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Une relation familiale

Chapitre 2

Inceste
Le lendemain, je me réveillais avec une belle jeune femme nue, mon sexe entre ses jambes encore pleines de ma semence séchée. Elle dormait encore, on aurait dit un ange... un ange sexuel. Je me levai et me dirigeai vers la cuisine pour préparer le déjeuner d’après Noël. Deux œufs tournés avec une tranche de jambon ; classique, mais excellent ! Les bruits de la poêle ont dû la réveiller, car elle se réveilla peu de temps après. Elle se dirigea droit vers moi:
— Salut petit frère ! me salua-t-elle, en me donnant un bisou sur la joue.— Salut Mégan ! Je te fais une assiette ?— Oh que oui ! Je meurs de faim !
Notre déjeuner se passa tranquillement, quelques regards coquins et des jeux de jambes sous la table nous donnaient de fous rires. Le téléphone sonna soudain. Un numéro que je connaissais très bien, et qui me fit sourire, apparu sur l’afficheur. C’était notre tante Marise qui appelait. Cela ne m’étonna pas de sa part ! Elle nous invitait toujours pour le lendemain de Noël pour passer une journée avec nous. Marise était une femme dans la quarantaine qui avait un vrai corps de cougar ! Ces cheveux étaient longs et blond clair, ces yeux, d’un bleu ciel, étaient magnifiques, mais ses vrais atouts résidaient dans son fessier et sa poitrine. Une grosse paire de nichons naturels et un derrière ferme qui ne demandait qu’à être peloté.
Ma tante avait autrefois fait partie de mes fantasmes, quand j’avais découvert mon fantasme pour les femmes matures. Son caractère ne m’aidait pas ! Elle était le type de femme fatale qui jetait des blagues grivoises en l’air tout le temps, problème : on ne savait jamais si c’était des blagues ou non. Moi et ma sœur nous sommes habitués, mais lorsque ces blagues sortaient de sa bouche, c’est comme si un interrupteur de « femme en besoin » s’activait : regard rempli de désir, voix sensuelle et changement de position pour séduire tout homme ou femme attirés naturellement par elle. Bref, ma tante avait un corps de rêve.
Ma sœur sauta presque sur le téléphone et répondit rapidement:
— Salut tante Marise ! Alors comment ça va ?... Oui, je vais bien ! Je suis avec Jonas, on a passé Noël ensemble, dit-elle, avec un sourire coquin.
Un instant passa pendant lequel ma tante parla, je crus entendre un mélange de surprise et de fierté.
— Oui Marise... oui, on l’a fait...
Attends... fait quoi ?
— Tu crois qu’il voudrait ?... Mon Dieu ! Tu ne t’imagines pas à quel point !... Oui ! Comme un taureau ayant vu du rouge, dit-elle en riant avec ma tante.
J’étais de plus en plus confus... de quoi parlaient-elles ?
— Bien sûr qu’on sera là! On va se préparer et venir vers midi d’accord ? Oui, je vais me retenir... d’accord à plus tard !

Elle raccrocha et se précipita vers moi:
— Allez ! Jonas ! On va se préparer pour aller chez Marise ! On va s’amuser !— D’accord...
Je n’avais jamais vu ma sœur aussi enthousiaste qu’à ce moment... Elle me cachait définitivement quelque chose, mais je n’en fis pas un mélodrame et je suis allé prendre ma douche et m’habiller. Une heure plus tard, nous étions dans ma voiture en direction du chalet de ma tante. Étant maintenant habitués à cette journée, nous sommes entrés sans même cogner ou sonner. Marise nous avertit qu’elle était dans la cuisine et on la rejoignit, et là, je n’en crus pas mes yeux. Ma tante portait un tablier de cuisine et était penchée devant le four, le hic : elle ne portait absolument rien d’autre ! J’ai une vision de rêve qui s’offrit à moi, un cul bien ferme, juste assez écarté pour nous laisser voir sa chatte et une partie de son petit anus. J’étais paralysé et un peu choqué. A l’opposé, ma sœur semblait tout à fait à l’aise et la salua:
— Coucou tante Marise ! Tu te portes bien à ce que je peux voir !
