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Une prof d'italien sexy

Chapitre 4

Une découverte surprenante

Erotique
La journée se finit. Nous allons passer à table dans peu de temps, mais je veux prendre ma douche avant. J’en ressors lorsque maman m’appelle pour la troisième fois et je descends en boxer. Arrivé à table, je remarque que ma sœur s’est changée et qu’elle est vêtue d’un débardeur échancré et d’un petit short gris clair. Je trouve que ça lui va très bien. Maman, quant à elle, est toujours avec son peignoir qu’elle a remis finalement bien en place.Nous mangeons tranquillement et la discussion revient sur ce qu’il s’est passé cette après-midi.
— Ce fut une après-midi mouvementée et riche en découvertes ! dit maman en nous souriant.— C’est clair, surenchérit ma sœur, je ne m’attendais pas à ce qu’il arrive ça un jour dans la maison. Mais raconte-nous comment il en est arrivé là.— Et bien, il se trouve que nous étions en train de jouer sur le PC, je suis sorti et quand je suis revenu, je l’ai trouvé sur Internet à naviguer sur mes sites.
Julie me coupe alors :
— Je parie que c’est une compilation de ce qui te fait le plus bander ! Va falloir que tu nous montres ça... Dit-elle avec son sourire coquin.— Eh bien, si vous le voulez, mais après manger alors les enfants. Continue ton histoire chéri. On a commencé à parler d’Elodie et avec ce qu’il y avait sur le PC, il était bien échauffé. Du coup quand nous sommes descendus pour les gaufres, il devait être toujours très excité.— Oh ça oui, confirme Julie, j’ai vu sa braguette prête à craquer tellement il bandait. Et toi aussi tu n’étais pas en reste...— Bref ! Et il se trouve qu’à table, il a continué à se caresser discrètement. C’est pour ça qu’il est remonté vite. Il est arrivé dans ma chambre et s’est masturbé comme un fou jusqu’à ce que vous arriviez. Et après, vous connaissez la suite.— Hum oui ! confirma maman. Il s’est mis à éjaculer partout ! Je vois encore son gland expulser tout ce sperme. C’était très érotique comme scène.
Maman a alors le regard dans le vide et c’est ma sœur qui la ramène parmi nous.
— Avec ce qu’il a vu de tes seins, tu m’étonnes qu’il ait joui à ce point. Tes seins, maman, sont terriblement excitants...
Julie se tourne alors vers moi et enchaîne :
— Quand je l’ai vu jouir, j’avoue que je n’y croyais pas. C’était assez... perturbant.
Maintenant, c’est ma sœur qui rêvasse. Je lui dis alors :
— Ce qui te perturbe c’est la situation ou bien tout ce sperme qui sortait devant tes yeux ? D’ailleurs, tu ne nous as pas dit, as-tu déjà goûté ?
Elle me regarde alors intensément, réfléchit puis me répond :
— C’est le tout qui me perturbe. Et non, je n’ai jamais goûté...
Elle marque un temps d’arrêt puis se lance :
— Notre conversation d’hier a déclenché chez moi un sentiment étrange. Savoir que tu aimes ça, maman, que tu aimes en avoir dans la bouche, que c’est agréable, ça m’a laissé un peu rêveuse. Alors quand j’ai vu vos sexes bandés en venant prendre le goûter, je me suis dit qu’il y avait peut-être une occasion à saisir. J’ai tiré un peu ma robe, fait ressortir un peu plus ma poitrine et j’ai attendu. Je l’ai vu passer sa main sous la table et je l’imaginais se caresser pendant qu’il matait mes seins. Je dois dire que j’avais envie qu’il sorte son sexe devant nous et qu’il se branle. Mais il est parti et je me suis doutée pourquoi. Alors j’ai dit à maman que nous pourrions aller voir votre jeu. En montant, je tendais l’oreille. Quand nous sommes rentrées dans la chambre, j’ai laissé maman passer devant et en poussant la porte, c’est moi qui ai coincé ton peignoir. Désolée maman !— Mais ce n’est rien chérie. J’ai aussi reconnu les bruits d’un jeune homme se faisant du bien. Je ne savais lequel d’entre vous c’était, voire même les deux en même temps. Chacun dans son coin ou... Et puis tu m’as fait le plus grands des plaisirs en lui montrant ma poitrine bien malgré moi. Je ne m’attendais pas à ce qu’il soit le sexe à l’air. Mais le voir jouir grâce à mes seins était...
Maman s’arrête à nouveau et c’est Julie qui enchaîne :
—... Très excitant ? Pour moi aussi ! J’en ai pris plein les yeux ! J’ai même sur le moment regretté de ne pas avoir la chance de goûter.
