Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 360 J'aime
  • 7 Commentaires

Une prof incroyable

Chapitre 1

La découverte

Hétéro
Cette histoire, totalement véridique, s’est déroulée durant ma dernière année scolaire. J’étais un élève assez bon, sauf dans une matière, le français. Je ne comprenais strictement rien au concept de cette matière.Depuis trois ans, j’avais la même prof. Une femme dans la quarantaine, blonde. Elle ne faisait pas son âge et comme tous les garçons de la classe, je ne pouvais m’empêcher de la reluquer.Elle savait se mettre en valeur, elle portait des hauts légers, mettant parfaitement en valeur sa généreuse poitrine ronde et ferme. Elle portait des tailleurs avec des jupes très moulantes.Elle allumait ses élèves et jouait à la salope. Elle passait entre les rangs et se penchait pour nous offrir une vue plongeante sur son décolleté. Certains se risquaient à prendre des photos, qu’on s’échangeait à la pause.
Je me branlais sur ses photos tous les jours, en pensant à ses gros seins. J’avais envie de la baiser, et me vider les couilles sur son visage.Durant le cours suivant, je n’arrêtais pas de la fixer. J’ai dû heurter son ego. Elle n’arrivait plus à m’hypnotiser avec ses superbes formes. Elle s’approcha de moi et se pencha en face de moi.Mais au lieu de baver sur sa poitrine, je relevais les yeux et les plongeais dans ses superbes yeux bleus. Je lui souris et je sentais son souffle s’accélérer.Elle semblait déconcertée et retourna vers son bureau. Je n’en avais pas fini avec elle et j’avais prévu d’aller beaucoup plus loin.La semaine suivante, me vint une autre idée. J’allais la suivre dans les toilettes à la pause. Elle m’excitait tellement que plus aucune vidéo porno ne me faisait jouir. J’avais besoin de la voir nue.Le claquement de ses talons dans les couloirs couvrait mes bruits de pas. L’école était vide et les cours étaient terminés. Je me demandais ce qu’elle faisait encore dans l’école et surtout pourquoi ne pas rentrer chez elle.
Mais ces questions sortirent vite de ma tête quand la porte des W.C. s’ouvrit. J’attendis d’entendre la cabine se fermer avant de discrètement la suivre.Je rentrais dans la cabine adjacente. Et je grimpais sur le trône et me penchai pour voir ce qui se passait. Elle était en pleine masturbation, elle gémissait doucement et caressait sa chatte et ses seins.
Heureusement pour moi, elle avait les yeux fermés et se caressait avec délicatesse. Je bandais et puisqu’elle ne m’avait pas remarqué, je sortis ma verge et commençai à l’imiter.Je remarquais alors son téléphone posé sur le socle du papier. Il montrait une femme se faire déchirer par un énorme gode rose. Je m’imaginais alors la baiser avec ce gode et je jouis contre la porte.
Avant de me faire remarquer, je pris une vidéo de ma prof et je m’éclipsais. Mais ce soir, je n’arrivai pas à trouver le sommeil. Je me repassai en boucle cette scène et j’avais maintenant davantage envie de la baiser.
Je m’imaginais pénétrer sa chatte tout en dévorant ses seins. Le lendemain en cours, je n’arrivais pas à me concentrer et dès la fin de journée, je rentrai chez moi pour réfléchir à un plan.
Il fallait la jouer serrer, pour ne pas avoir de problème sur le reste de l’année. Je savais qu’elle était très cochonne et adorerait se faire prendre par un élève.Mais il ne fallait pas non plus y aller trop frontalement pour ne pas lui faire peur. Je décidais alors de la laisser accepter le défi. Je commandais le gode de la vidéo.La semaine suivante, à la fin de son cours, je fis tomber le gode, de mon sac, sur son bureau. Je fis mine de sortir de la pièce, mais comme prévu, elle me stoppa.

— Rémi, viens ici !— Oui, Madame MARTIN.— Tu peux me dire ce que c’est ?— Sa Madame, c’est un gode rose.
C’est pour s’insérer dans la chatte ou le cul.Elle rougissait et le serra de plus en plus fort. La voyant alpaguée par cet instrument, je lui répondis insolemment.
— Si vous voulez que je vous montre, je vous laisse écarter les cuisses.— Arrête tout de suite de me parler comme ça. Je suis ta prof et pas une pute.
Mais elle ne me regardait même pas en prononçant cette phrase. Et maintenant, elle caressait le gode, de haut en bas.
— Je ne voulais pas vous offenser, mais j’ai l’impression que vous n’aviez pas vu de gode depuis longtemps.— Ça ne te regarde pas, petit effronté.— Vous pouvez me rendre le gode s’il vous plaît.— Sûrement pas ! Je le garde pour...— Pour vous en servir.— Oui. Euh NON !
Elle eut alors un éclair de lucidité et me demanda de rentrer et m’informa que le lendemain, j’aurais deux heures de colle pour mon insolence.
Elle ferma la porte de la classe juste derrière moi. Malheureusement, j’avais un entraînement de hand, mais je m’imaginais sans peine qu’elle se l’insère dans la chatte.Le lendemain, je ne fus pas déçu. Elle portait une tenue terriblement excitante. Son haut était composé de deux bandes de dentelle blanche. Ces deux bandes se rejoignaient au niveau de son nombril.Son dos était dénudé. Son haut semblait lui servir de body. Ce dernier était encore recouvert d’une courte jupe flottante. Elle avait une paire de talons qui sublimait ses longues jambes.J’avais bien l’intention d’aller plus loin. Je savais que ces deux heures de colle me permettaient de rester seul avec elle.On se retrouva effectivement seul. J’étais au premier rang et elle à son bureau. Elle me donna une feuille comportant deux questions, « Pourquoi le gode est-il meilleur qu’une bite ? » Et la seconde, « Pourquoi les hommes ne savent pas faire jouir les femmes ? ».
Elle me demanda de répondre à ces deux questions avec à la moins une page de justification. Je compris mieux pourquoi elle semblait hypnotisée par le gode. Elle était frustrée par le sexe et les hommes.
Je lui demandais si je pouvais prendre mon téléphone pour faire des recherches. Elle accepta à condition qu’elle puisse vérifier ce que je faisais.Je tapai « orgasme, femme, porno » sur Internet et ouvris une compilation de femme jouissant sous les coups de bites d’hommes. Je lui demandai de venir voir ce que j’avais trouvé.
— Madame, vous pouvez venir voir s’il vous plaît.— J’arrive.

