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Une prof d'italien sexy

Chapitre 5

De bien étranges objets

Erotique
Le dimanche se passe normalement et le début de semaine aussi. Arrive alors mercredi avec le cours d’Elodie. Je n’ai pas eu le temps de faire ce qui était demandé ; on verra bien. On rentre en classe et Elodie est là, assise à attendre qu’on s’installe. Le cours commence et bien sûr je me fais remarquer pour travail non fait. Elle me demande de rester à la fin du cours. Je passe le reste de mon temps à la contempler. Elle a mis aujourd’hui une tenue un peu différente. Elle est en jupe, une paire de collants et des bottes fourrées. Son haut est un dos nu. D’un coup, je tilte et me dis qu’elle ne doit pas avoir de soutien-gorge. Je repense à la conversation dans la salle de bain et mon sexe réagit de suite. Elle finit son cours et les autres sortent en se disant que je vais me prendre un savon, sauf Paul qui sait que cela me fait plaisir de me retrouver avec elle.
Je vais donc à son bureau et j’attends debout qu’elle finisse ce qu’elle fait. Je détaille ses cheveux et je sens son parfum m’enivrer. Elle relève la tête et ses magnifiques yeux bleus se posent sur les miens. Elle me dit de m’asseoir au premier rang pour parler. Je mets quelques secondes à réagir. Je lui explique que je suis nul, mais j’essaie de faire des efforts. Elle me répond que ça n’est pas suffisant apparemment. Ses mots me blessent et elle s’en rend compte. Elle se lève, fait le tour de son bureau d’un pas chaloupé et vient poser ses fesses à moitié sur le bord de son bureau. Jambes tendues, sa jupe remonte alors un peu. Et plus elle bouge en parlant et gesticulant, et plus la jupe glisse jusqu’à me dévoiler que ce n’est pas un collant qu’elle porte. Mon sang ne fait qu’un tour et mon sexe se redresse. Je me mets alors à l’imaginer en porte-jarretelles dessous sa jupe.
Je vais même jusqu’à me dire que si elle n’a pas de soutien-gorge, elle n’a peut-être pas mis de lingerie du tout aujourd’hui.
Je sens alors mon sexe déformer progressivement mon pantalon. Elle bondit brusquement de la table, pose ses mains sur la mienne, se penche en avant, près de moi et me dit :
— Tu m’écoutes quand je te parle ? On dirait que tu es ailleurs. Je pense qu’il va falloir convoquer tes parents.— Non Madame, attendez. Justement avec maman, on voulait savoir si vous donniez des cours particuliers. Je pense que j’en ai vraiment besoin.— Et bien, je suis impressionnée, dit-elle en redevenant calme. Je ne te pensais pas si mature. C’est un bon point. Je sais que ça n’est pas facile de reconnaitre que l’on n’y arrive pas. Mais que tu veuilles t’améliorer me plaît beaucoup. D’habitude, je ne donne pas de cours, mais je ferai une exception pour toi. Ça sera notre petit secret.
Et elle me fait un clin d’œil.
— Par contre, Madame, ça va couter combien ?— Oh, et bien il faut que j’y réfléchisse.
Elle lève alors la tête, mais ses mains sont toujours sur la table. Je suis à deux doigts de craquer. Dans sa position, j’ai sa poitrine juste devant les yeux. Je vois deux grosses masses qui ne sont pas maintenues, dont les pointes sont visibles et sont enveloppées, doucement caressées par l’étoffe. Je les trouve magnifiques. Ses seins semblent être en forme de grosses poires. Je voudrais poser les mains dessus pour vérifier, mais ça serait un coup à prendre une claque. Elle se redresse alors et me dit :
— J’en parlerai avec ta mère, ça sera plus simple. Tu peux y aller maintenant. Bonne soirée.
Se retournant, elle m’exhibe bien malgré elle ses fesses moulées dans sa jupe et le début de la dentelle de ses bas. Je bande tellement que je préfère ne pas m’éterniser. Je me lève rapidement lorsqu’elle m’interpelle en s’asseyant :
— Tiens, écris-moi ton adresse mail sur ce papier.
Elle me le tend et forcément ses yeux sont attirés par la bosse dans mon pantalon. Elle reste là sans bouger à regarder mon sexe qui grossit encore. Je prends le papier et griffonne mon email puis sors d’un pas pressé.
Je rentre à la maison et fonce dans ma chambre, je sors mon sexe pour me masturber en pensant à ce qu’il vient de se passer. Quelques minutes après, mon PC émet un bruit, signe que j’ai reçu un mail. Je pense immédiatement que c’est elle. Je m’assois à mon bureau, pantalon sur les chevilles et je découvre un mail de iza_italienne69. Je vais pour l’ouvrir lorsque j’en reçois un deuxième dans la foulée qui provient d’Elodie. En les comparant, les mêmes mails s’avèrent identiques, mais envoyés de deux boîtes différentes. Elle m’écrit dedans qu’elle est libre ce vendredi à 17h. Elle me demande si cela me convient et souhaite avoir mon adresse. Je lui réponds sur son adresse que cela me parait très bien et lui donne l’emplacement de la maison. J’entends du bruit dans l’entrée, alors je me rhabille rapidement et descends dire bonsoir.
