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Une prof d'italien sexy

Chapitre 10

Sexto (suite)

Erotique
Ma mère reçoit la réponse pendant qu’elle se relève. Sa main caresse une dernière fois mes testicules. Je la regarde se rassoir à mes côtés, écarter ses cuisses, et plonger cette main dans sa culotte pour branler son clitoris. Elle me glisse alors à l’oreille qu’Isa arrive. Je n’en crois pas mes yeux ni mes oreilles. Mon regard reste figé sur ma mère qui gémit de plaisir. Elle est si sensuelle. Je vois ses seins bouger au rythme de ses mouvements. Ma main se repose sur mon sexe et serre ma hampe. Je recommence à me masturber au son des soupirs de maman quand nous voyons Isa surgir juste devant nous. Elle laisse échapper un gémissement, me regarde dans les yeux et s’exclame :
— Si tu savais comme tu me rends dingue ! J’ai encore du mal à croire que ta maman soit vraiment là à se doigter pendant que tu te branles. Vous êtes si excitants...
Et lentement, elle ouvre sa robe qui glisse le long de son corps et finit au sol. Elle apparaît alors devant nous, ses seins enfermés dans un soutien-gorge noir brillant et un sexe libre de toute entrave. Ma main accélère en même temps que celle de ma voisine. Cette beauté s’approche de nous, se glisse au sol, pose une main sur chacun de nous qu’elle fait remonter à la limite de notre entrejambe. Alors que je lâche ma hampe, j’entends les clapotis du sexe de ma mère reprendre. Ma main est bien vite remplacée par celle d’Isa qui se met à me caresser lentement le gland. Je frémis à ce contact et elle en sourit. Ses yeux finissent par quitter les miens. Elle regarde maintenant ma mère avec un certain défi et lui ordonne de se laisser faire. Sa main vient alors se saisir de celle de maman qui était dans sa culotte. Elle en admire quelques instants la brillance avant de commencer à lécher les doigts comme elle a pu le faire avec moi avant de monter rejoindre les filles.
De sa gorge nous parvient un gémissement de plaisir, comme si elle dégustait un bon met. Elle se laisse aller à me branler plus franchement, signe d’un nouveau cap atteint.
Je crois être dans un rêve. Isa est si érotique, si désirable. Sa bouche me donne tellement envie. Je regarde ses doigts pleins de mouille se glisser encore et encore entre ses lèvres. Mon attitude ne passe pas inaperçue et elle décide de garder un doigt en bouche pour mimer une fellation en me regardant dans les yeux. Mon sexe palpite un peu plus dans le creux de sa main. Les secondes s’égrainent, puis je la vois poser sa main libre sur la culotte de ma mère. Cette dernière émet alors un râle de plaisir qui fait gémir Isa de concert.
Isa finit par délaisser ce doigt pour me dire :
— Tu as déjà coulé sur mes doigts, tu ne voudrais pas couler ailleurs ?
Mon sexe prend le pas sur mon cerveau et se met à penser à tout un tas de scénarios tous plus chauds les uns que les autres. Mais d’un autre côté, je ne trouve pas les mots, car je sais maintenant que je suis tellement loin de ce qu’elle peut imaginer. Maman prend alors la parole entre deux gémissements :
— Arrête ton suspense et dis-nous ton idée ! J’espère qu’elle est au moins aussi salope que toi.
Je tourne la tête et regarde maman faire tomber les bretelles de sa nuisette, dévoilant ses énormes seins. Emportée dans ses rêveries, elle se met à les caresser, les presser, en triturer les pointes. Isa la ramène parmi nous lorsqu’elle lâche mon sexe pour finir de me retirer mon boxer.
— Mets-toi debout sur le canapé, me dit-elle avant de se tourner vers ma mère. Et toi, je veux que tu te rapproches et que tu mettes tes magnifiques seins sous son gland.
Alors, comme des automates, je me lève pendant que ma mère se rapproche de moi. Se mettant à genoux sur le canapé, elle se retrouve face à mon sexe. Je peux voir son regard caresser mon gland qui n’en finit plus de couler encore et encore. Elle passe alors sa langue sur ses lèvres et soupèse ses seins en les rapprochant de mes bourses. Isa, d’autorité, se permet de tourner maman pour qu’elles se fassent face. Puis elle pose ses mains sur mes fesses et pousse mon bassin pour que ma cuisse se colle à l’épaule de maman et que mon sexe se retrouve entre elles deux.
Elle regarde maman dans les yeux, un air de défi, empreint de désir. La tension est à son comble alors que mon gland palpite à quelques centimètres de leur bouche. Mon esprit commence à vriller. Je ne me contrôle plus. Je pose ma main sur ma hampe et agite mon gland.