Elle passa derrière moi et je lançai la vidéo.
— Vous voyez, elles prennent du plaisir.— Ça ne va pas de regarder des choses comme ça en classe. Tu n’es qu’un petit pervers.
Mais en me disant cela, elle se tortillait sur place et ne lâcha pas du regard la vidéo.
— En plus, c’est une vidéo porno, elle est trafiquée. Ça n’existe pas dans la vraie vie, me lança-t-elle.
Elle se rapprochait de plus en plus, en se dandinant pour se soulager. J’aperçus une goutte couler le long de sa cuisse. Je passai mon doigt contre sa douce peau et la portai à ma bouche.
C’était de la cyprine. Je continuai de caresser sa cuisse et elle ne me repoussa pas. Je soulevai alors sa jupe.
— Qu’est-ce que tu fais petit salaud.
Mais elle se laissa faire. Son body était trempé. J’ouvris alors le bouton qui le tenait et découvrit sa chatte luisante. Elle avait laissé une petite bande de poil à l’avant.
— Je vais vous prouver qu’on peut faire jouir une femme dans la vraie vie, Madame.— Tu ne vas rien faire du tout. Tu crois que tu vas pouvoir me baiser comme une salope.— Je vous ai vu dans les toilettes la semaine dernière. Vous me semblez très excitée en ce moment. Et vous allez me laisser faire ce que je veux de votre corps.
Je la fis s’asseoir sur mes genoux et la tournai vers moi. Je décalais les deux pans de son body et libérai sa poitrine.Comme je l’avais imaginé, elle ne faiblit pas et trônait fièrement sur son torse.J’avais envie de la prendre directement, mais je voulais qu’elle languisse. Je caressais donc ses tétons et les pinçais entre mes doigts.
— Tu crois peut-être que je suis une petite salope qui jouit aux moindres caresses d’un homme.— Non, Madame, vous êtes ma pute. Je vais vous faire jouir si profondément que vous ne pourrez plus vous passer de moi.

Sans toucher sa vulve, je me rapprochais de sa chatte. Elle tremblait de plaisir et mes caresses semblaient lui faire beaucoup d’effet. Je la fis se relever et ouvris la fermeture éclair de sa jupe, qui tomba à ses pieds.Je lui ôtai son body. Elle était complètement à ma merci. Elle se laissa faire et ne bougea pas.Je tournai autour d’elle, en passant mes mains sur ses hanches et sur ses cuisses. Je l’embrassai dans le cou.
— Tu vois bien que tu n’arrives pas à me faire jouir.
Sa voix était toute chancelante, alors que je n’avais rien fait. Je me plaçai devant elle et l’embrassai. Je la plaquai contre moi, elle pouvait sentir ma verge tendue au travers de mon pantalon.J’étais proche de l’orgasme, rien qu’en étant contre son corps. Je décidai alors de ralentir le rythme et je lui demandai de s’asseoir sur la table.Je m’agenouillai et écartai ses cuisses. Je lapai légèrement sa vulve. Elle n’en pouvait plus et plaqua ma tête contre sa chatte.
— Bouffe ma chatte petit pervers. Maintenant, tu vas me faire jouir.
Je m’exécutai sans rechigner et titillais son clitoris avec ma langue. Elle resserra ses cuisses contre mon visage. Elle m’ordonna de ne pas stopper mes mouvements de langue.Ses cris devenaient de plus en plus puissants et rapides. J’agrippais alors son cul pour me coller à sa vulve. Elle criait de plaisir.
— Oh oui continue comme ça. Tu vas faire jouir ta prof, petit salaud.

Ces paroles m’excitèrent encore plus en donnant les derniers coups de langue fatale. Elle était à fleur et se contracta. Je reçus une impressionnante quantité de cyprine.Je l’admirais, alors qu’elle était comme en transe. Elle se masturbait pour rallonger son orgasme. Je ne pouvais m’empêcher de la filmer.Mais une fois rétablie, elle se releva et prit ses habits.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Je rentre chez moi. Tu ne croyais quand même pas que tu pourrais me baiser.— Ce n’est pas que je croyais, c’est que je vais le faire.— Sûrement pas, petit pervers.— Si je suis pervers, qu’est-ce que vous êtes ? Vous venez de vous offrir à moi sans résister. Maintenant, vous allez venir me sucer et je vous baiserai comme la salope que vous êtes.
Sur ces mots, je déboutonnai mon jean et lui présentai ma verge. Je m’approchai d’elle. J’appuyais doucement sur son épaule et elle se mit à genoux. Elle avait ma bite devant la bouche.
— À votre tour de me faire jouir.
À SUIVRE...
Diffuse en direct !
Regarder son live