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Une prof fortement coquine

Chapitre 1

Hétéro
On était encore au lycée à vingt heures, tout ça parce notre prof d’économie n’appréciait pas l’humour. Se prendre deux heures de colle juste pour une remarque anodine, c’était abusé. Elle avait qu’à ne pas être aussi sexy aussi ! On se retrouvait donc dans une salle d’étude, à bosser tandis que notre ventre vide protestait contre l’heure avancée.
— Elle nous a filé les pires questions, râla Sam tandis qu’on terminait notre devoir imposé.— Dire que j’aurais pu continuer « The Witcher » au lieu de faire ce truc débile, soufflais-je exaspéré.— On aurait peut être pas dû lui dire que la fermeture de sa jupe nous empêchait de travailler.
En même temps, c’était le cas, Mlle Dushen avait l’habitude de mettre des jupes serrées qui rehaussaient ses fesses bombées. S’ajoutait souvent une chemise blanche au léger décolleté, qui me faisait fantasmer sur la forme de sa poitrine. Combien de fois avais-je rêvé de défaire un bouton ! D’habitude, je me contentais d’imaginer des scénarios et ça s’arrêtait là. Sauf qu’aujourd’hui, elle avait une nouvelle jupe en cuir avec une fermeture située sur ses fesses. Dès qu’elle se tournait vers le tableau, je ne pouvais me détacher de cette fermeture éclair que j’aurais aimé ouvrir par la pensée. Elle a fini par se rendre compte que la majorité des mecs n’était pas concentrée et nous a demandé ce qu’il se passait. Comme personne ne disait mot, j’ai fini par avouer la vérité, soutenu par mon ami. Ça ne lui avait pas plus à cette allumeuse, comme le prouvaient nos deux heures de colles injustes.
— C’est bon, vous pouvez partir, nous signala le pion.
On se leva avec fracas, rangeant précipitamment nos affaires. Le lycée était désert à cette heure, c’était assez perturbant. Le surveillant avait filé à peine la salle fermée.
— Allez on se casse, j’ai faim !— Attends, faut que je passe aux toilettes.— T’es sérieux Sam...
Levant les yeux au ciel, je restai dans le couloir, attendant qu’il ait fini. La moitié des lumières étaient éteintes et la pénombre rendait l’atmosphère étrange. Je décidai de marcher un peu, profitant du calme des lieux. Arrivé au bout du couloir, je crus entendre des voix provenant de la partie administrative. Sam sortit des w.c. et me rejoignit.
— Qu’est-ce que tu fais Alex ?— Chut, regarde il y a de la lumière sous le bureau du proviseur.— Ben c’est le dirlo, il a beaucoup de travail.
— Je l’ai entendu parler, il est pas seul.— Bon Alex on est pas dans un film ! Il parle avec sa femme au téléphone, je sais pas moi.
Il avait raison, je m’inventais un sketch là. Haussant les épaules, je le suivis dehors et on se sépara après un check, lui se dirigeant vers la sortie piéton et moi au parking. Alors que je longeais le bâtiment, j’entendis un petit cri dans le silence de la nuit, il provenait de la fenêtre entrouverte du proviseur. Étonnés, je fronçai les sourcils. Et s’il torturait, un élève profitant que le lycée soit désert ? J’avais sûrement trop vu de films d’horreur, mais il fallait que j’aie le cœur net. Je m’approchai à pas de loup, m’arrêtant à deux mètres de la fenêtre pour qu’on ne me voit pas. A travers les rideaux fins, je distinguai le profil du proviseur assis sur son fauteuil, les mains posées sur une tête brune.
— Alors petite allumeuse, tu aimes me sucer hein !— Hum oui Monsieur le Directeur.
Je n’en croyais pas mes yeux, le proviseur était quelqu’un de sévère, toujours en costume cravate et qui renvoyait plutôt l’image d’un homme strict. Voir quelqu’un lui faire une fellation me semblait impensable. La personne se releva et je reconnus Mademoiselle Dushen.Putain quelle salope ! Elle nous mettait en colle pour une remarque, alors qu’elle se tapait le directeur qui avait au moins quinze ans de plus ! Je sortis mon téléphone, elle n’allait pas s’en tirer comme ça...
******************
Allongé sur mon lit, je regardais les clichés que j’avais réussi à prendre. On voyait clairement que c’était notre prof en train de se faire prendre en levrette. Il y avait même une vidéo, à peu près nette, où on l’entendait supplier le dirlo d’aller plus vite et de lui mettre des fessées. Ce qu’il avait d’ailleurs fait avec enthousiasme au vu des cris. Dommage qu’elle n’ait pas enlevé son chemisier, j’aurais aimé voir ses seins ballotter sur le bureau. Pour le final, j’avais aussi quelques photos d’elle agenouillée, en train de pomper son supérieur jusqu’à qu’il éjacule dans sa bouche. Elle avait ensuite avalé et tiré la langue pour montrer qu’elle était propre.
Elle allait regretter de m’avoir provoqué, j’avais hâte d’avoir cours pour une fois.Le lendemain, je pris ma voiture, obtenue pour mes 18 ans et rejoignis Sam devant le lycée. J’avais décidé de ne pas lui en parler de suite, même si c’était un sacré scoop, je voulais garder ce secret pour moi. J’eus du mal à me concentrer sur la discussion, depuis hier, je me demandais quelle allait être sa réaction lorsque je lui montrerais les photos.J’étais fier d’avoir des preuves, au moins elle ne pourrait pas prétendre que cette histoire était inventée. Comme nous avions cours d’économie à treize heures, l’attente fut interminable et Sam ne comprit pas trop mon comportement. Je prétextai être fatigué afin qu’il ne pose pas plus de questions. L’heure de la reprise arriva enfin et nous allâmes rejoindre les rangs à côté des salles de classe. Mlle Dushen arriva avec quelques minutes de retard, un peu essoufflée.
— Viens, on se met devant pour une fois, soufflais-je à Sam.— Pourquoi ?— Pour lui faire regretter de nous avoir mis en colle, fais-moi confiance, ajoutais-je avec un petit rictus. — Silence dans les rangs, ordonna Mlle Dushen, installez-vous rapidement.
Je fis un hochement de tête à mon ami et on alla s’installer au premier rang. La prof nous regarda bizarrement, surprise de ce changement.
— Et bien, je vois que la retenue d’hier vous a fait de l’effet !
Je me contentai de la regarder avec un grand sourire, ce qui la décontenança. Après un dernier regard suspicieux, elle commença son cours. Tout au long de l’heure, je ne me départis pas de mon sourire, ce qui finit par la rendre nerveuse.
— Bon Alexandre, je ne sais pas ce que vous avez, mais vous viendrez me voir à la fin de l’heure.
C’était exactement ce que je voulais, la faire douter. Pour une fois, je savais qu’elle ne pourrait pas faire sa fière et cela me rendait confiant.Lorsque la cloche retentit, nous attendîmes que tous les élèves sortent. Sam partit en dernier, me lançant un regard interrogatif, et je lui fis un clin d’œil pour le rassurer.
— Alexandre qu’est-ce qui vous arrive ? Vous avez déjà assez perturbé mes cours.— Disons que j’ai découvert des choses intéressantes sur vous.— Mais de quoi vous parlez ? Votre attitude me déplaît fortement, je ne vais quand même pas vous remettre en retenue !— Justement en parlant d’attitude, vous n’êtes pas une prof très exemplaire.— P-Pardon ?! Ça suffit, je vous envoie chez le directeur !— Je suis sûr qu’il sera ravi de vous revoir, répondis-je avec un clin d’œil.

