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Une réelle histoire d’amour, avec deux couples candaulistes….

Chapitre 2

La banque de femmes…

Avec plusieurs femmes
«Ma chienne», comme elle veut que je l’appelle, m’offre ses fesses, elle a placé deux oreillers sous sa poitrine, pour libérer ses bras, et étirer les deux lobes de ses fesses, comme si cette «ouverture» pourrait m’exciter plus.Je n’avais ni le temps, et surtout, ni le luxe, de consacrer une tranche de ma cervelle, à cette question purement philosophique. En homme primitif, je dois honorer l’offrande. Je monte sur le lit, je me place entre ses pieds, et d’un seul geste, je me trouve dans le fond de cette grotte à la fois gluante et envoûtante.
-     Chaude, la chienne…-     Oui Maître, je rêve depuis des années de cette prise par une bite de cette taille.
Je sors mon sexe, pour le projeter avec plus de force encore :
-     Wawww…. J’adooooooooooooooooore…
Tel un train à vapeur qui démarre, j’augmente la cadence petit à petit. De même pour les gémissements de ma chienne, qui commencent en douceur, puis augmentent d’amplitude, et finissent en cris.Je tape ces fesses offertes avec toutes mes forces :
-     Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii…. Plus fort encore.
Je sens une rage au fond de moi, et j’augmente la cadence du pilonnage, ainsi que la fréquence des coups sur ses fesses.Cette chienne oscille entre la douleur et le plaisir, ou même arrive à convertir la première en deuxième. Je sens une admiration pour cette créature féminine, qui ose, et assume en solo, mais en couple aussi, des convictions qu’une frange non négligeable de la société considère comme «immorale». La majorité des hommes en voient une «vide-couilles», à traiter sans aucune considération. A savoir, une «pute» gratuite, marié à un «cocu».Au fond de moi, je porte un respect sans égal, à cette femme, et toutes ses semblables. Les maris aussi, qui, au moins, vivent cette forme de liberté sexuelle, dans la transparence totale, mais surtout la confiance absolue. Sans oublier un plaisir énorme, et une satisfaction sans pareille.Ma chienne continue à crier, tant je continue mon pilonnage et les coups sur ses fesses. Les deux lopes ont pris une couleur rouge, foncée.Je change de tactique, je donne des coups fermes dans cette mine brulante, mais avec des arrêts au fond.Je n’ai pour moyens d’appréciations que les gémissements de ma chienne. Elle semble admirer…Une chose m’intrigue, malgré la force du pilonnage, et les coups sur ses fesses, cette femme n’a pas lâché les lopes de ses fesses, comme si tout son plaisir, et le plaisir qu’elle pense offrir à son Maître, ne peuvent être satisfaits, sans cette ouverture. Ou, peut-être, elle prend l’acte comme un signe de soumission.Soudain, je la prends par les hanches, je bascule sur le côté, elle obéit et me suit dans ce mouvement. Elle lève son pied par réflexe. J’appelle :
-     Jeanine.
-     Oui Maître.-     Bouffe lui la chatte.
Jeanine bouffe le sexe de Claude, et le suce en entier, en premier, puis elle va dans les détails. Mordiller le clitoris, ou encore sucer les lèvres, sans oublier sa langue dans tous les coins, ou encore lécher mon sexe.Il faut avouer, que le pilonnage dans la position de «la cuillère» que nous avons prise, est d’une intensité moindre, que ce que la levrette permette. En revanche, la nouvelle position, permet à la chienne de Claude, d’accéder à un plaisir double dont raffole toute bisexuelle, à savoir une pénétration vaginale forte, accouplée à un cunnilingus dans les règles de l’art. Les gémissements de Claude, mon unique indicateur de son état, et surtout de son plaisir, se convertissent en des sons creux, comme si elle a perdu la voix, ou encore n’arrive plus à respirer. L’image d’une personne qui aspire avec force, sans trouver la masse d’oxygène nécessaire.Les sons creux, même inaudibles, induisent une forme de crescendos, qui dénote un orgasme proche. Elle se crispe, tout en serrant les muscles de son vagin, et lance un dernier son, et s’évanouit entre mes bras.Un silence de plomb, et un immobilisme de statuts, règnent sur cette chambre. A l’exception de la respiration à peine audible de Claude. Rien ne semble bouger. A l’image d’une femelle ours, qui quitte une hibernation qui a trop duré, Claude se moue très doucement, et laisse échapper des sons de satisfaction.Quelques minutes, et la voilà qui reprend vie. Elle amorce une reconnaissance du lieu, se tourne, se blottit entre mes bras, me sourit, et m’embrasse tendrement, à la manière d’une jeune fille, à la fois candide et novice, qui vient de goûter son premier baiser.Je ne veux ni la brusquer, ni même intervenir. Dans son mental, elle n’a pas encore quitté, la zone de jouissance. Elle doit parcourir ce chemin, toute seule, et en toute liberté.Claude a pris au moins une demi-heure, entre le moment de l’orgasme et son réveil total. Elle semble dans les nuages.Elle embrasse ma main, et me dit :
-     Tu es mon Maître absolu.
