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Une rencontre à trois

Chapitre 1

On se retrouve

Avec plusieurs femmes
Depuis ma « Rencontre un peu particulière», je suis restée en relation avec Sandra. A plusieurs reprises avec Jack nous avons envisagé de la rencontrer jusqu’au moment où il lui adressa la lettre suivante :

Chère Sandra,

Line m’a fait part du plaisir qu’elle a pris dans vos bras, de votre expérience de Soumise et de votre souhait de partager un moment ensemble.

Nous vous invitons le 14 février en fin d’après-midi, si cela vous convient

Nous vous rappelons que nos relations sont celles d’adultes consentants et d’obéissance en situation de soumission avec comme limites :

Le respect de la dignité de la personne, sans acte dégradant ou dangereux : zoologie, scatologie, étouffement.

Nous souhaitons que vous soyez élégante, maquillée, coiffée, manucurée, épilée. Les bas et jarretelles sont de rigueur, les autres sous-vêtements sont déconseillés, vos charmes doivent toujours être disponibles.

Dans l’attente de votre réponse, chère Sandra, très érotiquement, nous vous embrassons.

Par retour de courrier Sandra répondit qu’elle acceptait à la condition que je reste à ses côtés.


Depuis ce courrier je ne vivais que dans l’attente de ce jour.

Je me prépare avec beaucoup de soins, épilation, maquillage et robe habillée beige aux discrets décors floraux noirs. Le profond décolleté permet de voir un soutien-gorge blanc offrant mes seins nus jusqu’aux tétons. La jupe très ample se relève facilement pour découvrir mon ventre nu et mon sexe orné de mon bijou préféré : Le Byzantin, deux longs U articulés qui se replient l’un dans l’autre sur mon bourgeon en pinçant les grandes lèvres et décalottant le clito. Enfin des bas et des escarpins, habillent et galbent mes jambes.

Je retrouve Sandra à la gare de l’Est pour la conduire à la maison.

Le train vient d’arriver et je n’ai pas beaucoup à attendre pour reconnaître la silhouette qui en octobre dernier quittait la maison en laissant un si grand vide. Une immense émotion m’envahit, je suis folle de bonheur, mes yeux se remplissent de larmes, Sandra est toute proche de moi, nous tombons dans les bras l’une de l’autre. Dans cette gare au milieu du tumulte, le bruit s’assourdit, la foule s’évanouit, nous nous retrouvons seules au monde, nos yeux brillent comme des étoiles, nos corps se rejoignent, nos lèvres s’unissent avec force, nos dents s’entrechoquent, nos langues se rencontrent, nos salives se mélangent. Après un moment loin de tout, je reviens, je retrouve la lumière et le brouhaha de la gare :

— Sandra enfin...

— Chutt Line !

— Sandra, comment vas-tu ? as-tu fait un bon voyage ??...

Je suis comme une chienne folle qu’on n’arrive pas à calmer :

— Line, tranquille, tout va bien, nous sommes ensemble tout va très bien.

— ... Oui, ça va, allons à la maison, Jack est impatient.
Bousculée par la foule nous commençons à avancer sans cesser de se regarder. Arrivées dans un coin tranquille, nous prenons le temps de nous embrasser à nouveau. Nos lèvres se fondent à nouveau mais à la force du premier baiser, suit un autre plein de tendresse, plein d’amour, les langues se caressent avec suavité.

— Line, tu es resplendissante !

— Et toi ma chérie, MA-GNI-FIQUE !

— Crois-tu que pour Jack ça ira ?...

— Ouvre ton manteau !

Sandra est habillée d’une veste bleu électrique très cintrée, je la déboutonne et découvre le profond décolleté d’une robe noire, la jupe évasée arrive au dessus du genou. Je frôle ses hanches et sens les jarretelles, je caresse le ventre jusqu’au pubis, d’une pression de la main je constate que le ventre est nu. Le froissement du tissus avive le parfum, malgré le désir je lâche la robe :

— Tu es parfaite… Ton parfum est envoûtant !

— Shalimar, c’est mon premier habit, mon péché mignon. Nathalie l’adore, elle dit qu’il est très sensuel !!!

— Nathalie ???

— Je ne t’en ai pas parlée ? C’est une de mes supérieures dans mon job. Il y a quelques temps, elle m’a invitée dans son appartement à prendre un café. Je savais qu’elle était lesbienne mais je ne savais pas que je lui plaisais... Bien que hétérosexuelle, il y a des femmes, comme toi et elle, qui m’attirent...

