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Une relation pas comme les autres...

Chapitre 1

un week-end peu commun

Inceste
Alexis, jeune homme de 21 ans, vivait seul dans un appartement dans la ville de Paris où il suivait des études de droit, passionné de liberté, il souhaitait devenir avocat et défendre les plus faibles. Il avait quitté sa famille à son entrée en licence et ne retournait les voir que pendant les vacances et de temps en temps le week-end ; ils habitaient à l’extérieur de Paris, dans une commune avoisinante. Il n’était pas très loin d’eux, une heure en RER, mais Alexis appréciait son indépendance. Son père, Christophe, était policier et sa mère Aurélie était infirmière, ils approchaient tout deux de la cinquantaine. Quant à sa sœur Arwen, elle venait d’avoir 18 ans et suivait un BTS en tourisme, habitant toujours chez leurs parents.
Alexis était un jeune garçon plutôt sérieux et concentré sur ses études. Sa mentalité était claire : travailler, faire du sport, s’améliorer et c’est tout. Il avait donc volontairement exclu toute forme de vie sociale, ne sortait jamais le soir et n’avait pas de copine. Cependant, il restait un jeune homme de 21 ans avec des pulsions, des fantasmes et des envies. Son fantasme le plus grand tournait autour du bdsm, des relations d’échange de pouvoir, de domination et de soumission. Bien qu’il ignorait s’il préférait être soumis ou dominant, cela dépendait des jours et des humeurs.
Au courant de l’année, il décida de s’inscrire sur un site de rencontre dédié au bdsm afin de voir ce qu’il pouvait se passer, s’il pouvait rencontrer des gens. Après quelques jours, il fut contacté par un homme d’une quarantaine d’années avec qui il sympathisa. Très rapidement, ils échangèrent sur leurs fantasmes réciproques, leurs envies. Alexis ne savait pas trop quoi répondre à toutes les questions de l’homme, il n’avait après tout aucune expérience dans le domaine. Bien vite, l’homme prit l’ascendant dans la discussion et Alexis fut bien heureux de se laisser guider. L’homme s’appelait David, il avait précisément 43 ans et était actuellement célibataire. Très expérimenté dans le domaine du bdsm, il avait eu l’occasion de dominer plusieurs femmes et il souhaitait à présent tenter l’expérience avec un garçon. Ses fantasmes, outre la domination ’’classique’’, tournaient beaucoup autour de la fessée et de la régression ; choses qu’Alexis ne connaissait pas.
Après quelques recherches et de nombreuses vidéos et photos excitantes, il se dit finalement que c’était quelque chose qui pourrait l’intéresser et accepta de se lancer dans l’aventure avec David. Malheureusement, Alexis habitant à Paris et David à Lyon, ce n’était pas la porte à côté et cela nécessitait près de 2h30 de train. En contrepartie, ils s’envoyaient de nombreux messages, parlant de ce qu’ils pourraient faire et de leurs fantasmes respectifs. Alexis se trouvait donc entraîné par ses passions et n’avait qu’une hâte : rencontrer cet homme. Mais ce n’était pas pour tout de suite.
Un week-end, il rentra chez lui, bien que sachant le climat familial très tendu en ce moment. En effet, sa sœur faisait une sorte de crise d’adolescence retardée, estimant pouvoir faire sa vie comme elle le souhaitait puisqu’elle était majeure. Ses parents avaient évidemment une autre vision de la chose, la jeune fille vivant sous leur toit et étant encore dépendante de leurs finances. Alexis n’aimait donc pas trop rentrer chez ses parents, où il régnait un climat de tension et de disputes qui éclataient plusieurs fois par jour. Bien sûr, lui ne posait pas de problème, il s’entendait très bien avec ses parents et était particulièrement proche de sa sœur avec qui il s’entendait à merveille. C’est juste qu’il n’aimait pas les disputes, tout cela le rendait nerveux. Pour autant, il était bien obligé de rentrer de temps en temps pour ’’faire le plein’’ et récupérer ce dont il avait besoin pour repartir. Et puis, il fallait bien qu’il rende visite à sa famille tout de même.
Or ce week-end donc, il fut surpris de la tournure qu’avait prise la situation entre ses parents et sa sœur. En effet, constatant que cette dernière se comportait comme une enfant, ses parents avaient décidé de la traiter comme telle : privation de soirée, de sorties, de téléphone, de jeux... jusqu’à parfois aller au coin ou être punie dans sa chambre ! La règle était claire : si elle se comportait comme une enfant, elle serait considérée comme telle et si elle se comportait comme une adulte, elle serait également traitée comme telle ; tout dépendait de son comportement.
Il convient de s’arrêter un instant sur la famille d’Alexis. Lui était de taille moyenne (1m74) pour un poids plume de 63 kilos composé presque essentiellement de muscles, sans doute dû aux cent séances de sport hebdomadaire qu’il suivait. Brun, yeux bruns, il était assez séduisant et plaisait à la gent féminine bien qu’il n’en ait que peu de choses à faire. Sa sœur lui ressemblait vaguement. Un peu plus petite (1m70) elle était douée d’un solide caractère hérité de leur père. Elle était brune également, aux yeux bruns. Elle avait, en commun avec son frère, un corps en V, taillé par des années de sport et une solide pratique du cyclisme et de la boxe. Assez fine, elle n’était pourtant pas dénuée de formes avantageuses qui ne laissaient personne indifférent. Leur mère était le portrait craché de la jeune fille (enfin c’est plutôt l’inverse en réalité) et faisait dix ans de moins que son âge réel.
Quant au père de famille, il avait un visage sévère, des cheveux grisonnants et il faisait bien son âge, portant sur la cinquantaine. Plus grand (1m82), il avait donné le goût du sport à ses enfants, ardent défenseur de la pratique physique, il était passionné d’aviron dont il avait gagné de nombreuses compétitions. D’un naturel plutôt calme, il était très autoritaire et capable de colères qui calmaient immédiatement toute velléité de rébellion.
C’est de cette colère que fut témoin Alexis un peu malgré lui. En effet, Arwen, bien que privée de sortie, avait osé ’’faire le mur’’ et sortir en cachette pendant la nuit. Elle avait bien veillé à ne pas se faire remarquer, mais avait oublié les caméras de surveillances du portail que leur père activait chaque nuit et à chaque fois qu’ils partaient de la maison. On voyait donc la jeune fille monter sur un scooter et revenir vers 4h du matin en toute discrétion. Elle fut donc évidemment confrontée à la vidéo en question dès le lendemain matin à son réveil et hurla sur ses parents qu’elle était enfermée, que c’était de leur faute et, le summum, qu’ils étaient ’’des cons’’. Christophe vit rouge et entra dans une colère d’une rare intensité.
— Mais ce n’est pas possible bordel ! Quel âge as-tu pour faire et dire ce genre de choses ? Ah tu te comportes comme une gamine, attends, tu vas voir !

