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Une première rencontre surprenante

Chapitre 1

Erotique
C’est notre première rencontre.
Vous m’ouvrez la porte et je me présente à vous grand, imposant, limite insolent du haut de mon mètre quatre vingt seize. Malgré cela, vous me regardez droit dans les yeux sans faillir. Je ne vous sens pas impressionnée du tout. Vous me dites de rentrer, chose que je fais. Je vous tends la joue comme pour vous faire la bise et vous passez devant moi en ignorant cette tentative et me dites en rigolant :
— Ben suis-moi, ne reste pas dans l’entrée comme cela.
Ce à quoi je réponds :
— Oui, bien sûr, pardon.
Vous me faites alors visiter votre maison en me disant :
— Retiens bien, car je ne t’expliquerai pas deux fois.
Avec votre sourire et vos yeux si souriants, vous me mettez à l’aise. Je me dis, qu’en fin de compte, vous ne faites pas si peur que cela en dominante.
Après m’avoir présenté la chambre, la cuisine, vous me présentez le salon où il y a ce canapé dans lequel vous vous asseyez. Je m’assois à côté de vous. Votre voix me dit sèchement :
— Qui t’a dit de t’asseoir, relève toi !
Je m’exécute alors en me relevant d’un bond, surpris par cette voix d’un seul coup devenue aussi directive. J’ai l’impression que cela vous plaît. Vous rajoutez en souriant sur un ton plus chaleureux :
— Tu ne vas pas t’asseoir avant de m’avoir servi quelque chose à boire. Quand même !
Le ton employé me met de nouveau à l’aise... je me demande si j’ai imaginé ce ton aussi sec ou s’il était réel. En voyant ce visage d’ange souriant, je suis à l’aise, mais un peu déstabilisé... Je vous dis :

— Que veux-tu boire ?— Où te crois-tu ?
La réponse cinglante ne se fait pas attendre, mais votre visage se radoucit et d’un sourire s’échappe un :
— Je saurai me rappeler de ce manque de respect.
Déstabilisé, je réponds à votre sourire par un sourire, en me disant que je ne devrais pas le faire, mais votre visage d’ange dégage une aura, qui malgré moi, me le fait faire. Je vais vers la cuisine et j’entends :
— Souris tant que tu le peux encore !
Je vous demande ce que vous voulez boire et vous le sers. Je n’ose pas m’asseoir et attends debout. Vous me regardez avec de grands yeux en me disant :
— Et bien alors ! Je ne vais pas tout te dire, assieds-toi, à moins que tu ne veuilles que je te le fasse faire ?
Vos paroles s’accompagnent alors d’une tape au niveau de l’entrejambe qui me fait reculer les fesses et tomber dans votre canapé, ce qui vous fait rire.
Vous me dites alors de vous raconter ma journée et des choses sur moi, mais de ne pas m’arrêter, quoi qu’il arrive. Je vous parle alors de choses et d’autres de mon travail, de ma vie, des chansons que j’aime. Pendant ce temps-là, vous me regardez un peu comme si vous m’examiniez, de haut en bas. J’ai l’impression que vous ne m’écoutez pas, je ne suis pas forcément à l’aise...
Puis vous commencez à tâter ma cuisse comme si vous tâtiez un animal pour savoir s’il est en bonne santé, puis remontez vers mes tétons que vous vous amusez à faire pointer du bout des doigts. Je m’arrête, frissonne. Votre regard me transperce d’un coup.
— Je ne t’ai pas dit de t’arrêter !
Je m’excuse et sans réfléchir balance un :
— Pardon Madame.
Ces deux mots que je viens de dire instinctivement sans réfléchir me perturbent, je me demande ce qui vient de se passer dans ma tête. Pourquoi ai-je rajouté « Madame » ? Lui suis-je soumis ?Je continue alors et vous reprenez votre travail d’ausculation. Je ne comprends pas ce qu’il se passe. Vous me faites frémir et je ne sais plus si je dois réagir ou faire comme de rien n’était. Un doigt puis deux glissent sous ma chemise et agrippent un de mes tétons pour le pincer et le tortiller. Je me retiens de gémir ou de sursauter, même si dans ma voix des sursauts se font entendre, ce qui vous fait sourire de nouveau.
