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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 26

Voyeur / Exhibition
Une petite voisine très surprenante ... 26


 Des bruits de clapotis délicats. Des baisers mouillés peut-être ? J’ouvre un oeil avec difficulté. Le jour transparait entre les volets. Je soulève un peu la tête et me tourne pour regarder Sarah et ...
Emma à les cuisses de chaque côté du visage de sa mère, et sa chatte posée sur sa bouche elle ondule doucement tandis que Sarah la lèche délicatement, sa langue passant lentement entre les grandes et les longues petites lèvres. Emma, un bras tendu vers l’arrière, caresse tout en douceur aussi la toison de sa mère, cuisses déjà grandes ouvertes offrant à sa fille son plaisir matinal.
Une belle journée qui commence.
******

— Ton père est passé prendre ses derniers cartons ?— Ouaip, me répond Léa en posant deux tasses de café sur l’îlot central. Hier, euh non ... avant-hier ! Il m’a dit de vous remercier mais je pense qu’il le fera aussi lui-même.— Cool.— C’est surtout vous deux qui avez été cool de l’héberger pendant les travaux.— Bah c’est normal...
Léa se penche au dessus de l’îlot et murmure comme une messe basse : 
— Pas tout à fait normal, non, cher beau-papa.
Et elle ponctue d’un clin d’oeil volontairement coquin. Prendre le café chez elle, en face de chez Sarah, Emma et moi, est devenu un genre de rituel matinal. Un moyen de ... maintenir peut-être le lien familial entre elle, sa soeur et sa mère. Je ne sais pas trop. Par contre ce que je sais c’est que Léa adore changer de tenue et que très souvent les pyjamas ou équivalent avec lesquels elle m’accueille sont aussi affriolant que variés !Ce matin ne déroge pas à la règle, et c’est une espèce de combi-short en pilou, dont le zip devant est ouvert à moitié, qui fait office de petit déjeuner visuel, nourrissant mes appétits matinaux bien aiguisés par les frasques de ma petite amie et ... de ma petite amie aussi, d’ailleurs.
— Dis-donc toi, tu n’aurais pas un truc à me dire ? tenté-je alors pour la faire parler de ce que je sais s’être passé il y a presque deux semaines.— Quoi donc ?— Fait pas l’ingénue, Léa.— Mais Quoiaaaa ? se plaint-elle en souriant.
Je la regarde en faisant une mine qui en dit long, ça la fait rire encore.
— Et puis comment t’es au courant d’abord !?
Là, c’est moi qui me met à sourire. Léa ne me laisse même pas répondre :
— Bon Ok ça vaaaaa... t’as gagné : Je l’ai fait, t’es content ?— Moi je m’en fous, c’est surtout à toi de me dire si ... t’es contente.
Léa se mordille la lèvre inférieure. Elle se penche à nouveau pour attraper sa tasse, faisant bailler ledit combi-short très moulantt et donc faisant apparaître un trop court instant ses petits seins aux aréoles si bien dessinées.
— Oui c’était ... génial. — J’imagine que ... vous en avez profité ... pendant cette semaine ?— Hmm mhh ... acquiesce-t-elle.— C’était conforme à ... ton fantasme ?— Plus encore, tu t’en doutes, fait-elle dans une moue mi-gênée mi-allumeuse. Mais peut-être que tu ... voudrais voir ?
Je marque un temps d’arrêt de surprise.
— Oh ?! Ah oui ? Tu m’intéresses ! Qu’as-tu à ... proposer ?— Et bien ... on s’est ... filmés ...— Tiens donc ?— Han han ...
Elle se balance légèrement, prend une gorgée de café et ne me lâche pas des yeux.
— Donc je réitère ma question : Voudrais-tu ... voir ?— Evidemment !— Et ... où sont Maman et Emma ?— Elle sont très occupées.— Alors viens.
Elle se lève, fait le tour de l’îlot, me prend par la main et m’emmène de son côté de l’étage.
******

— Monsieur est bien installé ? me demande-t-elle.— Parfaitement !
Etrangement, malgré que je sois l’auteur des travaux d’aménagement qui ont crée son espace à elle dans cette maison, je ne me suis jamais allongé sur son lit. Cette partie de l’étage lui est réservée, avec sa chambre, son dressing et sa salle de bain complètement séparées de la même distribution dans l’autre partie, pour Emma à l’origine mais désormais inhabitée. A part ces deux dernières semaines où on hébergé leur père.
— Alors ... commence une Léa quelque peu cérémoniale. Tu ... veux regarder sur le grand écran ou juste sur mon ordi ?— A y être, autant voir l’image en grand non ?— Je n’sais pas ... j’n’ai pas regardé.— T’as pas vu ton propre film ?— Non. Ça sera une découverte avec toi !
