La lumière des phares à remplacé celle des réverbères quand ils se sont éteints. Le parking s’est alors transformé en un endroit plus étrange encore, où les silhouettes font deviner uniquement par leurs mouvements ce qu’il s’y passe. Là bas contre une voiture, un couple regarde, ici d’autres hommes se pressent près de l’action ...
Mhhhh ... Ahnnnn je ... Léa est toujours allongée sur le coffre du cabriolet, mais l’inconfort a été un peu amélioré avec un plaid entre son dos et la carrosserie. Sérieusement, qui vient avec plaid sur un parking d’exhib ? ... Le corollaire le plus évident c’est que Léa est désormais un objet mobile : il suffit de déplacer la couverture qui glisse sur le coffre sans peine. Et depuis un moment maintenant il en résulte que la jeune femme est bougée au milieu de la troupe agglutinée, glissée d’un voyeur à un autre, d’un toucheur à un autre, d’un ... sexe à un autre : les mains n’ont pas cessé, bien au contraire, de la caresser de toute part, s’arrogeant le droit de toucher sa peau, ses formes et toute partie de son corps accessible. Mais de plus, la faible hauteur du véhicule fait que Léa, tête penchée en arrière , à l’envers, sur le rebord quand l’orientation y est favorable, offre alors sa bouche à ceux qui en son proches : et le combat, bien qu’assez feutré et élégant, fait tout de même rage pour se faire sucer par la jeune femme. Toi ! dit-elle alors toujours tête en bas à un des inconnus, les cuisses relevées en l’air et les bras tendus autour d’elle comme une toile d’araignée qui la maintiendrait suspendue. Toi, viens plus près ! Léa se redresse soudainement, s’assoit sur la plateforme, et tourne la tête un instant vers moi, provocatrice à souhait tant la flamme dans ses yeux brûle... Pour finir par se retourner vers son assistance encore : Allez messieurs, montrez donc à mon gentil mari vos belles queues bien plus dures que la sienne ! Quelques rires fusent, je ne fais rien qui ne puisse gâcher le jeu peu subtil de ma jolie belle-fille ... Elle maîtrise la situation avec une poigne étonnante pour son âge et l’espace d’un instant, c’est un peu plus loin que mon regard se porte ... Et si il y a encore cinq minutes c’est accroupie que Sarah suçait trois hommes, alternant d’avaler tour à tour leur sexe les cuisses largement écartées, je ne la vois plus à présent. Enfin, presque ... C’est la portière arrière qui est désormais ouverte et ce sont ses jambes que je vois balancer en l’air, vu qu’elle est allongée sur la banquette et qu’un des trois hommes est penché entre ses cuisses en train de la baiser puissamment. Ses mollets bringueballent au rythme des coups de reins de l’inconnu, ses talons encore accrochés à ses pieds et la lumière intérieure de la voiture ne me laissent qu’entrapercevoir ses mains accrochées à la têtière avant et au dossier arrière. Ouiiiiii c’est ça c’est bien, branlez vous bien devant moi comme ça ! s’exclame alors Léa en se redressant, debout sur ses genoux à présent et me faisant tourner de nouveau la tête vers elle. Elle les commande à la voix, chef d’orchestre avec comme seuls instruments des queues dures toutes en train d’être masturbées face à elle...
