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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 20

Voyeur / Exhibition
Une petite voisine très surprenante ... 20

— Hmm Ben putain ! T’es vraiment un chef en cuisine, dit Léa en se bâfrant littéralement.
Pourtant, c’est juste une quiche, mais visiblement elle plaît ! Même Sarah et Emma se régalent aussi de ce dîner à quatre pourtant des plus simple.
— Il a décidément de sérieux atouts ton mec, dit Emma à l’adresse de sa mère.— Hmph oui, émet cette dernière en finissant sa bouchée. Che chuis abcholument d’accord !— Mamaaaaan !!!
Les trois femmes éclatent de rire, et moi avec elle.
— Je vais mater un film ce soir, qui reste ? continue Emma— Nan,je sors soeurette, alors ça sera sans moi !— Woooouu ! Rendez-vous dépravé ?! — Pffff N’importe-quoi !— Okay ça va ! Et les vieux ? vous avez prévu un truc ?— Non, rien de spécial répond Sarah. Mais les vieux t’emmerde, p’tite conne !— Cool !
Léa rit sans rien ajouter, dans ce non-dit qui existe maintenant depuis quelques temps. Elle sait très bien que sa soeur et nous avons ... disons des soirées parfois très chaudes. Mais personne n’en a parlé ouvertement, enfin, jusqu’à présent ...
— Par contre tous les trois, si vous baisez faites-le chez vous, pas dans notre salon, ok ? lance-t-elle alors sans crier gare.
Sarah manque de s’étouffer en recrachant un morceau de fruit sur la table. Emma et moi éclatons de rire, suivis par Léa et sa mère aussi.

— Tu ... tu veux en parler Léa, dit Sarah en s’essuyant la bouche.— Non, ça va Maman, répond-elle les yeux baissés en débarrassant son assiette.— T’es sûre ?— Ouaip. Ma soeur est une nympho, vous êtes des pervers, et je vous aime tous ! termine-t-elle en posant l’assiette sur le plan de travail, puis elle quitte la pièce en nous tirant la langue et monte à l’étage.— Euh ... c’était quoi ça ? dit Emma aussi étonnée que sa mère et moi.— Bin ... ta soeur vient de nous donner son aval ma chérie ... lui répond Sarah en se levant de son tabouret.
Sarah fait le tour de l’îlot, et vient se mettre juste derrière sa fille en me regardant, puis glisse sa main dans le dos d’Emma, descendant lentement jusqu’à atteindre l’élastique du pyjama fin que celle-ci porte.
— Ça veut dire, ma chérie, continue-t-elle, que tu n’auras plus à ... justifier tes sorties nocturnes dans ... notre maison, et ...
Elle passe sa main sur la croupe qui déborde très joliment du tabouret sur lequel Emma est assise ...
— ... et tu pourras, hmm, disons réaliser les ... envies dont nous avions parlées y’a quelques temps, qu’en dis-tu ?
— Nhhh Ma ... Mmhhh ... oui, Maman ...
Passant sous le tissu Sarah s’y enfonce alors doucement, plongeant le long des fesses sublimes de ma belle-fille, je devine la forme de la main glisser sous elle, et les doigts atteindre l’orée de son intimité mise en exergue par la position qu’implique l’assise.
— Maman je ... Hnnnnn ...— Quoi donc ma puce ? Tu as quelque chose à dire ? continue Sarah sans cesser de ... fouiller. Ta soeur t’a qualifiée de nympho, est-ce qu’elle a tort ?— Ahnnnn ... non ... 
Sarah se penche un peu plus près de l’oreille d’Emma et lui murmure assez fort pour que je l’entende :
— Tu ne m’avais pas dit que tu avais envie de ... t’abandonner à quelqu’un ? D’être ... utilisée ? ...— Je ... Hnnnn ... Si ....— Tu t’étais ... soumise à ton père de manière très perverse, non ?— Oui je ... Oui.— Tu aimais être à sa disposition, comme ça ?
Je devine la main de Sarah, à ses mouvement circulaires, et la caresse intense qu’elle impose à sa fille. Les marches de l’escaliers se font alors entendre et Léa redescend vers le rez-de chaussée. Au moment ou elle passe la porte du salon-cuisine, Sarah est toujours près d’Emma, de l’autre côté de l’îlot où je me trouve assis aussi.