Je la vois alors lancer une vidéo depuis son portable sur le bureau. Quelques secondes plus tard l’image démarre sur l’écran géant au mur, et Léa saute sur le lit pour finir par s’assoir à côté de moi sur son lit. Nos jambes allongées et à demi-assis contre de gros coussins à la tête de son lit, le film amateur clignote un peu et finit par commencer, une image informe bougeant dans tous les sens pour finir par se stabiliser. C’est Greg, à poil, qui installe son téléphone pour filmer sur un meuble du salon, au rez-de-chaussée.
Dans le fond, Léa est installée assise, entièrement nue elle aussi sur le canapé, mais elle a posé ses pieds sur l’assise, ses jambes écartées, et elle se caresse sans aucune pudeur en regardant son père essayer d’immobiliser le téléphone.
— Viens Papa ... j’ai ... j’ai envie ... l’appelle Léa dans le film d’une voix presque plaintive et terriblement érotique ...
Sur le lit elle se tourne alors et vient se blottir contre moi, sans quitter l’image des yeux. Je passe mon bras par dessus ses épaules et ma main vient se poser sur sa hanche efflanquée. Elle la saisie aussitôt, et vient la reposer sur sa fesse. Je crois que le ton est donné.
— J’avais très envie comme ... tu peux le voir.— Han han... et c’était ... quand ?— Le deuxième soir.— Donc c’était ... votre deuxième fois ?
Léa tourne son visage vers moi :
— Non on ... on avait déjà ... passé la journée à ... à baiser, en fait ...— Oh je ... je vois ...— Il ... il est très endurant ... en plus de ... enfin de la taille de son... bref t’as compris.— Ne prends pas de gants avec moi, Léa
A l’image Greg s’approche d’elle , dos à la caméra. L’attitude qu’elle affiche, sa main masturbant lentement sa chatte glabre ainsi exposée, est des plus perverses.
— Okay. Alors ... en fait le premier soir il ... m’a baisé une grande partie de la nuit et ... après avoir dormi, je sais pas, peut-être 4 ou 5 heures, je me suis réveillée et il bandait tout en dormant.— Dans ce lit ?— Oui. Juste là où tu es. Alors quand je suis revenue des toilettes, il ... c’était impressionnant tu vois ... donc je ... je me suis approché , et j’ai commencé à la sucer , dans son sommeil ... Bien sûr ça l’a réveillé. Et ... on a remis ça, encore.
A l’image, Greg se tient maintenant devant elle et Léa a simplement pris sa queue dans ses mains pour se la mettre dans la bouche.
Dans ses
mains.
— C’est à dire ? Décris-moi, la suite de ce matin-là ... l’invité-je en regardant en même temps la scène à l’écran.— Et bien il ... s’est réveillé, et j’avais sa ... bite dans la bouche, je le branlais en même temps. Il n’a rien dit et ... moi non plus en fait. Je suis montée et ... je me suis mise sur ... sur lui. Il est rentré, d’un coup ou presque. Faut dire que je commençais à ... m’habituer à son diamètre depuis la veille. Et moi et bien ... j’étais trempée, quoi !— Même après avoir baisé presque toute la nuit ?— Ooooh putain oui ! Et j’avais encore grave envie de son ... engin ... — C’est quoi qui t’as le plus fait jouir ? La taille de sa queue ou bien que ce soit ton père ?
A l’écran elle avale l’engin avec envie passionnée.
— C’est vrai, poursuit Léa, que sa queue est vraiment énorme. J’veux dire, regarde quoi ! Mes mains elles n’en font pas le tour ! Mais oui y’a ... aussi l’interdit qui ... qui joue aussi ...
A l’écran, la voracité de Léa est torride, et elle se délecte, ses gémissements le prouvent, de sucer à grandes lampées de langue, bouche et mains le sexe large et dur qui lui est offert.
— J’ai ... Hmm ... putain, que c’était bon de le sucer ... La largeur de sa queue qui ... m’écarte la bouche, cette sensation d’être ... envahie...
Ma main sur sa petite fesse bouge à peine, juste une légère caresse du pouce. L’image change, au moment où je vois Greg reculer, et Léa se retourner alors sur le canapé pour se mettre à quatre pattes, dos à lui, appuyée sur le dossier.Elle se cambre pour lui offrir ses reins, pour qu’il n’en rate pas une miette. Sa chatte est totalement exposée, entre ses cuisses maigres juste en dessous de son petit cul chétif.