Isa me regarde alors et me fait comprendre d’arrêter. Ses yeux me font perdre pied. Je regarde ses lèvres pulpeuses pendant que sa main vient délicatement remplacer la mienne.
— Ça c’est mon rôle. Toi, tu te laisses faire, dit-elle avec un clin d’œil. Je veux te voir couler sur les seins de ta mère.
Mon regard se pose alors sur la poitrine qui m’est offerte. Je vois les bouts agrandis tellement maman s’est pincé les seins, mais aussi la rondeur de chaque sein, leur peau nacrée qui semble si douce. Alors que je me perds dans ma contemplation, la main d’Isa se glisse dans la culotte de maman. Mon gland en tremble pendant que maman laisse partir sa tête en arrière et ferme les yeux pour savourer. Sa poitrine se gonfle et se rapproche de mon gland. Elle rouvre les yeux lorsque Isa prend sa main pour la poser sur mes testicules. Maman pousse un gémissement tout en recommençant à les masser. Isa reprend ma hampe en main et, lentement, me masturbe.
Comme les deux femmes devant moi, je ne peux décoller mes yeux de mon gland. Nous attendons presque fébrilement la première goutte. Isa dirige mon gland vers ces deux seins magnifiques. Maman passe un bras dessous, comme pour mieux les offrir. Dans le même temps, son autre main se glisse dans son dos, passe sur ses reins et finit sa course dans la culotte. Soudain, j’entends le sexe de ma mère recommencer à faire des clapotis sous les assauts conjugués des doigts d’Isa. Mon corps réagit tout seul et de mon gland s’échappe une coulée qui vient s’étaler sur le sein droit.
Comme plongé dans un film au ralenti, image par image, je vois Isa approcher sa bouche et sortir sa langue. Elle en pose la pointe sur la peau nacrée et la fait lentement remonter, récupérant tout mon jus. Sentir mon sexe couler sur elle et Isa lécher mon jus transporte maman vers de nouveaux sommets de plaisir. Elle active encore plus sa main qui est dans sa culotte. Elle lâche dans le même temps mes bourses et agrippe mon sexe. Je la vois alors commencer à le branler et frotter mon gland sur son sein. Isa attrape à pleine main ce sein qui est maintenant recouvert de mon liquide et elle se met à le lécher et le nettoyer. Elle descend aspirer le téton, ce qui fait crier ma mère.
Maman perd à son tour pied et décolle. Entre deux vagues de plaisir, elle lâche :
— Ohhh comme c’est bon... Lèche-moi encore ! Ta langue me rend folle. Et toi, mon chéri, quelle queue tu as en ce moment ! Vous me rendez complètement folle.
Elle s’arrête de parler, laissant échapper une nouvelle plainte.
— Je veux branler ta belle queue à n’en plus pouvoir et je veux que tu mouilles mon corps de ton jus. J’ai envie de sentir la langue de cette petite salope encore et encore.
Isa pose sa joue sur l’autre sein tout en pointant sa langue sur le téton droit et susurre :
— Hum si tu savais tous les endroits où j’ai envie de passer ma langue. Ton ventre, tes cuisses, tes fesses... Je la ferais glisser n’importe où.
Et là, je vois une lueur dans les yeux de maman, une lueur de luxure. Elle arrête de frotter mon gland sur son sein. Mon cœur s’arrête de battre un instant lorsque je comprends. Elle dirige lentement mon gland vers sa bouche. Isa a stoppé ses doigts qui restent fichés dans le sexe de ma mère, et se rapproche. Mon gland est tellement proche de la bouche de ma mère que je peux sentir son souffle. Un frisson me parcourt les testicules et remonte jusqu’à ma nuque au moment où je sens en plus le souffle d’Isa. Maman la regarde dans les yeux, lève mon gland juste au-dessus de ses lèvres. Le temps s’arrête et je sens une nouvelle coulée.
Avec une infinie douceur, elle frotte mon frein sur ses lèvres. Je ne ressens presque rien, mais la simple vue de ce qu’il se passe me fait gémir à mon tour. Elle recule ensuite mon gland et attend. Isa retire sa main de la culotte de cette femme provocante pour lui attraper les cheveux. Elle l’immobilise, sort une langue qui vient se poser sur les lèvres de sa proie et, avidement, récupère mon jus. Elles gémissent alors à l’unisson.
