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une relation à l'armée qui tourne mal

Chapitre 3

Divers
Au petit matin, de bon heure car le soleil se lève très tôt dans cette partie du monde, je regarde autour de moi pour voir si il y a déjà des courageux debout. 3 personnes sont levées et discute sur la plage, le temps n’était pas beau, beaucoup de vent, et surtout des nuages menaçants accrochés sur Basse Terre, l’autre île de la Guadeloupe.En règle générale quand les nuages sont là ça présage un sale temps. Je me lève et rejoins les autres, la discussion se porte sur la météo, que faisons-nous, restons nous sur cette île toute la journée comme prévue ou décidons nous de rentrer pour éviter d’être rincé toute la journée. Il fallait prendre une décision rapide car il fallait profitez d’une venue de bateau avec des touristes pour repartir sur la terre ferme. C’est décidé on rentre, on plie le camp et repars avec un bateau, enfin une barque de pêcheur, direction la caserne.Aucune allusion, aucun regard ne s’était produit avec Franck, le lieutenant, ni avec Greg. Un peu rassuré, on traverse la ville et rentre à la caserne en bus.Certains décident de rester en ville pour profiter de cette journée de permission, je ne sais pas quoi faire, je me demande ce que va faire Greg et aussi Franck qui devra rentrer en bus car la voiture devait venir le chercher bien plus tard (et à l’époque 1993 il n’y avait pas de portable). Finalement, Greg et Franck décident de rentrer ainsi que 5 autres, ceux qui restent proposent un planning pas très alléchant pour moi, ils veulent aller boire dans un bar connu.
Me voilà de nouveau avec mes 2 amants de la veille, Greg ne cherche surtout pas à me regarder alors que je remarque que Franck fait de plus en plus d’effort pour se rapprocher de moi. Une fois dans le premier bus, Franck se débrouille pour monter juste derrière moi, il faut dire que les bus sont plutôt folkloriques et surtout très chargés, tant qu’ils peuvent remplir et tasser ils le font. Autant dire que la promiscuité est importante, et plus on avance et plus d’autre personnes montent, rapidement on se retrouve collés l’un à l’autre comme aux heures de pointe de métro à Paris.Franck était juste derrière moi et je voyais bien qu’il essayait régulièrement de me coincer. Arrivée à Pointe à Pitre on descend tous pour prendre un autre bus, cette fois j’anticipe et me débrouille pour ne pas être à côté de lui. ½ heure plus tard on rentre à la base et on rentre tous dans nos bâtiments respectifs. Juste au moment où nos chemins se divisent il m’appelle, je fis mine de pas l’entendre, il insiste plus fort, au point que tout le monde l’a entendu. Je m’arrête et attend qu’il s’approche, il me demande de m’approcher, j’y vais, j’ai la gorge serré et arrivant à 2 mètres de lui je lui demande ce qu’il veut, il répond-Franck : j’aurais besoin de te voir tout à l’heure, passe au bureau des officiers quand tu auras posé ton sac à dos.-moi : je suis en permission aujourd’hui, pourquoi veux-tu me voir ?-lui : c’est pour ton bien je te conseil de venir, a toute à l’heure.Et il fait demi-tour sans attendre ma réponse.Je repars dans la chambre, une grande chambre de 10 lits, tout le groupe dormait dans la même chambre, y compris Greg évidemment.Je me pose sur mon lit et je vois Greg qui sort de la chambre me fait signe de le suivre.Je le suis, et le retrouve dans le couloir, on continu à marcher pour aller à l’extérieur du bâtiment.-Greg : tu fais quoi, tu y vas ? Vu ce que tu m’as dit hier moi je n’irais pas, aujourd’hui ce n’est pas ton chef tu es en permission.— Moi : oui je sais mais j’ai peur que ce soit pire demain, il m’a dit que c’était pour mon bien, je ne sais pas si je peux lui faire confiance. J’ai presque envie d’aller tout dire au colonel, putain j’ai peur….-Greg : de toutes façons il ne sera pas seul dans la salle des officiers, tu peux y aller, tu crains rien, c’est mieux que dans sa chambre.-Moi : t’as raison, j’y vais, il ne va pas me faire chier pendant des jours sinon je le balance.Je pars d’un pas décidé jusqu’au bureau des officiers, je frappe, et entre comme il est de coutume. A l’intérieur il est seul dans la pièce, zut, je recommence à avoir peur et reste à la porte.-Franck : entre et ferme la porte-Moi : pourquoi que veux-tu me dire?-tu sais bien de quoi je veux parler donc ferme la porteJ’insiste et reste sur place tout en lui disant :