Puis se tourne vers Jeanine, lui ouvre les bras, et me regarde :
-     Si notre Maître le permet.
Un large sourire, et ajoute, en regardant Jeanine :
-     Toi et moi, on sera une. Jamais de jalousie.
Jeanine intervient :
-     Jamais de jalousie.
Les deux femmes s’embrassent avec fougue. Je constate que ce «couple» féminin a ancré son rapport de force : Claude en position dominante, tandis que Jeanine semble se plaire dans son rôle de soumise.
-     Claude, ma chère et adorable chienne.-     Aux ordres, mon cher et adorable Maître.-     J’ai faim.
Pour toute réponse, Claude dirige son regard vers son mari, et lui fait un geste de la tête. Il affiche une obéissance, et quitte la chambre, en prenant le mari de Jeanine par la main. Elle me regarde, et me dit calmement :
-     Dix minutes, et tout sera prêt.
Puis me prend par la main, et regarde Jeanine, et dit :
-     Je pense pouvoir parler au nom de nous deux.
Jeanine confirme d’un mouvement de sa tête, et Claude ajoute :
-     Moi et Jeanine, on ne te refusera jamais rien.
Elle regarde Jeanine qui confirme encore une fois.
-     Si tu as envie de baiser d’autres femmes, je te ramène, selon ton goût et tes envies. Des bourgeoises chaudes en maque d’une bite comme la tienne.
Elle marque un temps d’arrêt, et ajoute :
-     Si un jour, tu veux ramener une connaissance à toi, et la baiser sur ce lit, on te videra la maison.
Le téléphone sonne, elle décroche, et me dit :
-     C’est Alfred qui m’appelle de chez le traiteur.
Elle écoute son mari un moment, et me demande :
-     Mon Maître, veut manger quoi ?-     Je fais confiance au choix de ma chienne.
Elle ordonne à son mari une liste de plats, et raccroche.Je lui demande de m’expliquer comment elle peut me ramener des bourgeoises en manque de sexe. Elle rit et me dit, qu’elle possède un institut de beauté. Et ajoute que dans ces lieux, les femmes se laissent aller à toutes les confidences.Elle rit, et me dit qu’elle peut me faire passer pour un masseur, et me laisser choisir à ma guise.L’idée me fait rire, et je dis :
-     Si je te demande pour cette nuit, une noire entre 40 et 50 ans, de bonne taille, un corps plein, bisexuelle, et docile, tu peux m’en trouver ?
Elle prend un air sérieux, et me dit :
-     Si sérieux, je l’appelle tout de suite.-     Appelle là.
Je dois reconnaitre, que je me sens intrigué par cette «banque de femmes» disponibles, à la demande.J’entends Claude parler au téléphone :
-     Allo Solange, tu me manques, ou plutôt le goût de ton minou me manque.
Elle rit, puis d’un air sérieux :
-     Solange, mon couple et un autre couple candauliste, on va se mettre en ménage, , avec un jeune homme, très bien membré, endurant, et surtout offre le plaisir à ses femmes avant de jouir.
Elle marque un temps d’arrêt, et rit à haute voix :
-     Pour ça, je t’appelle… Tu viens jouer la troisième chienne.
Claude rit un peu, et me dit :
-     Une heure, et elle sera à tes pieds….
Alfred entre dans la chambre, et nous informe que tout est prêt. On se déplace dans la salle à manger, pour trouver un buffet, digne d’un hôtel 5 étoiles. Après un dîner copieux, mais léger, je demande à Claude, de me parler encore plus de cette Solange. Elle me dit que son mari est parti enseigner aux Etats-Unis, et de ce fait, il devrait s’absenter plusieurs mois.Une fois, au téléphone, elle lui a dit qu’elle doit couper, car son amant est arrivé. Le mari a piqué une crise au téléphone. Elle a fermé pour recevoir son amant.La nuit, elle a informé son mari, et surtout l’a mis entre deux choix : Accepter cette nouvelle situation, à savoir respecter le choix d’un amant, qu’il doit accepter même en sa présence, en cas de retour, ou divorcer à l’aimable.Le mari a mis un mois pour assimiler et surtout assumer cet accord, avant d’ajouter que Solange est une de ses clientes à l’institut de beauté. Lors d’une séance de massage, elle s’est allé dans une confidence très intime. Claude a profité de l’excitation de sa cliente, pour lui caresser les seins, et conclure avec un cunnilingus. Un orgasme inconnu pour cette noire, qui est devenue une de ses chiennes préférées. Je lui demande si elle a de quoi masquer les yeux de Solange. Elle me rapporte un bandeau qu’elle utilise pour les jeux sexuels. Je lui dis de le mettre à Solange, dès son entrée, et surtout ne doit voir que toi.La porte sonne, Solange indique à son mari et Maxime de se réfugier dans la cuisine. Moi et Jeanine, nous rejoignons la chambre à coucher.Une minute, à peine, Claude nous rejoint en tenant par la main une imposante noire, comme elle l’a décrite exactement. Avec un bandeau sur les yeux :
-     Mon Maître, -     Oui Solange,-     Je m’offre à toi, comme l’a fait Claude, et je serai heureuse de rejoindre votre groupe.-     Je te prends ce soir à titre d’essai. A deux conditions.
