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Une sœur qui m'aime

Chapitre 3

Divers
Peu après, elle partit se changer, troquant son t-shirt contre un chemisier blanc et sa jupe pour une autre qui n’était pas tachée par nos ébats. Elle n’avait toujours pas de sous-vêtements, mais à chaque fois que je tentais de l’approcher pour lui proposer une nouvelle séance coquine, elle me repoussait gentiment en me disant qu’elle ne voulait pas le faire tout de suite. J’étais évidemment surpris et un peu déçu par sa réaction, elle qui semblait tant me désirer. Et maintenant que je lui exprimais moi aussi mon désir pour elle, elle ne me voulait plus ? C’était pour le moins étrange, d’autant que l’odeur qui émanait de sa chatte était constante. Et lorsque nous avons mangé en tête à tête à midi, elle a même eu la bonne idée de faire tomber un de ses couverts à mes pieds.
— Tu veux bien me le ramasser s’il te plaît ?— Bien sûr.
Ce n’était qu’un prétexte pour quand j’avais la tête sous la table, écarter les jambes pour m’offrir une vue imprenable sur sa fente. Ce n’est que le soir venu, alors que je me rendais dans ma chambre pour aller me coucher que bien sûr elle vint me rejoindre.
— Tu ne pensais tout de même pas que j’allais rater une occasion de dormir avec toi ?— Bien sûr que je m’y attendais.
Sur ces mots, elle s’approcha et m’embrassa tendrement sur la bouche, allant jusqu’à forcer sa langue dans la mienne. Bientôt, je faisais de même et nous nous embrassions passionnément. Et là, surprise, sa main vint saisir la mienne pour la mener sur son sein encore couvert de sa chemise. Elle me susurra alors à l’oreille :
— Maintenant que tu es bien excité, j’en ai envie.
Voilà donc pourquoi elle m’avait repoussé toute la journée. Elle cherchait à me faire languir. Je me mis donc à doucement déboutonner son chemisier, juste les trois premiers boutons, révélant peu à peu de plus en plus de son décolleté. Ma bouche se détacha alors de la sienne pour aller se promener dans son cou, puis sur le sommet de son décolleté que je me mis à couvrir de bisous. Elle bascula la tête en arrière et fit passer ses doigts dans mes cheveux. Puis, d’elle-même, elle continua d’ouvrir sa chemise, un bouton après l’autre. Quand elle eut fini, elle écarta le pan droit afin de dévoiler son sein. Elle le prit dans la main et me guida jusqu’à lui. Je le pris dans ma bouche et me mis à le sucer délicatement. Elle laissa échapper des gémissements de plaisir. Ma main partit se promener sous l’autre pan de sa chemise pour y rencontrer son autre sein et le caresser.
Sa respiration s’accéléra et elle laissa tomber sa chemise de ses épaules et le long de ses bras, avant de m’ôter mon polo.N’écoutant plus que mes instincts et mes envies, je commençais à lui détacher sa jupe et à lui faire glisser tout doucement le long des hanches.Et voilà qu’enfin, elle était nue devant moi. Je me mis à genoux devant elle et eus donc sa jolie touffe taillée en motif de cœur face à moi. Sa grande excitation était trahie par la mouille qui ruisselait le long de ses jambes. J’approchais mon visage de sa fente et y glissais ma langue, partant de l’arrière pour revenir doucement vers l’avant pour finir sur son petit clitoris. Une fois encore, j’avais ses mains dans les cheveux. Elle leva une jambe et la fit reposer sur mon épaule pour me donner un meilleur accès à son puits d’amour. Pour la première fois, je goûtais au fruit de son trésor le plus précieux. Elle avait un goût tout doux, légèrement sucré, et divinement bon. Je m’en délectais un moment tandis qu’elle gémissait de plaisir.
Elle décida ensuite de me faire allonger sur mon lit, s’asseyant sur mon visage et déposant sa chatte contre ma bouche en me tournant le dos. Et tandis que de nouveau ma langue explorait sa fente, elle commença à défaire mon pantalon pour en extraire mon sexe tendu et dur comme le marbre avent de le gober. Et malgré le fait qu’elle ne bougeait presque pas la tête, sa succion était incroyablement bonne. Elle aspirait périodiquement alors que sa langue caressait mon gland, et le fait que je pénètre son vagin avec ma langue la faisait gémir d’autant plus et faisait vibrer sa gorge. Bientôt, j’allais jouir, elle le sentait venir elle aussi. Elle redoubla d’efforts pour me faire atteindre l’orgasme et je sentais sa chatte se resserrer autour de ma langue.
Je finis enfin par céder et la gourmande put se délecter de ma semence qu’elle avala au fur et à mesure que de longues giclées jaillissaient hors de moi. Lorsque j’eus fini, elle serra ses lèvres autour de la base de mon membre et aspira longuement en extrayant lentement mon sexe de sa bouche.
Je l’entendis déglutir encore une fois et elle roula sur le côté pour libérer mon visage avant de se remettre sur moi, mais cette fois-ci à califourchon, sa poitrine contre la mienne. Elle plongea son regard dans le mien et m’embrassa. Elle se mit à onduler du bassin, caressant mon membre encore dur avec ses douces lèvres vaginales. Et, en continuant son mouvement, elle décrocha sa bouche de la mienne, et me dit :
— T’as vraiment bon goût, et t’es très doué avec ta langue, j’avais jamais joui comme ça avant.— Merci, toi aussi tu es délicieuse, j’aurais pu continuer longtemps de te lécher sans m’en lasser, et c’est incroyable ce que tu fais avec ta bouche.
Elle me sourit, ses cheveux tombaient sur mon visage. Elle m’embrassa de nouveau et je sentis sa main venir chercher ma bite pour la guider en elle. Elle me fit glisser dans son antre et plaqua ses hanches sur les miennes. Nos deux sexes palpitaient à l’unisson au même rythme que nos cœurs.Elle roula de nouveau des hanches. La douceur de sa chatte caressait mon membre. Je plaçais une main dans son dos et l’autre sur sa fesse. Et de nouveau, nous faisions l’amour. Elle était d’une tendresse incroyable tant dans son regard que dans ses mouvements. Chaque va-et-vient de son petit minou sur mon membre était comme un tendre baiser d’une mère à son fils. Sa cyprine enduisait mon sexe et mouillait les draps en dessous de nous. Et enfin, elle me susurra à l’oreille :
— Remplis-moi...
Alors elle se plaqua à nouveau à moi et mit tout son poids sur moi comme pour m’empêcher de lui échapper. De nouveau, mon sexe cracha de longues giclées de sperme, remplissant rapidement le vagin de ma sœur, la faisant déborder de fluides sexuels. Nous sommes restés ainsi à nous embrasser un moment avant qu’elle ne vienne se blottir contre moi pour s’endormir.
[Voilà les amis, c’est la fin de ce nouveau chapitre de "une sœur qui m’aime" j’espère qu’il vous a plu, et que vous prenez toujours autant de plaisir à me lire que j’en prends à écrire. N’hésitez pas à me laisser un commentaire pour me faire part de vos retours. J’espère vous retrouver très vite pour de nouveaux récits. D’ici là, soyez heureux et n’arrêtez jamais de fantasmer vos vies. Bisous.]
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