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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 22

Voyeur / Exhibition
Une petite voisine très surprenante ... 22

J’ai toujours bien aimé ces endroits, ces clubs libertins où l’on croise tout et son contraire. Selon le lieu, les situations et les extrêmes mêmes peuvent varier, sans jugement, en toute liberté.Ici, c’est assez simple : c’est un restaurant, un bar, et il y a un étage où ... on peut faire des cachotteries.
Mais je n’y suis pas à ce moment de l’histoire. Pas encore. Léa et moi sommes chez elle, dans le salon, et on picore un apéro dinatoire en regardant sur grand écran la caméra espion que Sarah porte comme une bague nous diffuser l’intégralité de leur dîner. Et en HD s’il vous plaît.

Il me faut un peut résumer qui sait quoi quand même, car ça devient assez ... marrant :
Sarah et moi savons tout : Léa veut voir ses parents baiser.Greg sait que je vais les mater, puisque c’est moi qui lui ai demandé. Mais il ne sait pas que Léa sera là, aussi ...Léa, elle, ne sait pas que sa mère sait qu’elle sera là : Ouais je sais, ça se complique mais c’est ça qui est fun !Elle croit juste que Sarah et moi nous organisons un petit plan voyeur avec son père. Et que Sarah ne sait pas non plus que sa fille sera là ...
Alors depuis tout à l’heure, Léa et moi nous régalons de voir Sarah allumer à mort le pauvre Greg. Enfin, le pauvre, façon de parler.
— ... Je ne sais pas Greg, j’avais envie c’est tout dit Sarah, appuyée négligemment sur le dossier de sa chaise en lui répondant.
— Elle est forte pour le chauffer, c’est sûr, commente Léa.— Han han ...— Et sa robe est assez dingue en fait, continue-t-elle sans me regarder.— Han han !!
Il est vrai que la robe de Sarah, toute légère de tissu noir très fin, mets particulièrement ses formes voluptueuses en valeur. Si l’étoffe moule parfaitement la sublime rondeur de ses seins, c’est surtout les épaules nues et le tour de cou remontant qui donne à l’ensemble un cachet hallucinant.Léa tourne la tête vers moi en souriant. On dirait qu’elle ... qu’elle essaye de lire sur moi une réaction précise, comme si elle attendait quelque chose.A l’écran Greg reprend :
— Moi j’en suis ravi mais ... t’es sûre que ça ne va pas le ... s’interrompt Greg à l’écran.— Ne t’inquiète pas pour Ben, Greg. Il aime me voir. Et moi j’adoooore qu’il me regarde. 
Léa se tourne encore vers moi :
— Vous ... l’avez déjà fait ?— Quoi donc ? s’amuser dans se club ? Oui, bien sûr.— Oui mais ... ça, le fait que tu regardes Maman ... avec un autre ?— Aussi, oui. Avec ... plusieurs autres même ...— Oh ... comme tu ... comme tu l’as fait avec moi ?— Oui et non. Te regarder est illustratif et visuel, très agréable, mais partager
la femme que j’aime, dont j’ai ... parcouru la peau, c’est différent. Excitant, jalousant si tu me permets le néologisme.
—Toi aussi tu aimes mater, je crois, non ? dit Sarah à l’écran, interrompant notre conversation avec Léa à distance.
Sarah laisse alors tomber sa fourchette sur le côté de la table. Greg, visiblement galant, se penche sous la table pour la ramasser. Dès qu’il a disparu, Sarah montre à la caméra un tout petit string qu’elle tient dans sa main. Lorsque Greg remonte, la vue lui a visiblement plu et le mini-string a disparu.
— Tu as aimé la vue, Greg ? minaude Sarah.— Beaucoup, tu t’en doutes ...— J’avais chaud à ... la chatte, ça ne te dérange pas ?— Tu sais bien que non. Mais ... j’ai un peu chaud en fait, aussi.
Greg passe alors ses mains sous la table, et sa contorsionne légèrement.Sarah a compris, et moi aussi. Je jette un oeil à Léa qui elle se questionne encore, visiblement.
Mais quand sa mère se glisse d’une manière fluide sous la table, au vu et au su de tous qui dans ce lieu font comme si de rien n’était, là elle comprend.Sarah nous montre alors, sans que Greg s’en aperçoive le sexe déjà bien tendu qui dépasse démesurément des deux pans du pantalon ouvert, et j’entends Léa déglutir... Car c’est franchement vrai que sa queue est monstrueuse. La main de Sarah s’en empare, sans que le pouce ne touche les quatre autres doigts. Et même si je l’ai déjà vu, il n’y a que dans quelques films qu’on trouve ce genre d’engin.
— Oh la vache il ... elle est ... balbutie Léa, la bouche ouverte et les yeux rivés sur l’écran.— Je crois qu’il est temps de se mettre en route ma puce, ça va vite partir en cacahuète là-bas à mon avis.
Léa se lève, sans répondre, hypnotisée.
centré et gras

