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Une rencontre un peu particulière

Chapitre 1

A l'exposition

Lesbienne
Je m’appelle Line, on dit que j’ai un certain charme. Effectivement de visage je suis plutôt jolie, d’amples boucles blondes encadrent mon visage avec mes yeux verts légèrement maquillés et mon petit nez retroussé mais c’est surtout ma bouche mutine et pulpeuse soulignée d’un blush beige qui retient le regard. Pas très grande je corrige ce défaut, à mon sens, par de hauts talons et en veillant à ma ligne. Mes petits seins sont le plus souvent tenus dans des soutien-gorges à balconnet très échancré, par contre je trouve mon fessier, mon popotin comme je l’appelle, trop développé et le cache toujours sous une jupe. Je considère que le pantalon ne me convient pas, alors que Jack, mon mari trouve que c’est la partie la plus sexy de mon anatomie. Il m’impose de le garder nu ce qui m’oblige au port exclusif de string et de bas tenus par des jarretelles. Son grand plaisir est de passer sa main sous mes jupes en toute occasion pour vérifier ma tenue et pour me caresser ou me peloter les fesses.

Jack est presque mon opposé. Alors que je suis réservée, lui est un coquin. Le sexe est sa raison d’être et pour ’’me le garder’’ je cède souvent à ses caprices, comme me balader cul nu ou avoir mes tétons à l’air. Ainsi mon tiroir de sous-vêtements est très fourni mais exclusivement en sexy.

Nous pratiquons le naturisme depuis notre mariage, vivre nue ne me pose pas vraiment de problème. Depuis longtemps j’ai adopté ses pratiques et en particulier avoir un corps glabre.
Récemment j’ai satisfait à un de ses fantasmes en m’offrant en sa présence à un de ses amis (voir Une première fois). Cette expérience m’a fait découvrir une facette inconnue de la sexualité . Je reconnais y avoir pris un certain plaisir, j’ai même laissé entendre que j’accepterai de renouveler ce genre de partage.

Par ailleurs, je connais virtuellement Sandra depuis quelques semaines grâce à un site culturel Espagnol. Son avatar une ’’Apsara de Khajuraho’’ m’a interpellé. Notre intérêt commun pour l’Hindouisme est à l’origine de notre rencontre et de cette histoire. Sa maîtrise du sujet et l’élégance de son écriture m’ont impressionnée.

En ce mois de novembre il y a à la Pinacothèque de Paris une exposition sur le Kama-Sûtra. Sandra souhaitant la voir m’a demandé des conseils quant à un hôtel. Compte tenu de notre relation et de mon intérêt pour cette exposition je lui ai proposé en accord avec Jack de venir à la maison et ainsi ça a été décidé.

Aujourd’hui je rencontre Sandra, Jack a une obligation et a dû quitter Paris. Je me trouve donc seule pour accueillir « mon amie virtuelle ». Je me sens stressée à l’idée de passer du virtuel au réel, de rencontrer cette femme érudite qui m’impressionne tant.
Aujourd’hui il fait beau mais frais, je décide de m’habiller chaudement.
Après ma douche, observant des repousses disgracieuses sur mon ventre je m’épile avant de soigner mon maquillage. A mon habitude je mets un ensemble soutien-gorge seins-nus, porte-jarretelles et string blancs assortis avec des bas couleur chair avant de m’habiller d’une blouse, d’un tailleur et d’un manteau de laine. Enfin je porte des bottines à talons carrés et un chapeau toujours pareil pour compenser ma taille.

Nous nous sommes fixé rendez-vous à un bar près de la Pinacothèque, mon sac rouge posé sur la table étant le point de reconnaissance.

Peu de temps après mon arrivée une grande femme élégante, magnifique dans son manteau gris perle se présente à ma table. Elle est chargée d’un petit sac de voyage... physiquement, immédiatement elle m’impressionne. Ceci étant son sourire et sa voix transmettent douceur et chaleur :

— Line ?

Je reste paralysée face à elle et après un long silence réponds :

— Oui !
— Bonjour, je suis Sandra.
— Oui !... oui bien sûr, bonjour.

Je me lève, pour la saluer je lui tends maladroitement la main. Physiquement cette femme m’attire, je n’ai jamais ressenti cette sensation. Avec douceur elle écarte ma main, se rapproche et m’embrasse amicalement sur les joues, je me sens bête, je bafouille :

— Euh... Ex...Excusez-moi Sandra... Ass...Asseyez-vous si vous voulez !... Que voulez-vous prendre ?

Elle prend place sur la chaise à côté de moi en me souriant et tout en me caressant la joue.

— Un café s’il te plaît !... Si tu veux Line tutoyons-nous comme le veut la culture espagnole.

La douceur de sa caresse, la chaleur de son timbre de voix ne font qu’accentuer mon malaise.

