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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 23

Voyeur / Exhibition
Une petite voisine très surprenante ... 23

— Aaahhh !!! Ahhh oui !! Encore !!!
Les gémissements de Sarah sont devenus cris, Greg l’haranguant à être plus verbale régulièrement.
— C’est comme ça que t’aime te faire baiser, hein ?— Putain oui !! Aaahh !!! Oui comme ça !!!
Ses mains agrippées aux hanches de ma belle, il la prend puissamment depuis un moment sans fatiguer une seconde, offrant la vue de leur accouplement bestial tout autant à moi qu’à Léa qui ne les a pas quittés des yeux. Les gros seins de sa mère balancent dans tous les sens sous elle tandis que la bouche ouverte elle gémit encore plus fort.
Et si moi c’est Léa que je ne quitte pas des yeux, j’observe cependant dans mon champs de vision et au-delà l’attroupement qui s’est crée autour de nous devant la vitre.Alors quand je vois une main s’approcher de la robe de Léa, celle de l’homme près d’elle à sa droite, celle-ci se tourne vers moi et se mordille joliment la lèvre inférieure. Et à sa question silencieuse je répond sans hésiter :
— C’est toi qui voit ma puce ... lui dis-je en souriant.
Ses yeux sont remplis de désir, ses sens sont déjà bien secoués, et quand l’homme se met à déboutonner les pressions restantes, Léa ne le retient pas, ni ne le regarde. Les deux pans de la robe s’ouvrent alors qu’elle se retourne de nouveau vers l’encadrement, sans avoir à aucun moment décollé ses mains de la vitre, c’est nue en grande partie qu’elle se retrouve, invitant sans le dire les hommes autour de nous à continuer. 
Celui juste à sa droite pose sa main sur un des petits seins et d’autres mains jaillissent de toute part, une, trois, cinq ... De tous les côtés, même entre nous deux, alors que l’épaule gauche de Léa touche mon torse, les multiples mains anonymes se mettent à la caresser, palper, et si elle garde les yeux fixés sur Greg et Sarah qui continuent de s’envoyer en l’air, je vois bien qu’elle respire plus vite, plus profondément.
Les gémissement de sa mère ne m’empêche pas d’entendre le souffle de Léa s’accentuer, au rythme des doigts qui la cherche et la parcourent ... Les mains deviennent perverses, glissant vers ses hanches, la faisant balancer un peu de ci-de-là, et elles se faufilent devant, puis derrière aussi, touchant, effleurant et s’invitant plus loin encore.Léa garde les yeux sur ses parents et quand Greg bascule en arrière d’un coup, enjoignant Sarah à s’empaler sur lui, c’est la pleine vue de la chatte que celle-ci nous offre à, à nous tous ....
— AAAHHH !!! Aaahnnn Oui !!! OUI !!!
C’est désormais Sarah qui donne le rythme, ondulant ses hanches pour faire aller et venir sa chatte autour de l’énorme queue de Greg , les cuisses largement écartées pour nous offrir ce spectacle. La proximité de pair avec l’invisibilité qu’offre le miroir sans tain attire le regard de Léa qui se rapproche encore plus de la vitre. De si près, on peut détailler sans peine les grandes lèvres intimes dans la toison taillée de Sarah qui agrippent comme une ventouse la queue luisante qu’elle s’enfonce profondément, élargissant au passage sa vulve, l’écartant dans des limites inconcevable pour mon anatomie, en tout cas pénienne...
La vue est crue, pornographique et incestueuse mais ce dernier point seulement pour Léa et moi ... Et bien qu’elle soit hypnotisée par la scène, je sens soudain sa main sur mon entrejambe. Sans me regarder, elle cherche et trouve, dégrafant la ceinture d’une main experte. Mais quand elle essaye de déboutonner ma braguette, je viens à sa rescousse. Et c’est lorsque je sens sa main empoigner mon sexe en repoussant le tissu du boxer pour l’en extraire qu’elle lève son visage en le tournant vers moi.
— Tu ... Hnnnn tu es dur ...
Elle se mets à me branler, me gratifiant enfin de son contact après toutes ses heures à la regarder avec d’autres. Sa main m’entoure, me serre, montant et descendant lentement.
— Ta queue elle ... J’aime ta queue.
Ses yeux sont plantés dans les miens, ses douces lèvres charnues brillant de leur joli gloss m’attirent sans pouvoir y résister. Léa ferme alors les yeux, tend sa bouche entrouverte vers la mienne et j’y plonge avec délice, enroulant ma langue autour de la sienne, goûtant enfin ce nectar délicieux. Après tout ce temps, cette attente, je savoure en dévorant ses lèvres qui me sont offertes, elle répond de plus belle en aspirant les miennes et en les embrassant encore, baiser fougueux et exclusif qui laissent les autres peloteurs sur le carreau autour de nous.
