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Une plantureuse et experte gymnaste

Chapitre 1

Erotique
Synopsis: Une quasi professionnelle de la barre fixe, grande, finement musclée avec une poitrine opulente, qui prend le même cours de yoga que moi sur la plage, juste vêtue d’un bikini, j’étais obligé de l’accoster. Et qu en la raccompagnant, je me suis blessé le pied au point de ne plus pouvoir marcher, et qu’elle m’a porté dans ses bras jusqu’à chez elle, ça ne pouvait que finir chaudement...
J’avais rencontré Maryline qui venait juste de fêter ses 18 ans, en fin d’après-midi, alors que nous participions au même cours de yoga. Je n’avais jamais vu une silhouette aussi parfaite. Elle faisait sûrement plus d’1m78, et possédait un corps finement, mais puissamment musclé. Ses longues jambes fuselées se terminaient sur des petites fesses rondes et fermes, qui soutenaient une taille de guêpe aux abdominaux clairement visibles. On aurait pu croire qu’avec un taux de graisse aussi bas, sa poitrine serait inexistante, mais ce n’était pas du tout le cas. Deux seins volumineux et hauts perchés tendaient à rompre le tissu clair de son haut de bikini, sous lequel de vastes aréoles sombres transparaissaient. Elle avait de longs cheveux bruns bouclés qui coulaient sur ses épaules, une peau mate qui ne semblait pas avoir de pores tant elle était lisse. Son visage était parfait, surtout sa bouche à la fois fine et pulpeuse, et qui vous lançait des sourires à vous faire fondre sur place.
Elle était juste en face de moi pendant le cours et je ne pouvais détacher mon regard de ce corps idéal qu’une souplesse hors du commun autorisait à se plier dans tous les sens. Je guettais sa poitrine, espérant qu’un de ses énormes seins s’échappe de son maillot. Je me délectais du spectacle de ses fesses cambrées, des formes que prenait sa poitrine, de ses muscles qui se striaient sous l’effort, de son visage qu’un magnifique sourire ne quittait pas, alors que tous les autres participants grimaçaient de douleur, y compris moi.
Le cours terminé, je pris mon courage à deux mains pour accoster l’immense brune. A 19 ans, j’avais perdu l’espoir d’être l’un de ces gars baraqués qui plaisent tant aux filles. Je frôlais les 1m70 pour 55 kilos. J’étais cependant très mignon, à ce que les filles disaient en tout cas. Mon corps mince et imberbe semblait leur plaire, et surtout mon visage d’ange aux yeux bleus clairs. Vêtu seulement de mon caleçon de bain, je m’approchais de la belle qui pliait son tapis.
— Mademoiselle ?— Oui ?
La princesse se releva et entraînée par ce mouvement, sa poitrine se mit à osciller horizontalement. Je décrochai avec grande difficulté mon regard de ce spectacle hypnotisant et me rendis compte que mes yeux arrivaient à peine au niveau de sa bouche. Elle était même plus grande que je pensais. Son corps si bien proportionné ne le laissait pas deviner d’où j’étais pendant le cours. Levant les yeux vers les siens, je la félicitais pour sa souplesse.
— Tu m’as impressionné ! Comment est il possible de se mettre aussi facilement dans de telles positions tout en gardant ce magnifique sourire !
Mon compliment la fit rougir. Elle me répondit de la voix la plus douce et sensuelle que je n’ai jamais entendues.
— C’est l’entraînement. Je pratique la barre fixe et le cheval d’arçon depuis mon plus jeune âge. Ça m’a donné cette souplesse et cette tonicité.
Voilà comment elle s’était sculpté un tel corps !
— Vous devez être professionnelle ?— J’aurais bien voulu, mais la nature en a décidé autrement. Quand j’ai commencé à développer cette poitrine à 14 ans, et surtout ma grande taille, j’ai dû laisser mes espoirs de côté. La compétition était trop dure face à des filles qui n’avaient pas ces formes à gérer. Une fille mesurant 1m82 avec un 115E de tour de poitrine doit développer une force colossale pour être à l’aise autour d’une barre fixe, et quand bien même, elle ne sera jamais aussi à l’aise qu’une crevette d’1m50 pour 40 kilos, plate comme une limande. J’ai préféré me concentrer sur les études et j’entre aux beaux arts à la fin du mois.
Tout en faisant cet aveu, Maryline, remontait le haut de son maillot qui commençait à dévoiler une de ses larges aréoles. Je fus très surpris qu’elle me parle aussi librement de ces deux joyaux qui semblaient l’encombrer, de sa grande taille, et de sa force ! Je ne savais quoi lui dire et décidais de lui proposer de dîner.

