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Une rencontre

Chapitre 5

Chapitre 5 : Sébastien - Un renouveau

Avec plusieurs femmes
Je me réveille, il est dix heures. Olivia dort toujours à côté de moi. Je me lève doucement et prépare le petit-déjeuner. Je ne change pas mes habitudes même après ce qui s’est passé cette nuit. Je prépare toujours quelque chose quand elle dort ici. Aujourd’hui, ce sera pancake. Je sors tout ce dont j’ai besoin et me lance dans leur confection. Le temps que la pâte repose, je passe à la douche et m’habille. En sortant de la salle d’eau, je vois une tête noir corbeau et pas totalement réveillée, me regarder.
— Bonjour, commencé-je. Je te prépare des pancakes.— ‘jour, me répond-elle.
Je n’insiste pas. Je sais qu’elle n’est pas du matin, et tant qu’elle n’aura pas bu son premier café et fumé, je n’aurai rien de plus. Je commence la cuisson des pancakes et mets en marche la machine à dosette. Rien de plus pratique pour boire rapidement un café le matin. C’est mon cadeau d’anniversaire, en avance, que mon frère m’a fait cette année. Je lui dépose son mug sur le comptoir devant moi et attends qu’elle me rejoigne.Je la vois se lever dans sa nudité, pas gênée le moins du monde. La voir ainsi à la lumière du jour me fait aussitôt de l’effet. Elle prend le mug, me sourit et va toujours dans le plus simple appareil à la fenêtre. Heureusement que cette fenêtre donne sur la cour intérieure et que je n’ai pas de vis-à-vis. Je continue ma cuisson des pancakes et elle me rejoint.
— Tu as bien dormi ? me demande-t-elle.— Oui et toi ?— Plutôt bien en effet. Même si me prendre un coup de bite m’aurait bien plu, me rétorque-t-elle.
Je manque de faire tomber le pancake que je viens de retirer de la poêle. Je connais le franc-parler d’Olivia, mais à froid le matin, ça peut surprendre.
— Qu’est-ce qu’on prévoit aujourd’hui ? enchaîné-je.— Déjà, tu vas aller à la pharmacie, chercher des capotes parce que j’ai envie que tu me prennes. Ensuite je rentrerai chez moi et je viendrai te chercher vers dix-huit heures.— Euh... Olivia ? Est-ce que ça change quelque chose entre nous ? lui demandé-je, penaud.— Mais non, andouille, ça change rien. On est maintenant des amis qui en plus d’être là, l’un pour l’autre, se font du bien. Allez ! Maintenant va me chercher ces capotes, pendant que je prends mon petit-déj et que j’aille à la douche.
Quand Olivia décide quelque chose, comme je vous disais, il ne sert à rien de négocier. Je mets donc ma veste et mes chaussures, et me voilà parti pour la pharmacie pas loin de chez moi.

Cette nuit, elle a semblé plus que réceptive à ce que je lui ai fait. Et au moins, ça me permettra de savoir si oui ou non, je suis mauvais.Quand je rentre de mes petites courses, je la trouve sur le lit dans une position très sexy, sur le côté, les jambes en équerre. Elle n’a pas pris la peine de mettre quoi que ce soit sur elle. Je m’approche, caresse du bout des doigts la peau de sa cuisse jusque ses fesses. Elle déboutonne mon pantalon, le baisse et sort mon sexe déjà bien bandé de mon boxer. Ma main descend entre sa fourche et commence à caresser son sexe déjà bien mouillé. Elle m’embouche comme cette nuit, puis très vite, je sors une capote. Elle me la met. Je viens au-dessus d’elle et nous baisons dans la position du missionnaire. Puis pendant plus d’une heure, nous enchaînons les positions. En levrette, en cuillère, en amazone. Olivia est sensuelle et terriblement réceptive à mes caresses et à ma pénétration. Quand finalement je sens venir la jouissance, nous crions notre plaisir ensemble. Je me vide dans la capote quand mes draps prennent un flot de cyprine.