Ma tante se retourna et nous sourit :
— Mes chéries ! Et vous aussi, vous vous portez bien de ce que j’ai pu comprendre, nous lança-t-elle avec un soupçon de sensualité dans sa voix.
Elle s’approcha alors de ma sœur et l’embrassa à pleine bouche. Ma sœur, qui avait l’air dans son élément, lui rendit son baiser et lui offrit sa langue. Une perturbation se fit sentir dans mon pantalon. Une lumière s’alluma dans ma tête. Notre relation incestueuse ne se limitait pas qu’à ma sœur et moi...
Elles se retournèrent toutes les deux vers moi avec un regard assoiffé de plaisir. Je me sentais comme une proie devant deux tigresses assoiffées de... sperme. Mon cerveau devait être en surchauffe, parce que je les regardais sans dire un mot. Ma tante décidait alors de s’approcher, très lentement, avec une démarche qui mettait en valeur son popotin. Elle prit ma tête entre ses mains et m’embrassa fougueusement. Comme si le baiser avait envoyé une décharge à mon cerveau, je lui rendis son baiser. Sa langue experte tournait autour de la mienne et nous savourions le mélange de nos salives. Lorsqu’on s’arrêta, je jetais un regard à ma sœur, ces yeux étaient braqués sur nous et son manteau détaché, une main s’était insérée dans son pantalon et elle se doigtait la chatte sans pause.
— Tu ne perds pas de temps toi, s’amusa ma tante.— Je me retiens depuis que tu nous as appelés ! — Il faut que tu saches que je suis aussi dans le besoin que toi... alors, il est à moi en premier !
Sa main s’était dirigée vers son entrejambe, et après quelque seconde où ma tante se doigta, elle approcha sa main de ma bouche:
— Alors, goûte-moi Jonas.
Je reniflai un peu ces doigts et les mis instantanément dans ma bouche. Son goût à elle était un peu plus prononcé, plus... féminin.
— Tu aimes ? me demanda-t-elle.— J’adore !— Alors, viens te rassasier mon beau neveu.
Elle me mit à genoux et colla mon visage contre sa chatte. Elle mouillait tellement ! Je me mets aussitôt au travail, léchant, suçant et savourant chaque partie de son intimité. Elle gémissait et me suppliait de plus:
— Oh putain que c’est bon ça !... Oh oui comme ça... Suce mon clito Jonas...— Vos désirs sont des ordres ! pensai-je. Aussitôt le clito atteint, sa vague de gémissement se transforma en petit cri de plaisir et en plainte sourde. Son bassin suivait le rythme de ma langue et elle dégoulinait comme une chute d’eau ! Elle se tendit d’un coup et je sentis les muscles de sa chatte se contracter contre mon visage. La seconde d’après, un jet de cyprine m’aspergea, et j’en bus une très grande quantité. Je me relevais pendant que ma tante reprenait ces esprits.— Wow ! Putain, Mégan, les cunnilingus de ton frère sont divins ! J’ai joui comme une folle !
Mais ma sœur n’écoutait pas. Sans que je m’en rende compte, elle s’était débarrassée de son manteau et était en train de se pénétrer avec une aubergine qui faisait deux fois la taille de ma queue ! Son visage était à la fois rempli de plaisir et d’impatience. Elle s’exprima alors:
— OK maintenant j’en peux plus !
Elle se dirigea vers moi d’un pas décidé et s’agenouilla ; la seconde d’après, ma bite était à l’air et ma sœur la suça comme si c’était la fin du monde. Marise siffla:
— Ouah ! C’est un méchant engin que tu as là ! Et toi qu’elle salope tu fais Mégan !