Sur ces mots, il la saisit par le bras et l’entraîna sur le canapé, sous les yeux ébahis d’Alexis, assis dans un fauteuil juste en face. Christophe l’allongea sur ses genoux et d’un coup sec, lui retira son pantalon et sa culotte. Il administra alors une solide correction à la demoiselle qui gesticulait en suppliant son père d’arrêter. Inflexible et insensible aux pleurs de sa fille, il continua et lui donna une bonne dizaine de fessées. Dès la punition terminée, Arwen se leva et courut dans sa chambre, pleurant de honte et de douleur, sans même ramasser son pantalon. Estomaqué par ce qu’il venait de voir, et gêné de se sentir un peu excité par la scène qu’il venait de voir, Alexis se rendit lui aussi dans sa chambre pour s’éloigner de son père en colère. Quelques secondes plus tard, sa sœur, encore à moitié nue, entra dans sa chambre.
— Je peux te parler ? demanda-t-elle, un peu gênée.— Oui bien sûr, entre.


La jeune fille s’assit sur le bord du lit sur lequel était son frère et lui expliqua la situation.
— Je suis tellement désolée que tu aies vu ça, la situation à la maison est tellement compliquée, les parents ne me comprennent plus... J’ai tellement honte que tu aies assisté à cette scène.— Ne t’en fais pas, ce n’est pas bien grave, ce n’est pas comme si c’était la première fois que je te voyais nue.

