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Une rencontre un peu particulière

Chapitre 5

Au réveil

Lesbienne
La lumière de la fin d’automne perce au travers des volets, les yeux encore fermés je cherche de la main Sandra, elle me fait face et je rencontre un sein lourd avec son téton en érection, ouvrant un œil je découvre dans la semi-pénombre son visage, elle me regarde :

— Bonjour Madame avez-vous bien dormi ? nos fantaisies lesbiennes vous ont-elles accompagnée dans vos rêves ?
— Bonjour Sandra … J’ai passé une nuit merveilleuse, pleine de caresses ! Devant son air surpris, oui tu n’as cessé de me caresser cette nuit et c’était très agréable, de vraies caresses amoureuses.

Allongées sur le côté face à face, enlacées par les jambes et les bras, nous nous embrassons. Les mains reconnaissent les courbes, retrouvent seins, hanches, fesses et sexes. Le bout des doigts ou les ongles excitent les zones érogènes, réveillent les sens.
Comme hier la force et l’intensité font place à la douceur et la tendresse. Les jambes se décroisent pour mieux se recroiser, pour mieux enserrer l’autre. Les pubis se retrouvent, j’aime sentir sa brousaille contre mon ventre nu. Les mains appuient sur les fesses pour accentuer le contact, les lèvres jointent assurent l’intimité des langues excitées comme des puces.

— Line tu bouges de mieux en mieux.
— J’ai la chance d’avoir une initiatrice comme toi... Bon, et bien après cette entrée en matière je te propose de prendre rapidement une douche et de déjeuner, je descends chercher des croissants, avec du café ça te va ?
— Oui très bien, tu sais que je reprends mon train en début d’après-midi.
— Déjà ! Tu n’es pas bien avec moi ? Tu ne peux pas retarder ton départ ?
— Non, non hélas ! j’ai un rendez-vous ce soir.
— OK il n’est pas 9 heures ça nous laisse un peu de temps, je me dépêche et on s’offrira un peu de plaisir après… d’accord ?
— Dépêche-toi coquine, j’attends un coup de main de ta part !

Douche, courses, préparation du café le tout en une demi-heure et je retrouve Sandra toute propre, en peignoir, la table est servie, les croissants sont encore chauds, le ciel est clair, une belle journée s’annonce.

— Quand rentre Jack ?
— Ce soir mais pas avant 20 heures.
— C’est dommage j’aurais bien voulu le rencontrer.
— Ce sera pour une prochaine fois.
— Oui... peut-être. Tu accepterais à trois ?
— Avec toi … Oui bien sûr et puis je l’ai déjà fait mais tu devras accepter certaines règles, comme l’épilation intégrale !!!
— Je l’ai longtemps pratiquée avec Didier lors de nos jeux SM... Alors pour toi que ne ferais-je pas?

Je quitte la table du petit déjeuner et me mets assise à ses pieds la tête sur sa cuisse. On se sourit, je glisse ma main sous son peignoir, entre ses jambes qui s’entrouvrent immédiatement et me laisse atteindre son buisson frais et tout propre. Je sens son clito, le prends entre le pouce et l’index. Les cuisses s’ouvrent largement, les fesses glissent sur la chaise, l’entrejambe vient à ma rencontre, alors que je pose ma tête à l’intérieur de sa cuisse immédiatement je sens ses effluves sexuelles.

— On est bien ensemble !
— Oui Line mais ça serait mieux si tu te déshabillais.

Avant qu’elle n’ait le temps de terminer j’ai ouvert ma jupe qui tombe au sol et d’un geste je retire mon pull, pas de sous-vêtements, je suis nue. Sandra reprend le pouvoir :

— Viens dans la chambre, nous avons toute la matinée devant nous mais pas pour perdre le temps.

Elle abandonne son peignoir et me prend par la taille. Dans la chambre nous sommes nues, les draps grand ouverts, nous y voyons les deux grandes tâches de nos amours de la nuit dernière. Elle rigole à haute voix en se jetant allongée sur le lit :

— Jamais deux sans trois !