— Qu’est-ce-que vous avez ? demande Léa en nous regardant d’un air suspicieux.— Mais rien du tout répond Sarah imperturbable, la main toujours enfoncée dans le pyjama douillet d’Emma qui est figée mais visiblement retient de gémir ... — Okay ... vous êtes incorrigibles ! s’exclame Léa en souriant. Allez, ciao les pervers !!
Et elle sort en claquant la porte d’entrée derrière elle.
— Où en étions nous Emma ? demande Sarah en reprenant les mouvements évidents de sa main ... Ah, oui ! Je te demandais si tu aimais être à ... la disposition de ton père ...— Hnnnn je ... Ahnnnn ... — Répond ma chérie, ordonne alors doucement sa mère.
Sarah se presse un peu plus contre elle, et glisse alors son autre main sous le débardeur déjà très échancré ... Sous le tissu, je vois cette main empoigner l’arrondi voluptueux du sein de sa fille et s’en emparer en en faisant onduler délicieusement l’étoffe ...
— Ça ne te gênais pas de ... te donner, comme ça à lui ?— Hmm Je ... Hnnnn ... un peu mais ...— Mais t’aimais ça, hein , tu aimais ce qu’il te faisait ...— Ahnnn ... oui Maman je ...— Tu aimais qu’il te sodomise à ce qu’on a pu constater avec Ben ... N’est-ce pas ?— Ahnnn je ... Mmmmh ça ... ça me gêne de ... Aaaahh ... de parler de ça comme ça devant vous ...— Ah oui ? ... 
Sarah sort alors lentement sa main gauche de sous le débardeur d’ Emma qui la regarde assez ... timidement et elle appuie alors légèrement dans le dos de sa fille, cinq doigts ouverts, l’incitant à se pencher encore plus ...
— Voilà, cambre-toi bien comme ça et... mets-toi à plat ventre sur le plan, comme ça, oui ....
Lentement elle attrape ensuite ses cheveux de sa main gauche, les enroulant en une sorte de queue de cheval improvisé. Sa main droite elle, n’est jamais sortie du pyjama de flanelle de sa fille qui se retrouve le buste collé à l’îlot, les fesses encore un peu assises sur le tabouret, mais surtout attrapée par les cheveux d’un côté et par l’entrejambe de l’autre. Sarah ressort alors sa main, et baisse d’un coup le large pyjama de sa fille aux fesses désormais à l’air.
— Voilàààà ... là maintenant on va pouvoir discuter. Donc tu dit être gênée de parler ouvertement de ... cul, avec nous ?— Hnnnn je ... Oui mais ...
CLAC !! la main de Sarah claque d’un coup sur les fesses d’Emma qui crie plus de surprise que de douleur.
— Tu te fais enculer par Greg et ça te gêne d’en parler ?!— Haaa ! Maman non mais je ...
CLAC !! CLAC ! Encore !! Sarah tire alors sur les cheveux de sa fille appuyée sur le plan, celle ci se cambre alors encore plus, par réflexe.
— Aaahh !! Maman ! Non je ....— QUOI ?! Tu n’as pas laissé ton père te prendre le cul peut-être ?! CLAC !!— Hnnn si mais ...— Et tu ne nous as pas fait voir ça à la caméra en plus ?!
Sarah crache sur ses doigt et reprend de fouiller l’entrecuisse de sa fille assez brusquement.
— Aaaahhhnnn !!! Maaa ... Mamannnnn ! gémit alors d’un coup Emma, les yeux dans le vague et la bouche ouverte ... Sa langue sortirait presque et c’est la bave aux lèvres qu’elle se laisse soumettre par sa mère ...— C’est ça que t’aime hein ? DIS-LE !— Aaahnnnn ouiiiii ... Aahhhhnnnn !!!— Dis à Ben ce que je te fais là ...— Tu ... Aaahnn !!! Haaaaa... Maman a ... a mis .... Aahnnn ... tes doigts ...— Et ils sont où mes doigts ?! Dis-le-lui ! crie-t-elle en agitant sa main de plus en plus fort entre les fesses d’Emma— Aaahhh !!! Dans ... Hnnnn ... dans mon cuuuuul !!! — Mmmhh oui ma chérie, parce que c’est ça que t’aimes plus que tout, non ? C’est qu’on utilise ton cul, je me trompe ?— Aaahh je ... Oui ... j’a... j’adore çaaaahh ....— Alors tu vois, ce soir on va sceller un pacte tous les trois, mais pour ça il faut que tu y consentes, tu comprends ? continue Sarah sans s’arrêter de faire aller et venir ses doigts dans le rectum de sa fille.— Oui je ... hnnnn ... je comprends... mais quel ....— Oh ! c’est très simple, l’interrompt sa mère. Si tu aimes autant être notre petit jouet, alors dans ce cas je veux que tu ne sois qu’à nous.— Je ... je ne ...— Je te veux rien qu’à nous, pour nous deux, tu comprends ma chérie ? Si tu veux continuer à ... baiser avec Ben et moi, alors tu ne le feras qu’avec nous. c’est à toi de voir et tu as jusqu’à demain pour te décider.— Je ... Ahnnnn oui ... Oui Maman ... mais ...
