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Une rencontre entre confinés

Chapitre 1

Erotique
Cette histoire se passe pendant le confinement et après le confinement: je m’étais inscrit sur diverses applis de rencontre afin de faire de nouvelles connaissances et passer le temps. J’avais fait la connaissance d’une femme n’habitant pas très loin de chez moi, une beauté se nommant Dana. Nous discutions de temps en temps, puis avions décidé de nous rencontrer une fois ce confinement terminé. Vient alors le grand jour du déconfinement, nous fixons donc une date et un lieu pour nous rencontrer. Le rendez-vous est pris pour deux jours plus tard devant un restaurant italien pas moins de chez moi. Nous sommes le samedi midi, je marche tranquillement vers le restaurant avec les idées se bousculant dans ma tête, je stresse un peu de rencontrer cette femme magnifique, avec un corps dont même les déesses grecques seraient jalouses. J’arrive devant et la vois, elle est de dos, mais elle est tout de même sublime.
Elle est habillée d’un jean slim ainsi que d’un haut assez léger avec le dos nu. Je lui dis:
— Bonjour Princesse, ravi de te rencontrer.
Sur un ton enjôleur. Elle se retourne et me fait un grand sourire qui me fait fondre. On se fait la bise, rentrons dans le resto où j’avais réservé une table. Nous mangeons bien et beaucoup, nous discutons de tout et de rien, rigolons bien. Nous prenons un dessert, puis nous sommes tombés d’accord sur le fait de prendre le café chez moi. Nous payons et partons. Nous faisons un détour par les bords de Marne afin de profiter de ce beau soleil pour digérer. Nous marchons tranquillement sur le bord de l’eau. Nous parlons toujours de tout et rien, je te pose plein de questions sur ton boulot, ta vie, etc. Nous rigolons de tout et de rien quand on remarque que le soleil est caché derrière des nuages. D’un coup la température a bien chuté, Dana frissonne, je le remarque, enlève mon sweat et le lui mets sur les épaules. Elle me remercie puis nous continuons notre chemin avec un pas un peu plus vif afin de nous mettre au chaud le plus rapidement possible.
(La suite de cette histoire va être écrite en parlant de Dana à la deuxième personne.)Nous arrivons, j’ouvre le portail, puis dis:
— Honneur aux dames.
En m’inclinant et te laissant passer. Je referme le portail derrière moi, nous allons jusqu’à la maison, j’ouvre la porte, te laisse une fois de plus passer en faisant la révérence, puis referme à nouveau derrière moi. Une fois que j’ai refermé la porte, je me retourne et te demande si tu veux un café, tu me réponds :
— Oui avec grand plaisir, en me faisant un sourire qui me fait de nouveau fondre.
Je fais donc couler deux cafés que nous buvons autour de la table de la salle à manger, puis je me lève en disant que mauvais hôte que je suis, je ne t’ai pas fait visiter la maison. Tu te lèves et me suis afin que je te fasse la visite guidée. À la fin, nous descendons du deuxième étage quand tu te plains d’avoir le dos en compote et que tu as dû prendre une mauvaise position au boulot comme d’habitude. J’arrive sur le palier du premier étage, me retourne, te regarde dans les yeux et dis:
— Je ne suis pas un hyper-bon masseur, mais si tu veux, je peux t’en faire un pour essayer de te détendre et faire passer ce mal de dos.— Oui ce serait avec grand plaisir. Me réponds-tu.
J’ouvre donc la porte de ma chambre et te demande d’enlever ton haut ainsi que ton soutien-gorge puis de t’allonger sur le ventre et de m’appeler quand tu es prête. Je te laisse rentrer puis referme la porte derrière toi afin de te laisser te déshabiller et en profite pour aller dans la salle de bain chercher la crème hydratante ainsi qu’une serviette. Je t’entends m’appeler et te réponds que j’arrive de suite.
J’ouvre la porte, la referme derrière moi, pose la serviette sur le lit, et m’installe à califourchon sur tes fesses. Je dévisse le couvercle du pot de crème, le pose à notre gauche, en prends du bout des doigts et la pose tout le long de ta colonne vertébrale. Ton corps réagit à l’application de la crème en ayant la chair de poule. Tu as un léger frisson. Je m’en amuse, esquisse un petit rire, puis te rassure en te disant qu’en l’étalant ça ne sera plus froid. Je reprends le couvercle et referme le pot, puis le pose avec la serviette. Je commence à étaler la crème en commençant par les épaules et le cou, passe aux omoplates, descends au fur et à mesure jusqu’à atteindre le bas de ton dos et la naissance de tes fesses protégées par ton pantalon. Je remonte et commence à masser tes épaules et la naissance de ton cou, m’attarde un peu, puis recommence à descendre tout le long de ton dos, mais en massant plus longtemps qu’avant.

Je refais le chemin dans l’autre sens, arrivé à peu près au milieu de ton dos je te demande si tu aimes. Tu me réponds dans un soupir:
— Oui c’est trop bon, j’adore.— Tu veux que je continue ?— Oui, ne t’arrête pas.— Ah dans ce cas je m’arrête, car si cela te convient, je vais passer aux jambes, je vais sortir et te laisser enlever ton pantalon et ta culotte, tu peux remettre le haut si tu veux. La serviette que j’ai ramenée est pour te cacher, tu l’as laissée pliée comme elle est et te la pose sur les fesses. D’accord ?— OK pour les jambes.
