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une pute bcbg

Chapitre 6

Hétéro
La berline des Bourbon Dumas se gara dans l’allée juste devant le manoir de leur amis, les de Saint-Preux. Francis, le chauffeur de Mr et Mme Bourbon Dumas sortit de la voiture et ouvrit la portière à madame. Marie-Chantal s’extirpa du véhicule sans se rendre compte que sa robe dévoilait une bonne partie de ses cuisses fuselées gainées de nylon noir à son chauffeur. Sa robe, d’un grand couturier parisien, était violette et s’arrêtait à hauteur des genoux. Ses talons crissèrent sur le gravier. Elle commença à monter les escaliers du perron suivie par son époux très élégant dans un smoking noir.

Le carillon de la porte d’entrée fit sursauter Bénédicte de Saint-Preux. Maria, à regret, arrêta de la masturber et rabattit la jupe de madame. Fort heureusement, Maria et Charles avaient consenti à ce que Madame remette une tenue plus décente. Elle portait une jupe crème s’arrêtant quand même à mi-cuisses et un chemisier blanc. Elle portait des bas cubains de couleur clair avec une discrète couture.Sexy mais pas vulgaire.Enfin.A condition d’ignorer qu’elle ne portait aucun sous-vêtements. Maria lui claqua les fesses !— Allez va ouvrir salope !Tête basse, Bénédicte s’exécuta en passant devant son époux qui, lui aussi, ne porte aucun slip sous son pantalon.

Embrassades, exclamations, roucoulades.Marie-Chantal, belle femme de 65 ans aux yeux verts. Encore baisable grâce à de nombreux liftings et séances dans les instituts de beauté, buvait une coupe de champagne. Elle trouve son amie un peu distante mais elle ne s’inquiète pas ; leurs époux respectifs parlent politique et de la crise.Guillaume jette un regard inquiet vers Charles. Il lui a expliqué ce qu’il doit faire pour que Marie-Chantal et son mari soient à leur botte. Il attend un signe de la part de Charles. Celui-ci ne tarda pas, Charles fit un clin d’oil à Guillaume.— Tu sais au sujet de la caisse noire et des détournements.Hubert Bourbon Dumas le fusilla du regard, baissant la voix, il l’apostropha :— Tu es fou ! Ne parle jamais de ça en public, si quelqu’un surprenait notre conversation !— C’est trop tard, lâcha Guillaume d’un ton larmoyant.Hubert blêmit, manquant de suffoquer.— Co.Comment ca ? Mais...Qui ? — Moi Monsieur !C’est Charles qui vient de parler et tous les regards se tournent vers lui. Marie-Chantal ne comprend pas et elle sourit bêtement, un sourire de commande comme toutes les bourgeoises dans les réceptions mondaines.Hubert regarde Charles puis Guillaume :— Je ne comprends pas Guillaume.