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Une petite voisine très surprenante ...

Chapitre 27

Chapître Final.

Voyeur / Exhibition
Une petite voisine très surprenante ... 27- Chapître Final.

— JE DERANGE ?
Emma se tient dans l’embrasure de la porte, une main glissée nonchalamment sous l’élastique de son jogging.
— Sympa la sextape amateur, Soeurette ! dit-elle en jetant un oeil à l’écran un instant puis en revenant vers nous.
Léa est comme figée, mon sexe toujours dans sa main et ses yeux rivés sur sa grande soeur dans l’embrasure.
— Eh, zen Léa, c’est pas comme si personne ne savait que tu t’amuses un peu avec notre mec depuis des semaines !
A cet instant, Léa lâche mon sexe et se redresse un peu sur le lit. Perso, je n’ai aucune raison d’intervenir dans ce qui pourrait donner une situation assez cocasse ... Emma s’approche, fait glisser son large jogging au sol d’un coup, exposant ainsi sa jolie toison. En l’occurence, juste sous mon nez.
— Ah, voilà c’est plus confortable comme ça !—Je suis ... désolée, Emma si ...— Heeey j’t’ai dit qu’il n’y a pas de soucis ! Allez, faites-moi de la place les branleurs ! dit-elle en nous poussant pour s’assoir près de moi au bord du lit. 
Et tout en fixant sa soeur elle reprend en main mon sexe comme si de rien n’était. Elle lorgne un coup du coin de l’oeil la vidéo et reprend :
— Hmm dis-donc Soeurette t’encaisse bien quand même, la queue de Papa c’est pas une brindille ... Mais tu vois, en fait, on ... finit par presque s’en lasser...
Emma sourit à Léa qui réalise ce qu’elle veut dire.

— Oui ma chérie, en effet moi aussi je me suis tapé Papa. Bien que ... moi, c’est dans le cul qu’il adorait me la mettre, pas vrai mon beau ? me demande-t-elle de confirmer ...— Tu ... il t’a ... et toi t’étais ....— Eh Léa, sérieux, finis tes phrases, se moque Emma. Oui je me suis faite sodomiser par Papa, et plutôt deux fois qu’une, et oui Ben et Maman étaient au courant, explique-t-elle en évitant les détails de voyeurisme et de caméra.
A l’écran et dans les enceintes, Léa gueule son plaisir autant en cris qu’en paroles bien vulgaires à l’adresse de son père.
— Mmh ... je ne sais pas vous mais moi ça me chauffe un peu de te voir te faire baiser, alors si ça ne te dérange pas ...
Emma se redresse, se lève du lit et ramasse son jogging pour l’enfiler d’un bond ou presque.
— ... je vais emmener mon mec chez moi et me faire baiser par lui et sa femme, termine-t-elle en me reprenant par le sexe et en me tirant vers elle.
Et sur le lit, à demi débraillée dans son pilou très sexy, Léa nous regarde sans rien dire sortir de sa chambre, avec derrière elle son image pornographique qui continue ses galipettes et ses incitations salaces envers Greg. 
L’air que Léa arbore, agenouillée sur le matelas est assez nouveau, et plutôt ... revanchard : elle est surprise, prise sur le fait et surtout frustrée.

