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Une rencontre à trois

Chapitre 3

Inversion des rôles

Avec plusieurs femmes
Jack est dans la chambre, en chemise et pantalon. Il est assis face au lit tout sourire. L’ambiance est très intime, on entend à peine de la musique … Ray Charles pour le moment et seule une lampe de chevet est allumée.

— Mesdames, je vous attendais, faites-moi plaisir !

Après la séance qu’il nous a fait vivre sa demande nous surprend. Après un instant de réflexion Sandra semble décidée, elle l’invite à danser et me fait signe de m’allonger sur le lit.
Je suis spectatrice de leur frotti-frotta terriblement sensuel, tournée vers eux je ne peux m’empêcher de me faire plaisir. Ils dansent si on peut dire, elle nue lui caressant le cou et lui habillé la pelotant outrageusement. Ils s’embrassent à pleine bouche, elle miaule en lui retirant la chemise :

— Doucement chéri ! Regarde comme je les ai maquillés.

Il s’écarte d’elle et tète le sein maquillé, elle en profite pour ouvrir le pantalon. Elle me sourit puis fait demi-tour. Maintenant, c’est à mon mari que je me présente dans une posture indécente. Il n’en croit pas ses yeux de me voir ainsi libérée, le pantalon tombe sur ses chevilles, il est en débardeur et boxer blancs :

— Regarde chéri, comme ma copine se caresse, tu ne voudrais pas qu’on t’offre un spectacle ?
— Oui, avec plaisir, que me proposez-vous ?
— Fais-nous confiance ?
— Euh... Oui !

La page de la soumission est être tournée, il semble que nous ayons à faire à un type qui veut se payer deux filles

— Parfait ! Line cherche-moi la mallette de cuir et chéri maintenant tu nous laisse faire. Assieds-toi dans ce fauteuil.

C’est un fauteuil sans accoudoir. Sandra découvre le contenu de la mallette: des cordes, des foulards, du scotch, des pinces, des godes et la cravache. Elle me chuchote,

— On va l’attacher. Tu l’immobilises en t’asseyant à califourchon sur lui et en lui enlevant son maillot, je m’occupe de la corde.

Jack est content de me recevoir nue sur ses cuisses même si probablement il aurait préféré jouer avec ma copine plus délurée. Je lui retire le débardeur ce qui permet à Sandra de passer derrière le fauteuil, sans être vue, avec une corde de bondage. Je l’embrasse, le caresse de mes mains, de mon entrejambe. Sans résistance de sa part en une minute il a les deux chevilles solidement ficelées au fauteuil. Il se laisse faire lorsque je descend ses mains vers Sandra et se retrouve les deux poignets attachés aux pieds arrière du fauteuil. Enfin Sandra l’immobilise complètement par cinq tours de corde ficelant son bassin au fauteuil. Contente du travail, elle me fait lever :

— Voilà mon chéri, le spectacle va commencer.

Debout au dos du fauteuil, je caresse la poitrine de Jack, laissant Sandra maitresse de cérémonie. Elle fouille dans la mallette et prend les deux pinces crocodile. Jack se rebiffe :

— Sandra il n’en est pas question !
— Mais siiiii mon chéri, puis criant, TU NOUS LAISSES FAIRE !!!
— Nooooooooon !

C’est peut-être seulement à ce moment que Jack se rend compte qu’il est totalement à notre merci. Avec un sourire carnassier et sans hésitation elle fixe les pinces Clic ! Clic elles mordent les tétons et le font hurler de douleur « AIIIIE ». Sandra revient vers lui avec le rouleau de scotch pour déménageur

— Noo !

Il n’a pas le temps de terminer qu’il est mis au silence.

— Monsieur vous êtes vraiment trop bruyant.... Regarde Line comme il a de tout petits tétons, on va les faire grandir !

On joue chacune avec une pince en la faisant aller de haut en bas. Les yeux de mon mari expriment la souffrance qu’il ne peut crier. Toute la suite de la soirée se met en place dans la tête de Sandra.
Armée d’une paire de ciseaux, sous les yeux horrifiés du "Monsieur", Clac ! Clac ! elle coupe les deux côtés du boxer, le tire en avant et met à nu le sexe en écartant les cuisses sur les côtés. Le membre repose sur les fruits. Je pense à l’exclamation de Tosca "Et devant lui tout Rome tremblait". A genoux, le premier contact de Sandra est avec la langue. Elle parcourt la tige de la pointe à la racine avant de gober le bourgeon en le décalottant. Les mains s’occupent du tronc et des fruits.
Jack écarte encore plus les cuisses mais c’est mal la connaître, il n’est pas question qu’elle le fasse jouir sitôt. Elle retourne fouiller dans la mallette et revient avec un cordon de tirage de rideau de près de deux mètres.