— Puis-je t’inviter à dîner ?
La surprise fit perdre son beau sourire un instant à la belle, mais il réapparut bien vite quand elle accepta.
— Pourquoi pas ? Ce cours m’a ouvert l’appétit !— Je connais un petit restaurant un peu plus loin dans un coin plus calme. Ça te va ?— Sans problème !
Nous nous mîmes à marcher et je ne perdais pas une occasion de dévorer des yeux cette beauté d’un autre monde, dont le petit bikini et la démarche féline ne faisaient que sublimer la sensualité. Tous les yeux se tournaient vers elle et je me sentais comme l’homme le plus chanceux du monde.
Nous arrivâmes dans le petit restaurant qui était quasi désert en ce début septembre, à part un couple de retraités, dont le mari faillit perdre son dentier quand il vit Maryline entrer. Nous nous assîmes de part et d’autre d’une table qui donnait sur la plage, avec une vue paradisiaque sur le soleil qui rejoignait l’horizon. J’avais l’impression de flotter sur un nuage tant cette scène avait une saveur onirique. Je n’aurais pu rêver d’une meilleure soirée. Nous fumes servis rapidement et Maryline me parlait de sa difficile enfance de sportive, déchirée entre des parents qui divorçaient, de sa passion pour l’art, même de ses difficultés d’adolescente face à ce corps splendide qu’elle n’assumait pas encore totalement. Je buvais ses paroles tout en me régalant du spectacle de ses seins massifs qui tremblaient à chaque fois qu’elle coupait quelques choses dans son assiette, tellement ils étaient à l’étroit entre ses deux biceps bien dessinés.
La lumière rasante dessinait l’ombre de ses tétons que je rêvais de croquer. Elle commanda un sorbet en dessert, et je vivais un rêve éveillé à chaque fois que sa bouche se plissait pour lécher la cuillère.
Le repas terminé, je lui proposai de la raccompagner dans le bungalow qu’elle occupait à portée de marche du restaurant. Je réglai bien sûr l’addition et j’eus droit à un baiser sur le front comme remerciement. C’est vrai que sa bouche était juste à la bonne hauteur...
— C’est gentil de m’avoir invitée. Tu es adorable ! J’ai vraiment apprécié ce dîner. Tu as été à mon écoute toute la soirée. C’est si rare un homme qui ne parle pas que de lui ou de sa grosse voiture !
Rouge comme une tomate, je lui répondis :
— Tu es une femme si brillante. On ne peut que boire tes paroles !— Oui, mais du coup, je ne sais pas grand-chose de toi ? Tu pourras m’en dire plus sur le trajet ?— Bien sûr ! Allons-y !
Troublé par l’attirance réciproque que j’avais perçue chez cette déesse, je me me mis à marcher et à parler de ma vie, jusqu’à ce que je sente une douleur vive dans mon pied droit. Je venais de marcher sur quelque chose de coupant caché dans le sable. Me tenant sur une jambe, je relevai mon pied qui pissait le sang. Je me laissai tomber dans le sable et la belle s’accroupit à côté de moi.
— Laisse-moi regarder, je suis secouriste.
Elle prit mon pied dans ses mains et chercha la source du saignement. Malgré mon état, mes yeux se perdirent dans son décolleté profond, puis se focalisèrent sur ses longs doigts dans lesquels ma pointure 37 paraissait si petite.
— Tu t’es fait une belle coupure sous le pied. Si je tenais ceux qui ont laissé traîner ces verres !
Son attitude me surprit, j’étais flatté qu’elle veuille prendre ma défense physiquement, mais aussi un peu terrifié qu’elle s’en sente capable !
— Tu ne peux pas marcher comme ça. Tu risques d’agrandir ta blessure et de l’infecter.
Elle jeta un coup d’œil dans son sac à main, mais n’y trouva aucun pansement suffisamment grand.
— Je n’ai rien pour te bander le pied ici, mais j’ai ce qu’il faut chez moi et on est plus très loin. Je vais te porter.— Me porter ? Mais je suis beaucoup trop l...
Avant que je ne termine ma phrase, l’amazone accroupie avait passé un de ses bras sous mes genoux et l’autre sous mon dos et se relevait en me soulevant, comme si elle portait une fillette. Je restai bouche bée face à cette démonstration de force.
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