Pendant que le repas cuit, nous discutons tous les trois dans la cuisine. Ce soir, Julie a ressorti son petit short blanc, accompagné d’une brassière qui fait bien ressortir ses seins. Maman est encore en tenue de travail, un tailleur sombre pour éviter d’attirer la jalousie de ses collègues féminine, dit-elle toujours. Je me suis toujours dit que ça ne devait rien changer, car tout se devine quand même. Maman n’est au moins pas provocante. Bref, je les écoute parler d’une oreille, car cette histoire de mail me chagrine lorsque ma sœur dit :
— Faut que je vous montre. Avec des copines, nous sommes allées dans un sex-shop aujourd’hui.— Mais ils vous ont laissé rentrer malgré votre âge ? Demande maman, légèrement inquiète. Ils ne vous ont rien fait faire au moins.— Mais non maman, c’était un garçon gentil. C’est même lui qui nous a proposé de rentrer. Il nous a dit que cela ferait sûrement venir les clients. Voyant que nous hésitions, il nous a promis un cadeau chacune. C’était la première fois pour moi et il y avait plein d’objets, de tenues. J’ai retrouvé une des vidéos que tu nous avais montrées. Ça coute super cher ces trucs.
Elle marque un temps d’arrêt avant de poursuivre.
— Bref, au début, la boutique était quasi vide. Mais après notre entrée, des gens ont commencé à arriver. Surtout des hommes, plus ou moins vieux. Nous étions à regarder les accessoires lorsqu’un des nouveaux clients s’est retrouvé derrière nous. Il nous a dit qu’un des godes ressemblait à son sexe. Mais le gode était énorme alors nous ne l’avons pas cru. Tout à coup, pour le provoquer, Sonia lui a dit que s’il voulait pas passer pour un menteur, il n’avait qu’à nous le montrer.— Et alors, intervient ma mère, il a fait quoi ? Il vous a montré son sexe ? Il était aussi gros que ça ?
Je vois maman qui trépigne d’impatience et ma sœur de lui sourire en lui répondant :
— Il lui a dit qu’il le lui montrerait si elle lui montrait ses seins. Ni une ni deux, elle l’a regardé dans les yeux et a commencé à retirer son pull.— En plus Sonia a une paire de seins vraiment impressionnante.
Aux yeux de mes deux voisines, je crois que j’aurais mieux fait de ne pas faire ce commentaire. Mais je vois Sonia venir de temps en temps passer prendre ma sœur et c’est vrai qu’elle a des seins qui me semblent tendres et très appétissants. Cela m’est souvent arrivé de me branler en pensant à elle.
— Enfin, bref ! Elle s’est retrouvée en soutif devant le mec. Voyant ça, deux autres sont venus et nous ont demandé ce qu’il se passait. Je leur ai expliqué qu’il prétend en avoir une aussi grosse que ce gode. Et là, le mec a eu trop honte. Il est parti rapidement sous les rires de tout le monde.— Son plan aurait presque pu marcher. Dit maman. Dommage pour lui et dommage pour toi ma puce.— Oh tu sais, on s’en doutait avec les filles. Sonia a alors remis son pull au plus grand désespoir des deux nouveaux venus. On a alors discuté avec eux des accessoires. Ils ont voulu aller boire un coup, mais nous avons refusé. En sortant, le vendeur, content que nous ayons fait venir autant de clients nous a tendu un paquet à chacune et nous a dit à bientôt.— Et alors tu as eu quoi toi ? dis-je, impatient de savoir.
Elle prend un paquet de sous la table et commence à en sortir le contenu en commentant à chaque objet.
— Alors, tout d’abord, j’ai eu un DVD. Je pensais que l’on pourrait le regarder ensemble, non ?
Maman et moi acquiesçons à l’unisson puis elle continue.
— Après, il y a des sous-vêtements comestibles. Mais j’ai goûté et c’est pas bon du tout ! Il y a un truc qui ressemble à un œuf, mais je ne sais pas ce que c’est. J’ai aussi eu une sorte de cône et un jeu de cartes porno.— Et bien tu as été gâtée chérie. Alors, vous ne savez pas ce que sont ces deux objets ?— Je sais ce qu’est le cône. C’est un plug anal. Quand la fille veut prendre du plaisir, elle le glisse dans son anus, un peu comme un gode.— Ce n’est pas tout à fait que ça chéri. Il y a aussi le cas où une femme veut prendre du plaisir avec la sodomie. Elle a besoin aussi parfois de... d’élargir son œillet. Alors elle se l’enfonce et le garde un certain temps en elle. Cela permet que ça fasse moins mal après quand tu veux te faire sodomiser.