— Tu la veux encore, n’est-ce pas ma chérie ? l’aguiche alors son père à l’image, en tapotant son sexe sur le petit cul rebondi.— Hnnnn, tu ... tu sais bien que oui, Papaahhh ... minaude-t-elle.— T’en n’a pas eu assez encore ? 
A l’écran Léa attrape alors ses fesses avec ses mains et les écarte en grand . Sa sublime chatte lisse s’ouvre, béante au regard de son père et aux nôtres ... Elle la lui offre ainsi, appuyée visage et poitrine contre le dossier, à quatre pattes exposée dans une posture on ne peut plus dépravante.
— Ahnnnn ... non Papa j’en ... j’en veux encore ... Viens ... viens me défoncer la chatte ... avec ta grosse bite ...
Et là Greg a à peine posé le gland sur l’orifice qui lui est si facilement offert, qu’il pousse sa queue entièrement au fond ... lentement, mais sans s’arrêter. Et contre moi je sens Léa se contorsionner légèrement, respirant plus profondément sans quitter l’écran des yeux.
— Mmmh oui regarde, regarde-le s’enfoncer en moi ...
Elle bouge à peine mais je sens bien qu’elle voudrait ... plus. Je scrute un peu plus sa tenue, là en dessous de moi et, lorgnant franchement dans l’ouverture que fait la fermeture éclair de son combi-short. je vois qu’elle l’a même ouvert un peu plus et la vue plongeante que j’en est est délicieuse : sous son cou, les deux pans s’évasent et sa toute petite poitrine apparait, fraîche et à peine dessinée, les mamelons semblant apprécier le film vu que les deux jolis tétons ont durci et pointent à l’air, presque libres. Et en continuant un peu plus bas, j’arrive à voir jusqu’à son nombril et même ...
Un cri à l’image, puis des gémissements me sortent de mon voyeurisme : Greg intensifie la cadence et se cramponne aux hanches de sa fille sans se soucier de l’aspect fragile que sa petite taille et sa minceur peuvent donner ...
— On dirait que voir ça te plaît non ? lui demandé-je alors.— Hnnn oui j’avoue que ... ça m’excite assez ... et toi ?— Oui c’est excitant bien sûr ...
Léa tourne alors son visage et lève les yeux vers moi.
— Ah Oui ? ... donc ça t’excite toujours de ... me voir avec ... d’autres ?— Oui.
Elle jette un oeil à l’image entendant ses propres gémissements s’amplifier, rythmés par les claquements du bassin de Greg sur ses maigres fesses qu’elle lance vers lui, venant s’empaler d’autant plus fort sur la trique infatigable qui la pilonne ...
Léa s’appuie alors un peu plus contre moi, et regardant mon torse elle se met à promener son index dessus, descendant le long de la ligne médiane elle parvient jusqu’à mon short, et se met à dessiner un rond autour de la bosse qui s’y est formée. Elle se redresse légèrement, remontant vers moi, et approchant un peu plus son visage de mon oreille, elle murmure d’une voix lascive :
— Tu aimes le voir me baiser comme ça ? insiste-t-elle sur le terme, comme elle sait le faire pour me rendre jaloux.— Oui.
Elle caresse fugacement l’érection que je ne contiens plus sous le tissu tendu. Et l’entendre gémir de plus belle dans le téléviseur ne m’aide pas.
— On dirait que ça te fait bien bander de le voir me faire crier comme ça ...— Hmm mhh ...— Tu entends comme il me fait gémir ?
Elle n’attend aucune réponse, et me déboutonnant d’une main experte elle libère d’un coup mon sexe, écartant les deux pans de tissu. Léa se saisit sans hésiter de mon sexe dur et le serre assez fort.
— Mmmh oui, tu bandes bien en effet ...mais regarde ... tu vois sa queue rentrer en sortir de ma chatte ?— Oui. C’est pour ça que tu voulais faire ce film non ? pour ... me le montrer ?— Oui mais ... Et bien ... Ça a duré toute la semaine comme ça en fait ... et ... 
Elle serre et branle lentement ma queue, la fait osciller légèrement, puis reprend ses murmures lascifs presque dans mon oreille :
— Y’a pas qu’un film, y’en a des heures ... je l’ai laissé me baiser toute la semaine, chaque fois qu’il en a eu envie ... Tu vois il ... il a tout le temps envie, en fait, comme le matin au réveil, il n’attendais même pas que je me réveille parfois et me léchait, puis me prenait comme ça, directement, écartant juste mes cuisses pour venir s’y glisser et m’enfoncer sa grosse bite tout au fond de moi ...
