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Une rencontre entre hommes

Chapitre 2

Ma transformation

Gay
Pendant les semaines suivant cette rencontre, je suis presque constamment en rut. D’abord je passe une bonne partie du trajet de retour en train dans les toilettes à me branler et à me doigter le cul. Le reste du voyage, je fantasme sur les autres passagers : est-ce qu’il a une grosse bite ? Est-ce qu’elle devine que je viens de me faire enculer comme une bête ? Est-ce qu’ils voient que je bande dans mon pantalon ?...
Arrivé chez moi, je fouille mes tiroirs et mon frigidaire pour trouver quelque chose à m’enfoncer dans le cul et je passe une bonne partie de la nuit avec une carotte. Entre temps, j’appelle plusieurs fois Sliman pour entendre à nouveau sa voix, lui dire mon amour et mon excitation. Il m’encourage à me branler et à me défoncer la chatte pour qu’il puisse me pénétrer sans forcer, me dit qu’il a envie de moi et que nous nous reverrons très bientôt...
Le lendemain, sur ses conseils, je me précipite dans un sex-shop pour acheter un plug anal. Sans hésiter, je choisis un gros modèle, mais en arrivant à la caisse le vendeur, très professionnel, m’interroge :
— C’est pour vous ? Vous êtes habitué ? — Heu... pas vraiment.— Alors, ne prenez pas ça, vous ne l’utiliserez pas. Venez je vais vous montrer ce qu’il vous faut.
Je le suis au rayon des accessoires. Il me montre un plug d’une taille raisonnable.
— Voilà un modèle qui vous donnera beaucoup de plaisir. Par contre vous devriez également prendre un gode pour le sucer et l’enfoncer bien profond...
Sur son conseil, je choisis un gode réaliste en latex noir d’une taille moyenne, le plug qu’il m’a proposé et, naturellement, une grande bouteille de lubrifiant.De retour chez moi, je me précipite pour essayer mes achats avec délectation et rapidement je fais un Skype avec Sliman pour lui montrer comment je suce mon gode et je m’enfonce le plug. Ses félicitations et ses encouragements me vont droit au cœur.
Pendant près d’un mois, je passe tout mon temps libre à me travailler la chatte avec le plug et le gode et à m’entraîner à faire des gorges profondes sans vomir. Je publie plusieurs photos et même des vidéos sur Xhamster et je reçois des commentaires et des propositions excitantes. Je tchate avec un ou deux amateurs de masturbation et je me gode en direct sur Skype avec un correspondant Japonais à l’autre bout du monde. Vraiment l’Internet est merveilleux. Je supporte de mieux en mieux le plug et une fois je vais même au travail avec en le gardant une bonne partie de la matinée. C’est super excitant d’être godé en public. J’essaye de ne pas trop chalouper du cul pour éviter d’attirer l’attention, mais ce n’est pas facile et je vois quand même, ou crois voir, quelques regards curieux.
Enfin au bout d’un mois, je peux trouver le prétexte d’un stage professionnel pour aller passer une semaine à Paris. J’ai bien sûr rendez-vous dès le samedi avec Sliman qui m’a dit de ne pas m’inquiéter pour mon logement. Après m’être rasé, épilé, parfumé, fait plusieurs lavements, je suis chez lui à 14 heures, bouillant d’excitation. Il m’accueille en peignoir avec un large sourire. Ce baiser profond que nous échangeons, je m’en souviendrai toute ma vie. Tout de suite, il me déshabille et me caresse, lèche, mordille, les tétons...
C’est trop bon. Ça y est nous sommes en 69 sur le lit, j’ai la tête entre ses cuisses et sa bite au fond de la gorge. J’en rêvais depuis un mois. Rapidement je suis en position, à quatre pattes sur le lit pour qu’il m’encule, il prend son temps en promenant sa bite autour de mon trou, faisant semblant d’entrer pour repartir ailleurs... j’ai trop envie... enfin d’un seul coup il est au fond jusqu’aux couilles. Cette fois il voit que je suis prêt et il ne prend aucune précaution. Il lime comme un marteau piqueur, il se retire presqu’à sortir puis replonge et repilonne sans s’arrêter. Il me tient aux hanches pour me guider et me faire aller et venir sur sa queue. Ma bite bandée comme jamais ballote entre mes cuisses au rythme de ses enculades et je sens la jouissance monter. Parfois il se penche sur mon dos pour me triturer les tétons ou me branler la pine. Il m’embrasse le cou, m’enfonce ses doigts dans la bouche.
Nous échangeons des paroles incohérentes et obscènes, des gémissements, des feulements... Finalement il accélère encore et nous jouissons presque en même temps, je lâche plusieurs jets de sperme sans m’être touché. C’est bon, trop bon, je voudrais que ça n’arrête jamais.