******


— Ça n’est pas un question de fidélité Léa, c’est une question de loyauté. Tu as été prise à ton propre jeu, soit fair-play un peu !
C’est assez rare que Sarah prenne ce ton maternel mais directif avec ses filles pour être souligné. Debout entre elles deux, autour du bar, la petite discussion familiale du soir est assez intéressante, je dois dire.
— Que tu demandes un coup de main à notre mec pour organiser tes ... petits amusements, c’est une chose. Que tu l’allumes, aussi, comme ça on en profite, poursuit-elle en faisant un clin d’oeil à Emma. Mais que tu fasses des trucs dans notre dos, ça c’est pas cool.— Mais je ...— Tu sais que c’est pas cool, répète Sarah.— Han haaaan ... rumine Léa, l’air presque ... contrit.— Fais pas la gueule, taquine Sarah en lui tapotant du dos de l’index le sein gauche.— Hey ! s’exclame alors Léa en en riant d’un coup. Pas mon nichon quand-même !
Bon l’ambiance à viré positive, tant mieux. Je sirote ma bière sans compter les points de ce petit match amusant.
— Est-ce ... t’es jalouse qu’on vive à trois avec ... ta soeur ? lui demande Sarah.— Non, c’est pas mon ... trip de vivre avec quelqu’un.— Ça t’arrivera peut-être, surement, même.— J’ai trop envie d’expérimenter pour ... vouloir me caser avec un seul mec ou ... une fille.— Ah! Tu vois je te l’avais dit qu’elle aimait aussi les meufs ! s’exclame Emma en regardant sa mère qui sourit aussi.
Chacune plante ses lèvres tour à tour dans les verres à cocktails colorés que je leur ai servis.
— J’aime bien cet apéro ... mise au point, dit alors Léa.— On peut clarifier encore plus, si vous le souhaitez, proposé-je alors.
Leur trois mines interrogatives en demande un peu plus.
— Et bien on peut faire un jeu de questions, tournantes, chacun pose une question au suivant, et on y répond franchement, sans réfléchir.— Cool !— Vendu !— Feu ! Qui commence ? demande Sarah.— Moi ! répond Emma en se tournant vers sa soeur. Ça te fait quoi que je couche avec Maman et Ben ?
Elle mets dix secondes à réfléchir, boit une gorgée et se lance :
— Au début c’était bizarre mais ... au fur et à mesure que j’ai commencé à expérimenter de mon côté j’ai un peu compris ce qui te ... plais là-dedans.— Ok. Donc ça n’te fait rien maintenant ?— Si ... un poil de jalousie, mais surtout ça me ... m’excite un peu quand j’y pense, finit-elle par lâcher. Mais c’est une question chacun, alors à mon tour ! Pour toi : Toi tu en ... retires quoi ?
Emma nous regarde et se lance à son tour :
— Du plaisir. Permanent, sans avoir à réfléchir, en liberté, bref ... que des avantages.— Mais ça te plaît tant que ça d’être ...
Emma coupe la parole à sa soeur :
— Soumise ? A leur dispo ? Si tu regardes bien, ils le sont autant que moi, au final. Mais oui, j’aime ça.
Les deux soeurs sourient en connivence. Puis se tournent vers moi. Aïe ...
— Ben, es-tu ... amoureux de Maman, d’Emma ou des deux ? Lâche alors Léa.— Amoureux de Sarah. Attaché à Emma. Attiré par toi.
Cette fois ce sont les trois femmes qui se regardent. Et c’est à mon tour de poser ma question.
— Léa, pourquoi avais-tu besoin de mon aide pour ... réaliser certains de tes envies ?— J’osais pas.— Et maintenant ?
Elle sourit sans répondre. Il n’y en a pas besoin, en fin de compte. Désormais Léa osera faire tout ce qu’elle veut. Sarah prend la main :
— Ma chérie, demande-t-elle à Léa, tu ne te sens pas trop seule dans cette maison depuis qu’Emma ...— Et bien puisque tu en parles ... J’aimerai proposer à Margaux de louer la partie d’Emma. C’est la seule qui comprenne notre ... nos délires, à tous. — Et t’aimerai bien fourrer un de ses gros nichons dans ta bouche hein ? lance alors Emma.
On éclate de rire en trinquant de nouveau. Il n’y aura même pas besoin de vote pour que l’idée soit acceptée.
— Maman ... ? demande alors Léa, tu crois que Ben sera ton ... dernier petit ami ?
Elle me regarde avec ses grand yeux si assurés et se tourne de nouveau vers sa fille.
— Petit ami je ne sais pas, mais mari, c’est sûr !
Là c’est moi qui sursaute.
— Tu veux ...? parviens-je à peine à dire.— Bah oui. Tu veux m’épouser, Ben ?— Evidemment !
Les deux filles lèvent en même temps les bras en l’air en signe de victoire et hurlent à cris stridents le début de ce qui, je crois, va être une nouvelle vie ...