Je goûte enfin à cette jeune femme délicate et perverse à la fois, sa petitesse tout contre moi, sa main accrochée à mon sexe me masturbant fermement dans un plaisir intense. Léa est à moi à ce moment, ses lèvres posées seulement sur les miennes, ses yeux fermés seulement pour moi et les miens en ont fait autant.Notre baiser semble sans fin, lascif, sexuel même, électrisant ma nuque jusqu’à sa main qui accélère encore ... Et même si autour et contre nous les autres se pressent encore un peu nous les ignorons les yeux clos, les mouvements légers de l’attroupement faisant osciller notre union, rien ne semble pouvoir nous perturber jusqu’à ce que ...
Jusqu’à ce que j’entrouvre les yeux, tombant dans les siens. Malgré les hommes près de nous, je lui souris pour les ignorer, mais Léa semble soudainement gênée ...
Et dans mon champs de vision, mon regard se porte alors au delà de celle qui m’embrassait il y a quelques secondes encore, et j’aperçois les mains, les silhouettes, les mouvements ...
J’aperçois derrière la vitre Sarah, ma petite amie, s’empaler sans retenue sur l’énorme sexe de son ex-mari, le visage éclairé par le plaisir intense qui la ravage à chaque pénétration hors-norme qu’elle s’inflige à elle même, augmentant son extase de sa main qui masturbe frénétiquement son clitoris et ses lèvres trempées, en même temps que la queue monstrueuse la perfore.
J’aperçois également les bras et les mains qui entourent et parcourent Léa, ces mains d’inconnus qui caressent ses petits seins et malmènent ses tétons durs, s’agrippent à ses hanches ou plongent entre ses cuisses. Elle aussi est secouée, caressée, branlée même, une main que je vois là en-bas s’activant entre ses cuisses et derrière aussi une autre plantée entre ses fesses...
Mais ce que j’aperçois surtout, un peu à regret, c’est l’autre main de Léa, qui a l’instar de la première sur ma queue est en train de branler l’homme à sa droite en même temps que moi. 
J’ai cru un instant profiter d’elle au milieu des autres, avoir ce petit truc à nous éphémère ... il n’en est rien. La petite déception se lit probablement sur mon visage quand mon regard reste figé sur la queue de l’homme qu’elle masturbe ... Et Léa le sait très bien, toute aguicheuse et cocufieuse qu’elle aime être ...
— Oh ?! Tu ... tu pensais que ... Tu voulais être ... le seul ?
Je ne réponds pas et lui souris. Léa me le rend mais ne cesse pas pour autant de branler les deux sexes offerts à elle.
— Tu comprends je ...
Léa est interrompu par une longue plainte derrière la vitre. Sarah s’est allongée sur le dos et Greg lui a relevé les jambes presque à l’écart pour désormais la baiser en l’embrassant comme le feraient deux amants, allant et venant puissamment entre ses cuisses.
— ... Je ne serai pas ta petite chose, continue Léa. J’aime être avec toi tu sais, mais je ne suis pas comme ma soeur, ok ?
Je hoche la tête tandis que je sens ses bras secouer nos deux queues au même rythme. Elle se mordille encore la lèvre inférieure, et son silence en dit plus encore qu’il n’en faut. J’aimerais l’avoir, là , à moi et rien qu’à moi. Pur désir possessif et charnel ayant probablement comme origine principale le fait qu’elle me refuse ses faveurs.Délicieuse torture de la jalousie, mais sans aucun sentiments là-dedans : elle me fait attendre, ergo = je la désire encore plus. Et c’est exactement ce que j’adore chez cette fille.
— Je ... Mmmh, je suis désolée si ...
Je vois bien que les mains qui la caressent se font plus curieuses que jamais. Devant deux mains à la carnation différente malaxent et pincent les mamelons érigés sur les petits renflements de sa poitrine alors qu’à peine un peu plus bas, une autre la branle sans vergogne. Mais quand deux autre encore se posent sur ses hanches, je vois bien derrière elle un sexe encapuchonné glisser le long de sa raie ...
— Hnnn , je ... Je suis désolée si tu croyais que ... que tu allais me ... essaye-t-elle de dire.
Le jeune homme derrière elle semble à la fois écouter ce qu’elle me dit, et l’aguicher d’autant plus à frotter son sexe encore entre ses petites fesses. 
— Je ne ... Ahnnn ... je ne veux pas que ... Pas comme ça , pas ... Ahhhh ... Pas ici tu comprends ? Ici ils ... c’est les autres hommes qui ont ... Hnnnn ... tous les droits. Ils ... ici c’est pour eux, tu comprends ?