J’écoute ces deux femmes et je les trouve bien rêveuses. L’atmosphère est électrique et pour passer à autre chose, je préfère débarrasser la table.Une fois finies, elles m’entraînent par le bras en me disant qu’il faut que je leur montre mes sites. Je les laisse passer devant, ma sœur emboîtant le pas à maman. Je vois son petit cul qui se dandine devant moi et je remarque une petite tache sombre, sur son short, à l’entrejambe. Arrivé en haut des escaliers, j’en ai la certitude. Je comprends à quel point elle est perturbée. Je m’assois à mon PC et elles se mettent chacune de part et d’autre, debout, penchées en avant avec leur poitrine à ma hauteur.
Je commence avec du soft et j’ai droit à tout un tas de remarques. Elles cherchent à se comparer, à savoir ce qui est excitant chez telle femme ou telle autre. Et puis, je passe à des choses plus sexuelles. Julie et maman prennent une chaise et se rapprochent de l’écran ; chacune a posé sa main sur un de mes genoux et le caresse machinalement. Ça me fait des frissons qui remontent dans la colonne vertébrale. Je passe alors aux vidéos. Revoir ces vidéos commence à me mettre bien en forme. Je sens mon boxer bien tendu et mon gland qui commence à être mouillé. Je change encore de vidéo lorsque ma mère ouvre et laisse tomber son peignoir sur la chaise. Je la détaille lentement. Elle porte son soutien-gorge bleu avec un shorty assorti qui la met en valeur. Puis elle revient contre moi pour voir à l’écran une nana qui branle deux sexes bien durs.
Je sens Julie serrer de sa main ma jambe lorsque la nana reçoit leur sperme sur les seins. Je remarque que c’est souvent au moment de l’éjaculation qu’elle réagit. Je me dis que je peux lui faire plaisir. Je sélectionne une compilation de femmes recevant sur elles des jets de sperme. Elles en ont tantôt dans les cheveux et le visage, mais aussi sur les fesses, le sexe et les seins. Je remarque que sa main libre est venue doucement caresser ses seins. Je les vois qui pointent à travers son débardeur. Maman aussi réagit en écartant puis en serrant les jambes, encore et encore. Moi-même je sens que mon sexe pointe hors de mon boxer.
Je préfère conclure la séance de visionnage. Elles me répondent que dès qu’il y en a d’autres aussi "intéressantes", je ne dois pas hésiter à leur montrer. Je leur propose de redescendre et je les rejoins dans deux minutes. Elles me font alors chacune un bisou sur la joue pour me remercier et s’en vont. J’admire leur sortie de ma chambre avec toujours autant de plaisir. J’essaie de me calmer un peu et reçois un message de Paul. Il s’excuse de ce qu’il s’est passé et espère ne pas m’avoir créé trop de problèmes. S’il savait...
En descendant les escaliers, j’entends les deux femmes de la maison parler :
—... Je n’imaginais pas ça. J’en ai mouillé jusqu’à mon short ! Regarde.— Moi c’est la même chose, je suis trempée. Va falloir faire un truc.
Et arrivé en bas, ma mère me dit :
— J’ai une idée, on pourrait se dire qu’une fois par mois, nous regardons quelques vidéos de ton cru dans le salon. Pourquoi pas le premier jeudi du mois ?— Oh oui, dit Julie avec entrain. Steu plaît frérot, dis oui !
J’accepte d’un mouvement de tête et vais m’asseoir sur le canapé en allumant la TV. Je suis immédiatement rejoint et nous regardons la fin du film.Tout à coup, Julie se tourne vers moi :
— Je me demandais, tu as de grosses éjaculations ?
Je reste sans voix sur le coup. Je ne sais que répondre. Et elle enchaîne :
— Parce qu’avec ce que tu viens de nous montrer comme vidéos d’hommes qui jouissent et ton envie de te retenir, quand ça va sortir, ça va être un énorme feu d’artifice. Paul puissance mille quoi !
A ces mots, maman semble rêveuse :
— C’est vrai mon chéri, tu vas gicler une quantité astronomique de sperme bien chaud. J’imagine déjà ton liquide sortir de ton gland par salves pour venir éclabousser ta Elodie.
J’écoute maman et ma tête part en arrière. Je ferme à moitié les yeux et je la vois en classe à moitié nue avec mon sexe qu’elle frôle, touche, caresse de ses seins. Mon sexe palpite alors au récit de ma mère. Mon gland s’est frayé un chemin en dehors de mon boxer. Dans la position où je suis, je me doute que cela doit être visible, mais ça ne me gêne pas. Maman s’est rapprochée de moi et Julie prend la relève pendant que maman se penche un peu pour regarder mon gland qui se lubrifie de plus en plus.
— Si elle est aussi friande que maman de sperme et qu’elle sait que tu te retiens, elle va chercher par tous les moyens à te faire jouir sur elle pour sentir couler lentement ta liqueur chaude et après la porter à sa bouche.— Et il y a encore meilleur les enfants.