******


— Bonjour Madame, fais-je en contemplant ma nouvelle épouse à la lumière tropicale qui darde à travers la baie vitrée de la suite de rêve.— Bonjour mon mari, répond Sarah tout simplement.
Dehors, le soleil a l’air haut et donc le jour s’est levé depuis un moment sur la villa que l’on occupe depuis une semaine.
Un coup de chance, une trouvaille, une villa sur une île paradisiaque accrochée à un éperon rocheux. Juste devant une plage privée de sable fin, de toute façon la maison est à des kilomètres du premier village, loin des circuits touristiques habituels.C’est Emma qui a dégotté ce séjour en dernière minute sur internet et on s’est dit que ce serait idiot de ne pas en profiter. En 48h les bagages avaient été fait pour nous cinq.
Oui, nous cinq.Car ça fait maintenant presque un an que Margaux a emménagé en face, en colocation avec Léa, enfin ... au début en tout cas.
Entre le mariage avec Sarah, mon taf qui ne marche que trop bien, ceux des filles qui sont tout aussi prenants, et l’arrivée de Margaux, l’année a été plus que chargée.
Alors ce voyage a le mérite de palier à tous les désirs : voyage de noces, vacances familiales, et repos mérité pour toutes et moi.
Sarah me sourit en émergeant doucement, s’étire, faisant glisser le rap léger sur son corps qui se retrouve dénudé. Ses seins libérés apparaissent à ma vue, magnifiques et lourds, me donnant envie immédiatement de les prendre dans mes mains ... ce que je fait aussitôt.
— Hmmm tu ... n’en a pas eu assez hier soir ? dit-elle quand ma bouche engouffre son mamelon presque en entier.— Mmmh je ... j’en aurai jamais assez ...— Hnnn ... des promesses ...— Tu verras bien, fais-je en passant à l’autre large aréole.— Ahnnn je ... j’attends des preuves, en effet mais ... tu as vu ou entendu les filles ?— Non, dis-je en me relevant sur un coude et en jetant un oeil à l’autre partie de la suite, derrière une arche et un rideau pluie en bois.
Les deux autres grands lits sont vides.
— Tu crois qu’elles nous auront préparé le petit déjeuner ?— J’espère bien, je meurs de faim ! s’exclame alors Sarah en se relevant presque d’un bond.
Entièrement nue dans un rayon de soleil, la vue est sublime. Je me lève à mon tour et la suis vers la grande pièce, dans le plus simple appareil comme elle.
— Ah ! V’là les jeunes mariés ! lance Emma tout en continuant de presser des oranges devant cinq verres alignés. J’ai cru que j’allais devoir venir vous réveiller, bande de marmottes !
Elle lâche son affaire un instant et fait le tour du comptoir en pierre. Et si maintenant j’ai pu, je crois, contempler son anatomie sous toutes les coutures possibles, je dois avouer que la voir ainsi , entièrement nue elle aussi, venir embrasser sa mère de la manière la moins familiale qui puisse exister est encore et toujours un délice.
Si Sarah travaille son bronzage depuis que nous sommes arrivés, avec désormais un hâle magnifique qui donne à ses formes callipyges la couleur d’un joli biscuit, Emma, elle, comme sa génération y est plus encline, a choisi de se protéger du soleil et a gardé son teint d’albâtre que j’adore autant.
Les regarder s’enlacer, et s’embrasser langoureusement, dans une double vue d’arômes, comme si la vie m’accordait encore une fois le délice de ne pas avoir à choisir, est un trop court plaisir de voir leurs physiques si proches, si ressemblants, et si à mon goût.