Je m’essuie les mains sur la serviette afin de ne pas mettre le gras de la crème sur les poignets de portes, puis sors. Comme tout à l’heure, j’attends que tu me dises que c’est bon dans le couloir pour que je puisse rentrer. Je t’entends m’appeler et rentre donc. Je m’assois en tailleur à côté de ta jambe gauche, me mets de la crème dans les mains, les frotte, puis commence à te masser le mollet. Je masse délicatement pendant deux minutes, puis passe à ta cuisse pour le même temps. Je redescends sur le mollet, commence à te masser la plante des pieds. Tu te débats un peu sous mes massages, je te demande ce qui ne va pas, si j’appuie trop. Tu me dis que non, mais que tu es chatouilleuse des pieds. Je m’excuse et arrête de te masser à cet endroit. Je me lève et viens m’asseoir à ta droite. Je me remets de la crème sur les mains et prends ton mollet. Je masse exactement comme l’autre jambe, mais, sans aller sur le pied cette fois. Mes mains remontent le long de ta cuisse en te massant.
Je m’arrête, me mets au-dessus de toi, au niveau du bas de tes cuisses et te masse les deux cuisses en même temps, juste au niveau de la naissance de la courbure de tes fesses. Mes mains continuent de masser le haut de tes cuisses pas mal de temps. Tu as la tête posée sur un oreiller et tournée sur le côté, je vois donc que mes massages te plaisent grâce à ton sourire. Mes mains deviennent aventureuses, et te massent les fesses toujours sous la serviette. Tu ne dis mot et me laisses faire. Je continue donc ce pour quoi je suis "embauché" en te massant le fessier. Je n’ai pas fait exprès, ni attention, mais en te massant sous la serviette, cette dernière est un peu remontée et dévoile deux magnifiques lèvres parfaitement rasées. Quand je m’en aperçois, je ne te le mentionne pas pour éviter que tu bouges et me fasses arrêter les messages. Je fais comme si de rien n’était et continue. J’ai du mal à m’empêcher de regarder. Inconsciemment, j’ai laissé mes mains légèrement descendre.
Elles te massent toujours les fesses, mais en passant plus souvent entre, en te les écartant. Quand mes mains passent, entre elles ont tendance à te comprimer les lèvres par le côté. Tu as l’air d’apprécier, car j’entends ta respiration devenir plus forte. Ceci m’excite, je suis un peu à l’étroit dans mon pantalon et mon boxer. Je prends mon courage à deux mains encore une fois, retire la serviette de sur toi. Mes mains remontent vers tes épaules tout en te massant tout le long du chemin. Arrivé aux épaules, je me penche sur toi, tu sens ma respiration sur ta nuque, je commence à t’embrasser là, puis glisse doucement dans le creux de ton cou. Je te dévore le coup de bisous, et pendant ce temps, j’ai une de mes mains qui a glissé tout le long de ton dos et te caresse les lèvres vaginales. Tu apprécies on dirait, car ce n’est plus une respiration forte que tu as, ce sont des soupirs que tu lâches à chaque expiration.
Pendant je ne sais combien de temps, nous sommes restés comme ça, puis tu as commencé à bouger sous les attaques de ma main, puis à remuer plus violemment. Je me suis poussé, me suis allongé à côté de toi. Tu m’as regardé et m’as dit:
— À mon tour de te masser.
Tout en posant ta main sur mon entrejambe en commençant à faire un léger mouvement de va-et-vient. Tu t’es tournée entièrement vers moi et as profité d’avoir ta deuxième main pour desserrer ma ceinture, déboutonner mon pantalon, descendre la braguette, et sortir mon pénis du boxer. Tu continues tes va-et-vient, mais directement sur ma tige maintenant. Tu m’embrasses à pleine bouche en même temps. Nos langues s’entremêlent, je goûte de nouveau au nectar sucré qu’est ta salive. Nos bouches se décollent et j’en profite pour me redresser, enlever mon t-shirt, enlever mon pantalon, mes chaussettes, mon boxer.
Étant déjà nue, tu me laisses faire, puis une fois que j’ai terminé, tu me réembrasses tout de suite, comme si cela faisait 20 ans qu’on ne s’était pas vu. Étant un peu brutale dans ton mouvement, cela m’a mis sur le dos, tu en profites et me montes dessus, t’allonges sur moi, nos lèvres toujours fusionnées, nos langues dansant toujours ensemble.
Tu te mets à faire des mouvements du bassin pour me "branler" avec ton pubis. J’adore ce massage. Je n’en peux plus, glisse ma main entre nous, et prends mon pénis en main, et le présente à l’entrée de ton antre. Tu arrêtes de m’embrasser, te redresses, me regardes avec un air sévère et me dis:
— Tu as cru que ça allait se passer comme ça ? T’as cru toi...
