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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 24

Voyeur / Exhibition
Une petite voisine très surprenante ... 24


 Si Sarah et Greg n’avaient pas fait la grasse matinée, ça aurait probablement été bien plus grave. L’abruti de voisin de Greg avait décidé d’installer un jacuzzi lui-même dans sa salle de bain. Le modèle XXL. Il avait juste zappé l’étape "bureau d’étude" qui lui aurait signalé que le plancher, même en béton, n’était pas prévu pour un tel poids.
Alors quand les 6000 litres d’eau sont tombés en une seule fois dans le salon de Greg, ça à bien lavé son appartement. 
Nickel.
Sarah et Greg, bien que secoués sont arrivés une demi heure plus tard à la maison, et Greg et moi sommes retournés constater les dégats, assez énormes.C’était il y a deux semaines, et si j’ai pris le chantier après que l’assurance soit passé, on a aussi proposé à Greg de le loger dans la partie d’Emma de la maison des filles.
— Emma ne l’utilise plus ? a demandé Greg étonné.
Ne voulant pas qu’il sache que sa fille, son ex-femme et moi même formons un ménage à trois, Emma a botté en touche :
— Je suis quasiment tout le temps chez mon mec alors ...— T’as un mec maintenant ? s’est étonné son père, une pointe de jalousie dans la voix.
Et oui vieux, ta petite fille n’est plus disponible pour tes parties de baise incestueuses !
Je passe pas mal de temps sur le chantier depuis que le séchage est terminé, mais le budget assez conséquent va considérablement nous mettre à l’abri, tellement que j’ai même dû embaucher deux jeunes assez efficaces je dois avouer.
— Arrête de matter mes employés je te prie ma belle, dis-je à Sarah qui vient de passer en coup de vent m’embrasser.
— Fallait prendre deux moches dans ce cas ! me lance-t-elle en louchant sur les biceps gonflés de Juan.
Que dire ... Notre vie trépidante a repris son cours !

******

— Ça se passe bien ?
Ce matin c’est Greg qui me fait mon café. Une fois n’est pas coutume.
— Ça va ! C’est une colocation étonnante ici quand même.— C’est à dire ?— Bin, Sarah et toi en face, Léa ici, vous prenez vos repas ici et le plus souvent Emma se joint à vous ... Même Margaux aussi parfois !— C’est l’auberge espagnole en version famille étendue, lui répondé-je.— C’est tout à fait ça !! dit-il en trinquant avec son mug contre le mien. Mais dit-moi, poursuit-il, Est-ce que Emma et Margaux sont ...— Est-ce qu’elles couchent ensemble ? Ça leur arrive je pense, oui pourquoi ?
Greg semble surpris des penchants lesbiens de sa fille et de son ex-maitresse. Depuis qu’il est ici je ne crois pas que lui et Margaux aient remis ça.
— Non comme ça, enfin, c’est la jeunesse de maintenant !— Tu l’as dit, fais-je sans trop creuser la question non plus.— Salut les ancêtres ... nous lance alors une voix descendant des escaliers.
Si j’ai l’habitude de voir ma belle-fille au petit matin débarquer les yeux collés dans son pyjama, je crois que Greg, lui, ne s’y est pas encore fait. Car son visage a soudain l’air un peu gêné, voire même empourpré, et il détourne avec maladresse le regard pour ne pas montrer qu’il a vu la tenue nocturne de sa fille.
Car le pyjama de Léa, c’est tout un spectacle : le haut est un débardeur bien trop grand pour elle qui laisse bailler largement les ouvertures des bras au point que de chaque côté on peut sans soucis contempler ses tous petits seins qui pointent à travers le tissu dès le matin. Et le short n’est pas mieux : lui aussi très grand de taille pour la jeune femme, il est par contre très échancré et dès que Léa marche ou bouge, on peut aisément apercevoir sa petite chatte glabre...
Ça fait plusieurs matin que j’observe le manège de Léa et je pense pouvoir dire sans me tromper qu’elle allume Greg à mort. Celui-ci se lève à son arrivée, allant à la machine à café dos à nous.
— Dit-donc la gamine, c’est nous que tu traite d’ancêtres ?
Léa se colle à moi et mon tabouret, m’embrasse sur la joue et continue vers son père.
— T’as raison, à partir d’aujourd’hui je vais vous nommer vieux-beaux !— Merdeuse.
Elle rit, et vient à son tour se coller contre Greg, vraiment contre lui, ses seins le long de son bras et ses hanches contre sa cuisse. Greg, lui, s’acharne sur la Nespresso.
— Tu veux un coup de main, Papa ? minaude-t-elle bien trop.— J’trouve pas les dosettes !— Y’en a plus dans le pot, la réserve est au garage...— J’y vais !! s’exclame-t-il en partant d’un coup.
Je regarde Léa d’un air faussement réprobateur.
— Quoi ?— Le pauvre. T’as pas fini de l’allumer comme ça ?— Hi hi, non, j’adore, il est mignon quand il est gêné ...— Et ... tu comptes faire ce que tu m’as dit ?— Avec ton aide, oui !
Il y a semaines Léa m’a avoué qu’elle voulait que son père soit son fantasme numéro 3 :coucher avec un mec à la queue monstrueuse. Et depuis que Greg a emménagé, Léa s’en donne à coeur joie pour le chauffer. 
Greg revient du garage, les yeux presque collés au sol. Il fait couler trois cafés et s’assied lui aussi autour de l’îlot. Léa se lève, va cherche une banane dans la coup de fruits, et vient se rassoir sur un autre tabouret, juste à côté de Greg. Mais elle s’assied sur un de ses propre pieds : elle se retrouve donc une jambe pendante, l’autre repliée à l’équerre sous ses fesses. Et avec son short, autant dire qu’elle est littéralement la chatte à l’air juste sous les yeux de son père.
— Hmm vous ... avez un truc de prévu ce soir ? dit-elle en gobant voluptueusement un morceau de la banane.— Non.— Nous on pars en mini-week-end avec ta mère, répondé-je. On revient demain.
C’est presque vrai, on sera juste trois avec Emma.
— Dîner en tête à tête alors Papa ?
Greg lui sourit mais je sens bien que la gêne le bloque.
— Ok ma chérie ...— Ouiiiiii !! Alors ça sera barbecue !! Et piscine !
Rien qu’à imaginer Greg devant le bikini de Léa, j’en salive d’avance. Je pose ma tasse dans le lave-vaisselle et les laisse entre eux.
Deux heures plus tard, quand tout le monde est parti au boulot, je reviens dans la maison et pose trois caméras discrètes.
******