-moi : je ne veux pas en parler, j’ai fait une bêtise hier, mais je ne veux pas recommencer, si tu veux me punir pour ma faute de garde tu le fais mais je ne céderais pas au chantage.Je repars et ferme la porte, j’avais les mains qui tremblaient, en arrivant à proximité de mon bâtiment je vois Greg qui m’attendait, je lui raconte et il me dit que j’ai eu raison. On repart tous les deux dans la chambre, nos lits étaient séparés par 2 autres lits, on ne pouvait donc pas en parler. Les autres revenaient de la douche ou y allait, il y avait un « ballet » d’aller-retour, presque tous nus ou avec une serviette, je découvris que ça m’excitait, je sentais une érection venir. Il était presque midi, ceux qui étaient propres décident d’aller au mess pour boire un coup avant d’aller manger. Assez rapidement je me retrouve avec Greg seul dans la chambre, je lui dis que j’allais me doucher, et il me répondit qu’il me suivait, le temps de prendre ses affaires.
Je rentre dans une douche et pousse la porte mais sans la fermer totalement, je ne sais pas pourquoi mais j’espérais que Greg me rejoigne dans la douche, je l’entends arriver et je le vois passer devant pour prendre la douche d’après. Je bandais, et tout en me lavant je me caressais et je commence à me masturber, le bruit de l’eau devait cacher le bruit que je pourrais faire. A ce moment Greg m’appelle :-Greg : tu regrettes ce que tu as fait hier ?Je suis surpris et j’arrête ma branlette, je lui réponds :-Moi : tu parles de quoi précisément ?-Greg : je te parle de moi— Moi : ben non, mais tais-toi.J’avais peur que d’autres personnes entendent notre conversation. C’était l’occasion rêvée, j’avais l’excuse parfaite, je sors de ma douche en regardant de chaque côté, personne, je pousse la porte de sa douche, elle est fermée, je lui dis à voix basse :-C’est moi ouvre dépêche-toi.Le loquet s’ouvre et j’entre le rejoindre dans sa douche, je me baisse et regarde si personne n’occupe les autres douchent. On était seul, j’étais excité par la peur et par la vue de ce jeune homme entièrement nu, sans poil à part une petite toison blonde autour de sa bite.-Greg : t’es fou, on va se faire « gauler », retourne dans ta douche.-Moi : alors pourquoi tu as ouvert ? Je pensais l’avoir bloqué avec cet argument de poids.-Greg : je ne voulais pas que tu restes à poils dehors, allez, retourne dans ta doucheJe pose ma main sur sa bite rapidement, il bandait un peu, moi je bandais comme un fou, il ne dit rien je me baisse et mets sa bite dans ma bouche, après quelques mouvements avec ma bouche et ma main, son érection est au maximum, et je lui dis avec un petit sourire en coin:-alors tu veux vraiment que j’arrête ?Greg : Oui s’il te plait j’ai trop peur qu’on nous voit, allez, arrête.Et il repousse ma tête, je n’insiste pas, je suis content car je sais que c’est à cause de la peur qu’il veut que j’arrête et pas à cause de moi. Je suis presque heureux et retourne dans ma douche. Dans ma douche, j’ai toujours la trique, je me masturbe et éjacule au sol très rapidement. Comme ça au moins j’arrêterais de bander quand je le verrais, je me lave et tout en me lavant les fesses, je me surprends à insister sur mon trou du cul. Voilà que j’avais des envies de sodomie, décidément je me découvrais des facettes jusque-là inconnues. Je prends un peu plus de savon et pousse sur ma rondelle tout doucement, j’ai le bout du doigt dans mon trou du cul et je trouve ça bon. J’entends Greg quitter la douche, je mis un terme à cette nouvelle sensation et le rejoins quelques minutes plus tard. Il était toujours dans la chambre, habillé, prêt à rejoindre les autres à la cantine. Alors que je m’apprête à m’habiller je le surprends à me regarder, en effet il est penché sur son lit pour pouvoir me voir derrière la porte de mon armoire. Je fais durer le plaisir et reste nu, je prends un tee-shirt et l’enfile, puis le retire et en passe un autre sous prétexte que le premier était trop chaud. J’avais toujours les fesses à l’air et je savais qu’il regardait, je prends mon temps et passe enfin un short de bain. Je me retourne et il est toujours dans la même position, je lui demande :-Moi : alors tu t’es rincé l’œil ? ça te plait ?