouler ont été efficacement mises à contribution par les deux garçons : ils entourent Léa devant et derrière, la jeune femme minuscule coincée entre les deux grands gaillards.
— Regarde, me dit Margaux, ils n’ont pas perdu de temps, hein ?
En effet, c’est peu de le dire : Léa se laisse doucement embrasser par Fabrice tandis qu’Alan, derrière elle, défait le noeud de son haut de bikini, faisant tomber celui ci et dévoilant ses petits seins.Il pose ses mains immenses sur ceux-ci, et le signal de top départ semble être lancé, puisque les quatre mains des garçons se mettent à glisser sur le frêle corps de ma jeune belle-fille.Margaux se tourne vers moi, et d’un coup viens défaire ma ceinture et le bouton de mon bermuda.
— Le spectacle va être très sympathique je crois, dit-elle en faisant glisser mon short et mon caleçon à mes pieds et en les éjectant plus loin.
Elle soupèse alors mes bourses puis prend mon sexe déjà bien tendu dans sa main.
— Mmmmh ouiiii ... putain, trop bon, t’es bien monté toi !
Elle s’agenouille alors sans plus de retenue et me regarde un instant.
— Fourre-la moi où tu veux en les mattant, tu va voir, ta belle fille est une sacrée chienne !
Et quand elle engloutit jusqu’au fond de sa gorge ma queue d’un seul mouvement, je regarde en contrebas Léa en faire de même , agenouillée entre les deux garçons, tenant deux belles bites tendues dans ses petites mains.
(A suivre ...)
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