Léa se penche alors légèrement en avant, gardant son regard planté dans le mien en se tournant face à moi. Elle lâche la queue de l’autre et passe sa main un instant derrière elle, sans que je vois ce qu’elle fait , puis vient l’appuyer sur mon torse. Je suis désormais son mur, son miroir, son appui. 
Et quand le premier soubresaut, lent, long, la fait se soulever contre moi, approchant un peu sa tête de mon cou, Léa garde encore son visage face au mien, voulant que je vois tout, son plaisir, son sourire, sa bouche entrouverte happant l’air au fur et à mesure que le jeune éphèbe entre en elle par derrière...
— Ahhh il .... Ooooh il est ...
Les à-coups s’accélèrent alors, se saccadent de plus en plus sèchement, les deux mains que j’aperçois de devant s’agrippant fermement aux hanches osseuses de Léa et la faisant aller et venir brusquement contre moi sans qu’elle ne cesse à aucun moment de me branler.
— Il est jeune et vigoureux ton amant ... Il te baise bien ? Comme tu voulais ? lui demandé-je en savourant encore la caresse rythmée.
Elle relève la pointe de défi jaloux dans ma voix.
— Hnnnn oui ... Ahh... oui il est jeune et bon, sa queue est belle et dure et ... Aaahh !
Elle a du mal à parler, à se laisser prendre et à me branler, tout la submergeant en même temps.
— Aaahh oui, il me baise bien ! me dit-elle en plantant de nouveau ses yeux dans les miens. AHHH !!! Il ... Hnnn , il me baise bien profond j’adore ça !!
Et si par la suite elle a lâché mon sexe pour savourer pleinement la levrette debout du jeune petit con derrière elle, je ne lui en ai pas voulu. Il l’a faite jouir, debout, contre moi, elle accrochée à mon coup pendant qu’il martelait sa chatte par derrière. Il a joui peut de temps après je crois, et c’est encore suspendu à moi que Léa a regardé une dernière fois sa mère et son père dans la vitre.
Et au moment où j’emmène ma jeune cavalière vers la sortie, Sarah est de nouveau à quatre pattes, tendant son cul en l’air, ses seins écrasés contre le matelas, et Greg enfonce alors son énorme pieu dans son cul avec une facilité déconcertante.

******

— Bien dormi mon beau ?
Emma pose la tasse fumante de café devant moi, et retourne derrière le bar en faisant virevolter le pull qu’elle porte comme seul vêtement. Et quand je dit le seul, c’est le seul, la pirouette me révélant son cul nu et sa toison fournie à l’air libre.
— Oui ma belle et toi ?— Peu, mais divinement.— Ah oui ?— Ouaip.— Seule ?— Certainement pas ! Tu sais que je déteste ça, allons ! me taquine-t-elle avant de m’embrasser langoureusement.— Margaux dort encore ?— Oui. Dans mon appart en face. Enfin, mon ... ex-appart ? Je sais pas, je ...— On s’en fout on est tous les deux nuls en géographie, lui fais-je avec un clin d’oeil.
Emma rit et repose sa tasse sur le bar.
— Maman est ...— Ta mère a probablement finit la nuit chez Greg.— En te laissant dormir tout seul ? Rhooooo la vilaine ! dit-elle 
Elle fait alors le tour du bar, s’approche de mon tabouret pour venir se loger entre mes cuisses. Sans un mot elle tire sur l’élastique assez lâche de mon short, et prend mon sexe mou dans sa main, se mettant à le branler doucement.
— Du coup toi tu n’as rien eu hier soir ... ?— Han han.
Elle s’agenouille alors, passant presque sous le bar, puis fait glisser mon short sous mes fesses et sans en dire plus elle embouche mon sexe. Je sens sa langue rouler autour de la tige encore molle, cherche le prépuce et s’y glisser entre la peau et le gland, raidissant un peu ma queue dans une amorce d’érection. Elle regarde vers le haut et trouve mes yeux, ouvrant la bouche tout en y faisant coulisser lentement la hampe qui devient de plus en plus raide.
— Hmm je ... j’ai pas eu de queue hier soir, moi non plus ...— Margaux ne t’as pas faite jouir ?— Hmmm si bien sûr ... MHhhhh ... mais pas comme toi, fait-elle dans une moue très aguicheuse.
Mon sexe durcit en un rien de temps, Emma en teste alors la raideur en claquant d’un coup la tige sur sa bouche ouverte ...
— Mmmh !! Parfait, dit-elle simplement en se levant. Viens, continue-t-elle en me tirant par le sexe.