Sarah s’interrompt alors et détend sa ... prise. Elle libère Emma, qui se redresse, un peu penaude, étrangement, et avec encore probablement la sensation de son anus visité par les doigts de sa mère et ses cheveux douloureux de sa poigne.
— Viens, ma chérie, viens au salon, Ben et moi avons quelque chose à te montrer.
Avec un discret clin d’oeil à mon attention, Sarah guide alors sa fille vers le canapé et les fauteuils en U devant le grand écran.Comme convenu, je démarre alors le visionnage, en me connectant à la fois au stylo-caméra qui est toujours placé chez Greg et à l’écran géant devant nous.
Sarah fait assoir Emma au milieu du canapé, entre elle et moi. 
— Vois-tu ma chérie, commence-t-elle en promenant ses doigts sur la cuisse de sa fille, je dois d’avouer que Ben et moi avons monté un petit stratagème et ...— Je ... je sais Maman, la coupe Emma en nous surprenant assez je dois dire !
Sarah me regarde puis revient vers sa fille, assise entre nous deux, son débardeur de pyjama quelque peu déstructuré mais en somme mignon dans la mesure ou il baille de toutes ses ouvertures. Surtout au niveau des bras, ce qui permet à un vieux pervers comme moi de mater sans pudeur les énormes seins qui apparaissent et se laissent voir par les trop larges ouvertures.
— Margaux est mon amie, tu comprends ? Alors quand vous l’avez ... présentée, à Papa, elle m’en a parlé, avoue-t-elle simplement.— T’a une amie fidèle, dit Sarah un peu prise sur le fait.— Oui Maman. Et des parents très pervers, bande de vieux cochons !— Alors tu comprends pourquoi on a fait ça ?— Oui. Tu t’inquiétais de ... la brutalité de Papa.— Pas du tout, rétorque Sarah sous le regard assez surpris de sa fille.— Mais je ...— Si ça m’avait inquiétée, je n’aurais pas jetée ton amie en pâture à Greg, tu ne crois pas ? continue Sarah, sa main pianotant toujours sur la cuisse de sa fille.— Mais alors pourquoi tu ....— Parce que je te veux que pour moi, ma chérie ! Enfin, que pour moi et Ben, bien sûr, corrige-t-elle en me faisant un clin d’oeil.
Elle regarde sa fille en souriant et reprend :
— Tu es à la fois douce,forte, belle, et tu ... aimes baiser, ça c’est évident. Et tu aimes le faire avec nous. Je ne veux pas te partager avec Greg, qui même si on est plus ensemble reste un ami. Je veux t’avoir pour moi toute seule, ou presque, alors c’est pour ça que j’ai ... voulu occuper un peu Greg.— T’avais pas besoin de ça Maman tu sais ?— Ah oui ?— Oui. Je ... je suis bien avec vous, ici et parfois en face chez vous, Hi hi ! C’est sympa de baiser avec Greg mais ... je préfère quand ... vous vous occupez de moi, tous les deux ou bien l’un de vous deux ...
Sarah se penche vers sa fille, marque un temps d’arrêt, et celle-ci termine le chemin en venant coller ses lèvres à celle de sa mère. Leur baiser, tendre même si incestueux dès le départ, change un peu et devient voluptueux, leur bouche se collant un peu plus encore, leur langue semblant s’emmêler un peu plus ... profondément encore...
— MHH ! Je ... Woouuh !! S’écrie-t-alors Sarah lorsque Emma libère ses lèvres.— J’adore tes baisers Maman, dit-elle en se mordillant la lèvre.