Qui va me baiser maintenant devant lui ? Hein ? Qui ? Toi peut-être ? Elle est bien grosse et dure, la tienne ... Où toi peut-être ? Tu crois que tu peux me faire jouir vite et bien ? Les visages inconnus acquiescent ou hochent , tous la queue à la main et la bave au lèvres devant le frêle corps exhibé devant eux, deux pans de tissus pendouillant encore jusqu’à ce que Léa retire ce dernier rempart à une nudité totale... Au fond je m’en fous chéri, me dit-elle en me regardant puis descendant du coffre de la voiture. Je me fous de qui va me baiser, vois-tu ? A mon tour d’acquiescer. D’un pas félin Léa contourne la voiture en venant à l’avant s’appuyer sur le capot. Moi toujours debout près de la portière conducteur, je la vois se pencher et venir s’appuyer de ses mains sur la carrosserie, cambrant ses reins dans une posture qui laisse peu de place au doute. A mon tour, je prend la parole pour la pousser un peu plus dans ce jeu et ... dans ses retranchements. Que veux-tu qu’ils te fassent alors ma chérie? dis-je assez fort pour que les hommes l’entendent. Ce ... ce que tu voudras, répond Léa en me regardant droit dans les yeux. Non, dis-le. Avoue-le devant moi. Léa souris de ce jeu de la femme offerte ou ... qui s’offre, en fait. Elle se mordille la lèvre inférieure, délicat tic que j’adore voir apparaître lorsque le désir augmente encore. L’attroupement d’inconnus l’a suivie à l’avant de la voiture, et entourée de jeunes, de plus vieux, même d’un papi pourtant bien en forme, Léa est au centre de leur attention. Leurs mains ont repris de la palper, d’essayer de se l’accaparer, sa peau est caressée, ses membres touchés par des doigts sans visages qui s’immiscent partout ... Je ... je veux qu’ils ... qu’ils me baisent, tous. Je veux être ... Dis-le ! Continue ! Je veux être ... baisée, salie, souillée par eux ! A ces mots le groupe se presse encore plus contre elle, les mains semblent s’agiter, paniquer plus encore. Et au centre de la cohue assez informe, Léa d’un coup sursaute, un "O" se formant sur sa bouche. Et quand les sursauts se mettent à s’enchaîner, la faisant aller et venir d’avant en arrière par à-coups secs et puissants, c’est la silhouette inconnue d’un quadra qui apparait derrière tandis qu’elle le laisse la prendre sans avoir un regard pour lui. Aaahh Chéri il ... AHHH !! L’homme accélère lentement sa cadence, projetant de plus en plus fort et loin le corps de Léa qui s’abandonne de plus en plus à sa vigueur. Tu aimes ce qu’il te fait n’est-ce pas ? l’incité-je à parler. Ahhhh oui il ... Ooh !! Aahh !! Il ... AAH !! La levrette devient brutale, et excite d’autant plus les autres hommes autour, tous la queue à la main et le regard fixé sur Léa qui peine à s’appuyer sur ses mains sur le capot ... L’un d’eux visiblement n’y tient plus et jouit, éjaculant de longs traits vers ma jolie belle-fille qui en reçoit quelques giclées sur son dos. Aaaahh oui !!! oui salissez moi de votre sperme ! Jouissez sur moi, oui !!! Et c’est au tour de l’homme qui la baise de ne plus pouvoir tenir, et se retirant du fourreau délicieux il arrache la capote et lui aussi jouis sur les fesses de Léa. Il ne faut pas plus de dix secondes pour qu’un autre homme prenne sa place derrière la jeune femme. T’en veux encore ma belle, dit l’inconnu. Oui !! Oui vas-y à ton tour ! Baise-moi !! Il s’enfonce alors en elle d’un coup, tandis qu’elle pousse un long gémissement de plaisir, et elle s’effondre à plat ventre sur le capot, sa poitrine plate à même la carrosserie. L’homme agrippe ses hanches de ses grosses mains et sans crescendo se met à la pilonner brusquement. Léa, la tête tournée vers moi semble alors comme entrer en transe, et elle ne me regarde plus vraiment, toute absorbée par les sensations des coups de hanches qui la secouent et qu’il lui prodigue avec vigueur... Sans quitter mon poste de surveillance, appuyé sur le montant du pare-brise du cabriolet, c’est un peu plus loin que je jette un oeil et constate que si Sarah n’a pas changé de position d’un iota, ses jambes continuant de balancer en l’air dans la portière arrière, c’est un autre homme qui a pris la place du précédent et s’agite frénétiquement entre les cuisses de ma petite amie qui se laisse pilonner sans retenue aucune. Double vision, double plaisir voyeur ... Et si les gémissements de plaisir de Sarah n’atteignent pas mes oreilles, ceux de Léa vont continuer longtemps ce soir là à me faire bander, les inconnus se succédant en elle pour la faire jouir et se vider sur sa peau si délicate.Peut-être quatre, ou cinq ? Je ne sais plus. Quand épuisée elle n’aura qu’à regarder vers moi pour que je comprenne et stoppe l’infernale file d’attente, un peu plus loin je constaterai avec une satisfaction délicieuse que Sarah elle aussi en a fini, ses jambes pendant désormais de la voiture tandis qu’elle est seule allongée encore sur la banquette.Et lorsque les premiers moteurs sonnent le départ, je la vois se redresser, rassuré quand même, et tandis que j’aide Léa à s’installer dans la voiture, Sarah elle aussi démarre vers notre maison.
