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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 25

Voyeur / Exhibition
Une petite voisine très surprenante ... 25

— Tu veux te baigner Papa ?
Léa arrive a glisser en une seule phrase toute sa sensualité. Et son sex-appeal. 
— Il est mort, dit Emma les yeux rivés sur l’écran de la chambre. Elle va le baiser !
On a réussi à diffuser le contenu de mon téléphone sur le gigantesque écran plat qui trône au pied du lit, trois voyeur invétérés que nous sommes.Emma est allongée sur le ventre, à ma gauche, Sarah à ma droite. Si sa mère et moi sommes allongés normalement, elle s’est installée dans l’autre sens, sa t ête reposant sur ses mains, appuyée sur ses coudes.Mais surtout entièrement nue après avoir retiré sa robe, elle a fléchie les jambes et fait osciller ses pieds en l’air, juste à ma hauteur, révèlant entre ses cuisses lassez ouvertes la jolie toison presque blonde et l’intimité déjà bien ... titillée au resto.
— Ne raconte pas la fin du film Emma, taquine sa mère alors qu’à l’écran Greg termine de griller des légumes.— Putain c’est génial dit celle-ci. On dirait une télé-réalité mais de notre famille, Ben !! Y’a combien de caméras ?— Trois !— Trop bien ! Et regarde Maman, ça change tout seul de plan !— Tout seul ? 
CLAC ! Je fesse Emma gentiment sur son cul nu à ma portée.
— Heeeeey ! Aïe !!— C’est Ben qui ajuste les caméras pour nous sur son tel ma chérie, explique Sarah.— Ahnnnn okééééé ... Mais Hmmm !! Miam la fessée !! Je vais dire plus de conneries ! rigole Emma en twerkant sous nos yeux.
Tout le monde rigole du coup. Sarah me regarde et me fait un clin d’oeil avec son pouce levé. Bon point Spielberg ! Ou Marc Dorcel !