Je marque un temps d’arrêt :
-     Au premier refus, ou à la première improvisation de ta part, je te mets dehors.-     Je suis d’accord mon Maître.
Claude lui enlève son manteau, pour laisser apparaitre les détails d’un corps imposant : une robe moulante et striée, à la manière d’un zèbre, entre de la mousseline noire et un transparent, qui laisse tout apparaitre. Au moins, elle est sans sous-vêtements.
-     A genoux…-     A vos ordres.-     Ouvre ta bouche.
Sa bouche grande ouverte, j’introduis mon sexe dedans. Par réflexe, elle porte ses mains pour le prendre :
-     Sans tes mains, salope de chienne.
Elle obéit, et fait jouer sa tête comme unique moyen.Elle semble à la fois aimer, mais pas totalement satisfaite. Je prends Claude par la main, et je la tire près de moi. Je l’embrasse tendrement, et je lui demande dans l’oreille :
-     A toi de me dire ce que je dois faire. Je t’offre la direction de cette rencontre.
Elle me chuchote avec douceur :
-     Mon Maître veut bien l’enculer ?-     La sodomiser, tu veux dire ?-     Si mon Maître le veut bien sûr.-     Tu as des préservatifs XXL ?-     Non, -     Envois Jeanine dire à un de ces deux cocus, de nous acheter quelques boites de préservatifs XXL.
Claude murmure dans l’oreille de Jeanine, qui quitte la chambre. Ma chienne reprend sa place à côté de moi, m’embrasse, et me dit dans l’oreille qu’elle est la plus heureuse des femmes…
-     Claude, tiens mon sexe pour notre chienne, je la vois incapable de sucer correctement…
D’une main, Claire tient mon sexe et de l’autre maitrise Solange par les cheveux. Elle la force à enfoncer mon sexe au maximum.Une gorge profonde qui prend de l’intensité. Solange parait fatiguée, et même exténuée par ce blitz, mais satisfaite au regard de son sourire.
-     Tu aimes.-     Oui, Maître, une bite de cette taille, est bonne à mettre partout…-     Même dans ton cul ?-     Une bite de cette taille ne se refuse pas, même si mon cul est vierge, à part quelques doigts.
Jeanine arrive avec quelques boites de préservatifs.
-     Solange, ma chienne…-     Oui adorable Maître.-     Enfile moi deux préservatifs.-     A vos ordres.
Claude tend une boite de préservatifs à Solange, qui ouvre la première, puis sort un préservatif, le met dans sa bouche et le pousse avec ses lèvres, puis ajuste le tout avec ses doigts. Et reprend les mêmes gestes avec le deuxième :
-     Maître, je peux poser une question ? Pour m’informer pas plus.-     Dis toujours.-     Vous allez lubrifier mon cul, ou l’enfoncer sec ?-     Toi, tu as envie de quoi ?-     Mon Maître sera généreux, s’il veut bien me mettre un peu d’huile d’olive.
Je regarde Claude qui m’affirme de sa tête qu’elle en dispose. Je lui fais un signe de le rapporter.A son retour avec une petite bouteille :
-     Jeanine ma chienne.-     Oui Maître.
Je l’ordonne de porter Solange vers le lit, et la mettre en position de levrette, en levant sa robe jusqu’au ventre.Jeanine prend Solange par la main, et la place selon mes ordres. Je lui tends la bouteille d’huile, et je lui ordonne que prendre un peu dans la bouche et le passer dans le cul de Solange. Elle s’applique.Claude met de l’huile dans la main, et me masturbe.Je me place à genoux, entre les pieds de cette noire qui offre sa virginité anale.
-     Maître, s’il vous plait.-     Oui, chienne de Solange, -     Même si je dis que j’ai mal, et même si je demande d’arrêter, ne m’écoutez pas… je veux une pénétration totale… 
Une défloration dans les règles de l’art. Je place le gland au contact de cette virginité anale, et je m’apprête à foncer…
-     Claude… Tu comptes 1 – 2 – 3.
Claude commence à compter.   
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A suivre….
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