-Greg : à ton avis !!!Il se lève avec un grand sourire et passe derrière moi en touchant mes fesses sensuellement. Je le suis, je regarde ses fesses et je me dis au fond de moi que j’y mettrais bien la tête.Après manger, certains décident d’aller à l’aéroport qui se trouvait juste à côté, d’autres de retourner en chambre. C’était la décision de Greg et de moi mais de 2 autres aussi. Une fois dans la chambre je m’assoie sur son lit en tailleur, et on discute de tout et de rien, il fallait trouver une occupation, la météo n’était pas clémente, je lui propose de jouer au dès, au 4.21, c’était un des jeux réguliers le soir pendant les gardes pour tuer le temps. Il s’installe face à moi et écarte les cuisses pour passer ses jambes de chaque côté du lit. Il était donc jambes écartées face à moi, alors que j’étais assis en tailleur, donc les cuisses aussi écartées. Cette position déclenche automatiquement une érection et je guide ma bite sur le côté de mon short pour que le gland dépasse sans qu’il remarque quoi que ce soit. On avait placé un couvercle de jeu au milieu pour lancer les dés, il commence à lancer les dés et remarque ma bite qui dépasse. Il regarde rapidement à droite et à gauche pour voir ou se trouvait les 2 autres. Ils étaient dos à lui, je les avais en vue et je savais donc qu’ils ne pouvaient pas me voir.Il me chuchote-Greg : tu es fou, arrête tes conneries.-Moi : c’est bon je les vois, ils ne peuvent pas me voir tu me caches, aller joue.Il lance les dés mais je sens qu’il est inquiet, à mon tour de lancer les dés, je fais semblant de rater le couvercle et 2 dès atterrissent entre ses jambes, je me dépêche d’y mettre ma main avant qu’il les prenne et alors que je ramasse le 2eme je lui touche la bite à travers son short. Décidément je me surprends moi-même avec mes agissements, je n’arrêtais pas d’avoir envie de lui et de son sexe, alors que lui paraissait moins accro à ma bite. Je vois dans son regard sa gêne et décide de cacher mon sexe, mais mon érection était toujours présente. On continue à jouer quelques temps et les 2 autres décident d’aller au mess jouer pour tuer le temps, en passant à coté de nous, ils nous demandent si on voulait y aller, je répondis automatiquement moi non et je regarde Greg qui confirme que lui non plus.Seul, tous les deux dans la chambre nos regards étaient complices et je remarque une érection dans son short, j’avais envie de le sucer et apparemment je lui faisais de l’effet.-moi : il faudrait trouver un coin tranquille, non ?-Greg : écoute je ne suis pas sure que ce soit raisonnable-moi : tu as peur de quoi, ou dis le-moi si tu n’as pas envie de moi, ça sera plus simple.-Greg : si je suis attiré mais je sais pas pourquoi et ça me fait peur-Moi : tu es comme moi, tu sais je ne suis pas PD normalement mais c’est vrai que tu m’attires.Greg : je voudrais que tu me laisses tranquille un petit peu que je réfléchisse.J’étais déçue et triste, je venais de me faire envoyer balader poliment.Je décide de rejoindre les autres aux jeux et le laisse seul dans la chambre. Dans l’après-midi nous sous sommes croisés mais sans rien se dire et le soir aucun signe ne donnait l’espoir de quoi que ce soit.Le lendemain matin, on devait se préparer pour prendre notre garde à l’escale, rendez-vous comme d’habitude au parking et je vois arriver Franck, c’était encore lui qui devait nous emmener. Je vois dans son regard quelques choses de pas rassurant, j’avais peur pour cette nuit, ce qui était sure c’est que je ne dormirais pas. Arriver sur place la journée commence comme toutes les autres, en fin de journée alors que l’heure du repas approchait, nous