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Une rencontre futur zoo

Chapitre 1

Zoophilie
Un jour que je bouquinais dans mon jardin, je vois passer une femme de quarante ans environ, sportive et accompagnée par son chien setter attaché à sa ceinture pour pouvoir faire son jogging.On se regarde sans plus, elle va repasser comme ça plusieurs fois et elle va s’arrêter devant ma grille pour que mon setter salue son setter, ce dernier me semble être une femelle. Elle va faire ça plusieurs fois sur trois mois et un jour je la salue de la main et elle me répond. A chaque fois, elle approche son chien du mien pour qu’ils fassent connaissance.
Un jour, elle me fait signe de venir à la grille, elle me salue et me dit s’appeler Annie et que sa chienne va avoir ses chaleurs et qu’elle aimerait avoir des chiots avec mon chien et le sien. Je lui dis que je n’y vois pas d’inconvénients, on échange nos téléphones et adresses et elle promet de me prévenir quand le moment viendra.
Passe un mois et elle me téléphone un soir pour me demander de venir le lendemain si possible, on fixe rendez-vous vers quatorze heures. Nous voici le lendemain à l’heure dite et je sonne chez elle, une jolie villa dans le village, elle m’ouvre et me fait entrer. On se salue, on s’embrasse sur la joue et on discute du beau temps, puis elle me dit que sa chienne n’a jamais été montée et qu’elle ne sait pas comment elle va réagir. Je lui explique aussi le principe du nœud chez les chiens, qui restent collés après la copulation et que ça peut durer environ trente minutes. Elle me regarde étonnée, avec un grand sourire, elle pense que je plaisante, je lui explique que non, c’est pour assurer que la fécondation soit faite uniquement par le chien qui a monté la femelle.
On discute encore un peu, puis je vois mon chien commencer à humer l’air à la recherche des phéromones de l’autre chien. Je propose donc à Annie de mettre les chiens en présence dans son jardin, elle acquiesce et on sort dans le jardin et on met les deux chiens en présence l’un de l’autre. Ils se reniflent, tournent en rond, mon chien donne des coups de patte à la femelle et cherche à la monter, mais elle refuse, elle n’est pas encore prête. On les laisse faire tranquillement, le pénis de mon chien sort de son fourreau en partie, une pine rouge et rose de quinze centimètres de long et de quatre centimètres de diamètre, il tente de temps à autre de monter la femelle, mais rien n’y fait.
Au bout d’un moment, je bloque la femelle et je lui tourne le cul vers mon chien, il lui monte dessus tout de suite, mais rate sa pénétration et donne des coups de reins dans le vide. Je vois Annie se pencher sur le côté et attraper la pine de mon chien à pleine main et le guider dans les fesses de sa chienne. La pénétration se fait d’un coup et mon chien la bourre de coups de reins et je vois son nœud pénétrer la femelle, ça y est, ils sont collés. Annie se met à côté de moi, je vois son visage rouge et la transpiration sur son front, l’excitation de cette manœuvre ? Donc cette opération l’a excitée, elle se place devant moi pour encourager sa chienne et l’aider à supporter l’accouplement. Le cul d’Annie se balance sous mon nez et je lui prends les hanches et je l’attire à moi, elle ne résiste pas et appuie son dos contre moi, je l’enlace et je lui caresse les seins, puis ma main descend vers son sexe épilé et trempé.
Je la caresse longuement sur la fente, puis je le pénètre avec un doigt, puis deux doigts, elle donne des coups de reins pour mieux s’empaler et prendre son plaisir et elle me demande de ne pas arrêter. Je lui arrache son short pour mettre son cul à nu, je baisse mon pantalon et je sors ma queue, qui est comme un bout de bois, et d’un coup je lui enfonce dans le vagin. Annie sursaute, puis se met à gémir de plaisir et donne des grands coups de reins pour m’accompagner, excité comme on est, on ne met pas longtemps à jouir et j’éjacule au fond de sa chatte, elle a un orgasme et se détend d’un coup.
