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Une princesse soumise et coquine

Chapitre 1

mon oncle

Inceste
Il était une fois, un magnifique royaume où vivaient un roi et une reine avec leur magnifique fille, Aurélia.
Aurélia était une fille sublime, un visage fin avec de grands yeux verts, et une bouche pulpeuse, et son corps était aussi sublime que son visage, avec des formes qui ne rendaient insensible aucun homme. Elle était connue dans tout le royaume et bien au-delà pour ses qualités. Elle avait donc énormément de prétendants. La jeune fille, comme la plupart des jeunes filles de 20 ans, attendait le grand amour. Mais les jeunes hommes de son âge ne recherchaient pas la même chose. Elle apprendra cela très tôt.
Un jour, son oncle vint leur rendre visite pour annoncer à Aurélia une nouvelle surprenante. Un bel accueil lui fut offert avec toutes les mondanités dues à son rang.
Aurélia aimait beaucoup son oncle. Cela faisait en plus très longtemps qu’elle ne l’avait pas vu.
— Mon oncle, je suis si heureuse de vous voir, dit-elle en lui sautant dans les bras.
— Moi aussi, ma très belle nièce. Tu es effectivement magnifique.
— Merci, mon oncle.
— C’est justement à toi que je suis venu rendre visite. Puis-je avoir un moment avec ma nièce, mon frère ?
— Tu sais très bien que tu n’as pas besoin de me le demander.
Ils s’enfermèrent dans une pièce destinée à cet effet. Son oncle l’invita à s’asseoir et commença à lui parler.
— Tu es belle, jeune, très convoitée par je ne sais combien d’hommes. Un jour certainement, tu te marieras. Tu as envie de cela ?
— Oui, bien sûr mon oncle.
— Tu sais que quand tu es mariée, tu dois savoir satisfaire ton mari.

— Satisfaire ? C’est-à-dire ? Je ne comprends pas.
— Tu dois lui faire l’amour, coucher avec lui.
Elle se mit à rougir à ses mots. Sa famille est du genre pudique et très catholique, donc parler de sexe n’était pas dans leurs habitudes. De plus, entendre ces choses de la bouche de son oncle.
— Oui, j’en ai déjà entendu parler.
— Te sens-tu prête à coucher avec un homme ? lui dit-il tout en se rapprochant derrière elle.
— Je ne sais pas. Je n’ai jamais couché avec un homme.
— Tu sais ce que cela veut dire ? Il profita pour mettre ses mains sur ses épaules.
— C’est quand un homme et une femme se retrouvent nus et s’embrassent et se touchent.
— C’est bien plus que ça ma chérie, sa voix devint plus grave et ses mains descendirent vers sa poitrine.
Aurélia était immobile, ne sachant pas trop comment réagir. Les mains de son oncle arrivèrent à sa poitrine, qu’il commença à masser tout doucement.
— C’est quoi alors, mon oncle ?
— Tu aimes ce que je te fais ?
— Oui, j’aime.
Il était vrai qu’elle était certainement un peu naïve, mais Aurélia n’était pas totalement innocente. Sa beauté était un très grand atout surtout quand certains hommes la désiraient et profitaient de sa prétendue crédulité pour assouvir leur plaisir. Mais ne la voyez pas comme une victime, elle aimait cela, l’odeur et le goût de l’homme. Leur regard sur son corps; la façon dont ils la touchent et la prennent et surtout leur queue dure qui confirme leur excitation. Elle était donc consciente à ce moment de ce que lui faisait son oncle, et qu’elle appréciait. Elle se laissait toucher la poitrine qui était bien généreuse. Son oncle en profita, et fit entrer carrément ses mains dans son décolleté. Aurélia frémit légèrement en ressentant les mains de son oncle sur sa poitrine. Il titilla le bout de ses seins, ce qui l’a fit gémir doucement.
— Tu veux que je continue ? lui demanda son oncle.
— Oui, je veux.
— Enlève ta culotte, ma belle.
Ce qu’elle fit.
— Allonge-toi sur ce divan.
Elle s’allongea. Elle se soumettait, car elle en voulait plus.
— Ecarte les jambes.
Il releva sa longue robe qui lui dévoila le beau trésor qui s’y cachait. Sa belle chatte était légèrement mouillée. Il commença par lui introduire un doigt, puis deux. La jeune fille, se sentit toute chose, mais aimait ce qu’elle ressentait.
Mais brusquement, son oncle arrêta.
— Pourquoi as-tu arrêté ? dit-elle, étonnée et un peu frustrée.
— Apparemment, tu as beaucoup aimé.
— Oui, j’ai beaucoup aimé. Alors pourquoi as-tu arrêté ?
— J’ai une chose à te proposer, ma nièce.
— Quoi mon oncle ?
— J’ai certains hommes qui seraient ravis de t’en faire découvrir plus, si tu es bien sûr d’accord.
— Certains hommes ? Qui sont-ils ?
— Des amis, des personnes que tu apprécierais également.
— Je ne sais pas mon oncle.
— Tu as aimé ce que je t’ai fait; avec eux tu ressentiras beaucoup plus de choses. Fais-moi confiance.
— Je n’ai pas non plus envie de décevoir tes amis.
— Tu as été parfaite, sois toi-même. En plus, tu as tout ce qu’il faut pour leur faire plaisir. Par contre, ne dis rien à tes parents.
— D’accord mon oncle.
— Un jour, je ferai venir ici un carrosse pour te récupérer, il te donnera une boîte avec un vêtement, tu le mettras, mais ne laisse pas tes parents te voir avec cette tenue. Il t’emmènera dans un lieu secret. J’y serai déjà.
— Je ferai comme tu m’as dit.
Aurélia était en vérité très coquine et avait hâte que ce jour arrive enfin.
Quelques jours passèrent, et le grand jour arriva. Tout se passait comme l’avait dit son oncle. Ses parents regardaient sans trop s’inquiéter. Aurélia se rendit rapidement dans sa chambre pour voir cette fameuse tenue. Elle ouvrit donc la boîte et découvrit un haut court transparent et une culotte du même genre. Elle se déshabilla et mit ce qui était prévu. Elle se regarda dans le miroir et fut surprise du rendu qui était très sexy. Sa poitrine était totalement dégagée à part la transparence bien sûr, et la culotte mettait en valeur ses fesses qui étaient en harmonie avec sa poitrine très généreuse. Cette tenue lui donnait une idée de cette soirée. Elle mit par-dessus un grand manteau qu’elle prit soin de fermer.
Ses parents l’attendaient pour lui dire au revoir.
Enfin, installée dans ce carrosse, qui ne tarda pas à partir. Le chemin fut un peu long, le cocher totalement silencieux, malgré les nombreuses questions qu’Aurélia lui posait.
— Où va-t-on ?
— Qui sont ces gens ?
— Que vais-je faire là-bas ?
Elle commençait à avoir un peu peur, mais se rassura en sachant que son oncle sera également présent.
Après quelques heures, elle arriva enfin.
Elle sortit du carrosse, et se retrouva dans une sorte de château sombre. Elle se dit "il s’est certainement trompé". Jusqu’à ce qu’elle entende une voix familière, son oncle :
— Ma nièce, te voici.
— Mon oncle, où suis-je ?
— Suis-moi, des personnes sont pressées de te rencontrer.
Elle le suivit, ayant une légère idée de ce qui l’attendait peut-être. Mais elle était encore très loin du compte.
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