[SMS]> Salut, je suis à la gare ! Tu viens me chercher ?< Je suis encore au boulot. Je rentre dans 4h minimum, tu peux visiter la ville en attendant ! > Tu es sérieux papa ?! J’aurais dû m’en douter, le travail avant la famille comme toujours.< Désolé ma puce. Je me rattraperais, promis ! Il m’énerve ! Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire ?! Je n’y connais rien à cette foutue ville. Bon, ressaisis-toi Maya, il doit bien y avoir quelqu’un qui peut te renseigner. Première chose : il faut que je sorte de cette gare. J’ai sûrement l’air d’une folle à courir partout à la recherche de la sortie, mais après tout, personne ne me connaît ici. Les gens ne parlent même pas ma langue, c’est plutôt logique quand on pense que je me trouve à 6 600 kilomètres de Paris, à Chicago. Perdue dans mes pensées, je ne remarque pas qu’un homme se trouve juste en face de moi et je tombe à la renverse lorsque je le percute. Quelle conne !! : — Je m’excuse ! Je ne vous avais pas vus, je suis vraiment désolé, dis-je d’une traite.— Ce n’est pas grave, je vous pardonne ! ha ha ha ! Vous allez l’air aussi perdue qu’un chien ne retrouvant pas son maître. Hum... Excusez-moi cette métaphore qui laisse à désirer... Gabriel, c’est mon nom. Et je pense que vous avez besoin d’aide, je me proclame "guide de Chicago" et vous promets de vous emmener là où vous voulez vous rendre !! Je lève les yeux pour mieux distinguer ce fameux "guide de Chicago" et je reste ébahie par sa beauté et son charisme. Il est extrêmement élégant bien qu’il ne porte seulement qu’un jean des plus basiques et un sweat noir. Ses yeux couleur noisette, sont envoutants et me fixent avec un soupçon de malice. Ses cheveux, en bataille, ont exactement la même couleur que ses magnifiques yeux. Son sourire, quant à lui, me fait rougir tellement il est charmeur. Il est grand et parait plutôt musclé, il est très sexy... Oh ! Calme-toi ! Je te signale que tu ne connais rien de cet homme, il pourrait très bien être un tueur en série, et peut-être même que je suis sa prochaine victime. Gabriel a probablement remarqué mon air affolé et déboussolé car il s’empresse de me rassurer : — Vous n’avez absolument rien à craindre ! Je propose juste de vous indiquer le chemin à prendre et nos chemins se sépareront lorsque j’aurai rempli mon rôle de guide, à la perfection bien sûr... — Non, non... Excusez-moi, je viens de faire un très long voyage et je suis un peu fatiguée par la route. Je ne connais pas très bien la ville et je dois attendre mon père 4h pour qu’il vienne me chercher. Je ne sais pas quoi faire et je n’arrive pas à sortir de cette gare, et puis les gens ne parlent pas un traitre mot de français. D’ailleurs, vous êtes français ? Je voudrais juste trouver un endroit au chaud, parce qu’il fait super froid à Chicago quand même, et où je pourrais l’attendre en sécurité et si possible en m’ennuyant le moins possible. Et je m’appelle Maya et... — OK ! Vous êtes une bavarde vous ! Il y a un bar sympathique pas très loin d’ici, vous voulez que je vous y accompagne ? Eh oui, je suis français. — Euh... oui, je veux bien... répondis-je un peu gênée. Je suis Gabriel jusqu’à la sortie de la gare. Enfin ! Je suis éblouie par le paysage autour de moi, les grands immeubles et la neige qui tombe, c’est magnifique. Mon regard se porte maintenant sur mon guide, il est vraiment beau tout de même. Et puis, il n’a pas l’air finalement d’un tueur en série. Je baisse les yeux et me surprends à regarder en direction de son pénis. Je relève tout de suite le regard et je remarque que Gabriel m’observe, toujours avec son sourire charmeur. Je détourne les yeux et mes joues deviennent écarlates. Heureusement, il ne prononce aucun mot car sinon, je pense que je me serais transformé en tomate. Nous arrivons enfin au bar et comme Gabriel l’a dit, il est vraiment sympa et chaleureux. Il chuchote quelques mots à ce qui semble le gérant de ce bar et nous nous installons à une table près d’un feu de cheminée : — Bon. Je pense que je vais y aller. J’ai rempli ma mission après tout...