— Monsieur vous êtes vraiment indécent, je vais vous habiller !

Tenu au silence seuls ses yeux expriment son inquiétude. Pour l’habiller, comme elle dit, elle lui fait un bondage. En partant du milieu du cordon, elle encercle la base du pénis de deux, trois tours, puis ligote le scrotum en éloignant les testicules du tronc de presque 10 centimètres, enfin elle saucissonne le manche d’un grossier maillage en terminant avec deux tours de cordons et un double nœud à la base du gland.

    Rapidement le bondage fait grossir la verge et bleuir les couilles. Le côté sadique de Sandra se réveille, ses ongles griffent presque au sang la peau distendue avant de la gratifier d’une léchouille.

— Voilà vous êtes  plus présentable et maintenant soyez sage !

A le voir, je ne suis pas persuadée qu’il se sente très bien, immobilisé au fauteuil et le sexe en érection sans pouvoir se soulager.
Le fauteuil est à moins de 50 cm du lit, Sandra s’assied au bord du lit face à Jack et se couche sur le dos. Son entrejambe largement ouvert est à moins d’un mètre des yeux de mon mari. Je m’allonge près d’elle en repliant les jambes sur le lit.

— Viens ma chérie aimons-nous ! Tu vas voir comme l’exhibitionnisme accroît la jouissance.

Question exhibition, nous offrons au spectateur un premier tableau de nos sexes, elle en posant les pieds au bord du lit et écartant les genoux, moi en relevant un genou à 90° et laissant Sandra me caresser la fente.
On s’embrasse amoureusement, je la couvre partiellement de ma poitrine et par un jeu de jambes, elle me fait passer sur elle. Je me retrouve allongée sur sa poitrine, ses genoux entre mes cuisses, mon pubis contre le sien. Ce deuxième tableau est beaucoup plus érotique. Alors qu’elle tortille du croupion, je sens mon sexe ouvert et nos ventres glisser l’un sur l’autre, j’ai même l’impression de sentir son bouton contre le mien.
Un genou qui retenait ma jambe ouverte s’abaisse. En même temps une reptation de Sandra m’entraîne vers le bord du lit. Mon pied se retrouve sur la cuisse de Jack, le deuxième genou s’abaisse et mon autre pied atterrit sur l’autre cuisse.

— Line, je le caresse, écoute-le miauler, je t’assure qu’il bande dur.

J’allonge mes jambes contre celles de Sandra et du bout des orteils je sens la verge. Sandra pouffe de rire en entendant les gémissements étouffés.

— Viens ma chérie, on va se brouter le minou, mais essaye de me lécher en tenant ta tête en arrière qu’il voit l’action de ta langue sur mon bouton.
— Tu es une coquine.

On s’embrasse et changement de position. A quatre pattes au dessus de la fille alors qu’elle me bouffe la chatte, je découvre mon mari. Ficelé, seul ses genoux ont liberté de mouvement. Il est dans un état d’excitation méconnu. Le bondage comprime le sexe, les couilles sont bleutées et le gland rouge carmin. Son visage est rouge comme après avoir couru. Ses yeux semblent me supplier de le libérer.

Mais rien n’y fait, nous lui offrons un nouveau spectacle. Sandra se montre, pieds au bord du lit et cuisses ouvertes. Sans quitter le regard de mon mari, le menton sur le pubis, la pointe de ma langue titille le clito et déverse un flot de salive dans le vagin, mes doigts écartent les lèvres, un doigt de chaque main glisse dans les chairs secrètes et découvrent sous les lèvres ourlées, les parois aux nombreux replis gorgés de sang.

Les yeux exorbités de Jack crient son excitation et son désir.
Cette exhibition ne me donne pas satisfaction. Je prends les jambes de Sandra sous mes aisselles, laisse mon mari observer un instant ce nouveau tableau avant de le cacher de ma tête. Enfin je déguste librement le fruit, ma bouche grande ouverte couvre le sexe et avale le flot de cyprine. Outre le vagin et le clito, le méat est une zone érogène, les résultats de son excitation ne tardent pas à apparaître.

— Attention ma chérie je ne peux plus !

Mes lèvres assurent l’hermétisme, ma langue titille la pissette, un petit jet part, aussi puissant que bref. Je n’insiste pas, je lèche encore la vulve qui me donne encore un peu d’élixir d’amour. Avant que d’une grande claque sur les fesses, Sandra me fasse virer sur le côté et se dégage. Nous nous retrouvons assises sur le lit, côte à côte, tournées l’une vers l’autre, nos bras encerclent le corps de l’autre, notre étreinte dure un moment, avant qu’elle ne se lève pour filer aux toilettes.
La porte ouverte on entend une miction longue et puissante tomber dans la cuvette...
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