— Alors ? Tu crois qu’elle va le faire craquer ? me demande Sarah en se délectant de son plat qui, je dois le dire, a l’air aussi bon que le mien.— Moi je pense qu’il est mûr. Et puis je lui ai un peu mâché le travail ! lance Emma a son tour.
On rit tous les trois mais elle n’a pas tort. Et du coup je ne parviens toujours pas à comprendre la réticence de Greg, cette gêne alors qu’avec Emma il ... il ne s’est pas gêné, en gros. J’en parle aux filles.
— Je ne sais pas trop pourquoi, répond Sarah en premier. Leur physique différent, peut-être.— C’est sûr, confirme Emma : avec son corps d’ado il la voit encore comme sa petite fille.— Comment ça c’est passé la ... la première fois ? demandé-je à Emma. Tu ne nous l’a jamais raconté.— Oh c’est simple, il était sous la douche un jour, et j’étais passé le voir. Je l’ai rejoins, j’ai ouvert la porte en verre et je me suis mise à genoux devant lui. Le temps qu’il dise quoi que ce soit, j’avais sa bite dans bouche et ma main sur ma chatte !
Emma se redresse alors d’un coup, regardant autour d’elle pour voir si quelqu’un a entendu ses paroles. Ouf, non ! On rit de bon coeur à la fois de la situation et de l’histoire.
— Il faudrait peut-être ... piéger Greg ? suggère Sarah.— Naaann Maman, je crois pas. Elle va y arriver tu verras.
On nous débarrasse le plat et on attend les dessert.
— T’as commandé quoi ma chérie ? demande Sarah à sa fille.— Oh rien du tout, j’ai déjà mon dessert !— Ah oui et que ....
Emma ne laisse pas sa mère finir sa phrase. Elle regarde autour de nous une nouvelle fois et tel un chat elle glisse sous la grande nappe de la table où nous sommes installés.
— Emma tu ... ?!— Chuuut Maman ! lance Emma depuis le dessous de la table.
Je regarde Sarah en souriant, et malgré la gêne de la situation elle rit aussi avec moi. Quelques secondes plus tard, je la vois inspirer profondément et regarder de nouveau atour d’elle. De petits frissons la parcourent et peu à peu, je vois ses joues s’empourprer. C’est le moment que choisit le serveur pour revenir.
— Vous n’êtes plus que deux ?— Notre ... amie est ... sortie prendre l’air, répond Sarah visiblement déconcentrée.— Prendrez vous un dessert ?— Oui, le parfait pour moi.— Juste un café pour moi, dis-je à mon tour.
Le jeune homme s’en va et je constate que Sarah a de plus en plus de mal à ... donner le change.
— Tout va bien chérie ? Ta fille est-elle ... appliquée ?— Hnnnn je ... Ooooh ça oui elle ... Ahnnn ... elle s’applique ...
Je vois bien qu’elle se retient, mordant sa lèvre inférieure parfois, regardant un peu autour d’elle encore. Sa respiration est saccadée, irrégulière, et à travers le très fin tissu de sa robe noire, j’aperçois aisément que ses tétons pointent sans équivoque. Elle se contorsionne un peu parfois, me regardant en souriant légèrement gênée encore... Surtout quand le serveur vient déposer devant nous nos desserts.
— Hmmm elle ... Elle est diabolique ... me dit Sarah quand il s’éloigne.