Je regarde l’objet avec attention, car c’est la première fois que j’en vois un en vrai. Je repense à Elodie et sa jupe qui remontait tout à l’heure. Si elle n’avait pas de lingerie, elle avait en revanche peut-être ça en elle. Et rien que d’imaginer ça, mon sexe se durcit. Ma sœur me le prend des mains et dit alors les yeux pétillants :
— Celui-là je le garde pour moi...— Et l’autre, c’est effectivement un œuf. Il ne reste pas quelque chose dans le sac comme une petite télécommande ?— Ah si ! Il reste quelque chose, mais c’est un rouge à lèvres.
Ma mère sourit, prend le tube et l’ouvre.
— Vous voyez, il n’y en a pas à l’intérieur. A la place, il y a un bouton. Prends l’œuf dans ta main et regarde. J’appuie sur le bouton.
Le bouton s’allume légèrement et surtout la main de ma sœur se met à vibrer. Maman continue alors devant notre surprise :
— C’est un œuf vibrant à télécommande. C’est fait pour rester discret donc ça ressemble à un rouge à lèvres. On l’introduit dans le sexe et lorsque l’on appuie sur le bouton, cela fait vibrer l’œuf et en général, cela déclenche des vagues de plaisir inouï. Il est très gentil ton vendeur quand même. J’en serai presque jalouse.
Je regarde maman et lui demande :
— Pourquoi presque ? Tu as des accessoires toi aussi ?
Maman me sourit, mais ne répond pas. Julie le range dans sa poche avec sa télécommande et passons à table.Après le repas, nous allons dans le salon pendant que maman part se laver. La télé allumée, Julie se blottit contre moi pour regarder un film policier. De mon côté, je fixe l’écran et repense à Elodie qui serait très bandante avec un plug en elle. D’ailleurs, j’en bande. Julie le remarque et me glisse à l’oreille :
— Toi aussi ça te fait rêver ces objets ? Je savais pas que ça existait. Mais c’est très intéressant... Je sens que je vais retourner dans ce sex-shop. Tu voudrais venir avec moi ?
Je sens au fur et à mesure qu’elle me dit tout ça que ses tétons pointent contre mon bras. Un rien nous excite en ce moment je trouve... Et j’adore ça. Maman arrive avec son thé déjà prêt et une petite culotte blanche taille basse, presque trop petite pour elle. Elle s’assoit à mes côtés et pose son pied opposé à moi sur le canapé avec sa tasse dans les mains. Cela a pour conséquence de tourner son bassin vers moi et de lui faire écarter légèrement les jambes. Mes yeux se posent au niveau de son bas-ventre et je crois même distinguer le début d’un ticket de métro. Mon regard continue son inspection. J’admire alors les courbes de sa culotte qui épouse son corps lorsque ma sœur me bouscule en rigolant à cause du film. Je sens mon sexe toujours autant au garde à vous.Le film se finit. Je monte me laver, rapidement suivi par les deux femmes de la maison. Alors que je suis sous la douche à me savonner, maman entame une conversation au sujet d’Elodie. Je poursuis en disant :
— J’ai oublié de vous dire que je l’ai eue aujourd’hui en cours. Elle va venir me donner un cours particulier vendredi vers 17h.
Elles passent toutes les deux la tête dans la douche avec un grand sourire. Puis ma mère enchaîne :
— Ça n’a pas l’air de te faire tant plaisir que ça, chéri. Tu n’es pas en train de bander alors que tu parles de sa venue. D’habitude, tu es en forme dès que tu en parles.— C’est parce qu’il se réserve pour sa venue. Répond Julie en me faisant un clin d’œil.— Mais non, c’est autre chose. Chéri, serais-tu stressé de savoir qu’elle va venir ?— C’est possible...— Il ne faut pas. Tout va bien se passer et tu vas l’avoir dans ta chambre, juste pour toi, pendant au moins une heure. S’en amuse ma sœur. Oh ça te fait réagir on dirait.
Effectivement, mon sexe se redresse en écoutant Julie. Elles me sourient toutes les deux avec ce quelque chose dans les yeux. Puis elles me disent bonne nuit et sortent.Je finis ma douche, me sèche, enfile un boxer et sors. En passant dans le couloir, j’entends des bruits qui viennent de la chambre de ma sœur. Je m’approche lentement pour ne pas la déranger, la porte est ouverte comme d’habitude. Je vois difficilement, mais j’entends maintenant distinctement des gémissements. Elle doit être en train de se faire du bien. Je distingue à présent le sac et pense qu’elle est en train d’essayer un de ses jouets.