Les mains d’Emma posées sur les hanches de sa mère, celle-ci a baissé la tête pour atteindre les lèvres de sa fille et faire rouler sa langue sans pudeur dans sa bouche tout en caressant le gros sein blanc dont elle s’est saisi. Leurs poitrines opulentes se pressent l’une contre l’autre, écrasant avec douceur le moelleux délicat.
— Hmm bonjour Maman ... dit alors Emma en se mordillant la lèvre.
Elle jette alors un oeil vers moi, enfin, surtout vers mon entrejambe. 
— Si on continue je crois que Ben va bander pendant tout le petit déjeuner.—Ça ne serait pas pour me déplaire, rétorque Sarah en souriant puis en l’éloignant de l’étreinte filiale.
Emma retourne à son presse-agrume et je vais faire couler des cafés tandis que Sarah sort vers la terrasse en m’hypnotisant presque du balancier que font ses fesses.
Cette nudité permanente s’est établie assez rapidement et naturellement je dois dire. Dès le deuxième jour, Emma nous avait ainsi accueilli dans le grand salon-cuisine tout ouvert par des baies vitrées sur le jardin et au delà, la plage.
— Y’a que nous à des kilomètres, ça vous ennuie ? avait-elle simplement demandé à la cantonade.
Pour toute réponse, nous avions tous quitté les maillots de bains, bikinis et autre petits vêtements que nous portions encore et la villa s’est transformée en camp nudiste.
Je regarde Sarah sur la terrasse rejoindre Léa et Margaux qui sont allongées sur deux transats, dos à moi. Je ne devine au dessus des dossiers inclinés que leurs coiffures, en queues de cheval blonde et brune. Ma femme est magnifique, debout face au soleil de l’hémisphère sud. La lumière se pose sur sa peau qu’elle commence aussitôt à huiler avec un spray posé à côté des filles. Je détaille en voyeur que je ne cesserai jamais d’être ses formes si désirables qui font naître chez moi des envies aussi érotiques que perverses.
Ses seins magnifiques en forme de poire allongée, pendants lourdement de leur galbe gourmand au dessus d’un ventre rebondi et alléchant. Ses bras potelés qui s’agitent tandis qu’elle étale le liquide visqueux partout, n’oubliant aucune zone de sa peau fine, cette peau de quadra comme moi, mais plus légère qu’une feuille et douce comme le vent, complètement différente de celle de ses vingtenaires de filles.
Mon regard continuant de descendre ne peut résister à se figer sur son entrejambe, glabre pour ce séjour en l’occurence, qui laisse apparaître mon dessert favori, deux immenses nymphes, deux longues lèvres charnues dépassant des grandes tel un petit fruit mûr recroquevillé sur lui même.
Et quand elle se tourne pour s’assoir sur le premier transat à côté de Léa, c’est pour que celle-ci étale l’huile parfumée dans son dos en terminant, pour le moment, ma session de voyeurisme matinale.
— Quand t’auras fini de te rincer l’oeil tu m’aideras à porter tout ça ? me-dit alors Emma en me sortant de ma fixation.— C’est votre faute si je me rince l’oeil, on est à poil tout le temps !— J’aime comme tu nous dévore du regard. Surtout ... Maman. On dirait vraiment que tu veux la manger ! finit-elle en riant et en me tendant les verres.— Le p’tit dej est prêt ! lancé-je alors aux autres trois naïades.— Oh l’autre hé ! c’est moi qui ai tout fait ! s’écrit en riant Emma, spoliée.
Sarah se lève en premier, féline, et vient vers la grande table. Et ma vision ne pourrait pas être plus divine : Océan indien, plage, soleil, puis mon épouse nue qui marche vers moi, et là juste à côté de moi sa fille, notre maîtresse incestueuse à tous les deux, toute aussi nue qui la regarde venir avec désir.
Non, ça ne pourrait pas être mieux. Enfin, si ensuite Léa et Margaux ne se levaient à leur tour ...
Margaux, l’amie d’Emma et de Léa qui a fini par venir habiter la maison d’en face, et a rejoint cet espèce de cercle familial assez pervers je dois le reconnaître.Margaux leur confidente, aussi délurée qu’elles, voire plus, jeune femme au caractère trempé et aux envies les plus folles, au corps assez proche de celui d’Emma et quand je la regarde, là à cet instant, marcher d’un pas félin elle aussi en exhibant tout aussi fièrement que Sarah et Emma sa nudité elle aussi totale, les petites différences physiques d’avec son amie apparaissent. Les seins de Margaux sont plus lourds, pendant encore plus que ceux d’Emma bien que l’on dirait que leurs poitrines à elles deux ont été dessinées pour mon propre goût : des seins gros et lourds qui s’affaissent délicieusement vers le sol, naturellement, loin des clichés de bimbos d’Instagram.Et si les aréoles sont aussi larges chez l’une que chez l’autre, la couleur rose pâle de celles de Margaux lui donnerait presque un air fragile. Emma est aussi plus ronde que Margaux, callipyge comme sa mère, et les fesses de Margaux toutes menues sont, je dois le dire, un monument de petit plaisir sexuel. La blonde et frêle est aussi désirable qu’elle veut l’être, puisque pour ce voyage elle a choisi d’arborer comme Emma une toison fournie, vraie foufoune blonde contre celle châtain de sa meilleure amie.
— Hello beau gosse, bien dormi ? me lance-t-elle en arrivant à table, d’une voix suave et ... peu équivoque.— Eh les filles, rétorque aussitôt Sarah. Laissez-le donc un peu reprendre des forces si vous voulez pouvoir profiter de son joujou comme hier soir, lâche-t-elle en effleurant de sa main mon sexe qui, jusqu’à présent, avait réussit à rester mou. 
Jusqu’à présent et jusqu’à ce que Léa se lève et vienne elle aussi rejoindre la table familiale.
Un peu comme dans certaines scènes de cinéma, où on voit tout au ralenti... 
Léa a gardé elle aussi sa peau blanche, la protégeant du soleil autant qu’elle le peut, mais sans pour autant porter elle non plus un seul vêtement depuis notre arrivée : ma seconde belle-fille est, comme nous quatre, elle aussi entièrement nue, promenant son petit corps mince et taillé à la serpe sur les lames de la terrasse. Ses petits bras fluets, ses jambes filiformes sont tout aussi agréables à regarder que les formes fastueuses des trois autres sirènes. Léa a finit par assumer son corps juvénile et ses désirs, ses envies, et cela se lit aussi sur son visage, plein de confiance en elle et souriant. 
Léa est, à la base, l’opposée de sa soeur, sa mère ou de Margaux sur le plan physique, ses petits seins presque plats contrastant avec les mamelles généreuses des trois autres, ou son minuscule cul avec ceux rebondis des trois furies, entre autres choses ...
Mais à cet instant où je l’observe sans gêne, marcher vers la table, détaillant à son tour ses formes acérées, fugaces presque, notamment cet espace extraordinaire qui existe entre le haut de ses cuisses, laissant la lumière passer et laisser souligner les détails de sa chatte parfaitement lisse, c’est surtout juste au dessus que mon oeil est attiré.
Car ce dont je ne me lasse pas, c’est de voir le ventre rond jaillir de ce frêle corps, de voir les 8 mois de grossesse de Léa onduler avec ses pas et venir s’attabler avec nous quatre.
— Hmmm putain je mourrais de faim moi ! s’écrit-elle en se jetant sur le panier de viennoiseries.