— Vous pouvez rester si vous voulez, enfin vous faites ce que vous voulez bien sûr. Je me surprends moi-même en prononçant cette phrase et rougis légèrement.— Ce serait un plaisir, il fait si froid dehors. J’ai une requête : pouvons-nous, vu que nous avons fait connaissance, nous tutoyer ?— Oui, Gabriel, si tu veux. Il me sourit et prend une gorgée de sa bière. Nous restons plusieurs minutes sans parler, à nous regarder. Cette situation m’aurait habituellement gênée, mais pas avec lui, je me sens en sécurité et son visage et son corps ne me laisse, je l’avoue, pas indifférente. Nous échangeons quelques mots, mais seulement des banalités, notre regard parle à notre place. Mon corps tout entier tremble, mais je ne laisse rien paraître. Son regard posé sur moi est si excitant. Je n’en peux plus, mes jambes se frottent, mais je fais tout mon possible pour qu’il ne remarque rien. Je prends mon courage à deux mains et, en prétextant une envie pressante, me réfugie aux toilettes. Je me retrouve seule, face au miroir, mon cœur bat la chamade. Je passe ma main droite sous ma robe et commence à caresser ma culotte. Bientôt, je retire celle-ci et titille mon clitoris. Je suis assise, les jambes écartées, sur le lavabo. Je reste ainsi quelques secondes avant de renfiler ma culotte puis de me laver les mains. J’entends la porte s’ouvrir et je me retrouve nez à nez à Gabrielle, il ferme la porte à clef. Il ne dit rien et remet une de mes mèches derrière mon oreille. Il effleure ensuite, avec son index, mes lèvres. Il met sa main droite sur mon cœur et me tient la taille avec son autre main. Il me regarde, avec son regard de braise. Il descend sa main droite sur mes hanches puis empoigne ma fesse avec celle-ci. Je sursaute, mais ne recule pas. Il prend enfin mes lèvres et m’embrasse avec fougue. Sa langue dans ma bouche me fait frissonner. Ses mains sur mes fesses me soulèvent sur le lavabo, il n’a pas cessé de m’embrasser. Je défais délicatement et fébrilement la boucle de sa ceinture et lui enlève son sweat, ce qui laisse apercevoir des pectoraux bien dessinés et des bras musclés. Il m’embrasse toujours aussi fougueusement et remonte sa main jusqu’à mon sein. Il le palpe délicatement, ce qui me fait gémir. Il me fait descendre du lavabo et me retourne. Gabriel tire sur la fermeture de ma robe. Je porte des sous-vêtements avec de la dentelle plutôt sexy. Nous sommes maintenant face à face. Nous restons de longues secondes à nous observer. Il enlève enfin son jean. Sa verge est dressée à travers son caleçon. Je commence à la caresser d’abord sur le tissu puis directement. Il pousse des gémissements virils, ce qui m’excite encore plus. Il prend les devants et retire avec facilité mon soutien-gorge. Mes seins ne demandent qu’à être léchés. Il me suce les tétons tout en palpant mes seins. Petit à petit, il descend sa bouche et m’embrasse et me lèche le ventre, les hanches. Il arrive enfin jusqu’à mon sexe. Il commence par me lécher et m’embrasser l’extrémité de mon vagin en prenant bien soin d’éviter mon clitoris. Et puis par surprise, il me lèche le clitoris. Je pousse un énorme gémissement de plaisir. Il continue son cunnilingus quelque temps puis remonte pour m’embrasser. Il me susurre à l’oreille : "je vais te prendre comme jamais". Il me retourne et enfonce son énorme pénis dans mon vagin. La levrette ! Ma position préférée ! Il y va d’abord doucement puis accélère et enfonce son sexe plus violemment. Nous jouissons presque en même temps. Il finit son travail en m’embrassant, en me doigtant et en me caressant. Nous nous rhabillons doucement en nous séduisant l’un l’autre. Nous sortons des toilettes puis du bar et nous marchons dans la rue main dans la main.
[SMS]< Ma puce ? Je suis bientôt arrivé à la gare. Je m’excuse encore.> Ce n’est pas grave papa. J’arrive ! Je t’aime. Nous nous disons au revoir et je rejoins mon père à la gare. Ce fut la meilleure journée de ma vie. Et mon séjour à Chicago n’est pas terminé !! Nous avons échangé nos numéros, c’est le début d’une grande histoire. Je le sens et je le veux !!