C’est épuisé que je me couche à côté d’elle. Je retire la capote, lui fais un joli nœud et la laisse par terre. Olivia vient coucher sa tête sur mon torse et y dépose un baiser.
— Seb, chéri, la prochaine nana qui te dit que tu ne sais pas baiser ou qui ne prend pas son pied, tu me l’envoies.
Je souris à sa remarque. Même si je ne suis pas l’amant du siècle, cela flatte mon ego. Et puis surtout, je reprends vite des forces. Elle le voit, tourne sa tête vers moi, me sourit, puis descend me faire une fellation dont elle a le secret.Quand elle part à quatorze heures, nous avons baisé trois fois. Par trois fois, j’ai joui comme jamais. J’ai l’esprit apaisé et je sens le sommeil me gagner. A peine ai-je fermé les yeux, que mon téléphone sonne.
— M. Valmont ? me demande une voix féminine.— Oui...— Bonjour, je suis Kathryn Merteuil, des éditions blanches, se présente-t-elle.— Bonjour...— Ma collègue Emmanuelle Trevor m’a confié votre dossier. Auriez-vous quelques minutes à m’accorder ?— Oui bien sûr.
Kathryn Merteuil m’explique qu’elle a lu ma BD, mais que son constat est le même qu’Emmanuelle. Mes dessins sont beaux, mais le scénario pêche. Elle me propose comme sa collègue d’intégrer l’aide à la construction de scénario. Je pèse le pour et le contre. Si elles sont deux, professionnelles qui plus est, à me dire que mon scénario est plat, je ferais bien d’avoir de l’aide. J’accepte sa proposition. Elle m’explique que toutes les formations se passent à distance et selon mes disponibilités. Le responsable de la formation me contactera prochainement pour fixer la première date.
— Avant que nous nous quittions. Hier, vous avez rencontré quelques figures montantes dans le monde de la littérature. L’un d’eux à qui vous avez présenté vos dessins nous a contactés ce matin. Il souhaiterait collaborer avec vous, pour une idée de roman graphique. Vous seriez rémunéré comme n’importe quel auteur, est-ce que vous souhaitez que je lui communique votre numéro ?— Vous me prenez un peu de court, je dois dire, mais oui, ce sera avec plaisir.— Très bien. Il me reste à vous souhaiter une bonne journée. Je vous recontacte d’ici la semaine prochaine ou avant si l’auteur veut signer avec vous. Bonne journée, Monsieur Valmont.— A vous aussi, Madame Merteuil.
Finalement, ce voyage à Paris n’aura pas été une perte de temps.
C’est ragaillardi par cet échange et cette proposition de travail que je m’installe, après une bonne douche et m’être habillé, à ma table à dessin. Je travaille pendant deux heures à reprendre mon histoire depuis le début, mais rien à faire. Je fais l’amer constat, que mon histoire est mauvaise et ce n’est pas la qualité de mes dessins qui me sauveront.
Avant qu’Olivia n’arrive, je me rase vite fait. Tellement vite fait que je me coupe. C’est dingue combien ça saigne, surtout au niveau de la joue. Je passe un coup de pierre d’alun, et manque de hurler. Je passe le seul costume que j’ai. Olivia m’ayant dit que nous allions dans une soirée sélecte.En parlant de cette dernière, la voilà qui me prévient sur mon téléphone qu’elle m’attend devant la porte de l’immeuble. Je la rejoins et monte aussitôt dans sa voiture. Elle s’est changée pour l’occasion. Elle porte une robe noire fendue sur le côté, avec un décolleté très profond, ce que je suppose être des bas et une paire d’escarpins. Je la complimente sur sa tenue avant de lui déposer un baiser sur la joue. Elle sort de sa place de parking et commence à s’aventurer dans les rues de Lille. Nous rejoignons bon gré mal gré, la route des mini-tunnels direction Croix. Elle m’explique durant le voyage que nous allons chez une de ses amies qui organise ce soir une soirée très privée.