Mes yeux se sont habitués à l’obscurité et je vois alors ma sœur sur son lit, sa couette repoussée vers le pied du lit, le rouge à lèvres à la main et à chaque fois qu’elle appuie dessus, elle se met à serrer les jambes, à attraper sa belle poitrine à travers son haut et à pousser un gémissement à la hauteur du plaisir qu’elle prend. Cette scène est d’un érotisme fou ; je suis tellement excité en ce moment que je sens mon sexe qui durcit. Il se met facilement à déformer mon boxer. Les minutes passent et elle appuie de plus en plus longtemps sur le bouton. Je sens la tension qui monte en elle. Tandis qu’elle partage ce plaisir avec les murs de sa chambre, mon gland passe l’élastique du boxer tellement il est sensible et réceptif. Elle se met à tirer sur les pointes de ses seins et remue dans son lit encore plus.
D’un coup, j’entends dans mon oreille, un murmure qui me dit :
— Elle a l’air de l’apprécier son cadeau.
Je suis surpris par maman, mais reste les yeux rivés sur ma sœur dont la tête part en arrière tout en se cambrant. Maman se colle à mon dos pour voir par dessus mon épaule. Je sens la pointe de ses seins contre la peau de mon dos. Ne voyant toujours pas assez, sa poitrine se presse plus encore et je sens ses mains se poser sur mon autre épaule et sur ma hanche opposée. Ses mains sont chaudes et diffusent dans mon corps une douce sensation. Sa main passe alors lentement sur mon ventre pour me décaler un peu. Le bas de sa main effleure à peine le bout de mon gland. Surprise, elle me souffle à l’oreille :
— Mais, tu bandes ?
Ma respiration s’arrête. Mon cœur s’accélère. Je sens alors la pulpe de ses doigts passer sur le dessus de mon gland pour en avoir le cœur net. Voir ma sœur être sur le point de jouir, un œuf enfoncé en elle et ma mère, ses seins énormes écrasés dans mon dos et ses doigts enserrant mon gland, me provoque un monstrueux frisson qui va faire exploser ma tête. Ça se met à tourner et toutes mes perceptions se font au ralenti. La voix de maman, ses doigts sur mon sexe, ma sœur et ses mouvements désordonnés. J’entends alors un murmure :
— Ton gland ne devrait pas être trempé... tu sors de la douche... Je le sens même couler sur mes doigts. Je ressens même ton gland palpiter ; cela traverse ma main et vient faire écho dans...
Elle laisse sa phrase en suspens. J’ai une boule qui se forme alors au niveau de mon bas-ventre. Ma mère a gardé ses doigts sur mon gland. Ils ne bougent plus. Le temps s’est figé pour nous. Nous observons Julie s’arc-bouter, presser le bouton sans s’arrêter.
— Regarde, ta sœur va jouir. Son œuf doit être en train de la rendre folle.
Et je sens alors la main de maman se refermer sur mon gland et appliquer de petites pressions au rythme de ce qu’elle me dit.
— Tu vois comme elle se touche les tétons. C’est signe que son orgasme monte. Elle doit avoir le sexe aussi trempé que le tien en ce moment. Je me demande à quoi elle pense. Et si elle essaie en même temps le plug !
Et maman se met à serrer mon gland plus fort. Elle s’en rend compte :
— Oh pardon mon chéri, j’ai failli te faire mal.
Elle retire sa main qui doit être recouverte de mon liquide. Ma sœur atteint alors le point de rupture. Elle ne touche plus terre. Elle serre sa poitrine, se crispe sur le bâton et laisse échapper un long râle de plaisir qui résonne dans la pièce. C’est magnifique de la voir jouir. Je sens au même moment que je coule tellement que mes testicules s’en enduisent et dans le même temps, j’entends maman pousser un soupir couvert par ma sœur. Je tourne la tête et je vois qu’elle a glissé ses doigts dans sa bouche. Elle semble savourer ce liquide dont elle parlait la dernière fois. Ses yeux se rouvrent et elle les pose sur moi en chuchotant :
— Excuse-moi, mais c’est si bon.
Tout en me regardant, elle fait passer sa langue entre ses doigts pour sûrement ne rien perdre. A ce moment-là, je sens une goutte tomber de mes testicules. Ma sœur se met enfin à gémir d’aise, s’étirer, puis elle cherche sa couette et se couvre le corps. Elle nous tourne le dos. Elle va certainement s’endormir rapidement après ça. Nous nous reculons discrètement et maman me fait un bisou puis part se coucher. Cela n’est qu’à ce moment-là que je me rends compte qu’elle est nue.Je rentre dans ma chambre m’allonger sur mon lit. Mon sexe a décidé de ne plus débander apparemment. Je m’endors difficilement, la boule toujours dans le bas-ventre.
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