Immédiatement elle relève les genoux, les écarte et des deux mains écartent les poils en ouvrant de manière indécente son sexe :

— Viens me sucer ! comme une bonne gouine.

Je m’installe entre ses cuisses dans le prolongement de son corps. Ma bouche se saisit directement de son clito, les doigts de Sandra le font se redresser comme un pénis, il est long de plus de quatre centimètres:

— C’est incroyable comme ton bouton est décalotté.
— Oui, résultat de jeux SM un peu douloureux... comme une circoncision ! Il est hyper sensible et toujours en érection....

Alors que je le titille de la langue et le sers à sa base entre mes dents :

— Hummmmm... Line tu me rends folle. Viens sur moi que je te suce également.

Je ne me le fais pas répéter. Je suis déjà à califourchon en 69 sur elle et mets mon pubis à proximité de sa bouche.

— C’est vrai qu’un pubis glabre c’est hyper excitant.
— Et un pubis velu, hyper odorant.

Fortes de ces considérations chacune lèche, suce, mordille, énerve le sexe de l’autre. Elle s’applique sur mon clito, découvre le capuchon, puis descend vers le vagin, ses mains écartent et distendent mes fesses. Elle est certainement plus expérimentée en jeu SM que moi par contre son vagin me semble moins large et je repense à ses paroles « que tu me donnes un coup de main »... Je place ses jambes sous mes aisselles, son calice d’amour s’ouvre et baille, s’en dégage un léger parfum naturel très érotique.

Je déverse toute ma salive dans son vagin qu’à deux mains je maintiens ouvert. De temps en temps je donne un petit coup de langue au clito circoncis. Ma langue voudrait atteindre son point G sans y arriver.
Deux doigts la pénètrent sans difficulté et un troisième se joint à eux, la descente vers le fond de la source de jouissance est aisée, les parois sont couvertes de cyprine, ses petits gémissements me disent que je suis sur la bonne voie et de son désir d’aller plus loin. La suite mérite beaucoup d’attention, l’auriculaire se joint aux 3 premiers, les quatre forment une ronde. La pénétration s’accompagne d’une dose de salive qui s’ajoute aux flots de cyprine. Les 4 doigts pénètrent profondément jusqu’à la jonction du pouce. Ils prennent leur place dans le calice d’amour.

— Oh oui Line c’est bon continue mais doucement, je suis beaucoup moins large que toi.

Le plaisir de mon « amante » m’encourage. C’est la première fois que je caresse ainsi une femme, les quatre doigts bien en place s’allongent jusqu’à frôler le fond du vase, je ne veux pas la brutaliser, je reviens avec deux doigts sur le point G.

— Line ! Viens plus profond, ouvre-moi, je suis prête !

Je la taquine encore un peu avant de sortir, de mettre mon pouce dans la paume, les autres doigts allongés et serrés pour former une pointe de lance. Les phalanges se plantent facilement, la jonction des doigts bloquent sur les petites lèvres. Lentement comme une tête de forage la main tourne sur elle-même, la pression s’accentue, mon autre main retiens les grandes lèvres qui ont tendance à s’enfoncer dans le vagin, encore un peu de salive comme lubrifiant, de patience, de pression et …

— Aaaaaaaaah... Line !

Je suis en elle, je touche le fond du vase, je découvre l’inconnu : tout au fond une sorte de gros gland arrondi et allongé fendu d’un orifice au sommet tout semblable à un pénis, aussi doux peut-être un peu plus gros. Je prends beaucoup de plaisir à le tripoter du bout des doigts.

Pendant ce temps Sandra connaissant mes dispositions, éloigne un peu mon bassin de son visage, à mon exemple plante ses doigts dans mon sexe couvert de salive et de cyprine après son long cunni et c’est moi qui m’empale sur son bras. Facilement sa main est en moi, je la sens tout au fond s’occuper de mon utérus comme d’une bite, titiller le col comme un méat.