    « Sans grande résistance de ma part elle m’a embrassée... Dominatrice elle m’a déshabillée, m’a couchée et nous avons fait l’amour comme des chiennes...

    « Depuis nous nous retrouvons occasionnellement.
 
Un immense sentiment de jalousie m’envahit... Je suis absente quelques secondes :

— Line, hou-hou, ça va ?

— Euh...Oui…Allons viens ma chérie. Allons à la maison, Jack va s’impatienter.

Nous partons bras dessus-dessous et quittons la gare. Dans le taxi qui nous conduit à la maison Sandra m’a prise dans son bras, me caresse doucement les cheveux puis me dit :

— Tu as vérifié que ma tenue convenait mais moi je n’ai pas…

Elle associe le geste à la parole, elle met sa main sur mon genou, remonte doucement ma jupe sur mes jambes qui instinctivement s’écartent, ses doigts touchent mon clito et mon bijou. Je suis surprise comme je me suis libérée en si peu de temps.

— Oh !... Tu l’as mis, j’adore ton petit pingouin !

Effectivement le bijou donne à mon sexe une allure de pingouin avec sa tête et ses manchons. Elle caresse le clito hyper sensible et les lèvres pincées par le Byzantin.

— Le bas c’est bien…mais le haut est-ce correcte ?

Elle quitte ma jupe relevée, laissant découvert le ventre nu pour ouvrir mon manteau. Sa main écarte largement mon décolleté pour dégager un sein posé dans une la demi-coque et la pointe couverte d’un tulle blanc. La vue ne lui suffit pas, elle englobe le sein par en dessous et saisit le téton entre le pouce et l’index qu’elle pince…violemment. Mon sourire fait place à une petite grimace de douleur. A voix basse mais audible par le chauffeur :

— Oui, c’est bien, ta tenue est conforme à ses attentes.

Le taxi ralentit et s’arrête devant mon immeuble, je refais surface et au moment de payer, je constate qu’une fois encore je me suis livrée bien involontairement à une exhibition dont le chauffeur n’a rien manquée.

La cour et l’ascenseur sont familiers à Sandra, avant de monter j’avertis Jack de notre arrivée. A l’ouverture des portes de l’ascenseur, il se tient sur le pas de la porte, en costume sombre, chemise blanche et cravate pour nous accueillir. Tout en prenant le sac de voyage de notre invitée, d’une voix chaude et suave il nous prie d’avancer :

— Bonsoir Sandra, soyez la bienvenue, entrez !

Elle entre la première, je la suis et Jack referme la porte derrière nous.

Nous voilà tous les trois réunis.

Mon mari d’un œil perçant déshabille ’’notre’’ amie. Il est, comme moi la première fois, hypnotisé par sa beauté, un visage ovale soigneusement maquillé, encadré de longs cheveux châtains, des yeux noisette clair aux paupières légèrement ombrées et des lèvres pulpeuses très rouges entre lesquelles pointe la langue.

— Sandra, vous êtes magnifique !

Avec respect il lui fait le baise-main... "pour mieux te soumettre mon enfant" ! En fait je me demande qui va dominer l’autre, elle a de l’expérience ou peut-être s’abandonnera-t-elle, savoir quel Maître est mon mari.

Il l’invite à se défaire. Elle ouvre son manteau et les épaules en arrière, le laisse tomber au sol. Il le ramasse, par politesse mais certainement en faisant  l’erreur de se mettre aux pieds de Sandra. Sa veste cintrée souligne magnifiquement ses formes. Elle s’ouvre sur le décolleté de la robe noire qui descend jusqu’à la base des seins. De mon côté j’ai quitté mon manteau, prend celui de Sandra des mains de Jack et les dépose sur le canapé de l’entrée.

Nous entrons dans le salon. Il a préparé l’apéritif, informé des goûts de notre invitée, le champagne nous attend.

— Jack, je vous remercie pour votre invitation. Je suis ravie de vous rencontrer et de retrouver Line.

— Line m’a beaucoup parlé de votre rencontre et de l’exposition des Mayas.

— Oui, nous avons fait de merveilleuses découvertes à cette occasion !

Le double sens de découvertes n’échappe pas à mon mari.

— Alors, buvons à ces découvertes et à celles à venir... Après l’apéritif nous irons dîner à côté où j’ai réservé une table.