******


— Maaammh oui ... Aaahhh !!! !!!
Mes doigts et ma langue n’ont aucune envie d’arrêter de lécher, doigter, pénétrer l’intimité de ma belle Sarah, allongée dans nos draps.
— Aaahhh j’adore çaaaahhhhh !!!
Elle m’attrape la tête de se mains et l’appuie encore plus fort, forçant ma bouche sur sa chatte trempée, écrasant ses lèvres avec les miennes et en redemandant ... Et moi de la dévorer plus encore, étrillant et léchant sans pitié ses lèvres et son clitoris.
— Aaahhhh oui je ... je vais ... AAAAHHHHHHNNNNN !!!!
Son corps se tend autant que ses mains qui plaquent ma bouche sur sa chatte à m’en faire presque mal, jusqu’à ce que, le plaisir redescendant, Sarah me libère encore haletante ...
On reste là un moment ... sur le grand lit devant les immenses baies vitrées. C’est alors que des gémissements nous parviennent peu à peu. On se regarde, Sarah sourit, et sans se concerter on se lève pour aller voir. seulement quelques pas nous amènent au salon, dont les baies, elles, sont grandes ouvertes sur la terrasse et les transats.
Et sur ceux-ci, la vision magnifique et lubrique des trois filles nous frappe alors.
Léa est au milieu des deux autres, allongée sur le dos. Impossible de voir son visage, puisque sur celui-ci se trouve assise Emma qui se frotte sur la bouche de sa soeur, et gémit de plaisir sous les coups de langue que Léa doit lui donner en se pinçant assez brutalement les mamelons. 
Un peu plus bas, c’est Margaux qui lui rend la pareille, sa tête plongée entre ses cuisses écartées et s’appliquant à lui dévorer l’entrejambe à grand coup de langue avide, ses doigts et ses mains semblant écarter ses chairs intimes pour aller plus loin encore mais sa tête disparaissant derrière son gros ventre de femme enceinte.
Sarah se colle dans mon dos, et prend mon sexe encore dur de nos ébats dans sa main.
— Elles sont belles, n’est-ce pas ?— Oui, parviens-je à dire dans un souffle.
Margaux lève alors la tête, sourit et s’adresse à Léa : 
— Y’a ton reproducteur préféré mon amour, dit-elle à celle avec qui elle partage sa vie désormais...— Mmmmh dit-lui ... dit-lui de venir ... dit-elle entre deux clapotis sans qu’Emma, elle, ne cesse de gémir.— Tu as entendu, Papa ? Viens baiser tes femelles en chaleur, allez, viens faire ton office !
Je tourne la tête vers Sarah, qui me sourit à son tour et me claque les fesses d’un coup.
— Allez, va baiser tes petites salopes, ne te fais pas prier ! Tu me devras un étalon de leur âge à notre retour !
J’obtempère.
Après tout, ce que femme veut ... la vie le lui donne ;-)

*** FIN ***
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