Toutes les deux nous nous amusons à répercuter sur l’autre les attouchements ressentis. Tout en restant soudée, Sandra me pousse sur le flanc et nous voilà en tête-à-queue, face à face, notre tête reposant sur la cuisse de l’autre, ouvrant le compas de nos cuisses au maximum. Nos gémissements s’amplifient, je suis la première à jouir et Sandra ne tarde pas. Nous restons encore un moment ainsi, je retire ma main, son sexe reste béant, offrant à ma bouche tous ses secrets. Je m’en régale, le rose intérieur de ses lèvres tranche sur le brun de sa toison qui ressort plus sombre. On lèche, on embrasse, on suce, on nettoie le sexe de l’autre, on se régale de ses sécrétions.

Après un temps de contemplation, elle se retourne et vient s’allonger sur le côté face à moi, on sourit. Toute sa bouche, son menton, son nez sont couverts de mouille, de salive. Je l’embrasse à pleine bouche avant de lui faire sa toilette par petits coups de langue à l’image du chat.

Nous restons ainsi un moment l’une face à l’autre sans parler, on se regarde, on se sourit, sa jambe se place à ma taille, je sens à nouveau sa toison humide contre ma hanche :

— Line tu ne connaissais peut-être pas l’amour au féminin mais tu es une amante merveilleuse et tu m’as fait merveilleusement jouir.
— Toi Sandra, outre l’amour au féminin, entre le goût de l’urine et la chaleur de la fessée tu m’as fait découvrir de merveilleux plaisirs.
— Tu n’as jamais été fessé ?
— Pas vraiment, juste un peu de cravache sur les cuisses et le sexe.
— Oui, je me suis rendu compte que dans ton tiroir à joujoux tu as une cravache mais pas de fouet …
— Non plus, jamais fouettée.
— Oh ma chérie toute une éducation à refaire... Te faire découvrir la jouissance par la douleur ! Par contre tu es bien équipée en godes, j’ai vu un gode ceinture monstrueux !
— Oui je m’en sers avec Jack, il aime bien que je le défonce et le fasse jouir comme une lopette.
— Ah oui !!! il n’est pas exclusivement dominant.
— Non, il oriente nos jeux mais parfois il est soumis.
— Hummmm... J’adore, tu me laisses imaginer des choses... Le fouet, tous les trois, lui attaché... Ainsi tu portes la culotte, le gode ceinture... Tu me fais voir comme il te va ?

Après un bisou du bout des lèvres je vais chercher dans la commode le sextoy, il est lourd, énorme, plus de 25 centimètres de long et 7 de diamètre. J’enjambe le harnais de cuir sur lequel est monté le gode mais pour le fixer à la taille je demande l’aide de Sandra :

— Il est magnifique, tout veiné, le moulage du prépuce retroussé et du gland sont parfaits, j’aime aussi sa courbure très réaliste de l’érection... elle commence à le sucer. Dis-moi ton chéri se prend ça dans les fesses ? Un sacré suppositoire... il est quand même hors normes ! Tu me prépares bien, tu fais attention, Mon petit trou en a pris même en double mais de cette taille ça me fait un peu peur !
— T’inquiète ma chérie, je sais faire avec Jack, mets-toi bien cambrée, en levrette, repose ta tête sur l’oreiller et laisse-moi faire.

Elle me tend ses fesses, moi assise sur mes talons entre ses pieds, la pointe du gode reposant sur le lit. Des deux mains je lui flatte ses fesses de gymnaste, les écarte et ouvre sa rosette étoilée. Je la lèche, la couvre de salive, j’écarte les chairs, déforme le beau cercle, l’anus s’étire, ma langue le pointe. Mes doigts entrent en action, un immédiatement accompagné d’un deuxième :

— Oui Line, vas-y.

