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Une punition bien méritée

Chapitre 1

Travesti / Trans
Dans cette agréable journée de printemps, j’avais rendez-vous avec une amie, Sonia. Son mari était en déplacement et nous voulions parler librement de sa situation. Elle avait des problèmes dans son couple et trouvait son mari un peu trop directif, mais n’osait pas en aborder le problème avec lui. Elle espérait qu’en parler à un ami pourrait éclairer son jugement.
J’arrivai donc chez elle en début d’après-midi et nous abordâmes directement la question. Elle m’expliqua combien il était autoritaire et combien elle craignait de lui en parler par peur de déclencher une violente réaction. Nous vîmes à parler de leurs relations sexuelles, et sa façon d’aborder les scènes érotiques. Il la forçait à jouer des scénarios dans lesquels elle devait, au hasard de ses fantasmes, être une domestique en tenue de soubrette, une prostituée ouverte à toutes les perversions, une infirmière nue sous sa jupe, tout cela accompagné de fellations, de sodomies douloureuses, de scènes de punition avec martinet à gogo. Ces pratiques perverses choquaient un peu son éducation puritaine.
Compatissant, je lui pris délicatement les mains et je l’attirai vers mon épaule. Tout en la consolant, je lui suggérai de tenter une expérience avec une femme pour goûter les délices d’une relation sensuelle et consentie. L’idée la surprit un peu, mais je lui fis visionner quelques vidéos de lesbiennes qui visiblement semblaient l’émoustiller. Mais elle m’avoua qu’elle aurait du mal à franchir le pas, car ce genre d’expérience n’était vraiment pas dans sa culture.
Elle me fit alors une proposition bien inattendue :
— Accepterais-tu de te travestir pour me permettre de faire cette première expérience en totale confiance ?— Écoute Sonia, cela me paraît une drôle d’idée !— Tu es mince et mignon et j’aurais certainement des vêtements à ta taille !
Je dois avouer que je me sentis assez excité par l’idée, et que mes réticences tenaient plus de la posture que d’une réalité. Sonia sortit de la pièce et revint bientôt avec une brassée de sous-vêtements, de jupes et de corsage. La vue ces dentelles emportèrent mes dernières résistances. Je commençai à brasser fébrilement dans ces trésors et j’enfilai prestement une petite culotte et une jupe portefeuille. Sonia m’aida à enfiler des bas et à les accrocher à un porte-jarretelles coquin. Je n’étais plus moi-même. Ce porte-jarretelles était noir à pois blancs et j’échangeai rapidement ma petite culotte blanche contre une culotte assortie. J’enfilai prestement une jupe fourreau grise et un corsage blanc largement échancré. Sonia me sourit et dit :
— Une vraie petite femme, je me prends à te désirer.
Nous passâmes au maquillage que Sonia me fit discret et assorti de boucles d’oreilles.
— Te voilà prêt à me séduire ! me dit Sonia.— C’est fou comme de porter une petite culotte, des bas, et des boucles d’oreilles me donne une impression de féminité, j’ai envie de les porter pour qui aura envie d’en profiter !
Je m’approchai de Sonia, la pris délicatement par les épaules, et approchai son visage du mien. Elle résista mollement, mais se laissa attirer. Ses lèvres se joignirent aux miennes dans un petit baiser plutôt chaste, puis ses lèvres se détendirent pour donner un vrai baiser. Nos langues jouaient ensemble dans un ballet amoureux. Nous étions tout à notre désir. Sa bouche s’ouvrit enfin dans un baiser goulu. Elle se donnait enfin à moi !
Je l’attirai vers le lit. Elle se laissait guider en confiance. Commença alors une séance de caresses des plus chaudes. Je sentis ses mains parcourir mon corps, s’arrêtant dans mon entrecuisse, tournant autour de mon anus, tandis que ses lèvres assoiffées titillaient mes seins.
Ma main se glissa sur ses bas, remontant lentement le long de sa jambe pour atteindre sa jarretelle, là où le soyeux du bas laisse place à la douceur de sa cuisse. Je suivis lentement le chemin de la jarretelle remontant jusqu’à sa petite culotte. Je glissai doucement un doigt sous l’élastique de sa culotte pour enfin approcher le « saint Graal ». Je jouai un instant avec l’élastique le tendant et le relâchant. Je passai ensuite à un cunnilingus à travers sa culotte lui léchant le sexe avec délice et douceur. Elle réagit en ronronnant comme une chatte.
Pendant ce temps, elle avait baissé ma petite culotte et un doigt habile tentait de pénétrer mon intimité. Elle y parvint facilement et je sentis son index me pénétrer. Il allait et venait maintenant librement, m’envahissant d’un océan de plaisir. Je n’en pouvais plus et je demandai à Sonia :
— S’il te plaît, fais-moi une pipe !
Elle me répondit :
— Ce n’est pas le jeu, souviens-toi que tu es une femelle ! Et puis je fais tellement de pipes à mon mari que j’en suis un peu lassée. C’est partout, dans la voiture, dans l’ascenseur, au cinéma.
Nous en étions là de nos préliminaires quand la porte s’ouvrit brusquement. C’était Pierre, le mari de Sonia qui rentrait à l’improviste. Inutile de te dire comment la honte tomba sur nous. Nous nous sentions vraiment coupables devant Pierre.
Après un moment de colère, il se ravisa.
— Ha ! vous avez envie de jouer les salopes, eh bien vous allez être servies. Mettez-vous à genoux face au mur et ne bougez plus sans mon ordre.
La honte était si forte que nous ne pensions même pas à nous rebeller. Immédiatement nous voici dans cette position humiliante. Sonia était en petite culotte, bas, porte-jarretelles, et soutien-gorge, moi j’avais la culotte baissée qui ajoutait de l’humiliation à l’humiliation. Nous nous regardions, apeurées, nous demandant ce qui allait nous arriver. Une punition sûrement, mais quelle sera-t-elle ?