On relève la tête et on voit un mec sur la terrasse, il a sa pine en main et se masturbe tranquillement en nous regardant, Annie le voit et me dit, c’est mon mari, il est candauliste, il adore me voir me faire baiser par des animaux. Elle lui fait signe de venir, il se dirige vers nous, la queue au vent, un bel engin de seize centimètres, il sourit et Annie nous présente l’un à l’autre, il se nomme John. On se détache l’un de l’autre, Annie me fait face et présente son cul à son mari qui se met à genoux et la pénètre d’un coup, elle s’accroche à moi pour recevoir le membre de son mari, il la bourre rapidement, trop excité et éjacule rapidement, provoquant un nouvel orgasme de sa femme.
Annie se penche sur ma pine et la suce tranquillement et provoque une nouvelle érection chez moi, dès qu’elle estime mon zob assez dur, elle me présente ses fesses et me dit tranquillement, « encule-moi ». Je prends Annie par les hanches et je lui caresse l’anus avec mon gland, je plonge ma bite dans sa chatte pour l’enduire de sperme et je me représente devant son anus et j’enfonce doucement ma queue dans son cul. Sa rondelle est rodée et cède rapidement sous ma poussée, je reste sur son canal anal, et j’y fais des allers-retours jusqu’à je sente ma pine prête à exploser, et quand je jouis, je m’enfonce d’un coup au fond de ses tripes et Annie jouit en même temps que moi.
Ma queue débande et sort de son cul, Annie présente son cul à son mari qui l’encule sans délicatesse et se vide aussi dans ses tripes en profitant de ma lubrification.On se détache les uns des autres et on se couche sur le gazon, les chiens se décollent et tournent en rond, mon chien vient voir les fesses d’Annie et il lui lèche la chatte. Annie le laisse faire et ouvre les cuisses, son mari lui dit de laisser faire, il voit que le chien bande et ordonne à sa femme de se mettre en levrette, le chien lui monte dessus tout de suite. John aide le chien en guidant sa bite dans la chatte de sa femme, dès qu’il l’a pénétrée, il présente sa queue devant sa femme et lui pénètre la bouche et s’y branle à toute allure. Moi ce spectacle me fait bander à nouveau et j’attends mon tour, le chien descend du cul d’Annie assez vite et je le remplace en enculant Annie à nouveau, avec son mari à l’autre bout, elle jouit à nouveau.
Annie se lève en chancelant et je vais avec elle prendre une douche bien méritée, on retourne sur la terrasse et là on voit un jeune cheval attaché à un poteau. Elle me dit qu’elle ne voulait pas de ça, et que son mari est fou et cruel. On attend le bon vouloir du patron, qui arrive tout frétillant en bandant à l’avance, il dit à sa femme de mettre du gel sur la chatte et son cul. Elle a peur de lui, c’est visible, je ne dis rien, ce type a l’air un peu fou, il amène sa femme sur une grosse bote de paille qu’il a recouverte d’une couverture, il la fait mettre sur le dos. Il amène ensuite le cheval devant sa femme et il lui verse un peu d’urine de jument en chaleur sur sa chatte, et laisse faire l’étalon qui renifle comme un fou en retroussant ses lèvres et en hennissant. Il se met d’un coup à bander de plus en plus fort et s’approche du sexe d’Annie d’où viennent ces bonnes odeurs, et tourne autour de sa « jument ».
Il essaye de la monter maladroitement sans succès, il monte d’un coup sur la botte de foin et place sa verge géante, qui doit faire quarante centimètres de long sur cinq centimètres de diamètre, cette pine se balance incertaine entre les cuisses de la femme. Il tente une pénétration, mais il rate son coup, John attentif arrive à la rescousse et attrape le pénis de l’étalon et le présente devant la chatte de sa femme, je donne un coup de main en caressant ce pénis et en l’enduisant de gel, c’est doux et chaud. A deux on guide ce monstre vers la chatte, on frotte le gland deux ou trois fois contre les lèvres de sa vulve qui s’ouvre, le cheval pousse et on le laisse faire, il pénètre Annie doucement, je le retiens pour ne pas qu’elle ait mal. Puis je le laisse pénétrer entièrement de vingt-cinq centimètres, et il donne des coups de reins rapidement et au bout de trois minutes il éjacule comme une fontaine, le sperme ressort du vagin et dégouline à terre, Annie jouit doucement.