Cette fois, elle ne pipa mot, commençant à comprendre que je savais quelque chose. Seuls ses yeux caramel s’écarquillèrent légèrement. Je sortis tranquillement mon téléphone et continuai sur ma lancée.
— Hier soir après les heures de colle, j’ai entendu du bruit chez le directeur et j’ai été très étonné de ce que j’ai vu, franchement je ne m’attendais pas à ça de votre part Mademoiselle.— Je ne comprends pas ce que vous insinuez, mentit-elle le plus dignement possible.
Elle faisait l’innocente, mais le rouge commençait à lui monter aux joues et elle ne cessait de s’essuyer les mains.J’ouvris donc les clichés du téléphone et les lui montrais. Elle se liquéfia et me regarda, paniquée.
— C’était exceptionnel ! J’ai fait ça pour régler mes factures, c’est une période difficile en ce moment... S’il vous plaît, ne le montrez à personne, vraiment ça n’arrivera plus !
Plus elle essayait de se justifier, plus je jubilais. C’est vrai que c’était pas très sympa, seulement elle qui était si hautaine d’habitude, avait perdu de sa grandeur.
— Je vais garder ça pour moi, la rassurai-je, je demande juste une petite contrepartie.— Vous voulez que je vous mette la moyenne ? — Oui et je vous veux pour une soirée, révélais-je sobrement.— Quoi ?! Je ne peux pas faire ça, c’est interdit de coucher avec des élèves !
Elle semblait vraiment inquiète, pourtant je pouvais voir ses tétons pointer sous le tissu et ses hanches remuer subtilement sur sa chaise, comme si l’idée ne lui déplaisait pas tant que ça.
— Dites-moi, vous avez vraiment couché qu’une seule fois avec le proviseur ? Et vous auriez pu vous contenter d’un missionnaire, là il vous a pris à quatre pattes en vous mettant des fessées en plus !— Je ne vous permets pas !
Je haussai alors le sourcil et elle finit par répondre d’une petite voix.
— D’accord, ce n’était pas la première fois. Au début, c’était vraiment pour régler mes factures et puis on a commencé à se voir régulièrement le soir, car il aime que je le suce et me baiser sur son bureau. Il dit que je lui rappelle sa femme lorsqu’elle était jeune et qu’il adore se vider sur moi après sa journée de travail.
Je clignai des yeux, ne m’attendant pas à des révélations aussi crues. Ainsi elle mettait des tenues sexy pour lui plaire à lui. J’étais stupéfait de savoir qu’elle était aussi soumise et excitée par cette situation.J’aurais aimé avoir encore plus de détails, seulement j’étais vraiment en retard au cours de science. Je passais donc à la deuxième étape de mon plan.
— Ce soir, il n’y aura personne chez moi, vous viendrez à vingt heures et si vous êtes en retard...— Oui je serais à l’heure !
Elle avait abandonné ses protestations, comprenant qu’elle n’avait plus le dessus. Je lui communiquai l’adresse, m’approchant subtilement d’elle pour sentir son parfum fleuri. J’avais déjà couché avec plusieurs filles, mais jamais avec une femme plus âgée, qui de plus était ma prof.Je ne pensais pas que ça se goupillerait aussi bien, mon plan était un peu bancal, surtout basé sur le marchandage et elle avait accepté assez rapidement. J’imaginais déjà ce que j’allais lui faire faire, des tas de scénarios se bousculaient dans mon esprit imaginatif.Et surtout, je pourrais enfin profiter de ses seins qui me narguaient depuis la rentrée. Elle allait déguster ce soir, j’avais hâte de voir la salope en elle.Je sortis de la salle, très excité par la perspective de la soirée, j’avais vraiment très hâte...
À suivre...
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