On se regarde alors avec Julie et maman pointe du doigt mon sexe.
— Quand le gland est tout recouvert de liquide comme celui de ton frère en ce moment, alors qu’il ne s’est rien passé. Il a un goût particulier qui me fait toujours fondre...
Je vois ses yeux qui pétillent et mon gland grossit encore un peu plus.
— Donc il va falloir que je goutte à ces deux saveurs. Murmure Julie.— Et si tu goûtais déjà à une ?
On se regarde avec ma sœur, sans savoir exactement ce que maman sous-entend. Elle le sent et propose alors :
— Si tu es d’accord chéri, tu n’aurais rien à faire pour faire découvrir ça à ta sœur adorée. Après, tu n’aimeras peut-être pas ma puce, mais je te vois très excitée par cette idée. Il y a juste à contempler la tâche qui grossit au niveau de ton short.
Je baisse alors les yeux et je constate que ma sœur mouille pour de bon. Ce que je qualifiais tout à l’heure de petite tache sombre s’est transformé en une grosse tache qui fait coller son short à son sexe, comme si c’était une deuxième peau. Je peux voir ses lèvres gonflées d’envie. Ma mère me voit fixer la tâche et s’en amuse.
— Eh bien, chéri, c’est la première fois que tu vois ta sœur mouillée ? J’ai bien l’impression. Ton gland pousse encore vers le haut. Tu sais que tu as un beau sexe mon fils. Je suis très fière de toi. Mais cela te dérangerait de retirer ton boxer s’il te plaît ?
Alors, comme médusé par ses propos et sous les yeux de ma sœur, je fais glisser mon boxer à mes pieds. Je me rassois, jambes légèrement ouvertes et surtout mon sexe bandé à fond et palpitant comme rarement. Ma sœur ne décolle pas son regard de mon sexe et surtout pas de mon gland. J’en suis à un point où une grosse goutte commence à se former au bout. Maman reprend alors :
— Merci mon chéri, tu n’es pas mieux comme ça ? Alors veux-tu bien me laisser faire pour que ta sœur goûte ?
Mon cœur bat dans mes oreilles, j’ai la pression qui monte en entendant ça et je crois que c’est pareil pour tout le monde. Je fais alors un lent mouvement de bas en haut de la tête. A ce moment-là, ma mère rapproche sa bouche de mon oreille. Je sens son souffle dans mon cou et elle me glisse un "merci pour elle". Ma sœur et moi voyons alors ma mère rapprocher sa main de mon gland. La goutte continue de grossir. Un de ses doigts n’est plus qu’à quelques centimètres de mon gland. Elle semble attendre et nous aussi. Chacun retient sa respiration.
— Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te toucher. Je veux juste récupérer cette goutte qui semble fort appétissante.
Et là, cette goutte se met à couler lentement en passant sur mon frein. Le doigt de maman l’attend juste en bas et comme par magie, ce liquide est passé sur son doigt sans que je ne sente rien. Elle relève la main et dit à ma sœur d’approcher. Je me retrouve aux premières loges. Devant mon visage se trouve leur tête et sa main entre.
— Ouvre la bouche chérie et sors le bout de ta langue.
La goutte tombe alors et ma sœur l’enferme dans sa bouche. Elle ferme les yeux pour en chercher le goût. Mais en l’espace d’un instant, je vois ses yeux s’ouvrir en grand puis se révulser. Les miens sont attirés par la tâche qui devient plus grande encore. Ca coulerait presque sur le canapé. Elle attrape ma cuisse puis s’effondre, terrassée par le plaisir. Du coin de l’œil, je vois maman porter son doigt à sa bouche et le sucer lentement en fermant les yeux. Quelques secondes plus tard, ma mère rouvre ses beaux yeux. Je lui fais un sourire aimant qu’elle me rend au centuple, mais je vois aussi dans son regard quelque chose de changé. Julie revient à elle et s’excuse :
— Je suis désolée, je ne sais pas ce qu’il m’a pris. C’était si... excitant que j’en ai joui. Je te comprends maman. C’est tellement intense. On en reprendrait bien...— Oui, mais ça suffit petite gourmande. Il est l’heure de toute façon d’aller dormir si vous voulez pouvoir profiter de votre dimanche.
Elles me font comme à leur habitude, chacune un bisou sur la joue et elles se lèvent. Elles montent et j’entends ma sœur dire :
— Faut que je me change complètement, je suis trempée et ça ne m’était jamais arrivé.— C’est normal ma puce. C’est parce que tu...
Et je n’arrive pas à comprendre la suite. Je reste là, sur le canapé, mon sexe encore dégoulinant de ce fameux liquide qui a l’air aphrodisiaque. Je finis par ramasser mon boxer et je file au lit.
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