Je me présente, je m’appelle Jérôme, vingt ans et de loin de très loin un mannequin, je ne suis pas le beau gosse parfait qui fait craquer toutes les filles. Pourtant, je suis un grand brun, de 1m88, une bonne barbe et puis quelques tatouages qui rendent bien également, mais seul soucis, j’ai un peu de ventre et bien que de nombreuses personnes s’amusent à me dire que ça fait craquer plein de filles, moi, je n’ai jamais vu.Du coup dans tout ça, je suis loin d’être un dragueur professionnel, je dirais même que je suis timide comme pas possible, je n’aborde jamais une fille dans la rue, ni même envoyer une invitation sur un réseau social. Non, ce que je préfère, c’est la rencontre pure et dure, sans arrière-pensée, la connaissance qui se construit en amitié puis en amour, je suis romantique et dans le monde de nos jours ce n’est pas la première qualité qu’on recherche. Mais tout ça, a changé le jour où j’ai rencontré une fille qui a changé beaucoup de choses dans ma vie.
Un jour, alors que je suis avec un couple d’amis, ils me suggèrent quelque chose. — Tu devrais aller sur un site de rencontres, en deux secondes, tu vas trouver quelqu’un. Dans ma tête, je suis contre les sites de rencontres pour moi, c’est que pour le sexe bien souvent et vous l’aurez deviné en tant que romantique, je ne suis pas très sexe, je ne suis pas puceau hein, mais je ne suis pas accro à ça. — Non, tu connais mon avis sur les sites de rencontres, ce n’est pas pour moi.— Tu dis ça, mais essaye punaise, tu as quoi à perdre ? Bon, il marque un point et après les avoir quittés, je rentre chez moi et l’idée est restée. Alors je me laisse tenter, sur mon canapé, je télécharge l’application la plus connue puisque je ne connais rien de rien dans ce domaine et je fais mon profil même si je suis un peu gêné. Rapidement, j’ai de nombreux retours, je ne pensais pas, mais j’ai un petit succès, malheureusement, comme je l’avais prédit, beaucoup se lassent, car elles parlent avec trop de gens et les autres vont directement sur le sujet du sexe. Sauf une, qui attire mon attention, elle s’appelle Cynthia, une très très très jolie blonde aux yeux bleus, il y a une seule photo, mais la seule que je peux voir me charme déjà, je reste cependant sur mes gardes. Au fil des jours voire des semaines, je continue de discuter avec elle et j’apprends donc qu’elle a vingt-six ans et que c’est une coach sportive et professeur de yoga, elle n’a pas choisi le bon, car je n’aime pas le sport. Je n’arrive pas à avoir d’autres photos, du moins je n’ose pas demander et comme j’ai toujours peur que cela soit un troll ou une blague, je lui propose de se rencontrer. — Cela fait un petit moment qu’on se parle, j’aimerais bien te rencontrer, ça te tente ?— Oui bien sûr pourquoi pas, une soirée Netflix chez moi ? Je suis un peu décontenancé en voyant le message, je pensais à un truc classique comme un restaurant ou un cinéma ou même une simple balade dans le parc, néanmoins, je lui réponds. — Euh oui, mais directement chez toi ? Je pensais que tu aurais préféré un restaurant ou autre.— Je ne suis pas très bain de foule, je vois déjà assez de monde à la salle de sport et je préfère cuisiner moi-même. Ça te dérange ?— Non, bien sûr que non, je n’ai juste pas l’habitude de rencontrer pour la première fois une fille directement chez elle.— Ne t’en fais pas, je ne mords pas et puis on parle depuis quelques semaines, je te fais confiance, on se dit dimanche 18 h ?