On roule depuis vingt minutes et le parking du club n’est plus très loin. Léa, sur le siège passager à côté de moi, n’a pas lâché mon téléphone portable sur lequel la caméra espon continue de montrer le dîner très chaud de sa mère et son père.
Je dois dire qu’elle aussi a bien choisi sa tenue à l’instar de sa mère : c’est la robe d’été que je lui ai offerte, fine et légère à bretelles, mais avec cette petite particularité d’avoir des petits boutons sur tout le devant, ce qui donne la possibilité de l’ouvrir entièrement en deux pans déjà très suggestifs bien qu’encore fermés. Léa est absorbé par le dialogue de ses parents qui a repris, sa mère étant remontée sur sa chaise après avoir caressé quelques trop courts instants l’énorme sexe de son ex-mari.
— Donc vous avez fait ça souvent avec Ben alors ? entends-je demander Greg à Sarah à l’écran.— Sortir en club libertin ? Oui quelque fois ... pourquoi ?— Oh je me demandais pourquoi on ne l’avais jamais fait, de notre temps ...
Très interessant de voir Greg essayer de ramener Sarah systématiquement à la période où ils étaient ensemble.
— Je ne sais pas Greg, qu’est-ce-qui te plairais d’entendre ? Que tu me suffisais à l’époque ? Sûrement. C’est aussi probablement pour ça qu’on est là, non ? T’as toujours été un super amant, même quand ça n’allait plus à la fin. J’ai toujours adoré baiser avec toi alors ...
Sarah vient de poser une autoroute devant l’égo de Greg, et il s’engage dessus sans surprise :
— Elle te manquait ma grosse bite n’est-ce pas, chérie ? finit-il par lâcher, avec toute la suffisance nécéssaire pour soulever ladite grosse queue.
Sarah rentre dans son jeu pour mon plus grand plaisir jalousesque
:
— Bien sûr que ta grosse queue me manque.— T’en meurs d’envie comme à l’époque, hein ?— Tu sais bien que oui.— Tu te rappelles ce qui ... me faisait plaisir ? demande-t-il alors, titillant un peu plus ma curiosité[XXX Sarah 4 pattes, bouche grande ouverte , se caresse la chatte d’une main, les seins de l’autre, offrant tout à greg XXXXX]
La voiture entre sur le parking et je me gare. Léa, elle est toujours captivée par les dialogues et n’a pas dit un mot depuis notre départ. Elle me regarde, me sourit et sa mère répond à Greg à l’écran. 
— Bien sûr que je m’en rappelle. C’est ça qui te ferait plaisir alors ? continue-t-elle en maintenant le mystère, pour moi surtout probablement.— Tu ne pourrais pas plus me faire plaisir.— Je te manque aussi alors ? demande Sarah faussement innocente. Tes petites pouffiasses ne te satisfont pas autant que moi ?— T’es jalouse ? taquine alors Greg.
Sarah ne répond pas, et assis dans la voiture garée à attendre le bon moment, Léa me regarde alors pour voir l’effet que cette conversation cocufiesque a sur moi.
Elle se tourne à peine vers moi et défait sa ceinture de sécurité sans lâcher le téléphone. Sur celui-ci, les deux convives se regardent sans rien dire et d’un coup Sarah se lève.
— Je crois que ... commence Léa sans terminer sa phrase.— Ouaip. C’est parti ... T’es toujours d’attaque ? — Oui mais ... t’es sûr qu’ils ne me verront pas ? On pourrait les croiser c’est ...— Ne t’inquiète pas. Aucun risque. Il y a à l’étage un genre de couloir des voyeurs : ça donne sur les alcôves par des miroirs sans tain, et on y accède par un escalier différent.— Ooooh j’adooore ... Et t’es sûr que Maman n’ira pas ...— Non. C’est notre deal : elle d’un côté avec ton père, moi de l’autre. Avec toi bien sûr, mais ça ils ne le savent pas, lui dis-je en mentant au sujet de sa mère,bien sûr.— On dirait qu’ils ... montent un escalier en colimaçon, dit Léa en regardant à l’écran.— Ouaip ! Allez on y va, alors !

