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Une prof d'italien sexy

Chapitre 8

Une soirée entre filles

Erotique
Chacune leur tour, elles se lèvent pour venir me faire la bise. Pénélope, d’abord, est habillée d’un jean et d’un petit haut à bretelles. Elle a toujours eu un côté timide qui donne envie de la protéger. Elle m’embrasse sur la joue en rougissant et laisse sa place à Jenny. Une blonde, toute petite, habillée d’un legging qui dessine les muscles de ses jambes. Elle fait de la gym avec ma sœur et elle est tout aussi souple et musclée. Puis Isa se lève. Pendant qu’elle marche vers moi, je remarque qu’elle est très en beauté ce soir. C’est une rousse, cheveux bouclés et une belle bouche pulpeuse. J’adore. Elle est vêtue d’une petite robe courte, près du corps, un décolleté pigeonnant qui met sa poitrine en valeur. Mon regard se pose dessus. Elle le remarque et me fait un gros câlin, écrasant ses seins bien contre moi avec un grand sourire pour me dire bonsoir. Enfin, Sonia se lève. Elle a mis un petit top, beaucoup trop petit pour ses gros seins et une jupe volante qui s’arrête à mi-cuisse et qui cache sûrement des bas, vu son tempérament. J’en ai le souffle coupé. Elle voit mon regard et surtout ma sœur aussi qui dit alors :

— C’est bon ? Tu vas t’en remettre ?
— Mais laisse-le tranquille, voyons, dit Sonia en posant sa main sur mon torse et en se rapprochant.

Elle me fait la bise au coin des lèvres, ce que personne ne rate et surtout pas ma sœur qui se lève d’un coup pour aller dans la cuisine, furieuse. Je la rejoins pendant que maman en sort pour apporter les boissons. Je m’approche derrière elle. Je me colle à son dos, passe mes bras autour d’elle et lui dis à l’oreille :

— Ne t’en fais pas. Tu es et seras toujours ma préférée.
— C’est vrai ? Tu promets ? dit-elle, un regard mi-triste mi-amusé.
— Bien sûr ! Laisse-moi te regarder un peu.

Elle a mis une jupe noire satinée qui s’arrête au-dessus du genou, mais surtout elle est fendue sur le côté et remonte jusqu’à sa hanche. Et elle a mis un haut à moitié déchiré qui laisse voir son soutien-gorge.

— Mais tu es à tomber ma sœur. Tu ne sors pas comme ça sans moi, on va t’enlever.

Elle se met à rire et me dit que je suis bête. Elle m’embrasse sur la joue puis se blottit contre moi. Elle pose ses lèvres dans mon cou pour un tendre baiser puis s’en va en me laissant là. Je passe quelques secondes à reprendre mes esprits et je retourne dans le salon. Les filles discutent de fringues, de mecs, de mode, de sport et j’en passe. Je suis assis sur une chaise à table à les regarder.


— Qu’elles sont belles hein ? Me dit maman en passant sa main dans mes cheveux. On en croquerait bien...
— Oh oui c’est sûr. C’est presque un concentré de ce qui se fait de mieux. Mais il ne manque plus que toi avec elles pour que ça soit complet, dis-je à maman en lui faisant un clin d’œil.

Elle me sourit, mais annonce à tout le monde que l’on passe à table.

Les filles se lèvent et viennent s’installer autour de moi. Leur parfum me fait tourner la tête et les sens. Je suis un peu à l’étroit, mais qui s’en plaindrait ? Je me retrouve avec Pénélope à ma gauche et Isa à ma droite. On commence à manger. Les filles font pas mal de bruits ; ça rigole beaucoup. Au cours du repas, je sens qu’on me marche sur le pied. Je le décale, mais ça recommence. Je ne peux voir qui fait ça, mais je comprends bien vite que l’on est en train de me faire du pied. Je trouve ça assez flatteur alors je laisse faire.

Quelques minutes plus tard, je sens le pied qui remonte le long de ma jambe et se pose sur mon genou. Je cherche à déceler sur les visages qui fait ça, mais la personne ne laisse rien transparaitre. Le pied s’aventure alors sur ma cuisse et approche de mon sexe. Ca commence à le faire réagir alors je me colle à la table pour éviter que mes voisines puissent le voir. Se faisant, le pied se colle contre ma bosse. Bien vite, il commence à remuer et à me caresser. Je ressens un plaisir que je ne connaissais pas. Être à table et se faire caresser par une inconnue. Je me laisse faire, ravi de la situation, mais espérant ne pas être découvert. Le repas fini, nous décidons de passer au salon regarder un film. Du coup, le pied disparaît. Je me sens un peu frustré. J’aurais voulu que cela continue et puis maintenant je bande beaucoup.