Nous arrivons devant une belle maison de maître dans une des rues rejoignant le parc Barbieux. C’est grand, imposant et respire la bourgeoisie locale. Je n’ai rien contre, mes parents sont banquiers et vivent dans ce type de maison du côté de Baisieux.Olivia se gare facilement dans la rue, un peu plus loin que la maison. Nous descendons de voiture et nous marchons quelques mètres. Etrange pour une soirée, pas de musique, pas de rire ou de rumeurs des conversations. Rien.Olivia passe le portillon menant à la porte d’entrée et tape à la porte. Une belle métisse aux yeux bleus vient nous ouvrir. J’ai le souffle coupé devant sa beauté.
— Bonsoir Dana, je te présente Sébastien, dit Olivia.— Bonsoir Olivia, répond notre hôtesse.
Nous entrons dans une belle maison, richement décorée, mais sans être ostentatoire.
— Vous êtes les derniers, nous reproche avec le sourire, Dana.— S’il te plaît, ne commence pas, souffle Olivia. Ton frère est là ?— Pas ce soir. Il est à Paris pour le boulot. Suivez-moi, s’il vous plaît.
Nous suivons Dana vers ce qui semble être une porte donnant sur un escalier. Nous descendons à la cave qui a été entièrement aménagée. C’est assez vaste. Certainement de la taille du rez-de-chaussée et le plafond n’est pas si bas, finalement. Avec mon mètre quatre-vingt-cinq, j’arrive à tenir debout sans que mon crâne ne touche le plafond. Le plafond parlons-en, il est entièrement couvert de miroir. Cela donne une impression de grandeur, impressionnante. Au sol, il y a des tapis épais, et de gros poufs. De chaque côté de la pièce, de grands canapés pouvant accueillir au moins six personnes. Dans le fond un bar qui occupe presque toute la largeur de la pièce et un rideau donnant sur ce que je suppose être une cuisine ou un vestiaire.
En nous comptant Olivia et moi, nous sommes sept. Trois hommes, quatre femmes. Nous saluons et nous nous présentons au reste des invités. Tous ont largement dépassé la quarantaine, faisant de Dana, Olivia et moi les plus jeunes.Dana, en bonne maîtresse de cérémonie, nous invite à nous asseoir dans les canapés.
— Mesdames et messieurs, pour cette soirée très privée, je vous demande d’accueillir comme il se doit nos deux invitées.
Passant de derrière le rideau au fond du bar, deux femmes en guêpière, porte-jarretelles, escarpins et loup de dentelle sur le visage s’approchent. En passant devant nous, je peux admirer leurs courbes tout en sensualité, sublimées par la beauté de la dentelle. L’une est brune et l’autre blonde. Grandes toutes les deux, très athlétiques. Je suis subjugué par tant de beauté.
— Voici Cassandra et Valentine, nous les présente Dana. Elles vous serviront ce soir. Mais attention interdiction de toucher, à moins qu’elles ne vous le proposent ou le demandent. Le moindre écart à cette règle, je vous mets dehors. Sommes-nous d’accord ?
Tous autour de moi acquiescent. Olivia se tourne vers moi et me sourit. Elle doit venir souvent à ce type de soirée. Cassandra, la brune, repasse derrière le bar et commence à préparer des cocktails, pendant que Valentine, la blonde, passe parmi nous pour nous proposer des petits fours. Quand elle arrive devant moi, je m’arrête quelques secondes quand mon regard croise le sien. C’est la première fois que je vois des yeux vairons. L’œil droit de Valentine est bleu lorsque le gauche est marron. Ce regard m’hypnotise. C’est Olivia qui me ramène sur Terre, quand elle me pousse gentiment.
— Elle est belle, n’est-ce pas, me demande Olivia quand Valentine s’éloigne.— Oui très. Tu la connais ?— Oui, c’est la deuxième fois que Cassandra et elle viennent. Eh oui, je la connais assez bien, ajoute-t-elle avec un clin d’œil.
Dana vient se joindre à nous en s’asseyant à côté de moi.
