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Une rencontre un peu particulière

Chapitre 3

Dans la salle-de-bains

Lesbienne
Il y a six heures, je rencontrais et tombais sous le charme d’une amie virtuelle, Sandra, connue sur un site culturel espagnol. 

Depuis nous avons visité une exposition, pris un chocolat dans un café et sommes rentés à la maison.

Il y a six heures je considérais les amours entre femmes comme anormal.

Depuis Sandra m’a séduite, je ne sais comment et peu importe, nous sommes passées d’attouchements fortuits aux caresses plus ou moins appuyées pour en arriver aux baisers sur la bouche.

A présent, nous sommes nues dans mon appartement.

Sandra après avoir rangé son bagage dans la chambre me rejoint dans la salle de bain. Nous nous enlaçons et nous embrassons longuement. J’admire nos images se répéter à l’infini sur les miroirs qui couvrent les murs. Je reste subjuguée par sa beauté et l’harmonie de ses formes et en même temps j’aime nos différences. Elle brune et calipige, moi blonde et enrobée, mes seins sont plus lourds, mes hanches plus développées, une broussaille couvre son pubis, le mien est glabre.

Jamais je n’ai fait ce genre de comparaison, jamais je n’ai tenu ainsi une femme nue contre moi.

Nous abandonnons nos derniers vêtements, porte-jarretelles et bas, je quitte mes talons et me sens alors bien petite face à elle.

La douche à l’italienne est vaste et nous accueille toutes les deux. Immédiatement une pluie chaude et douce tombe et ruisselle sur nos corps. Sandra se met face à moi et à ma hauteur en fléchissant et écartant légèrement les genoux, comme Jack, mon mari, quand il me fait l’amour debout. Comme lui, elle me prend par la taille et me plaque contre elle. Ses tétons réveillés s’enfoncent dans mes seins, son ventre s’appuie contre le mien, nos bouches s’unissent avec passion.


Les mains sur ses fesses, je la caresse doucement, timidement , au contraire  elle prend les miennes à pleine main, les malaxe vigoureusement avant de les écarter avec force, ses doigts s’enfoncent dans mes chairs molles. L’eau envahit mon sillon fessier jusqu’à maintenant protégé et pour mieux la sentir glisser sur mon petit trou je creuse les reins. Je me rencontre qu’instinctivement je m’offre de plus en plus à elle alors que mes attouchements restent encore très superficiels.

Elle se met à genoux, embrasse mon sexe en tenant mon popotin à deux mains. Un doigt titille mon intimité secrète avant de la pénétrer. Sensible mais assez étroite de ce côté, instinctivement je me contracte. Ses baisers sont plus appuyés sur mon ventre, je suis prise dans un étau entre sa bouche et ses mains. Dans ma tête je suis choquée par ces baisers et cette pénétration, pourtant mon corps en demande plus et par instinct, sans réfléchir mes mains appuient sur sa tête pour l’encourager.

Satisfaite de cette évolution et maîtresse de mon initiation, d’un coup de dent sur le ventre elle me surprend et me fait lâcher prise. En se relevant elle me donne une violente claque sur les fesses :

— On se lave ?

Je prends le gel douche et lui en donne.

Les mains passent des épaules à la poitrine puis au ventre et descendent vers le pubis pour trouver ce que l’on n’a pas, un sexe glabre ou protégé d’une toison. Nous aimons nos différences, on les découvre, on s’y attarde, je la suis de plus en plus facilement dans ses gestes, on excite le clito, les doigts glissent entre les lèvres pour pénétrer le vagin. On reprend du gel et on se savonne de nouveau.

Sandra me plaque face au mur autoritairement. De ses pieds, elle m’écarte les jambes. Elle commence à me masser les épaules, descend le long du dos, avant de me caresser les flancs et de s’emparer de mes seins. Elle les pétrit sans précaution avant de s’en prendre à mes mamelons.

Elle continue sur mes hanches, se met à genoux. A nouveau elle s’en prend à mes fesses. Je sens sa bouche sur ma rosette, les mains écartent encore plus mes chairs qui se contractent, elle dilate le petit trou et le pénètre de la pointe de sa langue, jeu que j’ai toujours refusé à Jack. Je ne peux éviter de gémir. L’a-t-elle entendu ou ressenti ? Elle voudrait aller plus loin mais la nature l’en empêche.

Elle masse mon anus d’une noisette de gel avant d’y planter profondément un doigt puis un second. La pénétration se fait sans résistance bien que la voie soit étroite. Les deux compères se complaisent dans ce lieu exigu, s’activent, se font de la place. Je subis et j’aime cette pénétration. 
Pour lui faciliter la chose et l’avoir plus profondément, je fléchis les genoux au point d’être assise. Je tremble sur mes jambes alors que Sandra accentue mon excitation en portant sa main libre sur mon sexe. Je vais défaillir, avec force elle me retient, mes genoux plient, je me fais pesante. Comme assise dans le vide, mes lèvres s’ouvrent, mon sexe baille, elle, au sol, le voit, y plonge directement trois doigts et presque immédiatement après, un quatrième. Dans l’autre orifice le pouce s’intercale entre les deux doigts.