Elle s’installe alors sur le canapé, relève et écarte largement ses jambes en mettant ses genoux presque derrière ses oreilles. Par dessous sa main atteint sa chatte poilue et elle passe deux doigts entre ses grandes lèvres déjà humides apparement. Sans plus de cérémonie j’accepte l’invitation, crache sur mon sexe bien dur désormais et le glisse lentement au fond de ma jeune et disponible belle-fille.
— Ahhhnnnn ouiiiiii !!!
Mes hanches ondulent lentement, enfonçant l’objet de son désir tout au fond de la délicieuse jeune femme.
— Aahh oui ... Oui comme ça ... Ooooh !!!
Je soulève d’une main le pull informe qu’Emma m’aide à quitter alors, révélant ses gros seins souples qui se mettent à bringueballer d’avant en arrière en rythme.
— Oui !! Vas-y fort je ... Oui encore !! FORT !!!
On jouit de concert, quelques minutes plus tard.
******

—Tu crois qu’elle va rentrer vers quelle heure ? me demande Emma toujours nue sur le canapé.— J’en sais rien, tu veux regarder ce qu’ils font ? lui répondé-je en souriant.— Rhooooo c’est toi le vilain en fait !! Mais carrément !! Oui !!!
J’attrape mon téléphone, et me connecte au stylo caméra toujours en place chez Greg à priori. Trente secondes plus tard, l’image de son lit apparait à l’écran. J’ai beau savoir à quoi m’attendre, ça fait quand même un pincement. Sarah est allongée en cuillère sur le côté, entièrement nue, les draps repoussés au bord. A côté d’elle Greg dort aussi, sur le dos, son énorme sexe reposant sur son ventre, aussi gros que le mien en érection mais lui ne l’est pas. 
Ouch ...
— La nuit a été rude apparemment, lâche Emma.
Et elle a raison. Car en regardant le corps de ma compagne plus précisément, de petits détails viennent encore raviver le pincement de jalousie que j’ai volontairement souhaité. Si la peau de Sarah est parsemée de quelques ecchymoses de-ci de-là, signes d’intenses et fougueux rapports, c’est ses seins plus marqués, les fesses également, qui attirent mon regard et me ... torturent un peu plus. Mais quand mon regard finit par s’accoutumer à la pénombre, et que je constate entre ses cuisses ses lèvres intimes rougies et gonflées, à l’instar de son anus lui aussi visiblement meurtri, ce sont les filets de sperme qui s’écoulent des deux orifices qui finissent de m’achever.
— Wow ! Bin dit-donc elle a pris cher Maman, dit une voix derrière nous.
Emma et moi nous retournons pour voir entre Léa dans le salon.
— On m’offre un café ? demande-t-elle sans quitter des yeux l’écran géant.
Emma se lève et embrasse sa soeur sur la joue.
— Hmm, tu sens la bite, dit Léa en rigolant et en me faisant un clin d’oeil, ce qui a pour effet immédiat de me faire décrocher de l’écran.— Ouaip, j’ai eu mon réveil express comme j’aime, répond Emma en faisant couler deux tasses.— Sacré bite qu’a Papa quand même, glisse alors Léa en regardant de nouveau l’image.— Ouaip, et il sait s’en servir ! lâche alors sa soeur sans se rendre compte de la bombe qu’elle vient de laisser tomber.— HEIN ?! s’exclame Léa en se retournant vers nous d’un coup.— Euh ... oui en fait je ... balbutie Emma.— T’as baisé avec Papa ?— Je ... Oui. 
Léa me regarde, je mets les mains en l’air pour dire que je ne suis pas responsable ( si peu ... )
— Léa je ... hésite à dire Emma.
Léa réfléchit un instant, pose sa tasse et regarde sa soeur en souriant.
— T’inquiète ma chérie , y’a pas de soucis.
Emma a l’air rassurée, passe à côté d’elle et l’embrasse encore.
— Tu sens toujours la bite, va te doucher soeurette !— Ok !
Emma pose alors sa tasse dans l’évier, dos à nous. Et Léa me fait deux signes l’un après l’autre.
Le premier, elle montre l’écran.Le second, elle fait le chiffre trois avec ses doigts.
Elle veut son père comme fantasme numéro 3.
Je reste assez bouche bée, mais il fallait s’y attendre, en fait.Et ma surprise aurait pu s’arrêter là.
Sauf qu’au moment où Emma va pour monter à la salle de bain, un gigantesque fracas retentit dans le salon. Un bruit d’explosion énorme vient de déchirer les enceintes, car le son vient de l’appartement de Greg.
Et quand on se tourne tous les trois vers l’image, celle ci tremble dans tous les sens, et l’écran devient noir.

( A suivre ...)
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