Nous levons nos verres et trinquons. Sandra me prend par la main pour nous assoir sur le même canapé, face à Jack assis dans un fauteuil.

Quel coquin ce Jack, quand il trinque aux prochaines découvertes mais quelle coquine cette Sandra de s’assoir ainsi jambes croisées en découvrant la moitié de ses cuisses.
La conversation s’engage sur les Mayas, les sites mexicains et guatémaltèques puis tout en continuant à vouvoyer notre invitée, Jack oriente la discussion sur la raison de notre rencontre et demande à vérifier nos dispositions :

— Mesdames, j’ai précisé dans l’invitation les règles à suivre et en particulier en habillement. Votre élégance ne cache-t-elle une pudeur excessive ?

Avec son ascendant naturel Sandra répond :

— Line faisons voir à Monsieur ce qu’il souhaite !

Toutes les deux, debout face à mon mari en le fixant du regard, bien campées sur nos jambes un peu écartées, nous remontons lentement nos jupes jusqu’à la ceinture découvrant nos jambes gainées de bas ou de collant, et nos ventres nus.

— Mesdames, dit-il d’une voix irritée, vous semblez oublier une règle. Sandra APPROCHEZ !

Immédiatement, elle comprend, change d’attitude et se présente tête baissée, mains dans le dos retenant la jupe à la taille, jambes écartées. Arrivée à portée de mains il lui donne une violente claque sur la cuisse :

— OUI ! je préfère ainsi !

Redressé au bord de son fauteuil du revers de la main il lui donne une autre claque sur le ventre avant de la saisir par le haut de la cuisse pour l’amener tout contre le fauteuil entre ses genoux et de lui embrasser le ventre.

— Ouvrez mieux vos jambes !

Satisfait de son montre d’autorité, il reprend place dans son fauteuil et avec douceur du dos de la main, il caresse le ventre épilé, apprécie le velouté de la peau, puis à nouveau changement d’attitude, il claque violemment du plat de la main l’entrejambe à deux reprises avant de planter deux doigts dans la vulve. Il s’y attarde, Sandra réagit, se crispe, gémit puis il porte les doigts à son nez et à sa bouche

— Retournez-vous, et montrez-vous !

Elle se retourne en rejetant sa jupe sur les reins comme les filles du Can-Can. Penchée, elle écarte ses fesses à deux mains. Il a devant lui le sillon fessier largement ouvert et l’étoile du nord. Je suis face à elle, ses yeux, sa bouche expriment son ressenti. La caresse, le doigter de mon mari durent, les yeux se crispent, la bouche s’ouvre comme par manque d’air et sans un son. Je sais qu’il peut être brutal dans ses touchers. Une grande claque met fin à la consultation, elle se relève alors qu’il la complimente :

— C’est mieux ainsi, vous êtes docile et disponible, je suppose que votre gorge...

Elle se relève, se retourne, ouvre sa veste bleue et la laisse tomber en arrière au sol. La robe est tenue à la taille, un bouton saute et le décolleté s’ouvre largement sur les seins nus. Le regard plein de concupiscence Jack frappe en aller-retour, un sein d’un revers, et l’autre du plat de la main. Ils tremblent à peine, les tétons se contractent et s’assombrissent immédiatement :

— Merci Sandra, veuillez s’il vous plaît me présenter votre amie !

Oh ! le salaud. Sandra tout sourire, la robe remise en place, vient vers moi. Pour me mettre à l’aise, elle m’embrasse à pleine bouche et à haute voix :

— Viens Line que je te présente à notre Maître !

Elle me pousse vers lui, me fait prendre la bonne position, tête baissée, jambes écartées. D’une main elle me tient les poignets relevés haut dans le dos en m’obligeant à bomber le torse, de l’autre elle ouvre la fermeture éclair, en un clin d’œil elle me débarrasse de ma robe et me fait reprendre la bonne position.

Sans ajouter un mot, elle me frôle tout le corps avec tendresse, me donne la chair de poule, me met en émoi. Puis ses caresses deviennent appuyées, sa main prend un sein, deux doigts pincent la pointe, l’autre posée sur le pubis, trois doigts pénètrent profondément le ventre. Ses doigts triturent mes chairs, s’agitent dans mon ventre. Elle prouve à Jack s’il en était besoin notre totale intimité et combien je mouille.

