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Une rencontre à trois

Chapitre 4

Triolisme

Avec plusieurs femmes
Sandra revient des toilettes et nous retrouve dans la chambre. Jack mon mari est bâillonné, attaché au fauteuil et moi je suis allongée sur le lit.
Elle fouille à nouveau dans la mallette médicale et s’empare du Dong de 50 centimètres. En sautant sur le lit elle dit toute joyeuse :

— Tu te rappelles, Line ma chérie comme on s’est fait du bien avec, la dernière fois (voir : Une rencontre très particulière, chapitre 4)
— Mmmmm Oh oui ! que je réponds en murmurant.

Elle s’allonge à mon côté, dos tourné au spectateur, la musique s’est arrêtée depuis longtemps, la lumière tamisée de la lampe de chevet nous éclaire à peine. Enlacées d’un bras, on se caresse de l’autre. La tranquillité de la chambre amplifie le bruit de nos respirations.
Sandra guide mes gestes, nos mains glissent de la poitrine au ventre. Je la suis comme une ombre. Je relève un genou et l’appuie contre le sien. Elle connaît mes dispositions, elle plonge quatre doigts dans ma fente et me saisit par le pubis à pleine main.
Elle est moins ouverte que moi avec prudence je la pénètre et de deux doigts, excite son point G, rapidement le silence de la chambre est troublé par nos baisers, nos gémissements, le clapotis de nos mouilles et nos murmures. J’ai un œil sur mon mari :

— Si tu voyais, le visage frustré de Jack !
— Attends on va lui offrir un petit spectacle, nos minous vont s’embrasser avant qu’on les gode comme l’autre jour.

Elle passe au pied du lit, tournée vers Jack ; nous intercalons nos jambes et plaquons nos sexes l’un contre l’autre. Mais tout est différent à l’autre jour, d’abord il y a un voyeur et de plus nous sommes épilées toutes les deux. Nos chairs nues se chiffonnent, nos sucs se mélangent. On se prend par les mains, se tire l’une à l’autre, les ongles s’enfoncent dans le creux des doigts de l’autre. Sexe contre sexe, fesses contre fesses, nous dansons langoureusement de droite à gauche, d’avant en arrière comme lors d’un accouplement. J’aime ce frotti-frotta, cette chaleur, cette humidité, cette douceur de peau de bébé.
Sandra me sort de ce monde des délices en me lâchant les mains et se détachant de moi. Elle me présente à sucer une extrémité du gode. Je m’y applique en prenant l’objet à deux mains. Je me force à engloutir le bout semblable à une balle et l’enfonce jusqu’à la glotte ce qui me fait régurgiter bruyamment un flot de salive :


— BWEUURRGGG !

Elle m’arrache le jouet de la bouche pour se l’enfiler dans la chatte puis en souplesse me plante dans le vagin l’autre extrémité. Toujours de côté face au spectateur, nos jambes croisées, le Dong se met en plance dans nos cavités. Il est trop long pour que nous l’absorbions totalement. Je le sens tout au fond de moi et au moins 10 centimètres restent visibles entre nos sexes. Je sens un pied de Sandra dans mon dos qui accompagne le début de sa chevauchée sur le manche. A son exemple mon bassin part d’avant en arrière en une danse délirante.

J’ai face à moi l’autre pied de Sandra, il est fin, soigné comme la main, la peau blanche comme la neige est douce, les ongles parfaitement manucurés. C’est elle qui m’a fait découvrir l’adoration du pied et elle a autant envie que moi de renouveler ces baisers, ces caresses.

Je le prends, masse la plante des deux pouces et caresse le dessus du reste des mains. Je suce les orteils un à un, avant de les prendre tous ensemble en bouche, je lèche consciencieusement le dessous des doigts et leur attache au pied avant de prendre le pouce seul et de le sucer comme la pointe d’un pénis.

Outre le « Slurp » de ma bouche et le chuintement des sexes sur le Dong j’entends la respiration de mon amie s’accélérer et les gémissements de mon mari s’amplifier.
Sandra,décide de changer de jeu :

— Line, ton mari, va mourir d’apoplexie, viens on va s’occuper de lui.

Elle se débranche du gode, plonge au sol entre les genoux de Jack assis et avale la verge turgescente. Je sors le Dong de mon vagin et la rejoins en me mettant debout derrière le fauteuil.
Un doigt sur la bouche je lui indique de garder le silence et d’un coup sec je lui arrache les 15 centimètres de scotch qui le bâillonnaient. D’une grande inspiration et d’un murmure il me remercie.
Penchée en avant, la tête appuyée sur son épaule, je le caresse du pubis aux pectoraux. Les tétons écrasés par les pinces sont blancs et froids. Je les asticote et réveille la douleur entraînant de sa part un petit sifflement de souffrance. Sandra, alertée, relève la tête du pubis, le sexe emmailloté paraît violacé :

— Tu as été sage ! Le spectacle t’a plu ?