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Seul le bruit de l’air au dehors essaie de couvrir en vain celui du moteur. J’ai remonté le toit amovible et Léa semble dormir sur le siège passager, un peu recroquevillée sur le côté vers moi. Je ne dors pas, dit-elle semblant deviner mes pensées. Est-ce que ton fantasme est ... réalisé ? Mieux que je n’aurais pu l’espérer, dit-elle sans me regarder. Ravi pour toi alors ... Un court instant de silence, puis elle reprend : Pourquoi n’as tu ... pas essayer de ... me baiser, toi aussi ? Parce que ça n’était pas le moment. Hn-han ... Je peux te poser une question ? Bien sûr Ben. Tu as ... toujours eu cette sexualité intense ? Hmm ... plus ou moins. Pas en nombre, non, mais très vite j’ai aimé ça, bien que j’ai commencé assez tard. A quel âge ? J’ai couché pour la première fois l’année dernière, à mon anniversaire de mes 18 ans. Ah ok ! Et ... quel a été le facteur ... déclencheur, si je peux dire, de cette intense curiosité ? Et bien ... Léa se redresse dans le siège face à la route et regarde dans le faisceau des phares. Peu de temps après ma première fois j’ai ... entendu mes parents ... enfin t’as compris quoi , je les ai entendu baiser. Et ? Et bien j’ai ... j’ai joué les voyeuses et je suis aller matter par le trou de la serrure. Oh la vilaine fille, dis-je en souriant. Hi hi, Oui c’est pas bien mais ... c’était trop tentant. Et alors ? J’ai ... pas vu grand-chose en fait, Papa était au dessus de Maman, entre ses jambes, et la vue de côté ne me montrait pas ... bref. Tu les as observé longtemps ? Un petit moment, oui ... Tu ... tu t’es caressée ? En les écoutant surtout, oui ... Tu ... aurais voulu en voir plus ? Léa se tourne alors vers moi. Oui, dit-elle simplement. Maintenant qu’ils sont séparés je ne ... pourrai jamais savoir alors ... Qui sait, y’a peut-être un moyen de réaliser ce fantasme là, qu’en dirais-tu ? Tu crois que ... ? Je sais pas, faut voir. Ça serait ton numéro 4 alors ? Carrément mais ... Laisse-moi voir si ... c’est possible, ok ? lui répondé-je en me tournant un instant vers elle. Après tout je n’ai pas encore trouvé ton numéro 3 donc ... Son sourire est radieux. Tu ... ne trouves pas un sexe énorme pour ta jolie belle-fille ? me dit-elle dans une moue très aguicheuse. Pas le bon, pas assez ... bref. T’inquiète. Elle rit. Et moi aussi. Et quand on arrive à la maison, je constate avec plaisir que la voiture de location de Sarah est garée un peu plus loin.