Maman se recule, approche à nouveau mon gland et me regarde maintenant intensément. Je n’ai d’yeux que pour elle en cet instant. Personne d’autre n’existe. Je vois sa langue se rapprocher de mon frein. Je vois la passion dans ses yeux. Je comprends surtout qu’elle ne va pas s’arrêter. La pointe de sa langue remonte sensuellement de mon frein jusqu’à mon méat. Je laisse échapper un gémissement qui résonne dans la pièce. C’est comme recevoir une décharge électrique. Mon cerveau bout et mon corps faiblit. Elle ne me lâche pas du regard tout en me soufflant :
— Frotte-le.
Mes barrières tombent. Je commence par effleurer puis je frotte vraiment mon gland sur sa langue. Faisant de petits mouvements de bassin, je coule sur sa langue. Je vois dans ses yeux qu’elle ressent autant de plaisir que moi. Une de ses mains se met à caresser mes bourses pendant que l’autre replonge dans son dos. Je souffle si fort ; mon excitation est à son comble. Je passe ma main libre dans ses cheveux et je continue à me frotter, augmentant l’amplitude de mon geste. Elle reste là, si belle, si désirable, devant moi, la bouche ouverte, la langue sortie, à prendre du plaisir alors que je me frotte. Elle a soudainement ce regard que je n’oublierai pas, un regard rempli de passion et de pureté.
Je reprends à moitié pied lorsque j’entends Isa qui pousse des cris à son tour. Je tourne lentement la tête et je la vois se doigter pour la première fois. Elle s’empale sur ses doigts et son bassin s’agite. Elle semble rentrer en transe. Sa main est accrochée à l’un des seins de sa voisine et nous ressentons tout le feu qui la brûle et la consume lorsque nous entendons :
— Isa, t’es où ? Isa ? dit une voix parvenant de l’escalier. Je sais que tu es en bas, je t’ai entendue.
Nous nous figeons instantanément. Isa est la première à réagir en nous faisant signe de ne pas faire de bruit. Tout en nous faisant comprendre de nous cacher, elle répond à ma sœur :
— Julie c’est toi ? Tu dors pas ?— Non, avec Sonia, on attendait que les autres s’endorment, dit-elle en descendant encore quelques marches.
Je peux alors voir les pieds de ma sœur apparaître. Je panique de ne pas trouver de cachette.
Soudain, maman me pousse sur le canapé et se jette sur moi. Je me retrouve sur le dos et maman à cheval sur moi, ses seins s’écrasant contre mon torse. Nous ne bougeons plus. Isa continue :
— Ah OK, c’est top. J’arrive dans un moment.— Mais qu’est-ce que tu fais en bas ? Si maman ou mon frère te trouve ici, ça va être compliqué.
Pendant que ma sœur parle, je prends conscience que dans notre position, mon bassin est collé à celui de ma mère. Elle cherche à se calmer et à être la plus discrète possible. Pourtant, je la sens respirer de plus en plus fort dans mon cou. Et là, je réalise que mon sexe se trouve entre ses jambes. Je sens sa culotte trempée, contre mon gland qui n’a pas débandé d’un iota. Mon cœur accélère encore plus en imaginant ma sœur nous trouver dans cette position.
Soudain, je sens une main attraper ma hampe. Je fais les gros yeux à maman pour lui faire comprendre que ça n’est sûrement pas le moment. Mais, rien n’y fait ; je sens qu’elle me branle. Les gestes se précisent et je sens qu’en réalité, elle frotte mon gland contre la culotte. Je bouge la tête pour dire d’arrêter lorsque je réalise que maman a les mains sur mon torse. Elle se mord la lèvre inférieure, mais ne fait rien de plus. Je décale ma tête et vois Isa agiter sa main tout en parlant à ma sœur.
— Pourquoi tu dis compliquer ? Je ne fais rien de méchant. Je suis juste descendue au salon.— Comme si je ne savais pas ce que tu faisais. J’ai trouvé ton string et il était tout mouillé ma petite Isa. J’en déduis que tu dois être bien chaude ce soir.
Alors que nous entendons ma sœur descendre encore des marches, Isa lui dit :
— Si tu savais...— Alors, raconte !— Okay, mais reste dans les escaliers.— T’es sérieuse ? Pourquoi ? Tu vas pas me dire que tu es à poil dans mon salon ?— Cela pourrait être excitant si c’était le cas ? dit-elle en m’adressant un clin d’œil.
Je sens la main d’Isa arrêter de frotter mon sexe contre celui de ma mère. A la place, je sens que l’unique rempart, cette culotte, s’écarte. Elle emprisonne mon sexe avec et je me retrouve le gland collé aux lèvres intimes de maman. Maman me regarde dans les yeux, suppliante. Je découvre à quel point son sexe est trempé et je le sens s’ouvrir lentement, sous la pression d’Isa qui frotte mon sexe contre le sexe nu de maman.