— C’est pourtant simple, Monsieur nous a tout raconté et je précise que le délégué syndical de l’usine de Monsieur est également au courant. Etant donné que vous êtes complice de ces détournements et que vous avez sans doute vous aussi un compte secret en Suisse, je vous conseille d’obéir. Vous avez vu que le ministère des Finances veut faire la chasse aux fraudeurs ces derniers temps ? Hubert Bourbon Dumas est carrément devenu de la couleur de la chemise de son smoking : blanc.Il se tourne vers son épouse qui maintenant a compris. C’est elle qui demande d’une voix tremblante :— Et...que demandez vous en échange de votre silence ?— Vous Madame !La réponse a claqué comme un coup de fouet ! Marie-Chantal blêmit sous son maquillage.
— Mais...Comment ça.Ce n’est pas sérieux voyons.— Vous croyez ? Maria qui vient d’entrer se dirige vers sa patronne et claque des doigts !— Amène toi salope !Madame manque s’évanouir mais elle avance docilement vers sa bonniche. Maria soulève la jupe dévoilant les bas cubains. Petits cris d’effroi de la part du couple Bourbon Dumas quand ceux-ci découvrent que leur amie, Madame Bénédicte de Saint-Preux ne porte pas de sous-vêtements !— Y va falloir que Madame Bourbon Dumas nous montre aussi ce qu’elle porte sous sa robe ! lance Charles avec un sourire pervers.Protestations de Marie-Chantal qui cherche du secours en regardant son mari. Mais celui-ci n’eut pas la réaction escomptée par son épouse ! — Ma chérie, nous n’avons pas le choix, c’est ça ou la prison.Le visage distingué de Marie-Chantal s’empourpre.Guillaume ne s’est plus ou se mettre. Sa femme, la jupe autour de la taille se fait doigter par Maria. Elle agite son index et son majeur dans la chatte de Madame. — Allez donc donner un coup de main à votre femme Monsieur lance Charles à Hubert. Celui-ci hésite puis soupirant il avance vers sa femme. Celle-ci est comme tétanisée, elle n’a aucune réaction quand son époux lui soulève la robe découvrant des bas noirs brillants accrochés à un porte- jarretelles mauve assorti au string en dentelle. Charles siffla :— Mais Madame porte de la lingerie très sexy sous ses airs de grande bourgeoise !Il avance vers Marie-Chantal et lui ordonne d’enlever sa robe. Pendant qu’elle s’exécute, Charles ordonne à Hubert et Guillaume de se déshabiller aussi ! Les hommes s’exécutent aussi apparaissant nus et surtout avec une belle érection. Charles regarda tout ce petit monde à sa merci.Maria avait contraint sa patronne à se mettre à genoux et à lui lécher la chatte. Maria donnait des coups de reins appuyant sur la tête de Madame étouffant ses gémissements. Charles eut alors une idée terriblement perverse.— On va jouer aux chaises musicales !Tout le monde regarda le chauffeur comme si il était complètement fou.— Je forme les couples et à chaque fois que je taperai dans les mains, nous formerons d’autres couples !Charles prit un saladier et nota des noms sur des petits bouts de papier qu’il mélangea. — On tire au sort ?