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Elle était contente ? me demande-t-elle quand j’entre dans notre chambre. Ravie. Tu m’étonnes, cette petite nympho en a pris plein la chatte ce soir ! Je crois que tu ne t’es pas privée non plus, lui rétorqué-je en quittant ma chemise. Sarah s’approche alors en marchant à genoux sur le lit. Elle a quitté la robe qu’elle portait et n’arbore désormais qu’un minuscule string, ses deux énormes seins pendant majestueusement devant moi. En effet monsieur, mais j’avais une autorisation de mon mec, voyez-vous ? Hn-han ? Oui ... figurez-vous que ... Elle entame alors de défaire ma braguette, le bouton. et dans la foulée mon jean et mon boxer tombent à terre, se faisant rapidement éjecter au loin.Sarah prend mon sexe qui n’a pas complètement débandé depuis le parking et se met à le branler doucement. Figurez-vous que mon mec est très, très gentil. Ah oui ? Oui, continue-t-elle en me regardant. Par exemple ce soir, il m’a laissé me faire baiser par trois inconnus, l’un après l’autre ... Aahn-hannn, intéressant ! Mmmh oui c’était divin, ils m’ont prise l’un après l’autre sur la banquette arrière de la voiture. Ils étaient comment ? Je ... je n’ai pas trop regardé en fait, j’ai juste ... juste écarté les cuisses pour eux. Mmmh-hmm ! Ils ... vous ont faite jouir ? Pas le premier, mais les deux suivants, oui ! Le troisième était ... particulièrement bien monté, voyez-vous ? Sarah passe alors sa langue de bas en haut sur ma tige désormais bien dure, autant de sa technique que des mots qu’elle fait volontairement aguicheurs. C’est ... quelque chose qui est important pour vous, non, la taille ? Le ton de la conversation banal reste en opposition avec le contenu du propos pervers ... un pur délice. Et bien ... oui et non, dit-elle en suçant du bout des lèvres mon gland avant de continuer de me parler. Je ne peux pas dire que c’est un impératif, voyez-vous, mon mec par exemple est bien monté mais sa queue n’est pas ... monstrueuse. Ses yeux plantés dans les miens elle continue de me branler, serrant mon sexe avec force, puis reprend : Mais c’est vrai que ... de temps en temps, j’aime beaucoup me faire baiser par une énorme bite, dit-elle en insistant sur le mot baiser. C’est ... Ça a été le cas ce soir ? Hmm, oh ça oui ! Le troisième avait une queue vraiment grosse, bien dure mais surtout très large tu vois ? Elle se mord la lèvre et me tutoie, on revient dans le réel pour mon plus grand plaisir. Il ... Oooh il m’a vraiment défoncé la chatte mon chéri ... Ah oui ? comment, sois ... précise. Sarah se repositionne, assise sur ses tibias face à moi. Elle me regarde, suave et délicieuse, puis prend un sein dans sa main et en remonte la rondeur avec volupté. Quant à son autre main, elle ne faiblit en rien et continue sur un lent rythme sa masturbation serrée et si proche de son visage. C’est ... Et bien il m’écartait vraiment la ... les parois, les lèvres, tu vois ? C’est surtout ça qui ... qui m’excite, me rend dingue, comme tu voudras. Je sentais chaque centimètre se son énorme queue rentrer jusqu’au fond ... et ensuite aller et venir, de plus en plus fort, de plus en plus profondément, et taper contre mon col encore et encore... presque à me faire mal ... Hnnn putain, que c’est bon mon amour de se faire pilonner comme ça, par une énorme bite bien dure ! Tu ... tu aimerais le faire plus souvent ? Mmmh si toi ça t’excite bien sûr mais ... à quoi penses-tu ? Je lui raconte alors l’intéressante conversation que j’ai eu avec Léa. Elle ... aimerait me voir baiser avec Greg ? Mais ... Je vois bien que Sarah visualise son ex dans sa tête... sa main toujours autour de ma queue je sens bien que ça m’excite encore plus ... Et ... et toi ? me demande-t-elle alors. C’est pas pareil qu’un inconnu, je veux dire c’est .... C’est ton ex, oui , mais tu le sais j’ai confiance en toi alors, seul ton plaisir m’importe. Hmm ... pervers, j’adore ... et ... tu verrais ça comment ? Où ? J’ai ... ma petite idée. Putain ça m’excite rien que d’y penser je ... je suis désolée ! Ne le sois pas, c’est moi qui vais en profiter ! Sarah se mord alors la lèvre à son tour, et recule d’un coup. Elle se retourne et se met à quatre pattes devant moi, tendant sa croupe en cambrant ses reins au maximum. Oh oui tu vas en profiter ! C’est à ton tour mon chéri, alors viens, viens et fait-toi plaisir ! De sa main elle écarte alors le string, puis ses fesses de deux doigts inquisiteurs, et libère à ma vue l’oeillet plissé qu’elle aime tant que je visite. Juste en dessous, c’est sa chatte rougie et malmenée que j’entrevoie. Viens me prendre le cul j’y ai pas eu droit ce soir ... J’obtempère et pose le gland sur l’anneau serré ... Vas-y mon amour ! Ne sois pas doux !! Vas-y fort ! Je m’enfonce alors assez brusquement au son d’un gémissement intense de sa part. AAaahhhh oui !!! Oui vas-y !!! Défonce-moi le cul !!
( A suivre ... )
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