— Tu connais déjà la réponse. Allez, remonte avec moi, Sonia nous attend.— Allez, un peu de fun. Reste là et laisse-moi te dire pourquoi j’ai retiré mon string.
Ma sœur hésite et finit par lui dire de faire vite, apeurée que nous arrivions.
— J’ai pas eu le temps de te dire, mais, tout à l’heure, j’ai reçu des messages du mec dont je t’ai parlé.— Ah oui, je me souviens. Celui qui te fait de l’effet, c’est ça ?— Exactement. Et je peux te dire qu’il a fait fort ce soir. Il m’a chauffée en me parlant de sa queue bien dure.— Arrête, tu sais bien que c’est un sujet sensible en ce moment.— Chut et écoute-moi jusqu’au bout. Il n’a pas arrêté de me dire qu’il avait envie de moi, qu’il bandait et se branlait en imaginant ma bouche autour de son gland, dit-elle en gémissant.— Hum, arrête ! Tu me chauffes là. Tu sais que c’est mon fantasme !
Soudain, le silence s’installe, seule la respiration de maman se fait entendre. Elle tente de se contrôler, mais la sensation de mon gland dans sa culotte semble trop forte. Nous entendons alors :
— Mais, tu te touches ou quoi ?
Maman se pétrifie, retenant même sa respiration. Je me fige à mon tour. Je n’ai pas du tout envie d’être découvert, surtout maintenant. Mais Isa ne l’entend pas de cette oreille. Sa main est loin d’être inactive et continue de nous torturer. Elle lui répond finalement :
— Hum ! Si tu savais... Je suis trempée !
Nous entendons alors ma sœur gémir à son tour. Isa en profite pour reprendre son histoire :
— Il est parti dans un délire où il me disait être avec sa mère et qu’ils se branlaient tous les deux. J’ai craqué et je suis descendue pour pouvoir lui écrire et être plus libre.— Hum ce mec... Si tu voyais comme je commence à être trempée moi aussi.— Si tu veux que je continue, tu enlèves ton string et tu me l’envoies.
Pendant qu’un nouveau silence se fait, Isa arrête de me branler, mais me laisse le sexe bloqué dans la culotte. Elle attrape au vol quelque chose ; ma sœur lui a vraiment lancé son string. Elle revient se coller à nous, m’offrant le plaisir de voir son sexe de plus près. Le string dans une main, elle libère enfin mon gland. Mais à la place, elle enroule ce string autour. La fraicheur du tissu ne m’empêche pas de sentir qu’il est déjà bien humide. Isa reprend une lente masturbation de mon gland, mélangeant mon jus avec celui déjà présent sur le tissu. Malgré la peur, le plaisir remonte en flèche. D’autant que je la vois, de sa main libre, venir écarter ses lèvres intimes puis entamer une caresse sur son clitoris. Mon plaisir se cale sur le mien. Mon gland grossit un peu plus encore et elle le remarque à travers le tissu. Son excitation semble être à son apogée.
Je peux à présent sentir son odeur intime qui diffuse. Cela me rend fou. Je voudrais pouvoir la toucher comme elle me le fait. Je voudrais pouvoir lui rendre tout le plaisir qu’elle me donne. Toute à son plaisir, elle lance :
— Mais tu es vraiment trempée ! Et après c’est moi que tu qualifies de chaude.— Bon tu continues ton histoire ? Au point où nous en sommes, autant aller jusqu’au bout.— Oh oui ! Avec plaisir !
Alors qu’elle reprend son histoire, elle me tend le string de ma sœur. L’odeur est presque enivrante. Elle le pose sur mon nez. Maman est si proche qu’elle hume le string en même temps que moi. Cela déclenche quelque chose en elle. Je sens qu’elle coule encore plus sur moi. J’ai les bourses qui se recouvrent peu à peu de sa mouille. Isa reprend alors mon sexe dans la main et le glisse à nouveau dans la culotte de ma mère. Elle reprend sa caresse tout en disant :
— Il m’a fait définitivement craquer en me disant qu’il frottait sa queue contre la chatte de sa mère. Il m’a décrit à quel point elle était trempée et qu’elle aimait ça.
De sa main libre, elle reprend sa caresse sur son clitoris. Son sexe émet maintenant de petits clapotis qui me rendent encore plus fou. Je voudrais la toucher, la goûter. Mais je n’en fais rien. Au contraire, c’est plus fort que moi, je la laisse faire et je prends un plaisir incroyable à la mater, se caresser tout en sentant sa main gluante qui coule sur mon sexe. Entre deux râles, elle continue :
— Du coup, tu comprends pourquoi j’ai pas résisté à me faire un petit plaisir. Je lui ai demandé plus de détails et il m’a alors décrit des choses !