Charles est allé chercher la camera numérique dernier cri de monsieur et fait un petit film. Marie-Chantal pompe la queue de Guillaume. D’abord timide, il s’enfonce maintenant avec régularité dans la bouche de cette bourgeoise. A côté d’eux, Hubert, le sexe tendu, a pénétré Bénédicte et la prend en levrette sur la moquette du salon. Son ventre rebondi vient claquer sur ses fesses. Maria pendant ce temps s’est déshabillée et ayant pris son martinet s’amuse à claquer les fesse des femmes et des hommes. Provoquant des cris et des plaintes.

Charles sortit discrètement du salon, se retrouvant dehors.Il a soudain pensé à quelque chose.Les Bourbon Dumas n’ont pas de chauffeur ? Il le trouva dehors en train de fumer une cigarette prenant son mal en patience.— Salut !Le chauffeur des Bourbon Dumas se retourna. C’est un grand type, brun, athlétique. Charles se présenta et lui, proposa de rentrer.— Tu verras on s’amuse bien à l’intérieur.— Je n’ai pas le droit d’entrer.Charles sourit et le prit par le bras...— Tu t’appelles comment ? — Francis.— Vient Francis ! Tu ne le regretteras pas.et tu ne vas pas en croire tes yeux.

Et il n’en croit pas ces yeux le chauffeur en effet. Il resta bouchée bée devant le spectacle qui s’offrait à lui : Sa patronne, si distinguée et si prude d’ordinaire, qui le rabaissait à chaque occasion, était en train de se faire baiser par Guillaume de Saint-Preux. Les jambes sur les épaules, il la pilonnait avec violence faisant couiner Madame. Ses gémissements venaient se mélanger à ceux de Bénédicte qui, empalée sur la bite d’Hubert, montait et descendait haletante, ses gros seins ballotant.Francis eut instantanément une trique d’enfer. Voir sa patronne se faire bourrer comme une chienne !A côté de lui, Charles lui donne une tape dans le dos.— Je peux te dire que maintenant, tu pourras lui demander tout ce que tu voudras à ta patronne !Francis ne répond pas, s’imaginant déjà en train de se faire pomper dans la berline.— Regardez qui nous a rejoins ! cria Charles.Hubert et Marie-Chantal devinrent rouge de honte.Marie-Chantal gémit :— Oh Mon Dieu, Oh non, pas lui.— Oh que si Madame et il va falloir être TRES gentille avec lui dorénavant.Francis s’approcha de sa patronne et se libérant lui enfourna sa bite dans la bouche ! — Allez suce moi salope !Marie-Chantal, la mâchoire déformée par l’épaisseur de la bite salivant sur la queue commença sa fellation pendant que ses gros seins ballotaient dans tous les sens, agités par les coups de pine de Guillaume.

Ne voulant pas être en reste, Charles demanda à Bénédicte de le pomper. Sa patronne avala sa queue avec gourmandise.Maria elle continue de filmer.Marie-Chantal en gros plan suçait Guillaume maintenant et son chauffeur la pilonnait la faisant hurler. Echevelée, elle secouait la tête dans tous les sens.Ses gémissements étouffés par la bite qu’elle suçait. Par moment, Francis lui donnait une claque sur les fesses. Il se retira et remontant, il pointa son gland vers l’ouverture des reins de Marie-Chantal qui se retourna :— Oh Non par pitié, je ferais tous ce que vous voudrez mais pas par là.Sans pitié, son chauffeur l’encula sauvagement la faisant hurler de douleur. Les mains crispées sur ses hanches, il la pilonna rapidement. Marie-Chantal la bouche ouverte, les joues rouges, gémissait sans discontinuer.

Madame de Saint-Preux haletait sous les coups de reins de Charles. Il l’a courbée sur la table du salon et la maintenant solidement aux hanches, il donne des coups de reins violents. Au-essus d’elle, Hubert se masturbe en haletant.Il éjacula libérant des jets de sperme qui allèrent s’écraser sur le visage de Bénédicte. Charles accéléra ses coups de reins cognant son ventre contre les fesses de sa patronne qui gémit de plus en plus fort.L’orgasme la submergea et elle poussa un cri déchirant.Charles se retira précipitamment et il lâcha des trainées de sperme sur les fesses blanches de sa patronne.

Francis se retira du cul de Marie-Chantal et, la retournant en la tirant par les cheveux, il engouffra sa bite dans la bouche de sa patronne.— Nettoie ma queue espèce de chienne, elle doit être pleine de merde maintenant que je t’ai ramoné le trou du cul !Domptée, soumise, Marie-Chantal ouvrit la bouche et saliva sur la queue de son chauffeur, le pompant avec délectation.Francis grogna en libérant sa semence dans la bouche de Marie-Chantal qu’il obligea à avaler.

Puis, on échangea les couples.Charles et Maria s’occupèrent de Marie-Chantal. Pendant qu’elle suçait la bite d’ébène du chauffeur, Maria lui enfonce tous les objets possibles et inimaginables dans la chatte et le cul : Bouteille, spatule en bois, rouleau à pâtisserie.Pendant ce temps, Bénédicte, empalée sur la bite d’Hubert et enculée par Guillaume, gueule de toute la puissance de ses poumons, son corps agité de soubresauts.

Cela dura une bonne partie de la nuit. Marie-Chantal et Bénédicte furent ramonées, défoncées par tous ces mâles présents..Au petit matin, exténuées, ravagées par les orgasmes, les deux bourgeoises sont affalées sur le canapé. Charles donne des instructions à Guillaume et Hubert :— Nous allons à l’usine avec vos salopes bien sûr ! Je suis sûr que les ouvriers vont être ravis de faire leur connaissance.Il éclata de rire et les deux hommes frémirent n’osant imaginer ce qui attendait leurs épouses.
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