centré et gras

Heureusement que je connais le portier, sinon au vu du regard qu’il m’a lancé quand on s’est pointé à l’entrée avec Léa accrochée à mon bras, il ne nous aurait probablement jamais laissé rentrer. La frêle silhouette de ma belle fille est un appel au crime quasi permanent, sa taille minuscule sous le mètre cinquante et sa minceur assez impressionnante éveillent systématiquement dans le regard des autres hommes une lueur perverse et malaisante. Chez certaines femmes aussi, d’ailleurs.
J’imagine aisément que ça ne doit pas être tout le temps agréable pour elle. Pas de seins, quasiment pas de fesses, le physique d’une ado mais avec bientôt vingt ans au compteur, difficile dans ce monde moderne aux implants aussi nombreux que polymorphes d’assumer une silhouette de brindille.Est-ce que ça a un rapport avec son attitude, ses fantasmes et sa demande qu’elle m’a faite de l’aider à les réaliser ?Je ne sais pas. Il faudra surement un jour aborder le sujet. Mais en attendant, je la regarde découvrir la salle princiale, à la déco simple et épurée dans le genre d’un restaurant feutré, aux banquettes larges et accueillantes autant que les chaises et tables éparses. 
— Comme je te le disais, tu vois là-bas au fond ? C’est l’escalier principal de l’étage, lui montré-je discrètement.
Léa aquiesce sans mot dire, regardant les gens indifférents à notre entrée, en tout cas apparemment.
— Nous, on va aller par ici , continué-je en indiquant un plus petit escalier sur notre gauche. Mais avant ça, champagne ?
Nouveau hochement de tête, et à peine approche-t-on du bar que la serveuse nous tend deux flutes. Léa saisit son verre, le porte à ses lèvres et le vide d’un trait.
— Allons-y tout de suite, me dit-elle sans possible refus de ma part.
On s’engage dans l’escalier.
centré et gras