— Oui bien sûr, excuse-moi, je suis un peu troublée, ton arrivée m’éblouit... As-tu fait un bon voyage ?
— Très bon... ma Chérie !
... ’’ma Chérie’’, je suis sous son charme, je me sens envoûtée. Enfin je me remets lentement de mes émotions et découvre Sandra qui comme moi a abandonné son manteau. C’est une très jolie femme, un peu plus jeune et plus grande que moi, mes talons compensent en partie la différence de taille, maquillée discrètement avec beaucoup de soin, ses yeux noisette clair font que sa chevelure châtain paraît plus sombre. En s’asseyant elle ouvre largement sa veste et dégage un pull couleur lavande couvrant une poitrine bien développée qui me semble libre de tout mouvement et une taille bien marquée au dessus des hanches en amphore. Le corps ressort magnifique, elle le sait, elle en joue, remonte sa jupe ample de manière qu’en croisant les jambes elle découvre le liseré de ses bas. Je lui envie le volume de sa poitrine et le galbe de ses jambes gainées de bas couleur chair.

Je suis surprise de l’entendre me complimenter sur ma tenue et ma beauté, en accompagnant ses mots de caresses du dos de la main sur mes bras, mes épaules. Après avoir pris notre café et échangé quelques banalités nous partons vers le musée.
Son ascendance naturelle nous conduit, elle me prend par le bras, se rapproche jusqu’à ce que nos hanches se touchent et cale son pas sur le mien. Elle se penche vers mon oreille et me murmure :

— Line tu es très séduisante !
— Sandra tu exagères.

Pour toute réponse elle m’embrasse les cheveux au dessus de mon oreille. Arrivées sur place nous laissons nos manteaux, sacs et bagages au vestiaire. Toutes deux entrons en veste et jupe.
Les salles sont plongées dans une semi-pénombre à laquelle nous avons du mal à nous habituer. Après un moment, nous constatons qu’il y a peu de visiteurs autour de nous. Sandra passe son bras sous ma veste pour me prendre par la taille. Je lui facilite la tâche en ouvrant mon vêtement, geste qu’elle considère comme un acquiescement et qu’elle signe d’un baiser dans mon cou. A son tour elle ouvre sa veste, creuse ses reins et bombe le torse. Le pull de laine moule ses seins qui paraissent nus, tellement leur galbe et les tétons ressortent.

Face à mon immobilisme, par derrière son dos elle vient me chercher la main pour que je la prenne par la taille. Ma main s’étale sur la hanche en allant vers l’haine. Comme pour m’encourager ou me remercier, tout en me commentant la sculpture d’une Apsara prise en levrette, elle appuie son baiser dans mon cou. Je suis très troublée par cette situation. C’est la première fois que je suis ainsi avec une femme, je me sens soumise, je laisse faire. Sous ma veste sa main quitte ma hanche pour me caresser les fesses, elle me sens craintive, perçoit ma réserve :

— Tu aimes comme je te caresse ?
— C’est agréable, c’est une sensation que je ne connais pas.

Nous poursuivons notre visite, nous regardons les œuvres en détail. Sandra commente en murmurant les accouplements, les positions acrobatiques, les unions multiples... Ses commentaires et ses caresses m’échauffent, ma tête s’appuie contre la sienne. Sa main libre se plaque sur mon ventre en créant une décharge électrique, ma respiration s’accélère, la main remonte sur mon chemisier en frôlant mon ventre, elle suit le modelé de mon sein. C’est moi qui cette fois bombe le torse pour que le frôlement devienne toucher. Elle me palpe alors littéralement la poitrine. Un rapide coup d’œil lui indique que nous sommes seules dans cette petite salle, elle pivote légèrement pour m’embrasser doucement sur les lèvres.

C’est mon premier baiser entre femmes, il est doux, superficiel, tendre, il me trouble, Sandra le ressent. Avec beaucoup de délicatesse elle s’écarte, me sourit.
Ma main se crispe sur son bas ventre et l’autre se plaque sur son pull. J’ai son sein contre ma paume, son téton est dur, je constate qu’elle porte en fait un soutien gorge sans aucune armature, un simple voile extrêmement fin, son sein est lourd, plus volumineux qu’il n’y paraît.

A nouveau elle m’embrasse sur les lèvres et je sens la pointe de sa langue glisser sur ma bouche. Mes lèvres restent jointes, là encore Sandra s’écarte et me sourit.
J’aime ce qu’elle me fait, j’aime toucher son sein. De son côté Sandra semble surprise de sentir mon téton nu sous la blouse. Elle l’excite de telle sorte qu’il se glisse entre ses deux doigts. Des visiteurs entrent dans la salle. Nous nous regardons un sourire aux lèvres et nous embrassons sans trop tourner la tête de sorte que nos commissures des lèvres se joignent… Les hanches accolées, nous continuons notre visite en changeant de salle. Notre intérêt se porte essentiellement sur les représentations des sculptures érotiques, malgré tout nous souhaitons plus de tranquillité et accélérons la visite.