Votre main monte dans mes cheveux d’abord, comme une caresse, puis vos doigts se serrent entre eux pour me les tirer un peu en arrière. Je me sens soumis clairement puis repense à votre visage. Je suis déstabilisé. Je ne comprends pas, ce n’est pas possible, ça doit être un malentendu avec un visage d’ange pareil...
Vous faites basculer ma tête en arrière et faites monter et descendre un doigt le long de ma gorge vers mon bas-ventre. Je me sens en érection. Vous me tirez les cheveux en arrière pour m’allonger. Je continue de parler, mais votre doigt remonte le long de mon corps pour finir sur ma bouche me disant :
— Tu parles trop.
Je m’excuse. Vous me dites de me taire et mettez deux doigts dans ma bouche pour m’empêcher de parler, en appuyant ma langue. Vous buvez une grande gorgée de votre verre. Je ne sais plus quoi faire, je me sens coincé. Vous me dites :
— Ta bouche est sèche, mes doigts ne sont même pas trempés.
Vous reprenez une gorgée de votre verre et mettez votre bouche au-dessus de la mienne en y déversant le contenu de la vôtre, en m’ordonnant de ne pas avaler et me disant :
— Chez moi tu ne boiras que comme cela.
Je hoche la tête pour affirmer. Je ne comprends pas, vous avez un visage d’ange. Ça ne peut pas être vous ?
Vous me demandez de me relever du canapé et de me mettre à genoux et d’attendre. Vous partez et revenez avec une cravache à la main. Vous commencez à me caresser avec, vous tapotez les boutons de ma chemise en me regardant. J’ai la bouche pleine. Je pense comprendre que vous voulez que je déboutonne, mais je n’en suis pas sûr. Je ne peux pas demander. Je le fais en espérant ne pas me tromper. Votre regard devient dur. Votre main se dirige vers mon visage et me tapote la joue en me disant :
— C’est bien, tu as compris. Je vais peut-être pouvoir faire quelque chose de toi.
Je baisse les yeux. Votre cravache tapote les autres boutons de ma chemise que je défais, puis le bouton de mon pantalon que vous faites tomber à l’aide de votre cravache en me demandant de me relever. Je suis devant vous, chemise ouverte, pantalon sur les chevilles. Vous faites le tour de moi en tâtant mon corps de la cravache et de la main. Je sens votre main sur mes fesses.
Vous venez vous coller à moi dans mon dos et tapotez mes tétons pour les faire durcir. D’un côté avec la cravache, de l’autre avec la main. Je grimace, un peu de liquide coule de ma bouche vers mon corps. Vous appuyez mes épaules pour me remettre à genoux. Vous vous mettez debout, devant moi, je vous regarde et vous lâchez :
— Tu vois, tu souris moins et me regardes moins de haut maintenant ! Allez, à quatre pattes !
Je m’exécute. J’ai du mal à retenir le liquide dans ma bouche. Je sens alors la chemise remonter sur mon dos et vos mains glisser dessus, puis sous mon boxer, sur mes fesses, ce qui le fait descendre petit à petit... vous êtes derrière moi... je vous vois regarder, observer, toucher, tâter. J’entends un :
— Hum... un peu blanc ce petit cul, je vais changer ça.
Je me sens soumis, humilié d’être dans cette position devant vous qui voyez mon intimité. J’entends un claquement et une chaleur monter sur mes fesses. La douleur me fait faire un gémissement.
Un peu de liquide a traversé mes lèvres et coulé par terre. Une deuxième sur l’autre fesse. Je relâche encore un peu de liquide.
— Pas assez, c’est juste rose !
D’autres fessées partent alors, chacune leur tour sur chaque fesse. Je sens chacune comme une morsure. Je ne sais combien en furent distribuées, mais à un moment, vous me dites :
— C’est mieux, ça me plaît plus, ton cul est un peu plus rouge.
J’angoisse en voyant le liquide qui a entièrement coulé de ma bouche par terre... Quand vous allez le voir, je vais être puni. Vous faites le tour. Vous passez devant et me dites de me mettre à genoux. Vous voyez ce qu’il y a par terre sur le sol. Vous me regardez droit dans les yeux, d’un regard strict. J’ai un peu peur. Votre visage devient d’un coup souriant et dit :
— Bien ! Très bien ! Normal que les petits chiens bavent ! Allez ! Va chercher de quoi nettoyer ! Quand tu as fini, appelle-moi !