Le cheval descend de la botte de paille et va brouter plus loin.Annie va se prendre une douche et revient, elle regarde son mari, puis me dit, « envie d’un docking », deux hommes utilisent le prépuce de l’un des deux pour baiser. Je lui dis pourquoi pas, je suis circoncis, donc il faut que John ait un long prépuce, on regarde, je lui touche la bite, je lui masse le prépuce, je dégage le gland, et puis je tire sur le prépuce, je vois qu’il y a du jeu pour cette pratique. Je prends du gel, j’enduis mon gland et celui de mon partenaire, Annie s’amuse à caresser son mari, je pointe ma pine vers sa pine, je tire sur son prépuce. Son prépuce est souple et je le pénètre comme un vagin, sauf que c’est plus souple, je me retiens à l’épaule de John avec une main et de l’autre je tiens ma verge, Annie enfile le prépuce de son mari sur ma queue, et commence à nous branler, John éjacule tout de suite, cette pratique l’a tellement excité qu’il se lâche et balance son jus.
Je me retire, ayant une meilleure idée, je demande à John de se mettre à genoux et je viens derrière lui, je le prends par les hanches et Annie se met devant pour le bloquer, et je l’encule d’un coup. John gueule, il n’a jamais été baisé par un autre homme, je le tringle comme il faut, je jouis dans son cul et je le lâche. Il se met sur le côté et râle. Je demande des menottes à Annie, elle les amène, je les passe à John en l’attachant à la rambarde, John râle de plus belle. Je demande à Annie d’aller chercher un gode strapon (un gode avec une pine d’un côté et d’une courte pine à angle droit de l’autre) c’est un gode qui permet à une femme de jouer le rôle d’un homme au niveau sexuel. Annie arrive avec l’engin, elle a pris le plus gros, sept centimètres de diamètre, elle balance du gel dessus, elle s’enfile une extrémité dans la chatte, et elle s’agenouille derrière son mari, et sans aucune délicatesse elle l’enfile, il se débat et elle n’arrive pas à l’enfiler.
Je me mets à côté de lui, je lui attrape les couilles et la pine, le presse un peu, il hurle de douleur, je lui demande de se mettre en levrette et de présenter son cul à sa femme, qui avec un grand sourire l’encule sans délicatesses, arrachant de petits cris de douleur. Elle lui dit, tu vois mon chéri ce que ça fait de se faire enculer par des gros zobs ? Maintenant tu me foutras la paix, seul mon amant aura ce droit, plus toi, et tu n’as pas fini de souffrir.
Annie tringle John pendant un bon quart d’heure, puis se retire, elle appelle mon chien et lui donne le cul à défoncer, John essaye de fuir, mais je n’ai pas lâché son zob et il ne peut pas bouger. Le chien monte dessus tout de suite et l’encule et lui balance son nœud dans le cul, ce qui fait crier John, Annie lui dit encore, tu vois comment ça fait ? John demande pardon et 20 minutes plus tard, le chien le libère.
Tous ces petits jeux m’ont émoustillé, je fais mettre John en levrette, je relâche son appareil génital et je lui masse le gland doucement, je demande du gel à Annie, j’en mets plein la queue de John. Je lui dégage le gland et je le caresse avec amour, je joue avec pendant dix bonnes minutes, puis j’accélère le mouvement et il se met à jouir en envoyant une dizaine de jets de sperme dans le vide.
Annie nous regarde en se masturbant tranquillement, elle me sourit, je la fais s’étendre sur le sol et je la baise rapidement, mais avec beaucoup de plaisir.Elle devient ma maîtresse attitrée.
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