Nous n’allions pas tarder à le savoir !
Pierre revint rapidement, tenant un formidable martinet à lanières de cuir. Sans mot, il se mit à nous infliger la cuisante morsure des lanières qui nous cinglaient les fesses. Sonia avait encore sa culotte, protection bien dérisoire devant la punition. Pierre ne fut pas long à la lui baisser le long de ses cuisses. Ce pervers ne manqua pas de faire quelques photos pour figer dans le temps notre misérable position, et en même temps nous tenir sous sa coupe.
— Mes dames, vous allez maintenant retirer vos culottes et les porter sur la tête en signe de soumission.
Nous fumes bien obligés de nous exécuter, car le martinet a des vertus pour briser les résistances que j’ignorais jusqu’alors. Il prit encore quelques bons clichés, assuré maintenant de notre soumission obligée. Nous étions prises au piège, car soit nous accédions à tous ses fantasmes soit il publiait ces photos sur Internet.
Mes fesses me cuisaient et je les imaginai rouges comme deux grosses pommes. Ce que me confirmèrent les coups d’œil discrets que je jetai sur l’arrière-train de Sonia. Pierre n’y avait pas été de main morte. C’était la première fois que je recevais une fessée et la brûlure de mes fesses me rappelait sans cesse ce que je venais de subir. Une première correction c’est important. J’étais à la fois blessé dans ma chair, honteux de la situation ridicule dans laquelle je me trouvais, et en même temps je savourais ce qui m’était arrivé.
Il ordonna à Sonia de me faire une pipe, et dois dire qu’à ce moment, je fus plutôt ravie. Mon sexe était gonflé et l’idée que Sonia puisse le prendre dans sa bouche me plaisait vraiment. Je ressentis déjà ses lèvres glisser le long de ma hampe dressée. Elle commença sa fellation et ce fut divin. Ma joie fut de courte durée. Pierre se plaça derrière moi et me dit :
— Tu as voulu jouer le femelle, maintenant tu vas devoir assumer ton rôle.
Ce disant, il commença de glisser son doigt dans l’orifice de mon intimité. Je réagis vivement.
— Tu ne vas pas m’enculer ?— Bien sûr que si, je vois que tu es vierge du cul, et j’adore dépuceler un mec !— Fais doucement, c’est la première fois !
Je ne pensai plus à la pipe que Sonia me pratiquait, mais je pensai : « tu vas te faire baiser, tu vas te faire baiser !.» J’eus le sentiment que ce qui allait se passer était inexorable, j’imaginai la bite de Pierre forçant mon intimité et s’enfonçant en moi. J’avais peur, j’avais honte, et en même temps je l’espérais.
Son doigt s’enfonça en moi sans trop de difficulté, il avait dû mettre un lubrifiant. C’était une sensation agréable, une sorte de chaleur douce qui m’envahissait. Il fourragea mon intimité tout en douceur, entra, sortit, tourna dans mon anus. Je me laissais faire avec délice.
Quand il essaya de me pénétrer avec sa bite, ce fut une autre histoire. Je sentis son gland qui tenta de forcer le barrage sans y parvenir. Je l’aidai autant que je le pouvais en me cambrant comme je l’avais vu faire dans les films. Je sentis sa poussée énergique qui voulait vaincre ma résistance. Petit à petit, je sentis mon anus se détendre et son braquemart s’immiscer en moi. C’était douloureux, mais jouissif. Le gland s’enfonça un peu plus, puis ma résistance céda et il me pénétra à fond. Je sentis son membre chaud bien planté en moi. Ça y est, me dis-je, je suis vaincu, je me fais baiser comme une salope et j’aime cela.
A mon grand désappointement, Pierre se retira et dit :
— Nous allons changer les rôles, toi tu vas sucer la chatte de Sonia tandis que moi je vais la sodomiser.
Je m’allongeais sur le dos et Sonia se mit à califourchon sur moi, offrant sa chatte humide à mes lèvres et à ma langue, Sonia se mit à jouir et un liquide chaud coula dans ma bouche. Dans un denier coup de reins, Pierre explosa en elle. Je me dis, enfin, la punition est finie. Hé bien non, l’esprit pervers de Pierre maintenant libéré de tout scrupule redoubla d’imagination.
— Vous allez maintenant vous gouiner et celle qui jouira en premier échappera à la séance de martinet !
A peine Sonia prit-elle mon pénis dans sa bouche que j’éclatai en elle, l’inondant d’un sperme chaud !
— Bravo, à Sonia la séance de martinet. Mets-toi face au mur, les mains sur la tête.
Sonia s’exécuta sans broncher, elle savait que toute résistance était inutile.
— Tu vas toi-même compter les coups que tu as mérités !
Les coups s’abattirent sur son derrière déjà bien rouge. Sonia comptait :
— Un, deux, trois, aïe ! Quatre, par pitié arrête cinq, j’ai mal six, ... !
La punition s’arrêta à 20. Le derrière de Sonia était rouge vif, strié de quelques traces de coups visiblement plus appuyés. Pierre sortit sans un mot, nous laissant meurtries, humiliées, avec notre derrière en feu ! Sonia pleurait doucement, j’essayai de la consoler.
— Nous avons eu ce que nous avons mérité, je crois que Pierre a eu raison de nous donner une leçon !— Le problème, me dit Sonia, c’est que maintenant, avec les photos, il peut obtenir de nous tout ce qu’il veut nous sommes totalement en son pouvoir !
Elle ne croyait pas si bien dire et la suite confirma nos craintes.
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