Je nettoie et fais d’un ton discret :
— Madame...?
Vous revenez dans une tenue très sexy, laissant dévoiler vote jolie poitrine. Vous me dites :
— Retire tes vêtements !
Je suis nu. Vous touchez mon sexe et mes testicules que vous prenez en main, en serrant un peu :
— A genoux sinon je serre très fort !
J’obéis tout de suite et vous venez vous mettre dans mon dos où vous attrapez mes mains pour les y mettre. Je sens un tissu passer autour des poignets. Mes mains sont attachées, puis un foulard glisse sur mes yeux. Vous me glissez alors à l’oreille :
— Bon courage pour me trouver dans la maison. Je suis dans ma chambre, je t’attends. J’espère que tu te rappelles bien, car je t’ai fait visiter et je t’ai prévenu. Tu as 30 secondes pour me trouver et me toucher du bout de ta langue. Si tu réussis, tu fais ce que tu veux de moi. Si tu loupes, je fais ce que je veux de toi !"
Ce à quoi je répond un :
— Très bien.
Par chance je me rappelle parfaitement où est votre chambre. Je retrouverai sans problème même yeux bandés !
Vous comptez à voix haute, ce qui m’aide beaucoup. Je me dirige au son de votre voix, mais avance prudemment pour ne pas me cogner. A "20" je suis dans votre chambre. Je n’ai plus qu’à vous trouver. A "10", vous êtes juste en face de moi. Je le sais, je le sens. J’avance. A "5" je sens votre corps contre le mien. Je vous entends rigoler. J’ouvre ma bouche pour sortir ma langue. D’un seul coup, je sens une boule y rentrer, empêchant ma langue de sortir. Je ne peux plus parler et lâche un :
— Humpf.
Dans mon oreille, vous me susurrez :
— Zéro, tu es à moi !
Je me sens dupé, humilié, idiot...
— Ne jamais jouer quand tu ne connais pas toutes les règles !
Vous me poussez en avant. Je trébuche sur quelque chose. J’ai peur. Je vais tomber me faire mal ! J’ai les mains dans le dos, la boule dans la bouche, les yeux bandés, j’atterris sur quelque chose de mou... Votre matelas ! Je suis face contre lui. Je sens que vous m’enjambez et montez sur mes cuisses à califourchon.
De nouveau, vos mains parcourent mon corps... je sens quelque chose de chaud et humide sur mon dos me faire frissonner. C’est votre langue qui remonte vers ma nuque. Je frissonne, gémis, me tords de plaisir. Je ne sais plus où j’en suis. Je sens votre poitrine s’écraser dans mon dos. Mon sexe durcit beaucoup. Je suis immobilisé. Je sens votre sexe contre mes fesses se frotter et me mouiller. Je vous entends gémir en vous frottant à moi très fort. Vous me léchez encore la nuque. Je n’en peux plus ! Je craque d’envie et de plaisir. Mes gémissements intensifient les vôtres. Vos coups de hanches s’accélèrent. Vous gémissez très fort puis jouissez. Vous vous relevez. Vous retirez la boule de ma bouche et le bandeau sur les yeux puis vous me dites :
— Qu’est-ce qu’on dit ?
Je vous lâche un :
— Merci Madame de m’avoir utilisé comme votre jouet sexuel.
Une petite tape et vous me lâchez un :
— Très bien ! Tu comprends vite qui est la maîtresse ici. Reste là je reviens!
J’entends que vous vous faites couler une douche. Vous revenez dans la chambre, me détachez les mains, me retournez sur le dos. Je vous vois nue. Vous montez sur moi à califourchon, en mettant mes bras le long du corps. Je suis de nouveau bloqué...
Quelle poitrine ! Waouh ! Vous voyez que je l’observe et me dites :
— Tu aimes ?— Oui Maîtresse.— C’est une arme, tu sais.
Je ne comprends pas et vous vous penchez sur moi. Je me retrouve entre vos seins. Je ne peux plus respirer. Je fais des :
— Humpf, humpf !