Nous rejoignons la sortie, récupérons nos affaires. Dehors il fait déjà très sombre, une pluie fine tombe. Sandra me prend par le bras, nous nous regardons, nous sourions et c’est moi cette fois qui approche mes lèvres pour lui déposer un baiser sur sa bouche. Ceci étant elle garde la maîtrise du jeu :

— Line, veux-tu que nous prenions quelque-chose ?
— Oh oui, quelque-chose de chaud.

Et comme deux amies, bras dessus, bras dessous nous avançons vers un café. A la terrasse chauffée exposée à la vue de tous nous préférons nous enfoncer dans la salle à la recherche d’un coin tranquille loin des regards. Au fond, loin de tout passage une table rectangulaire face à une banquette et deux chaises, nous attend. Le lieu nous semble surchauffé et nous abandonnons de concert, manteau et veste, elle est en pull et moi en petite blouse. Nous nous installons côte à côte sur la banquette et gardons la vue sur l’environnement désert pour le moment.
On se regarde dans les yeux, se sourit, nos lèvres se rapprochent, se touchent, sa langue pointe sur ma bouche, j’entrouvre mes lèvres, elle me pénètre de suite et nos langues se rencontrent. Avec beaucoup de sagesse, beaucoup de tendresse, beaucoup de patience Sandra attend que le fruit murisse. Elle s’écarte, son regard fixe ma poitrine dont les tétons pointent outrageusement au travers du chemisier. Elle me murmure à l’oreille tout en pointant sa langue dans le pavillon :

— Tu as le feu aux seins ma chérie, laisse-moi m’en occuper !

Elle sait que je suis prête, que je m’abandonne et sans plus attendre elle défait les deux boutons du bas de ma blouse et y glisse une main pour se saisir d’un sein puis de l’autre et découvrir qu’ils étaient nus.

— Tu as de beaux seins et tu as un superbe soutien-gorge.

Alors que pouce et index triturent une pointe, sans attendre elle colle ses lèvres aux miennes. Sa langue dépasse mes lèvres et force l’ouverture de ma bouche pour un baiser fougueux. Nos langues s’entrelacent et fouillent nos bouches respectives. Sa pointe se promène sur toute la surface de ma langue, la caresse, se place de temps en temps entre mes dents comme pour vérifier ma soumission, ma disponibilité, elle passe sous ma langue qui ainsi relevée glisse tout naturellement dans la bouche de Sandra. Une danse s’organise entre nous, lente ou rapide, en envahissant les lieux ou les abandonnant, avec tendresse ou force. La main de mon amie ne reste pas inactive, ayant pris possession de mes seins elle les presse l’un après l’autre quand brusquement nous entendons :

— Pardon Mesdames, puis-je vous servir quelque chose ?

Sandra sans retirer la main de mon chemisier répond le plus naturellement du monde avec un sourire :

— Un chocolat chaud.
— Deux, s’il vous plaît.
— Bien Mesdames.

Il se retire, je suis rouge comme une pivoine, ça me rappelle une expérience pas si lointaine dans un restaurant avec mon mari. (voir Une première fois chap 4)
Dès que mon regard se repose sur Sandra, elle m’embrasse à nouveau fougueusement et j’y réponds avec force. Ma main se fait alors curieuse, elle glisse sous le pull de mon amie, se pose sur un ventre plat et ferme, remonte, dépasse le bas des côtes et arrive sur un soutien gorge de soie très légère, si fine qu’elle semble absente et laisse sentir toute la rondeur et la fermeté du sein, les aspérités de l’aréole et la chaleur du mamelon en érection

Mes doigts s’emparent de la pointe et prodiguent les mêmes attouchements que ceux qui à l’instant me font vibrer. Elle le titille d’un doigt, le tire en avant, le tourne peut-être d’un tour complet, le pince plus fort, le tire vers le haut comme pour l’arracher. Ça me fait mal, mes yeux se crispent, je gémis, elle poursuit, accentue le martyre, mon téton semble grossir, s’allonger, ça fait mal et.... j’aime. Probablement elle a les mêmes sensations. Elle maîtrise, me mord la langue d’un coup sec tout en me lâchant le mamelon tout endolori. Elle s’éloigne, me sourit, ses yeux brillent de plaisir.

Nous nous séparons en nous faisant un petit bisou sur les lèvres juste au moment où le serveur dépose nos boissons.
On est heureuse, on est bien... mais d’autres désirs nous envahissent, rapidement nous buvons nos chocolats.

— Ça va Line ?
— Oui, très bien... ma Chérie ! C’est la première fois que je parle ainsi à une femme, que je caresse une femme, que j’embrasse une femme et je veux aller plus loin.
— Que veux-tu que nous fassions Line ?
— Nous pouvons aller à la maison, Jack a dû partir en province ce matin, nous sommes toutes les deux. Pour dîner j’ai prévu un repas froid à la maison et pour demain matin nous irons chercher pains et brioches.
— D’accord, faisons vite. Allons chez toi.
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