— Je serai là. Finalement, je commence à vraiment bien l’aimer, mais une inquiétude commence à grandir au fond de moi, et si c’était une autre personne ? Non, je chasse cette idée de ma tête et laisse place au stress de rencontrer une fille qui me plaît prendre le dessus.Très vite, la date fatidique arrive et je suis devant son palier, le cœur qui bat à mille à l’heure. J’ai fait un effort vestimentaire, et j’ai troqué mon habituel t-shirt et pantalon pour une chemise avec un petit chino, je sens peut-être aussi un peu trop le parfum et j’espère que ma bouteille ne fait pas tâche. Je prends mon courage à deux mains et je toque, quelques instants plus tard elle ouvre et je tombe des nues. Non seulement, c’est bien la même personne que sur la photo, mais elle est encore plus jolie en vrai. Elle porte un débardeur noir laissant apparaître un décolleté qui me suggère qu’elle a une grosse poitrine, je dirais du 95 D, et elle a également un short gris, elle s’est mise dans une tenue confortable et je me sens bête d’être aussi habillé devant elle, sans compter que je me ridiculise puisque je suis tellement subjugué devant sa beauté qu’aucun son ne sort de ma bouche. — Jérôme ? Ça va, on dirait que tu es figé ? Je reprends mes esprits et mes manières et lui réponds. — Excuse-moi, j’ai été agréablement surpris, tu es bien plus jolie en vrai et je ne peux que rester sans mots devant toi.— Ce charmeur va ! Allez entre et va poser ta bouteille sur la table de salon. Il semblerait que je me sois bien rattrapé, elle a souri face à ça et j’entre dans son appartement, et dans mon Dieu quel appartement. Tout est neuf, et épuré, en plus d’être sportive, madame a un excellent goût en matière de mobilier et de décoration. — Tu es aussi architecte d’intérieur ? Non, parce que c’est sacrément joli chez toi.— Merci ! J’ai demandé des conseils d’un ami, c’est pour ça. Je me retrouve devant la table de salon et vois tout un tas de couverts, elle n’a pas menti, elle aime cuisiner. Je m’installe et je pose la bouteille et que dire de tout cela. Je sens mon stress disparaître un peu plus et surtout, je la vois faire de nombreux aller et retour durant tout le repas, elle s’est donnée du mal et une autre de ses qualités, c’est un véritable cordon bleu, elle m’impressionne de plus en plus. Cependant, j’ai envie de me frapper durant tout ce repas, entre toute les fois où elle se penche et me donne une vue sur son décolleté et les autres fois où son fessier se balance en allant dans la cuisine, je me surprends à reluquer plus d’une fois et je ne voudrais pas être grillé et tout gâcher, mais fort heureusement le repas se termine enfin et fini les distraction. — Tu as bien aimé ?— Très clairement, oui, tu n’as pas menti et je comprends mieux pourquoi tu préfères cuisiner, c’est tout aussi bon qu’au restaurant.— Je me dois de trouver des recettes bien pour le sport alors j’ai beaucoup cuisiné, tu mets Netflix, je vais débarrasser.— Tu es sûre que tu ne veux pas de l’aide ?— Non ne t’en fais pas, je gère. Je m’exécute donc et je mets Netflix sur sa télé, mon esprit et mes yeux divaguent encore sur elle et je ne peux renier mon attirance pour elle. Après un moment la voilà qui s’installe à côté de moi, collée à moi, comme si elle me connaissait depuis longtemps, cela me gêne un peu mais me rassure, elle se sent à l’aise avec moi. — Petit film d’horreur ? Elle me le demande avec un grand sourire et bien que je n’aime pas les films d’horreur face à un sourire aussi envoûtant, je ne peux refuser et acquiesce, je sens aussi que tout est planifié et cela ne va pas tarder à être confirmé. Elle lance un film d’horreur classique, et comme je m’en doutais, c’est prévisible et on sait déjà la fin dès les premières trente minutes, mais mon attention est rivée sur autre chose. Sa main se balade le long de ma jambe et frôle mon entrejambe, je pense que c’est un moment de tendresse et je m’empêche d’avoir une érection, je ne veux pas tout gâcher, mais mes comparses masculins savent qu’il est difficile de se retenir face à une fille qui nous plaît et il arrive ce qui devait arriver. En baladant sa main, celle-ci frôle mon érection et le temps semble s’arrêter pour moi tout comme sa main, je ferme les yeux, m’attendant à une réaction négative, mais au lieu de ça, j’entends le film s’arrêter et naturellement, j’ouvre les yeux et je la vois me regarder avec un autre type de sourire, un sourire qui laisse deviner de l’envie, c’est ce qu’elle voulait.Je me suis fait bêtement piéger par elle et je n’ai le temps de rien dire que nos lèvres se rejoignent dans un baiser fougueux tandis que sa main reprend mon érection à travers mon pantalon. Je ne sais combien de temps cet échange de baiser à duré, mais elle le brise pour enlever son débardeur, la voilà en soutien-gorge devant moi, je peux donc confirmer que sa poitrine est proéminente et je la rejoins en enlevant ma chemise, me voilà torse-nu devant elle oubliant mon physique loin du sien, mais en voyant son regard et ses lèvres qu’elle mord, j’en déduis que ça semble ne pas lui déplaire. La seconde d’après elle est entre mes jambes, enlevant délicatement mon pantalon et au passage mon caleçon qui retenait mon