Je me dépêche d’atteindre le canapé, prends la couverture et la mets sur moi. J’attends que les filles s’installent pour mettre le film. Autant j’avais réussi à me calmer, autant, maintenant, ça va être encore plus difficile. Elles se sont installées autour de moi. Je suis donc assis avec Sonia qui se colle à ma droite, ses gros seins en avant. Pénélope, assise par terre, entre mes jambes et Isa à ma gauche qui me prend la main. Ma sœur n’est pas loin à guetter. Mais je la sens plus détendue. Elle a Jenny entre ses bras et se font des câlins et des messes basses. Alors qu’à la télé, le film commence, maman dit l’avoir déjà vu. Elle se lève du fauteuil situé à côté du canapé et part se laver. Je me retrouve seul avec ces beautés et mon sexe qui ne dégonfle pas. Isa s’est allongée et est venue poser sa tête sur la couverture qui est sur ma cuisse. Elle prend ma main et la pose sur ses cheveux pour avoir des caresses. Mes doigts passent dans sa chevelure de lionne. J’adore ça et elle aussi.

Pendant le film, après un fou rire, je m’aperçois que ma main droite s’est posée sur la cuisse de Sonia. Je sens le toucher soyeux de son bas et ça me donne des frissons. Je retire ma main, tout gêné. Je sens peu après Isa passer sa main sous la couverture et la faire courir sur mon genou puis remonter vers moi. Je sens des frissons qui remontent jusqu’à mes testicules. De l’autre côté, Sonia a pris ma main pour la remettre sur sa cuisse. Je bande de plus en plus. Mon sexe déforme mon pantalon et, malgré la couverture, je sens que cela fait bouger la tête d’Isa. Elle a forcément dû sentir mon pantalon se relever un peu trop. De son côté, Sonia me fait comprendre que je peux caresser sa cuisse. Elle pose sa main sur la mienne et la dirige. Elles partent vers son genou puis remontent et repartent. Elle lâche ma main et me laisse faire. Mes doigts vont et viennent lentement. Mon cœur bat à 100 à l’heure. Je ne sais pas ce qu’elle veut. Dois-je aller plus haut ? Va-t-elle me laisser passer sous sa jupe ? Je m’imagine ce qu’elle porte. Un string ? Un shorty ? Quelle couleur ? De la dentelle ? Et machinalement, j’ose faire remonter doucement ma main jusqu’à atteindre le bord de sa jupe.

Hum ! J’ai la confirmation qu’elle porte bien des bas et cela m’excite encore plus. Je sens la dentelle qui orne le haut du tissu. Mes doigts courent dessus et je la sens frémir et souffler dans mon oreille. Elle écrase un peu plus ses gros seins contre moi et serre mon bras de ses douces mains. Mon sexe fait une telle bosse qu’Isa a maintenant sa tête nettement relevée. Elle fait alors remonter sa main pour vérifier sous la couette ce qu’il se passe. Ses doigts entrent en contact avec la déformation. Je la vois ramener ses genoux contre sa poitrine et se mettre en position du fœtus. Son autre main descend se perdre entre ses cuisses. Elle ne va quand même pas se caresser ici. Imaginer cette possibilité m’excite encore plus et elle a dû le sentir car sa première main se met alors à masser mon sexe. Je sens mon gland rouler entre ses doigts. Je ferme les yeux et savoure. Je ne suis plus le film.
Je rouvre les yeux quelques instants pour vérifier que personne ne nous a remarqués. Les deux gymnastes sont absorbées par le film. Pour Pénélope, je ne sais pas. Sonia a posé sa tête contre mon épaule et a fermé les yeux. Et là, je remarque que maman est revenue de sa douche et elle est assise sur le fauteuil, en nuisette. Elle me regarde ; je la regarde. Elle me montre quelque chose avec ses yeux et j’ai alors la confirmation qu’Isa se caresse. Je voudrais être à la place de maman pour voir ça. Elle doit avoir une vue imprenable sur les fesses d’Isa et même peut-être voir ses doigts en action tellement sa robe est remontée et courte. Maman la regarde avec envie. Je sens alors la tension dans la pièce monter d’un cran. Et contre toute attente, maman pose sa main sur son ventre et la fait passer dans son string. Elle se caresse en regardant Isa faire. Mon sexe coule maintenant sans s’arrêter. Je sens mon boxer qui devient de plus en plus humide. Je ne sais plus quoi faire. Me concentrer sur Sonia ? Laisser faire Isa ? Mes yeux restent à regarder maman faire. Sa poitrine monte et descend au rythme du plaisir qu’elle se donne.

D’un coup, je sens Isa retirer sa main qui me caressait. Elle la descend et, à la place, c’est l’autre qui remonte, puis passe sous la couverture. Avec une dextérité exceptionnelle, elle déboutonne mon pantalon et glisse sa main dedans. Je la sens passer dans mon boxer et s’emparer de mon sexe. Mon Dieu, sa main est trempée. Elle doit être très excitée et son sexe doit couler au moins autant que le mien. Ma main qui caressait toujours ses cheveux, vient de lui saisir un instant, signe de ma surprise. Je la sens s’arrêter ; un frisson parcourt son corps. Puis ses doigts s’enroulent autour de mon gland et recommencent de plus belle. Tellement excité par la situation, je fais remonter ma main sur le haut des cuisses de Sonia. Je veux pouvoir découvrir sa lingerie. Mes doigts remontent et rentrent en contact avec sa peau. Oh ! Elle n’a rien dessous. Je découvre son sexe nu de tout poil et de toute lingerie. Mes doigts courent le long de ses lèvres qui sont dégoulinantes de mouille et j’atteins son bouton. Je le trouve très gros. Elle se met à mordre mon épaule pour ne pas faire de bruit. Elle resserre ses cuisses un instant, signe de son plaisir, puis les écarte pour me laisser faire. Je commence à le caresser au même rythme qu’Isa caresse mon gland. Je suis au paradis. J’ai deux bombes pour moi. Je réalise ma chance. Je voudrais que cela ne s’arrête pas.