Toujours sans attendre d’instruction, elle me pousse vers le fauteuil de Jack jusqu’à avoir mes genoux contre l’assise, mes cuisses ouvertes au dessus des genoux de mon mari, mon ventre est face à lui. Elle remonte tellement mes poignets dans le dos qu’elle m’oblige à me arquer et à rejeter brutalement la tête en arrière, je ne vois que le plafond. Elle me pince un téton, le roule de plus en plus fort, le tire, le tord. Je respire fort, je gémis, elle murmure à l’oreille:

— Tais-toi !

Elle me fait mal. Le téton grossit, s’allonge, rougit, il brûle. Je garde le silence, mes yeux se remplissent de larmes, fière je pense "Regarde comme je peux m’offrir."

Jack est tout proche de moi, je sens son souffle haletant, preuve de son excitation, jamais il ne m’a vu ainsi avec une femme. Il porte ses lèvres sur mon ventre épilé, sa langue sur la tête de mon pingouin. Ses doigts couverts de salive caressent mes lèvres emprisonnées dans le bijou, sa main glisse entre mes cuisses, les obligent à mieux s’ouvrir et atteint mon petit trou. Deux doigts me pénètrent brutalement alors que Sandra me violente le téton. Je ne peux m’empêcher de crier, « Aïe ! » un cri strident, bref, puissant, de surprise et de douleur.

On entend mes reniflements, je pleure. Les douleurs mélangées, de la pénétration et du tiraillement d’un sein, me font perdre l’équilibre mais Sandra me retient fermement par les poignets.  La douleur devient chaleur, Jack me met un troisième doigt dans le cul.Mes sphincters s’ouvrent par la jouissance. Toujours tenue fermement dans le dos, elle m’oblige à fléchir les genoux en écartant les cuisses au-dessus de celles de Jack, tant et si bien que je tombe un genou à terre et l’autre sur la cuisse de l’homme, mon entrejambe est largement ouvert. Elle me livre à lui.

D’une main, il me violente un sein, le frappe, le pétrit, le comprime de toute sa poigne, s’en prend à mon téton qu’il allonge au point de l’arracher. De l’autre, il me tient au ventre, le pouce sur le clito, deux doigts dans la vulve à la base de mon bijou et deux autres dans mes fesses. Il me branle ainsi les deux orifices en même temps, je jouis des deux côtés à la fois, on n’entend que le clapotis de mes sécrétions et ma respiration accélérée jusqu’à ce qu’un cri rompe l’agitation de la main.

— Ouiiii ! ui, ui, ui...

Je pleure et je jouis en même temps, mes pleurs de souffrance deviennent larmes de jouissance. Jack me lâche en me donnant une grande claque « Splashhh » sur mon entrejambe pleine de cyprine, Sandra m’aide à me remettre debout :

— Line mets de l’ordre dans ta tenue, avant d’aller dîner.

Je passe à la salle de bain, un coup de gant de toilette, je remets en place mon Byzantin en étirant bien mes lèvres, ajuste mon soutien-gorge, une retouche de maquillage et j’enfile ma robe...

Pendant ce temps Jack et Sandra ont brisé la glace je les retrouve en train d’échanger un baiser à pleine bouche... Je repense à Nathalie et Sandra, une pointe de jalousie assombrit mon visage, une idée diabolique me traverse l’esprit, je vais y réfléchir.

Elle a juste besoin de reboutonner son corsage pour être impeccable.

Nous vidons les coupes et partons vers le restaurant où une table ronde nous est réservée dans un coin discret. Nous nous asseyons, Jack entre nous deux sagement assises :

— Mesdames, vos robes s’il vous plaît !

Chacune découvre ses jambes et ouvre son décolleté.

Le serveur sans prêter attention, nous apporte le menu de la St Valentin : Foie gras et poulet de Bresse aux truffes. Jack commande les vins Monbazillac et Gevrey-Chambertin en précisant que nous sommes pressés.

Tout va très vite, les plats sont délicieux, les vins sont bons. Nous parlons beaucoup, rions encore plus, les mains s’égarent d’impatience.

Le serveur nous propose le dessert mais Jack précise :

— Nous prendrons le dessert à la maison.

— Je comprends, le duo de ces dames sera certainement meilleur que le nôtre au chocolat !

Le service a été parfait, discret et rapide, Jack le reconnaît par le généreux pourboire laissé. Nous quittons le restaurant alors que le service bat son plein dans la grande salle.

Rapidement nous rentrons à l’appartement pour une soirée qui promet d’être longue.
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