étions tous les 3 dans le bureau, j’envoie le 3eme chercher la nourriture, il en avait pour 2 minutes, je décide d’en profiter pour lui parler et savoir si j’avais encore un peu d’espoir.Alors que je cherchais les termes appropriés, Greg me devance et me dis-j’aimerais bien qu’on réessaye mais j’ai peur des autres, il faut trouver un endroit discret et sure.J’étais rassuré, mon excitation devait se voir dans ma tenue militaire, je m’approche de lui et lui fais un bisou sur les lèvres, il ne recule pas, je touche sons sexe et je lui dis :-Super, je suis content, j’avais tellement peur que tu veuilles plus de moi.J’aperçois le 3eme arriver avec la nourriture, on se recule et on reprend nos places.La soirée se passe normalement jusqu’au moment où mes 2 partenaires devaient partir en patrouilleIl faisait déjà nuit, à ce moment je demande au 3eme si il voulait me remplacer au poste et que moi je le remplace pour la patrouille. Je prétextais que j’en avais marre de rester seul et j’aimerais bien changer un peu, même si je savais que je n’avais évidemment pas le droit. J’insiste en lui indiquant qu’il ne craignait rien, car si quelqu’un arrive à la grille, ce qui était très rare, il suffisait qu’ils nous appels à la radio et que l’on reviendrait très rapidement pour reprendre nos places.Sur ces mots, nous voilà partis Greg et moi faire le tour de l’escale, il y en avait pour 1 bonne heure.
A peine partis, on se retrouve tous les deux dans l’obscurité, on regarde autour de nous et on remarque une butte de terre idéale pour se cacher. Une fois derrière je m’empresse de lui mettre la main sur son sexe, lui toujours timide, se laisse faire. Quelques instants plus tard, je remarque qu’il a du mal à bander et il m’explique que l’on est trop près du poste de garde, on décide donc de s’éloigner encore, nous voilà assez loin, cette fois on était tranquille, je décide de reprendre là où je m’étais arrêté.Mais à ce moment le 3eme qui était au poste de garde nous appelle pour nous signaler l’arrivée d’une voiture. On décide de repartir en courant et à peine arrivé je me glisse dans le poste de garde et laisse sortir mon remplaçant, j’espère que l’occupant de la voiture n’a rien vue, les phares de la voiture étant en direction du poste de garde, je me demandais si il avait vu quelques choses. J’allais vite le savoir, alors que les 2 collègues allaient ouvrir la grille (comme le règlement l’exige normalement), j’essayais de retrouver mon calme et d’essuyer ma transpiration.A peine ais-je fini, que je vois Franck rentrer dans le bureau, je n’étais pas fier et regardais dehors pour voir ou se trouvait mes 2 collègues. Il me regarde et me demande si tout va bien, je lui confirme que oui, il me demande alors pourquoi je suis transpirant, je lui confirme que je m’amusais à faire des pompes, il fallait bien inventer quelque chose. Je vois bien à son regard qu’il ne me croit pas.Une fois mes 2 collègues de retour, Franck nous regarde tour à tour et nous demande « si on le prenait pour con »Cette fois c’est sure, il avait vu la scène, je décide de lui dire la vérité et je lui indique que c’était une idée de moi. Greg souhaitant m’aider regarde Franck et lui indique que c’était à sa demande. Je le regarde avec des gros yeux et me demande pourquoi il a fait ça. Sur ces dires, Franck nous indiqua que nous serons donc convoqués tous les 2 demain à la fin de notre garde.Il repart comme il est venu, en indiquant qu’il repasserait peut être cette nuit, le message était clair….La nuit se passe des plus calmement et le lendemain tant attendu arriva, alors qu’il nous ramenait à la base, il nous indique de nous rejoindre à son bureau. Nous voilà tous les deux dans ce bureau, face à lui. Le sermon âge commence et alors qu’il commençait à lister les punitions éventuelles qui étaient plutôt sévères, puis arriva le moment que Franck attendait surement depuis longtemps. Il nous dit :-sinon, j’ai bien une autre solution, qui effacerait tout ce que je viens de dire.On le regarde, et je pense que l’on est inquiet l’un comme l’autre.Moi : on vous écoute mon lieutenant-Franck : il me reste 2 semaines avant de rentrer en métropole, si vous acceptez d’être très docile pendant ces deux semaines, je vous laisse toutes vos permissions.On se regarde tous les 2, et je lui demande plus d’explications.