Je me tourne à nouveau vers maman. Elle me regarde dans les yeux, me sourit puis redescend son regard entre les cuisses d’Isa. Aux mouvements de sa main, je devine qu’elle est en train d’enfoncer ses doigts en elle, pour la première fois. Je vois sa main disparaître bien profondément entre ses cuisses. Son bras se met à faire de petits mouvements. Elle doit être trempée ; peut-être autant qu’Isa. Mon gland suinte toujours, sans s’arrêter. Je sens mon liquide couler sur la main d’Isa qui s’y prend si bien. Quand elle sent mon sexe palpiter un peu trop, elle ralentit pour le maintenir sous pression. Sonia, quant à elle, caresse ses gros seins à travers son soutien-gorge. Elle les écrase, les palpe. J’adore la sentir faire ça contre moi. Avec un doigt, je fais le tour de son bouton. J’ai l’impression qu’il a encore grossi. Sa respiration s’accélère. Je sens qu’elle est en train de monter. Ca provoque un sursaut de mon sexe. Isa accélère alors son mouvement. Elle veut me faire jouir. Je sens que ça monte pour moi aussi. J’accélère alors ma caresse sur Sonia. Quand d’un coup, Isa retire sa main. Je réalise que le film se finit. Je retire à mon tour ma main. Sonia me mord fort l’épaule puis se redresse en même temps qu’Isa. Le générique arrive et les trois autres demoiselles s’exclament que le film était super. Je suis tendu à fond et ramène la couverture sur moi pour cacher aux yeux de toutes, mon état.

Maman se lève et je remarque soudain que ce soir, elle a mis une nuisette qui cache un peu son corps. Ca lui va très bien et la rend sexy sans être vulgaire. Elle leur dit :

— Bon les filles, il va falloir aller se changer pour aller se coucher.
— Oh maman, on peut veiller un peu dans ma chambre ? demande Julie toute gentille.
— Je pense que oui. Mais vous êtes sages hein ?
— Oui, répondent-elles toutes en chœur.

Elles se lèvent alors pour se diriger à l’étage. Sonia passe devant moi avec le feu aux joues et n’ose pas me regarder. Elle rejoint les autres qui montent, sauf Isa. Elle est encore sur le canapé avec moi. Elle n’ose pas bouger, regardant la fin du générique. Je n’ose rien dire non plus. Elle finit par se tourner vers moi et me dit :

— Tu ne diras rien hein ?
— A quel sujet ? dis-je avec un clin d’œil. Il ne s’est rien passé.

Et je lui montre, en tirant la couverture, la bosse énorme qui déforme mon boxer. Elle semble soulager et en rigole tout en fixant la grosse tâche sur mon boxer. Elle peut voir mon gland à travers le tissu. Elle se rapproche alors de moi, pose sa main sur ma cuisse et en me regardant tendrement :

— On pourra recommencer ?
— Oh oui ! Quand tu veux ma Isa.

Un frisson la parcourt et une lueur traverse ton regard. Elle se met alors à cheval sur moi. Sa robe remonte sur ses hanches et ma bosse rentre en contact avec un magnifique petit string rouge vif. Elle met ses bras de chaque côté de ma tête, puis l’enserre. J’ai la tête quasiment au niveau de ses seins. Son décolleté est affolant. Mon sexe palpite contre le sien. Je la sens très humide. Elle est en train de mouiller encore plus mon boxer ; c’en est dingue ! Elle ondule doucement sur moi. Je sens qu’une tache se forme maintenant sur mon vêtement. Ses lèvres approchent de mon oreille, ses seins de mon visage et elle me souffle à l’oreille :

— J’adore quand tu m’appelles comme ça.

Elle pose ses lèvres dans mon cou pour un baiser des plus sensuels quand les filles de là-haut l’appellent. Elle se relève alors. Elle pose une dernière fois sa main sur ma bosse et me dit merci. Elle se tourne pour partir rejoindre les filles quand je remarque qu’elle garde sa robe relevée. Elle marche et je vois ses deux globes fessiers danser. J’ai envie d’elle.

Pendant qu’elle se dirige vers l’étage, je la vois porter sa main à son nez. Elle s’arrête d’un coup, sort sa langue et goûte. Cela doit être la main qui me caressait tout à l’heure. J’ai beaucoup coulé dessus. Elle se met à lécher et sucer ses doigts en gémissant. Elle se tourne ensuite vers moi et me dit :

— Oh oui, on va recommencer...

Et elle monte en remettant finalement sa robe.
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