Elle marque un nouveau temps d’arrêt pour faire monter la pression et joignant le geste à la parole, elle se met à se doigter juste devant nous.
— Continue ! Je veux savoir la suite.— Hum ! Qu’est-ce qu’il t’arrive ? T’as l’air chaude comme la braise. Apparemment, sa mère mouillait tellement que sa queue aurait pu rentrer sans problème.
Alors qu’Isa raconte son histoire, elle continue aussi à branler mon sexe. Mais, bien vite, elle arrête de se doigter. A la place, je sens cette main venir effleurer mon gland une fraction de seconde. L’instant d’après, maman sursaute. Je lui lance un regard interrogatif. Elle se met alors à me chuchoter le plus doucement possible ce que fait Isa :
— Elle... elle vient de glisser trois doigts en moi. Je la sens faire des aller-retour. Elle me rend folle !— C’est si bon que ça ?— Oh oui ! Tu n’as idée. Dit-elle en roulant des yeux.
Son corps collé contre le mien, je peux ressentir les frissons qui la parcourent, puis une sorte de déception. Je me rends compte qu’Isa vient de retirer ses doigts de l’antre chaud et coulant de ma mère. Cette sensation de vide est vite remplacée par une nouvelle qui fait trembler ma voisine.J’entends des sons incompréhensibles. Elle finit par réussir à me murmurer entre deux vagues de plaisir :
—... gland... Je sens ton gland sur mon... Elle utilise TON gland pour branler MON clito ! Mon chéri, qu’est-ce que c’est bon ! J’aime sentir ta...
Elle ne peut finir sa phrase. Elle se met à trembler et ouvre la bouche comme pour chercher de l’air. Isa accentue la caresse de mon gland sur son bouton et je sens maman sur le point de crier. Je panique. Oubliant que j’ai encore le string de ma sœur dans la main, je bâillonne sa bouche avec. Je vois ses yeux s’agrandir et son orgasme devient plus violent. Soudain elle explose. Sa mouille m’inonde, inonde la main d’Isa et inonde le canapé. Elle semble ne pas s’arrêter de jouir. Dix, vingt, trente secondes ? Je perds la notion de temps à contempler cette femme s’envoler ainsi. Elle jouit encore et encore. Si belle et vulnérable dans mes bras, elle s’offre complètement, sans retenu. Je sens que ma vue se trouble tellement ce moment est fort et intime.
Isa semble aussi sonnée que moi. Elle ne bouge plus et contemple la scène. Au loin, j’entends un murmure. Julie s’est mise à paniquer en entendant les gémissements étouffés. Elle lui dit d’arrêter et de se dépêcher de monter sinon elle viendra la chercher de force. Isa, quasiment nue, récupère fébrilement sa robe et disparaît. Je reste avec maman dans mes bras, sa tête se posant lentement sur mon épaule. Sa respiration se calme. Elle se love un peu plus contre moi alors que je sens encore les soubresauts de son corps contre le mien. Les minutes passent et la maison est redevenue calme. L’ampoule de la lampe montre soudain des signes de faiblesse et s’éteint, nous plongeant dans la pénombre.
Maman finit par se redresser puis se lever. Je la vois remettre en place sa nuisette après m’avoir tendu mon boxer. Je me lève à mon tour et nous nous retrouvons encore une fois l’un face à l’autre. Elle pose sa main sur mon torse, et s’approche de mon oreille. Elle me murmure alors de monter sans faire de bruits. Je la suis, comme un pantin. Une à une, elle monte les marches et je sens ses jambes encore fébriles. Je la soutiens comme je peux en posant mes mains sur ses hanches. Bien malgré moi, mon regard se pose sur ses fesses et il me semble voir quelque chose à travers sa culotte. Tout disparaît lorsque nous arrivons à l’étage. J’accompagne alors maman jusqu’à sa chambre, le plus discrètement possible. Elle entrouvre la porte, semble hésiter puis se retourne. Elle me fait face ; son visage s’est fendu d’un sourire plein de tendresse. Elle s’approche à nouveau de moi, pose ses lèvres sur ma joue, puis me dit :
— Merci mon chéri. Passe une douce nuit.
Je la regarde alors fermer sa porte. L’esprit encore chargé d’émotions, je pénètre dans ma chambre et m’allonge sur mon lit. Je réalise alors que mon sexe est toujours aussi tendu.
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