— Je ... je vais surveiller la cuisson chérie finit par répondre Greg quand Léa lui repose la même question.— Allez Papa, s’il te plaît viens te baigner, minaude littéralement Léa, la bouche en coeur sur la paille de son cocktail.
Greg pose ses ustensiles et coupe la cuisson.
— Ok ça va, t’as gagné.— Ouiiiiii !!
Léa pose alors son verre, et en deux pas elle se jette à l’eau, en se bouchant le nez. Quand elle ressort, de l’eau à la taille à l’endroit où elle se trouve, le spot de la piscine et ceux du jardin éclairent magnifiquement son corps de fine naïade en faisant onduler les reflets sur elle et sur tous les murs autour.
Mais surtout comme on pouvait s’en douter, son déjà minuscule bikini est totalement transparent. Sous les deux mini-triangles du soutien-gorge, ses mamelons se détaillent sans ambiguïté. Et sous la surface de l’eau, on en déduit aisément ce qui doit être visible...
Greg s’est assis sur la margelle, les pieds dans l’eau, et à la vue de cette vue ( Ha ha), je pense qu’il est à deux doigts de l’arrêt cardiaque.
—Oh, Wow ! Léa ton ... Hum ! Euh ... Non, rien ...— Quoi donc Papa ? surjoue alors Léa en s’attachant d’un geste les cheveux. Mon maillot ? Il ne te plaît pas ?— Si si, il est magnifique ma chérie mais ... euh il ... il n’est pas un peu ... transparent ? — Ah ?! Oh oui, fait-elle semblant de découvrir.
Léa se rapproche de Greg et celui-ci se redresse un peu quand elle vient s’appuyer dans l’eau sur ses pieds qui y trempent. Utilisant ses mollets support, elle se les calent sous les bras et se retrouvent ainsi portée par les jambes de son père dans l’eau.
— Hmm voilà, là c’est bien Papa comme ça ...
Greg ne dit rien, mais il est aisé de deviner ce qu’il pense. Léa est maintenue avec ses petits seins au fil de l’eau, face à lui, à la lumière franchement érotique d’une baignade nocturne.
— Papa tu ... tu as quelqu’un dans ta vie en ce moment ? Raconte-moi un peu, tu ne ... tu ne parles pas souvent de toi. dit Léa en se tortillant une mèche de cheveux.— Et bien ... Hum je ... c’est pas le genre de sujet qu’un père aborde avec sa fille en général donc ... — Ça vaaaa, j’ai plus douze ans, Papa. On peut parler de nos plans, vu qu’on doit être les seuls célibataires du quartier !— Ok oui, peut-être. Euh et bien ... Non, j’ai personne. Et ... et toi tu ...— Depuis quand ?— Quelques semaines, élude-t-il.— T’as pas baisé depuis des semaines Papa ?— Léa !! Quand même ! Je ... Tu ne peux pas ...— Mais quoiaaaa ?! Oh ça va Papa, arrête avec ça et soit cool !— Okay okay. Et bien oui, c’est à peu près ça. dit-il en se déridant un peu et finissant par sourire.— Moi je pourrais pas passer des semaines sans baiser, lâche alors Léa en changeant légèrement son angle de flottaison.
C’est à dire que jusqu’à présent, elle était accrochée avec les chevilles de Greg sous les bras et se laissait mi-flotter mi-suspendre...
Et là, elle se laisse un peu dériver, de plus en plus sur le dos, et se tenant encore par les mains aux chevilles de Greg elle se retrouve presqu’à l’horizontale à la surface, sa tête relevée regardant son père, ses petits seins affleurant en transparence hors de l’eau, et surtout désormais son joli mont de vénus, parfaitement dessiné dans le même tissu inutile puisque sa chatte lisse est totalement visible, ses grandes lèvres et les plus longues petites apparaissant écrasées sous le triangle entre ses cuisses.
— Elle était comment ta dernière copine ? demande alors Léa plus allumeuse à chaque ligne de dialogue.— Plus jeune que moi, rigolote, assez ...— Chaude ? glousse-t-elle sans changer de position.
Greg rit. Et léa aussi. La vue est torride. Léa flotte sur le dos dans son minuscule bikini transparent et Greg a beau être assis sur le rebord, les jambes dans l’eau avec sa fille qui se tient à ses chevilles, il ne peut plus dissimuler le début d’érection qui arrive.
— Papa ? ... y’a un truc que je voudrais te demander ...— Hmm oui bien sûr, quoi donc ?
Léa se mordille la lèvre inférieure ...
Est-ce que ... t’as une grosse bite ?Léa ! Euh ... et bien ... C’est juste pour savoir ... la plupart des mecs avec qui je sors disent tous qu’ils en ont une grosse mais bon c’est très variable alors ...Alors quoi ?Et bien ... ce que je vois, là, la bosse que tu ... que tu as, et bien elle a l’air plus grosse que la leur, donc ... d’où ma question !
Fin du raisonnement imparable et pervers de Léa : Echec et Mat, Greg.
Et bien ... Hum, euh oui, je ... je crois que j’en ai une assez ... grosse.
Léa se redresse alors dans l’eau, flottant à nouveau sur les jambes de son père.
—Je peux la voir ?
Greg manque de s’étouffer.
—Hum ! euh, non ! Léa ça ... non on ne peux pas ...—Allez ça va ... j’en ai vu d’autres ! C’est purement anatomique, s’il te plaît Papa !
Greg hésites, probablement une seconde de trop ...
— Bon Okay mais ...