Elle fit un clin d’œil à ma tante et recommença son travail en me regardant droit dans les yeux. Ma tante se débarrassa de son tablier. Ces seins étaient incroyables, mais je les entrevis que pendant un moment, car elle s’agenouilla à son tour pour venir soutenir ma sœur. C’était indescriptible, ma sœur me suçant et me faisant une gorge profonde et ma tante me suçant et me léchant les couilles. Le moment d’après, je jouissais dans la gorge de ma sœur, ce qu’elle ne put retenir, ma tante le ravala directement. Elles se retirèrent.
— Et si on passait à ma chambre ? offrit ma tante. On va être plus confortable pour la suite des choses !— Je n’attends que ça, répondit ma sœur en se léchant le bout de sa bouche encore pleine de sperme.
Une fois en haut ; chacun de nous était nu, étendu sur le lit, ma tante et ma sœur se couchèrent toutes les deux sur le dos, jambe en l’air et écartée, me laissant voir leurs chattes dégoulinantes et leur anus serré.
— Tu as le choix beau étalon, me dit ma tante en me faisant un clin d’œil.
J’avais compris son message codé, avec elle, je pouvais faire ce que je voulais. Cela tombait bien ! Je voulais justement essayer un petit quelque chose...
Je m’approchai de ma tante, plaçai ma bite contre son anus, et poussai lentement. M’attendant à un refus de sa part, je fus cependant surpris de sa réaction:
— Oh oui ! Encule-moi ! Ca fait si longtemps qu’un homme ne m’a pas enculée comme une salope !
Mon sang ne fit qu’un tour. J’enfonçai ma bite avec difficulté dans son orifice serré. Elle lâcha un cri mêlé de plaisir et de douleur. J’entamai alors les va-et-vient, doucement pour ne pas la perturber, mais elle me surprit une autre fois:
— Oh putain oui !! Défonce-moi Jonas ! Défonce ta tante comme la chienne que je suis !
Ah oui ? Bien alors ! Je sentis naître en moi une nouvelle énergie, une rage sexuelle. Mes mouvements se furent plus brusques et plus rudes qu’au départ. Mon pubis claquait contre ses fesses, et je sentis ma queue frapper le fond de son rectum. Elle criait comme une folle et j’adorai cela !
— Marise... ça vient...— Jouis à l’intérieur Jonas ! Remplis mon cul de salope !
Je ne pouvais pas me retenir plus longtemps. Mon sperme remplit le cul de ma tante et un peu de semence coula lorsque je me retirai. Ma tante était en extase, et elle se convulsait à cause du plaisir que cela lui fournissait. Ma sœur vint lui lécher son entrejambe, commençant par son cul pour ramasser le plus de sperme possible et continuant par sa chatte. Pendant ce temps, je frottai ma queue contre la chatte que ma sœur m’offrait, et la pénétrai, un soupir de satisfaction s’échappa de sa bouche. J’y allais de plus en plus vite jusqu’à la défoncer comme ma tante un peu plus tôt.
— Oh... nom d’un... Putain Jonas plus fort ! Brise-moi ! Plus vite ! Plus vite ! s’exclama-t-elle.
Dernier sprint, je me donnais à fond, faisant claquer son cul contre le mien, allant le plus vite, le plus fort et le plus profond possible ! Et soudain, l’extase ultime, ma sœur se cambra et jouit violemment, prise de convulsions intenses, tandis que je déversais mon jus dans son intimité. En me retirant, je pris du recul et j’apprécie la scène qui se présentait à mes yeux. Ma sœur et tante étaient toutes les deux prises de convulsions ; la chatte de ma sœur dégoulinait de mon sperme et celle de ma tante éjectait des jets de cyprine, comme la salope de femme-fontaine qu’elles étaient. Leurs yeux tournaient vers le haut alors qu’elles enchaînaient les orgasmes. Une pensée passa à travers ma tête aussi vite qu’un éclair, mais me fit tout de même rebander instantanément. A les voir dans cette position de faiblesse, c’est comme si on les avait violées. C’était le paradis sur terre !
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