Sarah montre alors d’un signe de tête mon entrejambe à sa fille.
— Visiblement ton beau-père aussi aime nos baisers !
Emma tourne la tête et sourit lorsqu’elle aperçoit la bosse que fait mon jean près d’elle.
— On ne peux pas le laisser comme ça qu’en pense-tu Mom ?— Je ne sais pas, qu’est-ce-que toi tu en penses ?
Pour toute réponse Emma tend ses mains et défait le bouton de mon jean, puis entrouvrant les deux pans elle glisse sa main directement dans mon caleçon.
— Hmm, je pense qu’il est mûr à point, fait elle en regardant sa mère un sourire aux lèvres.
Elle ressort sa main et entame de me déshabiller, ce en quoi je l’aide en soulevant mon bassin, et je quitte mon pantalon entièrement.
— Aaaahh, voilà comme j’aime un homme, tu vois ma chérie ? Il n’a pas besoin d’explication, il comprend !
Mes deux allumeuses rient ensemble et attrapent en même temps ma tige dressée, une main chacune.
— Il n’a pas la plus grosse bite de la région mais, on y tient à deux quand même, fait Emma à sa mère pour m’aguicher.— Mmmhh à propos de grosse queue, il ... il y a quelque chose que tu dois voir, je pense ... dit alors Sarah, sa main toujours autour de mon sexe pressant légèrement comme pour m’indiquer que c’est le bon moment.
Je saisis alors mon téléphone et enclenche la connexion. Deux secondes plus tard, les cris et les gémissement emplissent la pièce en jaillissant des enceintes, et quand l’image apparait sur l’écran géant, crue, brutale et terriblement pornographique, le visage d’Emma se fige dans un hypnotique regard, à la fois surpris, captivé et fasciné.
— C’est ... parvient-elle à peine à dire ...— Oui, c’est Margaux ... et ton père, termine Sarah à sa place.
Les gémissement que la jeune femme pousse n’en sont pas vraiment : Ce sont plus des râles gutturaux et des plaintes de plaisir qui nous indiquent que les deux amants que l’on espionne ont commencé leurs ébats il y a un bon moment. La vue que la caméra cachée dans le stylo offre est des plus crues : Depuis le pied de lit, Margaux est à plat ventre, les jambes largement écartées et nous offre une pleine vue sur la totalité de son entrejambe, mais surtout sur la pénétration brutale que Greg lui inflige, lui semblant suspendu au dessus d’elle, montant et redescendant aussitôt comme il le faisait il y a quelques semaines à sa propre fille, dans le même angle de vue et probablement avec le même coussin calé sous le bassin de la jeune femme.
A chaque coups de rein puissant, Margaux ahane sèchement.A chaque entrée de l’énorme sexe de Greg, elle libère un long râle rauque et pervers.Et ce qui est choquant, c’est autant de l’entendre gémir et crier de la sorte, que de voir cette si jeune femme se laisser sodomiser de manière si brutale, laissant la queue monstrueuse écarter l’orifice d’une manière extreme, dans une rythmique brusque et intense.La jeune femme de savourer apparemment chaque poussée, chaque coups de hanche la faisant crier encore et encore.
Et en regardant les yeux d’Emma rivés sur le corps littéralement martelé de son amie, Sarah et moi savons ce qu’elle désire à de moment.
— C’est ... c’est hard, quand même, dit alors simplement Emma.— Ça ... t’excite de voir ton amie se faire prendre de la sorte ? lui demande Sarah.— Je ... Hmm, oui. Oui ça ...— Ça ne te manquera pas de ... d’en profiter tous les soirs ?
Emma ne répond pas et se lève alors, se retournant face à nous et dos à l’écran. Elle soulève son débardeur et le quitte, puis dans la foulée en fait autant avec son bas de pyjama.Elle se retrouve entièrement nue, exposant sans aucune gêne ses formes délicieuses à nos regards pervers. Elle passe ses mains sur ses seins et les soulève voluptueusement, pressant leur galbe à faire saillir les deux larges mamelons qu’elle pince de ses doigts.
— Non Maman, ça ne me manquera pas, car je sais que vous saurez me faire jouir bien plus encore qu’il ne le fait.
Sarah lâche mon sexe à son tour, et, tendant ses bras, Emma vient s’y loger, laissant les mains de sa mère se poser sur ses hanches.
— Alors dis-moi ma chérie, dis-moi avec tes mots ce à quoi tu consens pleinement.