érection, je n’ai pas spécialement un grand sexe, je dirais que je suis au dessus de la moyenne, un bon dix-huit centimètres, suffisant pour satisfaire les dames je pense, du moins Cynthia semble être de cette avis puisque pendant que je me pose des questions sur mon anatomie, elle ne perd pas de temps et embrasse mon gland légèrement tout en passant de rapides coups de langue, je frémis et comprends que je ne tiendrai guère longtemps. Une minute plus tard, fini de jouer et elle me prend pleine dans sa bouche, je dois jouer stratégiquement pour profiter un maximum et je ferme les yeux, caressant doucement ses cheveux, mon dieu qu’elle sait s’y prendre, il n’y a aucune hésitation dans ses gestes, lentement mais sûrement elle joue avec sa langue autour de mon gland tout accélérant le rythme de son mouvement sur mon sexe, et malgré de nombreux efforts je ne peux me retenir et suis obligé de la prévenir que je vais venir, elle se retire et me finit en prodiguant une somptueuse masturbation et avec le sourire malicieux bien à elle. Je reprends mes esprits peu de temps après. — Désolé, ça faisait longtemps que… Je n’ai pas le temps de finir sa phrase qu’elle me met le doigt sur la bouche, elle domine et mène la cadence, ce qui me plaît amplement mais il est temps de lui rendre la pareille, du moins le temps que mon sexe reprenne des forces et qu’on puisse s’adonner pleinement à ce dont j’ai maintenant envie et que j’ai nul doute qu’elle aussi. Je la bascule gentiment sur le canapé, c’est à moi de prendre les rênes et de lui faire plaisir, j’enlève lentement son short qui est trempé et je remarque donc qu’elle n’a pas de culotte, la coquine.Je remonte doucement vers son cou et l’embrasse, je veux la faire languir, et descends petit à petit, longeant ses côtes, puis ses hanches, elle frissonne de plaisir et d’impatience, je ne me reconnais plus et finalement je me retrouve devant son entrejambe, qui me donne absolument envie, je fais semblant d’hésiter un instant et je la sens gigoter pour signifier son impatience, c’est le signal donc pour moi de m’affairer à lui donner du plaisir et je plaque ma bouche directement sur son clitoris, si j’ai bien appris quelque chose dans le sexe, c’est que beaucoup de filles ont le clitoris sensible. Et c’est exactement pareil pour elle, dès l’instant où ma bouche est là où je veux, elle lâche un gémissement soudain qui me surprend un peu, tout en la traitant comme il se doit en bas, je remonte mes mains pour aggriper cette poitrine qui me tarde de masser, et peu de temps après, elle retire son soutien-gorge, nous sommes entièrement nu tout les deux et je sens cette tension sexuelle monter dans la pièce tout comme son orgasme qui semble pointer le bout de son nez également, je ne perds pas une miette de mon devoir et accélére petit à petit ce qui finit par la faire partir dans un gémissement puissant, pauvres voisins.Je m’arrête progressivement et relève la tête et me redresse sur elle. Je veux l’embrasser, je veux de nouveau ce baiser fougueux, lui transmettre à quel point elle me plaît. Et elle accueille avec plaisir mes lèvres et tend sa main sur mon sexe qui a repris de la vigueur, elle ne veut pas laisser redescendre le plaisir et le frotte contre le sien. J’ai compris son signal et tandis que je l’embrasse dans le cou, je m’insère légèrement, je veux toujours la faire chavirer d’impatience et de plaisir. Elle ne semble pas être du même avis et lâche un petit grognement de mécontentement, je souris à travers les tendres baisers que je laisse dans le creux de son oreille.Je rentre finalement jusqu’à la garde en elle, et immédiatement, je suis surpris par l’étroitesse de son antre, je comprends également par la même occasion que je ne vais pas encore tenir bien longtemps, ce que je regrette. Toujours sans un mot, simplement des respirations haletantes et parfois lourdes suivies de gémissement, je lui fais l’amour avec beaucoup de tendresse, pas de sexe bestial malgré une tension palpable, non je veux l’honorer comme il se doit, lui montrer toute l’attirance que j’ai pour elle, et ses gémissement parfois bruyants mais aussi très sensuels accompagnés par des jeux de regards qu’elle me lance, que je suis satisfait de ce que je fais, je suis en transe avec elle, je la regarde dans les yeux, je prends plaisir à partager un moment de volupté avec elle et malheureusement tout à une fin et même si je voudrais que cela dure je ne peux résoudre bien longtemps mon corps à tenir, et alors que je donne un dernier coup de rein, je la vois se mordre les lèvres, je pense qu’elle va jouir alors je reprends directement mon coup de rein et je la sens véritablement venir, c’est trop pour moi et je me retire pour finir sur ventre, me surprenant car mon éjaculation lui tapisse le ventre et atteint son menton. Le calme bat son plein tandis que nous sommes là à reprendre nos esprits, je viens lui déposer un baiser dans le cou, avant de m’allonger, je ne me rappelle pas de la suite, car je me suis endormi dans ses bras, et je me suis réveillé le lendemain toujours dans ses bras, une chose est sûre, c’est que je compte bien continuer de lui parler.
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