Nous restons un long moment encastrés l’un dans l’autre, en chien de fusil, pour reprendre notre souffle. Je contracte les fesses pour le garder à l’intérieur de moi. Avec son bras par dessus mon épaule, il griffe mon téton gauche, le pince, l’étire... j’aime ça, c’est électrique. Mais il se dégage et se relève :
— Allez, on n’a pas que ça à faire. Ce soir je te sors. On va aller en boîte, chez un ami, il y a une soirée costumée. Ce sera très drôle.— Mais... j’ai rien de prévu, j’ai pas de costume ! — T’inquiète je m’en occupe.
Je suis trop content de me laisser guider aveuglément par celui qui vient de me faire si bien jouir. Nous nous rhabillons et prenons un taxi direction la place Clichy. Après quelques minutes de marche, nous entrons dans un salon d’esthétique où nous sommes accueillis par une très belle femme mûre, généreusement dotée du côté de la poitrine, que Sliman semble bien connaître.
— Patricia, je te présente mon bon ami Daniel. Nous allons ce soir chez Driss à la soirée costumée, je voudrais que tu le transformes en une très belle jeune fille !!
Je suis surpris, mais je ne proteste pas, car cette perspective n’est pas pour me déplaire depuis le temps que je me branle sur les vidéos trav qu’on trouve sur Xhamster.
— Pas de problème, dit la belle « repasse dans deux heures, tu ne reconnaîtras pas ton ami »
Elle se met aussitôt au travail : épilation complète à la cire chaude, le visage, les jambes, le torse, le sexe, le trou du cul que j’avais eu du mal à raser... lavement répété deux fois ... massage avec une crème apaisante... pédicure et manucure, vernis à ongles (mains et orteils) d’un rouge éclatant... maquillage des yeux, de la bouche... C’est à ce moment que Sliman réapparaît pour apprécier le travail. Il est conquis.
— Je lui perce les oreilles pour lui mettre de beaux bijoux ? — Non, non ça n’aurait pas le temps de cicatriser d’ici ce soir. On lui mettra des boucles à pinces, tu dois bien avoir ça ?
Je pousse un ouf de soulagement, car je n’aurais pas osé refuser, mais quand même je préfère m’en passer. On m’équipe d’une perruque noire coupée au carré... Je n’en reviens pas. Dans le miroir je ne me reconnais pas. Les grosses lèvres écarlates, les pommettes roses et brillantes, les faux cils énormes, les yeux charbonneux... qui est cette pétasse avec sa bouche à faire des pipes ?
— Superbe, dit Sliman « maintenant il faut l’habiller »
Lui il est déguisé en proxénètes années 50 : chemise violette, costume à rayures voyantes, chaussures bicolores...
— J’ai ce qu’il faut. On est pratiquement de la même taille.
Des bas résille, un porte-jarretelles, des chaussures vernies avec talons de dix centimètres...
— Pas de slip, intervient Sliman « il faut qu’on puisse avoir directement accès à sa chatte »
Une minijupe très aérienne qui s’arrête au raz de la touffe, un soutien-gorge bonnet D rembourré de faux seins très légers, mais avec des tétons bien proéminents et qui pointent fièrement vers le haut !! Un pull ras du cou, bien moulant pour faire ressortir mes gros seins, en mohair blanc, de grosses boucles d’oreilles qui touchent presque mes épaules... Je suis prêt ou plutôt prête à tout... ou presque.
Sliman est très satisfait. Moi aussi. Je règle Patricia (pas donné, mais ça vaut le coup) et nous sortons bras dessus bras dessous. J’ai un peu de mal à marcher avec les hauts talons au début, mais mon amant me tient fermement et bien vite je cambre les reins d’un air assuré pour mettre ma poitrine en valeur. Il est près de 21 heures et on s’installe dans une brasserie pour dîner avant d’aller à la soirée. Après la commande je traverse le restaurant pour aller aux toilettes et j’ai le plaisir de voir tous les regards qui me suivent. Bien sûr dès qu’on s’est assis, Sliman a pris ma main pour la poser sur sa braguette ouverte et pendant presque tout le repas je n’ai pu manger que la main droite, l’autre étant occupée à le branler doucement. Je m’efforce de manger comme une vraie jeune fille : assise au bord du siège, le dos bien droit, des petites bouchées en faisant bien attention à mon maquillage.
Vers dix heures passées, nous quittons le restaurant (j’ai bien sûr invité Sliman) pour gagner à pied, le long de l’avenue de Clichy, le lieu de la fête. Je marche en tortillant du cul le plus possible pour me mettre bien dans l’ambiance.
À l’entrée du Macumba, nous dépassons la file des clients qui attendent l’autorisation d’entrer et nous sommes accueillis par un superbe Africain en costume de cheikh arabe qui embrasse Sliman.
— Voilà Daniel dont je t’ai parlé.— Elle est superbe... Installez-vous, je vous rejoindrai un peu plus tard.