Emma se mordille la lèvre inférieure.
— Je suis à vous, mon corps, mes orifices, sont tout à vous. Baisez-moi, faites-moi jouir, je ferai tout ce que vous voulez.
Sarah me regarde et à son tour se mord la lèvre.
Ma queue dure me fait mal, et Emma glisse entre les jambes de sa mère.
*****

 Depuis combien de temps sommes nous là ? Je ne sais même plus. Sur l’écran géant, la vue n’a que peu changé mais Margaux s’empale désormais elle-même sur la queue de Greg qui entre et ressort entièrement de son anus, laissant entrevoir par moment un orifice dilaté à outrance avant d’y replonger sous les gémissement obscènes de Margaux.
Je suis allongé sur le tapis et les deux furies qui m’essorent littéralement depuis des heures ne semblent même pas fatiguer, même si comme moi elles sont trempées de sueur, leur peau délicate luisant à la faible lumière que la TV géante diffuse dans le salon.
— AAH !! Aaaahhnnnn oui Maman !! Ah oui !! Encore oui comme çaaahhhhh !!!!
Emilie, à quatre pattes, s’accroche à mon sexe comme à une poignée, sa main serrant ma tige toujours dure quand sa bouche retourne à la fellation qu’elle me prodigue.Bien m’en a pris de gober un petit comprimé rose supplémentaire. Je m’en fous, j’assume ce dopage chimique sans aucune honte !
Je ressens chaque à-coups que son corps, projeté d’avant en arrière me transmet, enfonçant ma queue entre ses lèvres, et plus loin encore dans sa gorge.Juste en dessous d’elle, ses gros seins ballotent au même rythme, balançant dans tous les sens de leur flasque naturel et magnifique.
Mais c’est au dessus d’elle que le spectacle passe de sublime à démentiel. Car accrochées à ses hanches, les mains de Sarah s’agrippent avec envie au petit corps d’Emma, l’attirant à elle, puis la repoussant pour mieux la faire aller et venir.Les fantastiques seins de ma petite amie bringuebalent eux aussi , dardant les même fières aréoles larges que sa descendance qu’elle est en train de pervertir. Et si je ne vois pas le sex-toy fabuleux que je lui ai offert, c’est qu’il est actuellement enfoncé profondément dans sa chatte et qu’elle se sert de l’autre extrémité du double gode en U pour sodomiser avec force sa fille qui hurle de plaisir d’être ainsi remplie des deux côtés, sa mère dans son cul, son beau-père dans sa bouche ...
— Tu ... tu en veux encore ma chérie, n’est pas ? dit Sarah essoufflée mais les yeux encore pleins de désir.— Aaahhh !! Oui !!! Oui Maman !!! Encore !!! répond-elle, ma queue encore à moitié dans sa bouche— Dis-le moi ! Dis-nous ce que tu veux !— Baisez-moi encore ! Utilisez-moi !! Faites-moi jouir !!!
Sarah, stimulée plus encore par les encouragements de sa fille, augmente la puissance de ses coups de reins, mêlant les cris de sa fille à ceux de son amie à l’écran.
Je ne sais pas si j’arriverai à jouir une énième fois ce soir...
Mais tandis que Sarah semble ne pas pouvoir s’arrêter d’infliger une aussi lubrique pénétration à sa fille, quelque chose semble bouger pendant une fraction de seconde à l’extrémité de mon champs de vision.Et quand je tourne légèrement la tête, c’est avec surprise mais aussi un petit sourire intérieur que je la vois.
Dans l’encadrement de la porte, hors de la vue de sa mère et de sa soeur, Léa observe toute la scène. 
Ses yeux semblent capter tout ce qui s’y passe, de l’écran qui projette la plus dépravante sodomie que j’ai vue, avec en fond le visage lubrique de son père qui encule Margaux, jusqu’à nous trois qui sommes en train de baiser à même le tapis, sa mère et son beau-père embrochant de chaque côté sa soeur perverse transformée en objet de plaisir.
Elle observe ainsi l’ensemble lubrique qui s’offre à elle, et pendant un court instant je me demande ce qu’elle en pense.Mais la réponse est évidente :
Léa est appuyée debout contre la porte, la bouche entrouverte, respirant rapidement, et sa main enfoncée dans son pantalon s’active entre ses cuisses.
( A suivre ... )
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