Tu soulèves ton bassin, descends le long de mes jambes jusqu’à avoir la tête au niveau de mon entrejambe. Tu déposes un baiser sur la pointe de mon gland, puis sur le côté de celui-ci. Tu lâches un coup de langue qui en fait tout le tour, tu le fais plusieurs fois de suite, puis commence à me faire une fellation digne de ce nom. Tu alternes entre des coups de langue, me prendre en bouche, me branler délicatement, me caresser les bourses, me les sucer. Tu fais cela pendant 1 bonne grosse minute avant d’arrêter, te redresser et revenir m’embrasser à pleine bouche. Je te rends cet énorme baiser avant de te prendre par les bras, te balancer d’un coup sur le côté afin d’être à mon tour au-dessus. Je t’embrasse de nouveau, puis me détache, commence à t’embrasser dans le cou, la base de ton cou, la naissance de tes seins, entre tes seins, tes tétons. Je reste longtemps sur les tétons, à te les lécher, les sucer, les mordre délicatement.
Pendant ce temps, ma main est redescendue s’activer au niveau de ton entrejambe. Je reprends mon chemin de bisous, descends sur ton ventre, te fais plein de bisous, tourne autour de ton nombril, continue ma descente. Je lâche un petit coup de langue au niveau de ton pubis, lève la tête et dis:
— Mon Dieu entre le goût de ta peau et l’odeur de ce nectar qui vient me chatouiller les narines, je ne peux qu’avoir envie de toi.
Je reprends mes bisous, arrive entre tes jambes, te les écarte, et embrasse ce magnifique abricot à peine ouvert qui est tendu pour que je le dévore. Je fais quelques bisous en haut, puis au milieu, puis en bas de tes lèvres. Je remonte tout doucement en laissant traîner la pointe de ma langue entre tes lèvres tout le long du trajet. Je fais le même ménage en descendant, puis une fois de plus en remontant. J’arrête ces allers-retours, et commence à te goûter avec ma langue. Elle s’aventure en toi, j’en profite pour récolter ta sève et la boire. Ton miel est si bon...
Cette odeur qui s’en échappe m’enivre...Je ne peux arrêter, je suis un drogué prenant sa dose. Je te fouille de ma langue durant une petite minute, avant de la sortir et de remonter pour aller m’occuper de ton petit bouton. J’écarte légèrement tes lèvres avec ma main gauche tandis que la droite prend ton sein en main. Je te titille ton téton que je fais rouler et presse légèrement entre mes doigts, tandis que ma langue s’amuse avec ton petit bouton. Il s’agite sous mes coups de langue, ce qui te fait lâcher un gémissement à chaque attaque. Pendant que je m’exécute en toi, tu lâches dans un long soupir entre deux gémissements une phrase qui en dit long:
— Stop... Prends-moi...
Méchant que je suis, je n’écoute pas ta plainte, et continue sur ma lancée, avec un petit changement: ma main droite a arrêté d’embêter ton téton et est venue glisser un doigt en toi, juste sous mon menton. Je commence à faire des allers-retours tout doucement en toi avec mon doigt. Puis un deuxième vient le rejoindre. J’accélère le mouvement, au point de te pilonner ton antre. Tu cries ton plaisir, me cries que tu aimes comme je te possède, que tu veux que je continue de te fouiller. J’arrête de jouer de ma langue et te pénètre uniquement de mes deux doigts, sans ralentir le mouvement. Je te regarde tout en enfonçant toujours mes doigts en toi. J’aime te voir prendre du plaisir, j’aime t’entendre crier ton plaisir. Quand d’un coup, tu pousses un grognement, roque tout en inondant mon bras de ton miel. Je ressors mes doigts de ton intimité, me remets à ta hauteur, et te regarde avec les yeux remplis d’amour pendant que tu te remets de tes émotions et reprends ton souffle.
Tu tournes la tête vers moi, ta main m’attrape par la nuque, tu me tires vers toi et m’embrasses comme si ta vie en dépendait. Nous restons les lèvres collées et nos langues dansant pendant une éternité, avant que tu me repousses délicatement et me dises:
— Maintenant s’il te plaît, prends-moi. Mais cette fois c’est ton engin que je veux sentir, pas tes doigts.
Je me redresse, te regarde, te fais un grand sourire, glousse légèrement, et te dis:
— Je suis à votre entière disposition ma reine, votre humble serviteur est là pour vous servir.
Je m’incline devant toi puis m’allonge sur le dos, car je sais que tu adores ça. Tu comprends tout de suite ceux à quoi je pense et te mets à califourchon sur moi. Tu frottes tes lèvres contre mon dard qui ne demande qu’à piquer. Tu fais ce manège pendant un temps qui me paraît infini, car la seule chose que j’ai en tête actuellement, c’est être en toi... Tu arrêtes ton petit jeu, prends mon pénis en main, le guides en toi tout doucement, centimètres après centimètres, jusqu’à ce que je sois totalement en toi. Tu commences donc à faire des allers-retours très légers sur moi. Ainsi commence la chevauchée fantastique. Tu commences à monter et descendre tout doucement, tu vas du plus profond à la limite de sortie de mon gourdin. Et là le réveil sonne...
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