Je lui donne une grande claque et simultanément lui plante trois doigts, l’équivalent d’une petite bite. Je fore un peu l’ouverture mais ne m’attarde pas, à peine sortis, les phalanges de 4 doigts sont en place. Il faut un peu d’effort, je reprends mon forage, pousse et enfin ouvre le sphincter. Une suffocation de Sandra m’accueille :

— Oufff... doucement.

Pour toute réponse, d’une main je lui caresse une fesse, et fais un suçon à l’autre. L’autre main reste en place, tourne sur elle-même, le pouce caressant le pourtour, la poussée de la main et l’articulation des doigts obligent l’anus à s’ouvrir. Le pouce se positionne dans la paume et je force le passage par à-coups sans arriver à la pénètrer.
Avant de présenter le gode, avec un gel je masse la rondelle, puis l’anus, une noisette de gel supplémentaire pour bien lubrifier le petit trou, mes quatre doigts vont et viennent librement. C’est le moment que je choisis pour planter la tête du gode sur la rondelle, encore quelques gouttes de gel, je tiens le gode d’une main, prends Sandra à la hanche, elle creuse encore plus les reins pour mieux s’offrir.
Je force, elle résiste, j’amadoue l’anus, le séduit par petits coups de butoir, le gland se fait sa place, il a presque disparu, je donne un gand coup de reins et il est en place, l’anneau de chair s’est refermé sur le prépuce.

— AHHH... oufff.... putain que c’est gros,
— Détends-toi ma chérie.

Je lui laisse le temps de reprendre son souffle et c’est elle-même en bougeant un peu qui m’indique d’y aller. Je m’accroche à ses hanches et commence « dos pasos adelante, un atras » le gode s’enfonce régulièrement jusqu’au contact avec les fesses.

— Ça va Sandra ?
— …. Vuiiii, doucement il est gros !

En effet, je sais,, je laisse le fourreau s’adapter à l’objet, bouge un peu, Sandra m’accompagne, sa main se porte à son sexe, elle commence à se caresser, je bouge plus, j’allonge mes petits mouvements, les yeux rivés sur l’anus je contrôle mes va-et-vient, le gode et complètement en elle, j’accélère, il frappe les fesses qui tremblent à chaque coup.

— Oh oui, Line défonce-moi !

Je tiens à présent l’engin d’une main et sors complètement du cul pour replonger, l’anus reste béant et d’un coup, ma main remplace le gode, je la fouille profondément, tout le poignet est englouti.

— Oh ! Line … jamais on ne m’a ouverte ainsi ! 

Surprise, approbation, dans un premier je la sodomise en simples va-et-vient avant de m’attarder au fond de sa grotte, d’un doigt je cherche à aller plus loin... je trouve le passage, il est trempé, deux, trois doigts avancent, titillent les chairs secrètes. Mon avant bras est enfoui, je suis impressionnée, je n’ai jamais fait ça... Un peu effrayée entendant les râles de Sandra, je me retire lentement, elle s’affale sur le ventre :

— Line, que m’as-tu fait ? C’était si fort...

Nous restons encore un moment l’une contre l’autre dans un état de bien être total. La réalité se rappelle à nous, il est temps de se préparer, de se séparer.

— Line, nous avons vécu des moment inoubliables, il me tarde de te retrouver en compagnie de Jack... je vais juste passer aux toilettes et garder sur ma peau les traces de nos amours.
— Tu sens la lionne en chaleur.
— Alors je vais faire envie !

En souriant elle me donne une pichenette sur le nez, regroupe ses affaires dans son sac, s’habille de ses bas, jarretelles, jupe et pull en oubliant peut être volontairement ses sous-vêtements. J’appelle un taxi. Le baiser d’au revoir est doux, tendre, presque chaste, les cœurs sont tristes.

— A bientôt Line.
— A bientôt Sandra tu m’appelleras ?
— Oui.

La porte s’ouvre le sac disparaît, le silence est total, le vide est immense…à bientôt Sandra.
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