-Franck : c’est simple, je vous ai vu sur l’île l’autre soir, donc si vous acceptez de participer à mes demandes, ça restera en privé.On ne sait pas quoi penser, ce con avait vraiment tout pouvoir sur nous, il pouvait nous pourrir les 3 mois restants en nous supprimant toutes nos permissions.-Franck : c’est simple, ou vous revenez dans une 1 heure me rejoindre dans ma chambre ou je dépose la demande de sanction sur le bureau du colonel. A vous de voir. RompezOn quitte le bureau en se regardant et après avoir discuté on décide de revenir 1 heure après le rejoindre. Il était seul, son collègue était de garde, il savait donc que nous ne serions pas dérangés.A notre arrivée, il avait un grand sourire, je voulu imposer des règles mais sa réponse était très clair, on devait être ses objets. Comme il avait dit, vous allez être mes jouets.A ce moment alors qu’il baissait son pantalon, il m’ordonne de le sucer, j’étais dégoutter et excité, je m’approche de lui et me met à genoux, je le suce et il demande alors à Greg de se déshabiller, Greg ne bougeant pas il commence à me repousser en nous indiquant que si on ne voulait pas il ne fallait pas venir.Je me tourne vers Greg et je le vois commencer à défaire son pantalon, puis enlève son slip-Franck : enlève tout, tu seras mieuxIl s’exécute et retrouve nu derrière moi-Franck : déshabille ton pote maintenantJe m’arrête donc de le sucer pour l’aider mais Franck m’ordonna de ne pas bouger. Greg s’approche et commence à baisser mon pantalon puis mon caleçon, il hotte ensuite ma chemisette. Nous voilà tous les 2 nus comme des vers.Moi je bandais mais pas Greg, il m’ordonna donc de le sucer, je commence mais ça n’a aucun effet sur sa bite, au bout de quelque instant, voyant que je n’y arrivais pas ce fus à Greg de me sucer. Il continua à jouer avec nous deux pendant ¼ d’heure puis nous ordonna de se rhabiller. Avant de partir il nous rappelle que l’on devait être à sa merci quand il voulait et où il voulait.De retour dans notre chambre, on était inquiet mais que faire, moi je me dis que tant que ça va trop loin on pourra tenir les 2 semaines. Cette après-midi-là, à la distribution des taches journalière, on me demande d’aller ranger un stock d’archive dans un local prévu à cet effet, il fallait que je désigne quelqu’un avec moi. Je désigne Greg évidemment et on se retrouve tous les deux dans ce local fermé à clés pour des raisons de sécurités.
Très vite alors que l’on déplaçait des cartons, on se mit à transpirer, et oui en Guadeloupe il fait chaud, je me mets torse nu et continue. Greg s’approche de moi et me touche, je me retourne et sans rien dire je le vois se mettre à genoux, sortir ma bite et me sucer lentement, j’étais aux anges. Quelques instants après je le relève et le recul, je prends deux cartons, les étales et je me couche dessus, il me rejoint et lui demande de se mettre en 69. J’ouvre sa braguette pour sortir sa bite et le sucer, lui aussi continuais à me sucer, baisse son pantalon pour avoir plus d’accès et continu à le sucer et j’ose même promener mon doigt sur son trou innocemment, il ne dit rien et il me fait la même chose. Je sens que je vais jouir, je lui dis tout doucement, et il me répond que lui aussi. J’accélère donc la masturbation et alors que j’éjacule dans sa bouche, il me lâche son sperme dans ma bouche également. J’avale tout naturellement son sperme il était plutôt bon, un peu salé c’est tout, je le regarde et lui demande si il avait avalé, il me répond que oui, on se redresse et nos bouches se collent dans un long baisé. C’est sure ce garçon m’attirait et je lui faisais de l’effet. Après c’être rhabillé on finit nos taches dans ce local, avec de temps en temps des petits bisous sur les lèvres ou des attouchements sur nos fesses.
A suivre…
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