Léa se rapproche alors du bord, s’accroche aux cuisses de son père et elle dégrafe le bouton de la braguette de son short déjà bien tendu.Les deux pans s’ouvrent d’un coup, libérant la longue et épaisse bite que Greg essayait de dissimuler jusque là ...
— OH la Vache !!! Putain elle ... Elle est énorme !! S’extasie alors Léa sans pouvoir cacher son ... intérêt.— Ha ha, oui ... hum, oui, peut-être, essaie de dire en riant Greg assez gêné.— Y’a des filles qui t’ont dit non en la voyant ?— Euh ... non ... jamais mais ...— Wow c’est ... commence Léa en tendant la main vers la queue dressée.— Non Léa ne ...— Je peux la toucher s’il te plaît papa ? Allez j’en ... j’en ai jamais eu des comme ça !— Euh je crois que ...
Léa ne lui laisse pas le temps de répondre et saisie de sa main l’énorme sexe tendu à 30 centimètres de son visage.
Ooooh Léa non je ... OH Wow Papa ! La vache elle ... elle est si large dans ma main !
Léa se retrouve littéralement accrochée au sexe de son père, et évidement elle se mets à le branler lentement, regardant l’épaisse trique durcir encore sous la caresse incestueuse.
—Ahnnn non Léa il ... ce n’est pas ...
— Je ne te plaît pas Papa ? Ou bien moins que tes copines habituelles, peut-être ? minaude-t-elle on continuant de masturber la grosse queue devant elle.— Si bien sûr ma chérie mais ... Hmmm, mais je suis ton père et ...— Tu n’as pas envie ? Envie de ... de moi ?— Bien sûr que si mais je ...
Léa ne le laisse pas finir.
— Moi j’ai très envie Papa ... Très envie de cette ... énorme bite ... l’aguiche-t-elle en le masturbant plus fort encore.— Léa je ...— Tu as envie aussi, pas vrai ? — Je ...
Léa approche alors sa bouche très près du gros gland violacé et souffle dessus.
— J’ai très envie de la mettre dans ma bouche Papa, s’il te plaît ...
Elle branle fermement l’engin, gardant sa bouche si près de cette énorme tige que son visage parait minuscule à côté ...
— Ok ... d’accord tu ...
Greg n’a pas le temps de terminer sa phrase. Léa engloutit d’un coup le tiers sa queue en ouvrant très grand la bouche. Sa mâchoire parait prête à se disloquer tant le rapport de taille est grand ...
— Ooooh ma chérie tu ... OOOOH !!!
Léa pousse alors son père qui s’allonge d’un coup sur la terrasse, les mollets encore dans l’eau. Elle est accrochée à ses cuisses en train du lui pomper la bite et à côté de moi je sens que la respiration de Sarah s’accélère. Elle replie une jambe, sa robe remontant le long de sa cuisse.
Je tend la main, et pose mes doigts sur sa chatte et sa douce toison encore humide du cunnillingus que sa fille lui a fait au restaurant. Trouvant son bouton je commence une ronde délicate ...
— Hmmm ... Mmmh Papa ta ... Hmm !! Ta queue c’est ... une folie !! lâche Léa avant de reprendre une fellation lubrique où elle essaye de s’enfoncer la plus possible l’énorme barre, poussant jusqu’à sa gorge, manquant de s’étouffer pour la reprendre et la sucer avec une voracité incroyable...— Oooh c’est ta bouche ma chérie qui ....— MHHH !!! Mmmmmmaaaaah !!! exulte alors Léa en furie sans cesser de branler le mandrin luisant de salive.
Elle se soulève alors d’un coup sur le rebord, et sors de l’eau, se retrouvant debout au dessus de son père, dégoulinante et trempée. Greg allongé est désormais vaincu, et au dessus de lui la pleine vue sur l’entrejambe de sa fille est juste irrésistible.
Léa écarte délicatement le mini-string, dévoilant sa chatte toute lisse, et tenant le petit bout de tissu d’une main elle suce deux de ses doigts puis les glisse entre des lèvres, les écartant sans pudeur...
A côté de moi, la respiration et les gémissements de Sarah se sont calés sur le mouvement de mes doigts ,sur et dans sa chatte qui elle aussi dégouline ...A peine plus bas à ma gauche, Emma aussi ondule des hanches, son bras glissé sous son ventre laissant apparaitre entre ses cuisses face à nous ses doigts enfoncés en elle...
— Elle va le faire ... dit cette dernière sans se tourner vers nous.— Oui ... feule à peine audible Sarah sous mes doigts ...
Et quand Léa se positionne au dessus du sexe de son père, pliant les genoux telle une danseuse , jambes écartées, debout, elle se baisse lentement, descendant jusqu’à ce que le gros gland soit tout contre ses grandes lèvres, puis un peu plus encore en laissant celles-ci s’écarter, doucement, savourant chaque seconde du passage de cette énorme queue dans cette vulve si étroite ... Le gland passe, puis rentre, écartant tout , distendant les chairs quand la large trique entre en elle.
Léa se laisse encore glisser, et glisser, jusqu’à ce que la queue de son père soit entièrement et profondément planté en elle. Accroupie les cuisses ouvertes et toujours campée sur ses pieds, elle se met alors à onduler doucement ses petites hanches, puis un peu plus encore ... et encore ...
— Oooh Papa c’est ... Aaahhh c’est énorme en moi je ... Aahhnnn !!!— Ma chérie tu ... Ooooh !
Léa commence alors à monter lentement et à redescendre d’un coup sur le sexe de son père, vision assez extrême je dois avouer de voir une si grosse queue dans cette petite chatte que j’ai pourtant souvent vue se faire prendre ... 
— Aaahnnn oui comme ça rentre, Rentre , Ahnn !! Oui !!! Aaah !! OUI !!!
La cadence de Léa accélère, mes doigts sur Sarah aussi tant elle s’est ouverte entièrement à ma main. de l’autre côté Emma recule alors d’un coup, et se replie, à genoux, ses fesses en l’air plus près de moi, cambrée à souhait tout en se branlant le clitoris ardemment. L’invitation est claire et ma deuxième main, libre, plonge sur sa chatte et s’y enfonce à deux doigts.
— Aaahhhnnn ouiiii !!!
Mes deux mains branlent, mes femmes ou en tout cas celles qui m’accordent leur faveurs sont à ma pogne, littéralement. Et à l’écran Léa ne retient plus sa fougue désormais et s’empale sans vergogne, s’enfonçant l’énorme pieu tout au fond d’elle puis pousse sur ses cuisses pour remonter et se laisser tomber encore, et encore ...
Les gémissement de la vidéo s’accentuent, se mêlent à ceux de la chambre jusqu’à ce qu’à un moment il soit impossible de les distinguer et qu’une seule longue plainte libère les trois femmes d’un plaisir inouï.