Le regard s’habitue à la pénombre. Le long couloir en L est désert, probablement pour le moment. Sur les murs accrochés face à face comme des tableaux, de grands cadres très proéminents exposent par une vitre l’intérieur des chambres ou alcôves auxquelles on accède par l’autre escalier.
— C’est extraordinaire d’avoir imaginé ça, ce ... couloir, comme ça, dit Léa en regardant l’intérieur des deux premières pièces, vides. Et on ne peut pas nous voir alors ?— Non, ce sont des miroirs sans tain, de l’autre côté ils ne voient qu’eux mêmes...— Hnnnn, j’adore !! dit-elle en s’agrippant un peu plus à mon coude que je lui cède en continuant d’avancer.
Elle marche lentement, se penchant un peu pour découvrir les deux cadres suivants ... et si le premier est vide, un matelas au sol comme seul ameublement, le second juste en face la fait une seconde reculer de surprise. A l’intérieur, trois femmes sont ... entremêlées, c’est le mot le plus exact. La tête de l’une entre les cuisses d’une autre, des mains sur des seins, et tous ces membres dont on ne peut dire à qui ils sont caressent, palpent, touchent le corps des autres ...
— Wow c’est ... 
Elle s’interrompt. Je relève le sujet :
— Tu ne m’as jamais parlé de ... ça. Qu’est-ce-que ça te fait ? lui demandé-je— Tu veux savoir si je suis attirée par les femmes ? Et bien ... ça m’intrigue, m’interpelle, me ... me tente, en fait.
Je la vois se mordiller la lèvre. Toujours accrochée à mon bras, je pose ma main libre sur sa main, caressant légèrement du pouce celle-ci.
— Tu veux dire que ... tu ne verrais pas d’objection à te retrouver au milieu de ces trois-là ? continué-je.— Hmm, non, peut-être, je ... je ne sais pas en fait. Si ... si je sais. finit-elle par dire en me regardant soudain.— Viens, continuons, si tu veux bien.
Et elle reste à mon bras quand nous avançons encore jusqu’à deux autres " tableaux". Dans l’un d’eux, la vision de deux hommes aux deux extrémités d’une femme stoppe Léa aussitôt. La femme se laisse prendre par derrière tandis que sa bouche va et vient sur le sexe du second homme.
— Tu crois que ce sont les moitiés de ... l’autre pièce là-bas ? me demande-t-elle sans les quitter des yeux.— Qui sait ?— Est-ce que ... j’avais l’air aussi ... utilisée quand tu m’a offerte la première fois en club ?— Pas au début mais ... plu stard dans la soirée, oui.— Tu a aimé me voir ... utilisée comme ça, comme un objet ? insiste-t-elle un peu plus toujours en les regardant.
Je me penche à son oreille, elle frissonne.
— Oui Léa, j’aime te voir soumise de cette manière.
Elle ne tourne toujours pas la tête vers moi, prenant un air de défi.
— Même si ce n’est pas toi qui profite de ça ? répond-elle en déboutonnant 3 pressions d’un coup, révélant sa poitrine plate.
Elle pince du pouce et de l’index un des deux mamelons naissants. Je lui souris, elle aime m’aguicher et moi aussi. Elle se raccroche à mon bras et m’emmène plus loin.Le couloir fait un L, et juste après l’angle, nous atteignons deux autres vitres encadrées. Mais là, le spectacle est tout autre ...
C’est interessant de regarder Léa et ses réactions. Car à ce moment, je vois en la scrutant de ma hauteur qu’un million de choses se passe dans sa tête.Car devant nous, dans l’encadrement de la grande vitre donnant sur une chambre fermée, sa mère est à quatre pattes, presque assise sur ses mollets. Elle regarde Greg qui est dos à nous, et elle caresse d’une main son sein droit, assez brusquement, tandis que l’autre, logée loin entre ses cuisses s’active assez vite ... Sarah a la bouche grande ouverte, la langue presque dehors, et un filet de bave coule de sa bouche lubriquement.
— Ooh !! Wow je ... c’est ... balbutie Léa.
Elle aussi reste bouche bée de surprise, et je dois avouer que moi également. La position de Sarah est des plus lascives, lubriques même. Elle s’offre ainsi, le cou tendu, la gueule grande ouverte face à Greg debout, son énorme bite en érection tendu à quelques centimètres de la bouche de Sarah. Celle-ci visiblement fait exprès de baver pour donner à son ex ce qu’il voulait, cette pose-là, cette attitude-là.
— Ouais c’est ça ma chérie, touche-toi, oui ... tu la veux, hein ? c’est ça que tu veux, dit-il en tapotant alors l’énorme trique sur la bouche de Sarah.— Aaahhh ouiii ... Ahnnnn ouais je la veux ta grosse bite ! répond celle-ci 
Le son bien que feutré par la vitre nous parviens assez bien et je regarde alors Léa en collant mon index sur mes lèvres. Elle hoche la tête et retourne à la vision qui lui est offerte. Elle se rapproche un peu de la vitre, m’interroge encore du regard, et à mon tour j’acquiesce en silence. Léa porte alors sa main sur la vitre, lâchant mon bras, et je me place juste derrière elle à son côté. 
— Hmm oui elle t’a manqué cette queue, continue Greg en la frottant sur les lèvres et les joues de Sarah qui continue de se caresser, seins, sexe, tout à la fois.
Il attrape alors doucement mais fermement les cheveux de celle-ci et orientant sa tête il pose le gland gonflé sur la langue de Sarah. Il n’en faut pas plus, et d’un coup elle engloutit la hampe dans sa bouche, entamant des aller-retour profonds, guidé par la main de Greg sur sa tête. Les bruits de succions, de salive et de gorge même nous parvienne et Léa s’appuie encore plus sur la vitre, hypnotisée par le spectacle de sa mère qui avale de manière incroyable les trois quart de la queue monstrueuse.
Elle se tourne vers moi, levant la tête et me chuchote :
— Mais comment fait-elle pour ...— Ta mère est douée, dis-je simplement et Léa retourne à la représentation pornographique que ses parents lui offrent.
C’est alors que, pendant qu’elle ne perd rien du spectacle, je remarque que nous ne sommes plus seuls dans le couloir ...Apparemment, la montée de quelques clients d’un côté et de l’autre de l’étage a crée un intérêt pour d’autres, et quelques hommes sont désormais pas loin de nous, l’un deux passa,t même derrière et regardant lui aussi le show derrière la vitre. Un autre s’approche et s’arrête près de Léa qui ne quitte pas ses parents des yeux. La fellation que prodigue Sarah à Greg est maintenant des plus salaces, pompant et bavant sur l’énorme vît tout en le branlant à deux mains. Sa salive coule sur ses gros seins qui s’agitent au rythme des va-et-vient que fait sa bouche sur sa queue.
— Haaaaa !!! Putain elle st encore plus grosse que dans mes souvenirs, s’exclame-t-elle en reprenant de l’air. — Elle t’a tant manqué que ça ?
Sarah ne répond pas, souris et lâche la colonne dure et brillante ... Elle se tourne alors et présente à Greg sa croupe offerte, glissant lubriquement ses doigts entre ses fesses pour l’allumer encore plus.
— Viens, viens maintenant !
Il ne se le fait pas dire deux fois, s’accroupissant à peine tout en restant sur ses pieds il présente sa bite à l’orée des deux orbes.
— Dis-le, dis ce que tu veux ! demande Greg.
Sarah tourne la tête vers lui, et vers nous aussi en même temps.
— Baise-moi ! Fais-moi jouir avec ta grosse bite !
Et quand son père enfonce d’un coup les vingt-cinq centimètres de chair dans l’intimité de sa mère, Léa colle sa deuxième main sur la vitre, s’appuyant à hauteur de son visage, celui-ci rivé sur la levrette explicite qu’elle a toujours rêvé de voir.
Sa bouche entrouverte, elle halète presque, sa respiration devenant plus rapide, les yeux fixés sur l’accouplement bestial devant elle.
( A suivre ... )
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