Sa respiration s’accélère et entre deux soupirs, elle arrive à prendre une cuillère de son dessert...Elle attrape ensuite sa pochette sur la table, en sort un petit miroir de poche et me le tend.
— Re ... Mmmhh ! Regarde par ... Hnnnn ... par toi même ...
J’ouvre le petit miroir et le glisse sous la nappe, l’orientant jusqu’à ce que je ... 
Là. 
Emma est à quatre pattes sous la table. Elle a relevée sa robe et vu de derrière je vois sa main s’activer entre ses cuisses ouvertes, glissant ses doigts entre ses longues lèvres, tournant et caressant ... mais c’est juste un peu plus loin que le spectacle est total. La vue de trois-quart est simplement magique, et entre les cuisses largement ouvertes de Sarah qui a elle aussi entièrement remonté sa robe, Emma dévore la chatte de sa mère en lapant, léchant et détaillant chaque repli de son intimité.
Je vais de la vue du miroir à celle du visage de Sarah qui a de plus en plus de mal à contenir son plaisir, les vagues montant crescendo et dans le miroir la faim d’Emma ne semblant pas se rassasier, sa langue étrillant le clitoris gonflé de sa mère rapidement, durement.
Et quand je devine que Sarah n’en peut plus, elle se mord d’un coup la lèvre inférieure sans pouvoir retenir un petit et long gémissement étouffé, portant sa main à sa bouche elle s’accroche à sa chaise, tous ses muscles tendus dans un spasme retenu.
Elle reprend sa respiration, et Emma ressort de sa cachette lubrique aussi discrètement qu’elle y est entrée.
— Mmmh Maman j’avais trop envie de ça comme dessert, dit-elle en s’essuyant discrètement la bouche.— Tu ... Hmm, tu ne paies rien pour attendre, petite dévergondée !— Des promesses !rétorque Emma et nous partons à rire tous les trois.— Et bien, après ce très émoustillant spectacle, je vous en propose un autre, mais pour cela nous allons devoir monter dans la chambre que j’ai réservée car il n’est pas du tout pour "tout public".
Je sors alors mon téléphone, me connecte aux trois caméras que j’ai posées et montre les trois images en mosaïque aux filles.Elles découvrent ma nouvelle oeuvre d’espionnage familial : à l’écran, Greg et Léa sont autour du barbecue dans le jardin de la maison.
Greg est en short de bain torse nu, et retourne des morceaux de grillades une bière à la main.
Face à lui, Léa sirote un cocktail coloré en le regardant faire. Et le maillot qu’elle porte ne m’est pas inconnu : c’est le même modèle australien que celui que j’ai offert à sa soeur. Un micro-bikini blanc, constitué en haut de deux minuscules triangle et de la même chose en bas. Les trois pièces de tissu recouvrent à peine les deux tétons et le dessin de l’intimité minimal.
C’est obscène, et absolument renversant.
— Je vais signer la note, et on monte, Ok ?— D’accord, j’ai trop hate d’avoir le son, dit Sarah curieuse autant qu’Emma je crois.
Cinq minutes plus tard, nous sommes tous les trois sur l’immense lit de la suite, assis côté à côte en ayant juste ôté nos chaussures et on regarde avec le son cette fois le feuilleton qui se déroule à quelques kilomètres de là...

( A suivre ... )
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