— Un nouveau copain de jeu ? demande-t-elle en me désignant à Olivia.— Mon meilleur ami, mais aussi un nouveau copain de jeu, répond-elle en prenant le verre que lui propose Cassandra.— Je le trouve très... appétissant, dit-elle en regardant.— Vous savez toutes les deux que je suis présent, leur fais-je remarquer.— Oh ! Mais rassure-toi, toutes les femmes ici présentes ont remarqué que tu étais là. J’en connais même une qui espère bien que son mari s’occupe d’une autre pour se jeter sur toi, me dit Dana.
J’écarquille les yeux et commence à promener mon regard sur l’assemblée. En effet, je vois une femme, pas vraiment à mon goût, me dévorer du regard. Je détourne le regard aussitôt. Clairement, je ne suis pas attiré par elle. Elle est maquillée comme une voiture volée, refaite de partout et il est clair que cette robe comprime bien trop ses seins surdimensionnés.Je préfère du naturel et ne pas avoir de tromperie sur la marchandise.
— Ce sera sans moi, réponds-je à Dana.
Elle se met à éclater de rire et se tourne vers cette femme.
— Désolé, Brit, tu devras te contenter de ton mari, ce soir. Celui-là, je me le garde.
Je détaille Dana. Elle a mis une jolie robe blanche cintrée, contrastant avec son teint hâlé naturel. Ses grands yeux bleus électriques lui donnent un côté magnétique. Pendant que nous conversons, je vois Olivia se diriger vers le second couple. Elle s’installe entre eux, discute, rit avec l’homme et la femme. Je la vois très tactile avec les deux. Tantôt une main passe sur la bosse formée dans le pantalon de l’homme, tantôt une autre s’égare sous la robe de la femme. Les deux ne sont pas en reste en caressant mon amie par-dessus sa robe. Ce spectacle me fait rapidement de l’effet. Je me sens à l’étroit dans mon pantalon. Dana qui m’observe depuis tout à l’heure, remarque mon émoi et passe doucement sa main sur mon sexe. Celui-ci tressaute à son toucher. Elle se penche vers moi et commence à me murmurer des choses.
— Olivia m’a appelé, cet après-midi, pour me dire qu’elle venait avec toi.
Donc elle sait qui je suis depuis le départ. C’est une bonne actrice.
— J’étais intriguée de te connaître surtout quand elle m’a expliqué ce qui s’est passé entre vous et ce que tu as vécu à Paris.
Je me tourne vers elle, surpris par ces révélations.
— Ne t’inquiète pas, personne ne saura. Comme je l’ai dit, ce soir tu es à moi. Donc une fois que ce petit monde va accélérer les choses, toi et moi, nous irons dans ma chambre.
Je ne peux pas refuser. Le ton utilisé ne laisse pas de marges de manœuvre. Ce soir, dans cette maison, je suis la proie de la plus dangereuse des chasseuses.
Très vite, les choses s’accélèrent. Olivia a la robe de retirée, la femme du couple entre ses jambes et le pénis de l’homme dans la bouche. De l’autre côté, la dénommée Brit et son mari s’occupent de Cassandra, et Valentine les regarde tout en se caressant. Je lève les yeux au plafond et peux observer tout ce beau monde se donner du plaisir. Dana se lève et me tend la main que je saisis. Elle est douce et très délicate. Je me lève et la suis pour remonter au rez-de-chaussée puis à l’étage.
Arrivé dans sa chambre, elle me demande de me déshabiller et de m’installer sur le lit. Je m’exécute pendant qu’elle va dans la salle d’eau attenante. Elle revient dans une tenue faite d’un déshabillé laissant apparaître une belle lingerie couleur ivoire. Elle est tellement désirable que mon pénis gonfle aussitôt. Elle va dans sa commode, en sort deux lanières de cuir et un masque de nuit. Elle pose le masque sur mes yeux et je sens aussitôt ses mains prendre mes bras et attacher mes poignets au montant du lit. Viennent compléter tout cela, des bouchons dans mes oreilles.