En effet, depuis tout petits, le frère et la sœur étaient très proches. Arwen fût harcelée à l’école et son frère n’a cessé de la soutenir, jusqu’à aller se battre avec ses harceleurs, ce qui les a grandement rapprochés. Alors depuis ce moment, ils se disent tout et n’ont aucun secret. Au point de perdre toute gêne et toute pudeur l’un envers l’autre. Sans voyeurisme ou désir particulier, les deux jeunes gens ont parfois dormis nus ensemble, bien obligés quand on veut survivre dans un pays où il fait 40°. Mais cela sans qu’il n’y ait jamais eu la moindre ambiguïté entre le frère et la sœur. Ainsi, ils ont toujours parlé de tout, sont toujours restés ensemble dans toutes les situations et ont eu une chambre commune jusqu’à l’entrée au lycée d’Alexis.
— Ce n’est pas le fait que tu m’aies vue nue qui me gêne, tu le sais bien. C’est surtout que c’est très humiliant d’être fessée comme ça devant toi...— Ne t’inquiète pas pour ça, je m’en moque. Je ne vais pas te juger. J’aurais même plutôt tendance à te plaindre. Comment vas-tu d’ailleurs ? Tu n’as pas trop mal ?— Si, j’ai un peu mal, mais bon. Ce n’est pas la première fois et puis je l’ai mérité. — Ce n’est pas la première fois que tu es fessée ? — Non, je fais beaucoup de bêtises tu sais, plaisanta-t-elle, honnêtement, je le mérite, je pense que je vais me calmer maintenant.

Sur ce, Arwen sortit de la chambre de son frère, le laissant perplexe quant à la situation. Il s’empressa alors d’envoyer un message pour tout raconter à David, qui, très excité par la situation, lui proposa de retourner voir sa sœur et de lui expliquer ses fantasmes et leur rencontre. Il s’imagina immédiatement dominer le frère et la sœur et leur administrer une belle fessée l’un devant l’autre... Bien que tenté par cette idée, Alexis hésita quelques instants avant de se dire que, peut-être, cela allait rassurer sa sœur qui était morte de honte que son frère ait assisté à sa punition. Il décida donc de tout lui raconter dans l’après-midi, leurs parents devant s’absenter pour le travail. Le moment venu, le jeune homme alla jusqu’à la chambre de sa sœur. Un peu stressé, il prit une grande inspiration et ouvrit la porte.
— Arwen, il faudrait que je...

Il s’interrompit au milieu de sa phrase, constatant qu’il venait de déranger sa sœur en plein plaisir solitaire. Celle-ci, allongée nue sur son lit, se faisait du bien en s’enfonçant un large gode dans son vagin tout humide. Le voyant, elle ne s’affola pas le moins du monde et prit le temps de sortir le gode, de le sucer un peu avant de le poser à côté de son lit.
— Oui, qu’y a-t-il mon cher frère ? demanda-t-elle avec un petit sourire malicieux.

Complètement perdu, Alexis ne savait plus quoi dire. Il avait une grosse érection que son pantalon de jogging ne cachait absolument pas. Il se demandait ce qu’il venait de se passer. Était-ce réellement sa sœur qui venait de faire ça ? Et pourquoi était-il excité de la situation ? C’était sa sœur bon sang, il ne pouvait pas bander sur sa sœur quand même. Reprenant ses esprits tant bien que mal, il bafouilla.
— Nan, mais heu je voulais te parler d’un truc, mais ça peut attendre... fin tu es occupée... et j’ai des trucs à faire et heuu...— Mais non vas-y, je t’écoute, pas de soucis.

Alexis réfléchit, après tout il était venu pour ça, il devait lui parler. Prenant son courage à deux mains, il lui expliqua toute la situation, ses fantasmes, sa rencontre avec David, le fait qu’il était bisexuel, son attirance pour le bdsm,... Arwen écouta sérieusement ce que son frère lui disait, consciente de l’effort que cela lui demandait.
— Écoute frangin, je n’ai aucun problème avec ce que tu me dis, je sais qu’on se dit tout et qu’on a souvent parlé de sexe, mais pourquoi tu me dis tout ça ?

Gêné de sa remarque, Alexis répondit timidement :
— Ben... je sais pas. Je pense que je voulais essayer de te rassurer un peu sur ton humiliation pour que tu saches que je m’en moque vraiment et que cela n’a absolument pas modifié tout l’amour que j’ai pour toi.

Émue par cette déclaration, Arwen se jeta au cou de son frère.
— Oh Alexis, tu es un frère formidable, je t’aime tellement fort. Tu es vraiment incroyable de me déballer tout ça uniquement pour que je me sente moins humiliée. Je t’adore.— C’est normal ma petite sœur adorée, répondit le jeune homme, ravi que son discours ait porté ses fruits.

Se reculant et prenant un air un peu plus grave, Arwen regarda son frère.
— Bon, maintenant, c’est à mon tour de tout déballer.

Bonjour lecteur, je suis désolé pour cet épisode sans trop de passages croustillants, mais ne t’en fais pas, la suite ne te décevra pas ! Il s’agissait d’un premier épisode pour planter le décor, les suivants seront plus... sympas ;)
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