******


 Il est tard, le milieu de la nuit je pense, quand j’ouvre les yeux. Je m’extirpe d’entre les deux belles qui dorment à poings fermés et vais boire un peu d’eau. Par la fenêtre je distingue la lune haute, et me demande alors comment s’est fini la soirée de Léa.Quand j’attrape mon téléphone, je baisse un peu le son ne voulant pas réveiller mes deux dulcinées.L’écran s’allume sur les vues du jardin, rien, il est désert. Je bascule alors sur une quatrième caméra, que j’ai gardée pour moi tout seul, on ne sait jamais ... 
Et là, depuis l’écran du salon cuisine de la "maison des filles", la vision apparaît d’un coup, crue, brute, bestiale.
Léa est à quatre-pattes sur le tapis du salon, son cul en l’air cambré, sa poitrine et son visage collés au sol tandis que derrière et au dessus d’elle, son père s’agrippent à ses hanches et la prend brutalement.
J’entrevois à peine le visage de Léa qui repose sur le côté, secoué par les à-coups violents de la pénétration de Greg, ses yeux ouverts regardent dans le vide, l’air hagard. Sa bouche aussi est entrouverte, je crois même qu’un filet de salive s’en échappe et le petit corps de la jeune femme ressemble à une poupée secouée dans tous les sens ... 
Depuis combien de temps le laisse-t-elle la baiser comme ça ?Quand je vois que Léa semble articuler quelques mots, je monte à peine le son pour entendre ...Sa voix est rauque, lointaine, presque inaudible au milieu des grognements bestiaux de son père derrière elle.
— Hnnnnnn ouiiii ... Rhaaaaa .... encoooore ...
Les claquements des hanches de son père sur ses fesses martèlent l’air, mais c’est l’origine de ces sons, la vision de la scène, qui est encore plus crue, le corps massif de Greg accroché à la silhouette fluette de Léa paraissant presque contre-nature, comme un taureau qui s’accouplerait avec un petite biche.Les muscles massifs se contractent autour des deux mains calleuses qui retiennent le petit fessier, pour y enfoncer l’énorme bite qui ne semble jamais débander et la faire aller et venir en elle.
— Ahnnnn oui encooore ... NHhhhhaaaaaaa Ouiiiii !!!
On dirait presque que Greg enfonce sa fille sur lui, sur sa queue, tant elle parait légère, tant elle parait le laisser faire ce qu’il veut d’elle.
— Nhhhh ... ma chérie tu ... es si ... Hnnnn ... tu en veux ... Hnn ... encore alors ?râle presque Greg, sans ralentir sa cadence infernale.— AHNNNN OUiiiii Papaaaahhh !! Baise-moaaaaahhh encoooore !!!— Mmmh oui je ... je vais te baiser ma chérie, Hmph !!! je ... vais te baiser comme... tu veux ....
Léa tourne alors légèrement la tête en arrière vers son père qui pilonne sa chatte sans plus aucune retenue :
— Ahnnn oui Papaaaa ... Ravage-moi ... Ahnnn ... la chatte avec ... Hnnnn .... ta grosse queue, Ahh!! Vas-y fort !! N’aies pas peur !!!
Greg accentue alors ses à coups, comme si cela était possible.
—C’est ça qu’tu ... Hnnn, que veux ma puce ? Je n’veux pas ... te faire mal ...— Aaahhh oui Papaaaahhh !! Comme-ça !!! Fais-le !!! Défonce-moi !!! FAIS-MOI MAL !!!

( A suivre )
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