Je suis maintenant aveugle, sourd et entravé. Etrangement, je suis bien plus excité. Je sens les lèvres de Dana se poser sur les miennes, sa langue caresser la mienne, descendre dans mon cou, puis lécher mes tétons. Une de ses mains s’occupe de mon sexe qui me semble plus gros que d’habitude, car il me fait mal. Le fait d’être aveugle décuple mon sens du toucher et du goût. Dana me fait goûter ses seins. Je sens du bout de la langue, la fraîcheur de sa peau, le goût de son parfum. Ma peau est plus sensible à chaque effleurement de sa part. Quand elle me prend en bouche, je manque de jouir tout de suite, tant la puissance de cette caresse me fait décoller. Dana, en bonne experte, prend son temps.
Lorsqu’elle me donne son sexe à lécher, il a un goût de champagne. Je suppose qu’elle devait en avoir une bouteille et qu’elle s’en est versée un peu sur elle.
Au bout d’un temps qui me semble durer depuis des heures, je sens Dana me mettre une capote et venir me chevaucher. Elle bouge son bassin à un bon rythme. Je gémis tant je prends du plaisir. Je n’entends pas ma partenaire. J’espère qu’elle prend du plaisir aussi.Je sens du mouvement et Dana se retire quelques secondes. Puis je sens qu’elle revient. Tiens étrange, ce n’est pas le même sexe que je pénètre. Ou alors mes sens sont tellement désorientés que je ne le reconnais pas.
Encore du mouvement et toujours cette étrange sensation. Cette fois, je commence à avoir la certitude que ce n’est pas la même femme qui se fait du bien avec mon corps. Pourtant c’est agréable, et je sens la jouissance venir. Je le fais savoir. La femme qui est sur moi se retire, me retire la capote, me masturbe et je déverse mon sperme en longue saccade. Je sens que cela s’écrase sur mon ventre et sur mon torse. J’ai pourtant déjà joui trois fois aujourd’hui, mais la quantité me semble impressionnante.Plusieurs langues me lèchent, m’embrassent. Plusieurs mains me touchent, me caressent. Je suis extrêmement réceptif.On me retire les bouchons d’oreille.
— As-tu apprécié ? me demande la voix de Dana.— Oui.
On me retire les entraves. Je redescends les bras doucement, car ils sont ankylosés. Puis le bandeau est retiré à son tour. Je mets quelque temps à m’habituer à la lumière tamisée de la chambre ; je vois Dana assise, nue sur le lit. Derrière elle, je vois Valentine, tout aussi nue. La vue de son corps est splendide. Elle me sourit en se mordillant sensuellement l’index. Et à ma droite se trouve Olivia qui caresse délicatement ma cuisse.
— Olivia n’avait pas menti, Sébastien. Tu es un très bon amant. Réceptif au désir de ta partenaire et sachant lui donner du plaisir. Côté sexe, tu te places dans la moyenne haute des hommes qui ont couché avec moi ; la prochaine fois que je fais une soirée, tu es sur la liste des VIP, m’explique Dana. N’est-ce pas, Valentine ?— Oui, Dana, répond-elle d’une voix douce et sensuelle.— Je vous laisse la chambre pour la nuit, Olivia et Sébastien. Reposez-vous, vous l’avez mérité tous les deux.
Dana et Valentine sortent, refermant la porte derrière elle. Je me tourne vers Olivia qui caresse toujours ma cuisse.
— Tu étais là depuis le début ? lui demandé-je.— Non je suis arrivé sur la fin. Valentine te chevauchait quand je suis arrivé. J’ai juste fini ce qu’elles avaient commencé et ensuite nous avons toutes les trois léché ton sperme. Alors ça t’a plu ?— Oui, beaucoup. Je ne m’attendais à être attaché et à prendre du plaisir.— Tu aimes la soumission, seb chéri. Maintenant, il faudra voir, si tu aimes dominer. Nous verrons cela ensemble. Pour maintenant, dormons, il se fait tard.
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