Sa voix près de mon oreille, sa main sur mon membre , se font plus agressives ... Ma main sur ses fesses, elle, malaxe le rebondi ferme de ce cul dont chaque fesse tient dans ma paume.
— Si j’étais levée, il venait me rejoindre sous la douche par exemple, et sans dire un mot il se mettait derrière moi, ses mains sur mes hanches. C’était comme un signal et ... je me penchais jusqu’au sol ensuite pendant qu’il glissait sa queue entre mes fesses, tu vois en ... écartant mes grandes lèvres avec son gland. Et il l’enfonçait ensuite, lentement, puis se mettait à aller et venir assez vite, sèchement tu vois ? Comme il est en train de le faire là ... Mhnnnn, et moi je criais ... j’ai pas arrêter de crier toute la semaine ...
Elle me branle de plus en plus fort maintenant, et ses mots si proches, si jalousants, se mêlent aux cris et aux images pornographiques que l’écran diffuse : Léa s’y donne sans aucune retenue, criant son plaisir au rythme des coups de reins de Greg, cambrant son cul auquel s’agrippe son père pour littéralement se l’enfoncer sur la bite, en tirant sur le corps que Léa offre à sa frénésie.
— Tu ... Hmm ... tu vois comme sa queue élargit ma chatte ? reprend-elle de sa voix salace. Regarde, on voit comme je suis trempée, je coule littéralement chaque fois qu’il la rentre et qu’il la sort ... Et tu vois comme ... il m’ouvre, il m’écarte carrément ! Attends, remonte ta main là, plus haut ...— Je ... où ça ?— Là, dit-elle en lâchant d’un coup mon sexe, puis elle attrape ma main et la remonte presque à sa taille ... 
Où elle tombe sur des boutons pressions.
— Défais les boutons ... m’ordonne-t-elle à l’oreille en reprenant sa masturbation très lentement.
Les quatre pressions sautent et, tournant la tête , je vois un pan de l’étoffe glisser et dévoiler une ouverture exactement au niveau de ses fesses ...
— Touche-moi, là ... Touche.
Je me lance à la rencontre si souvent désirée, ma main passe dans l’ouverture, caresse ses fesses entre lesquelles mes doigts se faufilent, survolant l’oeillet plissé, et arrivent enfin à leur but, effleurant la tendre chair humide ...
— Hmm ... oui ... touche-moi, me souffle-t-elle presqu’imperceptiblement . Ahnnnn ... rentre-les, vas-y, me pousse-t-elle en accentuant sa prise sur mon sexe.
Et à peine mes phalanges bougent-elles qu’elles s’insinuent entres les lobes délicats dans la fente clairement trempée.
— AAhhnnn ouiiii ... Oui, fais-le, découvre-moi ... plus encore, vas-y ...
Obéissant, mon toucher se rassemble et un devient deux, puis sans crier gare c’est trois doigts qui s’enfoncent entre les longues nymphes de Léa ...
— Aaahhh oui, là ... Ahhh ... rentre, rentre-les, tu peux ... Il m’a ... il m’a tellement élargie la chatte que ... Haaaaaa ... s’interrompt-elle lorsque je m’enfonce en elle de l’index à l’annulaire
Son corps frêle et mince abrite désormais entre ses cuisses une antre de plaisir ouverte à tous les vices. Et ma main amorce une ondulation profonde tandis que Léa suit de ses hanches, le plaisir de mes doigts en elle la troublant dans sa poigne intense...
— Ahnnnn oui ... Oui branle-moi, Haaaaa ... branle-moi la chatte mon beau, gémit-t-elle plus fort sa main serrée coulissant de plus belle autour de ma queue.
Sa voix ici se mêle aux cris qui sortent des enceintes et inconsciemment, mes doigts entrent en rythme avec les coups de reins que Greg donne à sa fille en la faisant pousser des râles lubriques plus que des gémissements. Les hanches de Léa, blottie encore plus fort contre moi, s’enroulent en même temps que mon poignet la fouille comme si je voulais entrer en elle, comme si je ...
— AHNNNN Ouiiii ... Ahhhh putain tes doigts je ... 
Elle pousse du cul vers ma main, cambrant, ondulant plus vite, plus loin ...Sa main branle, s’agite, tire ma queue et l’agace encore ...
— Aaahhhhh je ... je ...— JE DERANGE ?
Tout s’arrête, net.Le temps est stoppé, suspendu à cette voix.
Seuls les cris de Léa dans la vidéo continuent de remplir la pièce d’une manière qui parait encore plus obscène désormais.
Emma se tient dans l’embrasure de la porte, une main enfoncée sous l’élastique de son jogging.

( A suivre ... )
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