Il m’embrasse et nous ouvre la porte en me caressant les fesses.À l’intérieur la fête bat déjà son plein, la musique est assourdissante, les lumières éblouissantes et l’ambiance déchaînée. Des hommes, des femmes, des travestis, des crossdresseurs dans des costumes extravagants et parfois hyper-sensuels. Heureusement, je ne pense pas dépareiller et je n’ai aucun complexe. Un serveur que Sliman embrasse -décidément il connaît tout le monde- nous trouve une bonne place et nous apporte d’autorité une bouteille de champagne et trois verres. Sliman me tient par le cou pour bien montrer à qui j’appartiens. Il murmure à mon oreille pour m’éclairer sur les personnes qu’on voit passer... celle-là c’est un garçon comme toi, celui-là il a une toute petite bite, cet autre au contraire est monté comme un âne... il semble avoir couché avec la moitié du public !! Bien sûr il me fait bander et il a passé sa main sous ma jupe pour me caresser.
Peu après, le cheikh arabe aperçu à la porte vient s’asseoir à notre table et partager le champagne.
— Chéri je te présente Driss, c’est lui le maître des lieux.
Il est impressionnant : très grand, très costaud, souriant, une bouche sensuelle et des dents d’un blanc immaculé.Il nous fait la conversation, très à l’aise. Il connaît Sliman de longue date et il a l’air de savoir qui je suis. Rapidement la bouteille de champagne est terminée et Sliman me demande gentiment d’aller en commander une au bar. Pendant que j’attends d’être servi, je les aperçois en grande conversation, regardant parfois dans ma direction ou pointant du doigt vers moi. À la fin, juste comme je reviens avec ma bouteille, ils se serrent la main. Je me réinstalle, bois une autre coupe quand Driss me propose de venir danser une série de slows. D’un coup d’œil, Sliman me donne son accord et je suis Driss sur la piste le cœur battant. Aussitôt, il me colle contre lui, m’étreint et glisse sa main sous ma jupe pour me tripoter les fesses. Dans cette ambiance, je ne vais pas jouer à la mijaurée et je me laisse faire avec délectation.
Un de ses gros doigts me pénètre pendant que je sens sur mon ventre son sexe bandé qui frotte contre le mien. C’est excitant. Mon partenaire me murmure à l’oreille des compliments sur ma tenue, ma beauté, ma sensualité. Il m’explique qu’il partage tout avec Sliman et couvre ma bouche avec la sienne pour un baiser torride qui me laisse chancelant. Sliman sur la banquette nous regarde avec l’air d’approuver. Je me laisse faire et profite sans vergogne. Quand la musique change, Driss me ramène à notre place, s’assoit à côté de Sliman et me prend sur ses genoux !! Il continue de m’embrasser, dans le cou, sur la bouche... tout en triturant mon sexe qui est de plus en plus raide. Rapidement il soulève sa djellaba -sous laquelle il est nu- me met à cheval sur ses cuisses et me pénètre d’un mouvement rapide.
Même s’il fait relativement sombre et si nous sommes quelque peu masqués par la table, je réalise que je suis en train d’être enculé en public au vu et au su de tous ceux qui sont à proximité. J’adore. Je remue les fesses et les hanches de mon mieux pour faire jouir mon enculeur et je sens son sexe loin, loin, à l’intérieur de moi. Oubliant où nous sommes, je me laisse aller à la jouissance, je gémis, je halète, je crie. C’est trop bon et trop excitant. Cramponné à la table, je remue le cul comme la pire des salopes. Driss n’est pas en reste, il s’active dans mon trou en me tripotant la bite et les couilles. Finalement il se relève, me couche sur la table et me pistonne jusqu’à la jouissance. Sliman ne semble pas du tout fâché, au contraire il m’attrape la tête pour me donner un long baiser profond et tendre. C’est dans cette position que je l’entends me dire :
— Je dois partir, tu vas rester avec Driss qui va s’occuper de toi. Je te verrai plus tard.
Avant que j’aie le temps de réagir, ce qui m’est difficile dans la position où je suis et avec tout le champagne que j’ai bu, il se lève et quitte les lieux. Driss me retient et me rassure en m’embrassant et en me cajolant. Restés seuls, nous dansons encore plusieurs fois, tout en continuant à boire, je m’agenouille sous la table pour rendre hommage à mon nouvel amant en le pompant de mon mieux. Plus tard, Driss me baise debout dans les toilettes, accroché au lavabo sous le regard lubrique de ceux qui viennent satisfaire leurs besoins. Au petit matin, nous montons dans un taxi et je m’endors pratiquement sur l’épaule de mon compagnon. Arrivé à destination, il m’explique que je dois sucer le chauffeur. Je m’exécute de mon mieux pour pouvoir aller me coucher le plus vite possible. Cependant tel n’est pas le projet de mon nouveau maître qui m’a amené dans un foyer de travailleurs immigrés pour me mettre à l’abattage !!
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