Je ne peux plus respirer. Je suis bloqué. Je ne peux pas bouger ! Totalement à votre merci !
— Si tu veux que je relâche, tu mettras ce que je te dis de mettre dans ta bouche !
Je n’arrive même pas à parler. Je tape comme pour dire que j’abandonne. Vous vous relevez. Je respire.
— Merci.
Et en reprenant mon souffle je vous demande :
— Mais quel genre de cho...
Pas le temps de finir. Vous vous remettez en position en me disant :
— Je t’ai dit que c’était une arme. Je ne t’ai pas demandé de poser de questions, mais de dire oui à la mienne !
Je suffoque de nouveau et tape. Vous vous relevez.
— Oui Maîtresse.— Très bien ! C’est mieux non ?
Me dites vous avec ce si beau sourire et ce regard pétillant. Je craque ! Je ne sais plus où j’en suis... Je suis en érection... Cela m’excite beaucoup de vous être soumis.Vous m’attachez les mains au barreau de votre lit puis venez chevaucher mon visage comme vous l’avez fait pour mes fesses. Je sens votre sexe couler de plaisir, mouiller ma bouche de laquelle sort ma langue qui vous lèche. Votre bassin fait de nouveau des va-et-vient. Mon visage est mouillé de votre cyprine, du front jusqu’au menton... Je vous entends et vous sens gémir de plaisir et gesticuler... Et vous me dites :
— Très bien ! Très bonne langue, mais je suis trop mouillée pour ne pas faire rentrer quelque chose dans mon sexe. J’ai besoin de quelque chose de dur"
Vous regardez mon sexe, je me dis que enfin je vais être en vous...
Vous vous levez et allez chercher quelque chose dans votre placard. Vous revenez avec un bâillon sur lequel est placé un petit sexe sur la face intérieure et un grand sur la face extérieure. Vous me dites :
— Tout ce que j’ai envie d’y mettre !
Je regarde et comprends. Je suis attaché, je n’ai pas le choix. Vous me dites :
— Ouvre bien grand, mon petit soumis !
Ma volonté a capitulé. Je suis soumis. Je suis à vous... Je m’exécute et ouvre la bouche. Vous mettez le petit sexe dans ma bouche pour que le grand sexe soit de votre côté.... C’est la première fois que quelque chose de phallique rentre dans ma bouche... Je me sens humilié. Vous le sentez et me dites :
— Tu vas beaucoup apprendre grâce à l’humiliation. Ne t’inquiète pas !
Vous vous mettez à sucer la partie du jouet qui sort bien dressé debout sur ma bouche, en me regardant dans les yeux, tout en caressant mon sexe bien dur et me dites :
— Ma bouche aurait pu être sur le tien, si tu avais gagné notre petit jeu...
Vous enfoncez le jouet dans votre bouche, cela vous fait baver dessus. Je suis très excité. Votre bave coule du jouet sur mon visage...
— Il est bien humide maintenant.
Vous montez alors sur le jouet. Je le vois s’enfoncer dans votre sexe...
Mon cerveau est en ébullition. J’ai une superbe vue d’où je suis, mais je ne peux rien faire...
Vous prenez plaisir. Vous vous caressez en même temps d’une main et de l’autre jouez avec mon sexe. Je vais exploser. Je ne tiens plus et jouis, ce qui vous excite et vous fait jouir à votre tour. Votre cyprine coule sur mon visage et mon sperme sur votre main, que vous essuyez sur moi.
Vous détachez une de mes mains pour l’attacher à la deuxième. Vous me retirez le jouet et me dites :
— Nous avons fini. Je vais me laver. Tu attendras demain pour le faire et dormiras avec nos liquides sexuels sur toi !
Je rigole en comprenant la plaisanterie. J’attends votre retour. Vous revenez toute nettoyée. Je vais pouvoir être détaché. Ouf... J’irai me nettoyer. Vous vous couchez et me glissez un :
— Bonne nuit mon petit soumis.
Avec un petit bisou.
— Vous ne me détachez pas ?
Vous me répondez en rigolant, avec votre visage d’ange :
— Nous sommes des inconnus quand même ! Je te détacherai demain. J’aurais trop peur que tu abuses de moi dans la nuit.
... Toujours lire la règle du jeu avant...
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