— Oufff ! Sandra je n’ai jamais été prise ainsi, c’est gros, c’est fort, vas-y branle-moi... plus ViiiTE !!!

Je garde mon équilibre en m’appuyant de mes deux mains au mur, et pour accentuer la branlette de mon amie je commence avec des petits va-et-vient de haut en bas. Je me sens merveilleusement prise. L’eau de la douche me rappelle la fois où Jack m’a fait l’amour debout dans une forêt sous une pluie diluvienne.

Ses doigts se retirent progressivement de mes orifices, elle m’aide à me relever et me retourne face à elle. Je lui souris, je suis heureuse, elle me prend par la taille et nous nous embrassons tendrement, amoureusement. Nos yeux expriment nos désirs, nos mains caressent et savonnent. Nous ne nous lassons pas de parcourir les courbes de l’autre, de nous frayer un chemin dans ses vallons.

Mon amie me tourne le dos, face mur. Sans réfléchir, naturellement je me  colle à elle, le ventre appuyé à ses fesses. Je la tiens par les épaules, l’embrasse dans le cou, lui mordille l’oreille. Sa tête part sur le côté pour mieux s’offrir à ma bouche... A mon tour  je lui savonne les épaules, le dos, descends rapidement sur le bassin et les fesses, deux beaux melons tout ronds… Mes caresses deviennent moins timides, plus assurées, j’écarte les deux globes, m’agenouille devant l’anus, il est petit, sombre comme son sexe. Après un bisou sur les fesses je commence à lui lécher le petit trou au moment où elle se retourne et m’offre son pubis.

Mes deux mains écartent les poils lissés par le ruissellement de la douche. Le fruit apparaît et s’ouvre, ma langue le pénètre, s’amuse dans la fente, glisse sur le clito, le titille. Deux mains me maintiennent ainsi la bouche contre le sexe lorsque... un petit jet de liquide chaud au goût très amer jaillit.

Avec Jack je suis habitué à des jeux SM mais jamais nous avons pratiqué de douche dorée.

— LINE ! ...Excuse-moi !

— ...

Je la regarde, elle me sourit, je lui souris, je ne sais pourquoi je reste figée face à son sexe, je me recule à peine. Ses mains sur mes épaules, elle se libère et lâche toute sa miction sur ma poitrine. Moi à genoux, elle debout, nos yeux ne se quittent pas. Une fois terminé, je lui donne un dernier baiser sur sa toison, ma langue recherche la base du clito pour lécher le méat, j’y retrouve le goût amer caractéristique.

Elle se met à genoux face à moi, elle murmure en me regardant avec intensité:

— Tu aimes ?

— C’est la première fois.

— Un lien très fort nous unit à présent.... N’as-tu pas envie à ton tour de m’abreuver ?

Après un instant d’incertitude, de réflexion, je me lève et m’offre à elle. Elle se met entre mes cuisses, sa bouche sur mon sexe, ses deux mains plaquées sur mes fesses. Je sens sa langue me fouiller la fente, se porter sur mon clito, le titiller. Elle attend mon offrande, la quémande. Une forte envie monte dans mon ventre et d’un coup je me libère en relevant d’un doigt mon clito pour bien ouvrir le méat. Elle se recule à peine, mon jet d’urine arrive dans sa bouche mélangé à l’eau et je la vois boire lentement, la plus grande partie de ma miction déborde de sa bouche mais elle en avale plusieurs gorgées mêlées d’’eau Tout comme moi avant, lorsque je suis soulagée elle me lèche la pissette.

Elle se relève,  je m’accroche à ses épaules et l’embrasse avec beaucoup de douceur dans le cou.— Sandra... je t’aime— Line... ma Chérie

Ainsi rincées, j’arrête l’eau, nos sourires soulignent notre bonheur.

— Sandra, tu me fais découvrir bien des choses qu’un homme ne sait pas ou que je n’ai pas acceptées jusqu’à ce jour.

Pour toute réponse elle me fait un bisou du bout des lèvres et me donne une claque violente sur les fesses.

— Haï, tu me fais mal !

— Ce n’est qu’un début.

Nous prenons chacune un peignoir nous nous y emmitouflons. Nous nous regardons dans les miroirs, fières de nos beautés différentes.

— Quelle heure est-il, ?

— Il est 18 heures.... Veux-tu que nous prenions un apéritif ?

— Oui avec plaisir !

— Je crois que Jack a mis à notre attention une bouteille de champagne au frais, ça te convient ?

— J’adore.

— Passons au salon si tu veux.

Et Sandra m’emboîte le pas.
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