Il répond "oui" d’un signe de tête, le visage marqué par l’élancement.

— Parfait ! On va te libérer et passer à d’autres jeux.

Tout en reprenant la fellation, Sandra défait le bondage pendant que je continue à lui caresser la poitrine et de l’embrasser à pleine bouche. Il apprécie ce moment de douceur, la tête reposant sur le dossier du fauteuil. Le baiser amoureux devient vorace quand je mords violemment la langue tout en défaisant une pince crocodile du téton. Son hurlement de douleur est à peine étouffé par le baiser. Pour adoucir la souffrance liée à l’afflux du sang dans le téton je le masse vigoureusement. Après avoir renouveler l’opération pour l’autre sein, je reprends mes caresses appuyées. Tripotage d’un côté, branlette de l’autre la circulation du sang redevient normale.

Détaché du fauteuil, il porte de profondes marques de corde sur le ventre, aux chevilles et aux poignets. Sans rébellion,  Sandra l’entraîne sur le lit, tous les trois allongés, nous roulons les uns sur les autres, les mains courrent d’un corps à un autre. Qui me caresse, qui me pénètre, elle ou lui ? Peu importe, souvent trois mains sont sur moi alors que les miennes passent d’une fente à un téton ou d’une fesse à un ventre. On s’embrasse à deux, à trois. On se câline ainsi tendrement sans coït. Les caresses, les tripotages, les doigts indiscrets sont excitants. Je n’en peux plus, ils n’en peuvent plus !

Sandra me chuchote :

— Occupe-toi de Jack on va lui faire une surprise.

Elle nous quitte et me laisse seule avec mon mari. Nous commençons à faire l’amour comme il aime, moi en Andromaque, lui sur le dos.
Peu après Sandra revient avec des foulards. Jack se laisse faire quand elle lui prend un pied et l’attache à un montant du lit et l’autre pour l’attacher, et la main et l’autre. En peu de temps Jack a les quatre membres écartelés entre les quatre montants du lit... il est à nouveau immobilisé. Je suis surprise de sa soumission, je m’en amuse et à la demande de Sandra tout en souriant je le quitte désappointé, laissant son mat d’artimon érigé.

— On va s’occuper de toi mais pour mieux apprécier nos services, on va te bander les yeux.
— NOOOooonnnnn !
— SI !, SI !. On va bien s’amuser tous les trois, voir si tu reconnais ta femme, son parfum, son goût, sa façon de faire , tu vas voir comme on va s’amuser et si tu te trompes... Tu seras PUNI !

Tout en expliquant le jeu, elle lui bande les yeux. Nous connaissons toutes les deux nos habitudes, elle est généralement plus violente que moi, elle mords, elle pince plus fort, joue des ongles mais toutes les deux contractons nos fourreaux.
Nous commençons par l’embrasser, sur la bouche, la poitrine, à tour de rôle. Puis on se fait sucer les tétons, en face-sitting il nous fait cunni et anulingus, en contrepartie ce sont branlettes et fellations. On le caresse d’abord avec nos pratiques habituelles, puis avec celles de l’autre. Elle devient plus douce, je suis plus violente. Je le mords, je lui fais mal en triturant ses tétons, en jouant de mes dents sur sa queue, je force son méat de mon auriculaire. Je m’emmanche et danse sur sa bite comme un manchon inanimé.
Il reconnaît nos fragrances, nos saveurs mais se trompe le plus souvent sur nos pratiques avec nos inversions d’habitudes. Sandra compte une à une ses erreurs, il en fait tout de même neuf et lui déclare :

— Tu recevras neuf coups de cravache mais avant nous allons te vider et tout te donner.

De concert toutes les deux nous jouons avec ce pantin. On s’embrasse, puis on s’installe, elle sur son ventre et moi sur sa figure.
Chacune nous nous faisons du bien à notre manière, elle montant descendant sur son cheval de bois, moi virant de droite à gauche sur ses lèvres gourmandes et sa langue. Nos abandonnons nos ventres au sex-toy que nous chevauchons. Notre excitation est telle qu’en peu de temps nous jouissons. Notre baiser se prolonge, nos langues se lovent l’une contre l’autre, elle me mordille la lèvre inférieure. Nous nous séparons, nos maquillages se sont étalés et barbouillent de rouge nos bas-ventres, poitrines et visages.
Toutes deux tombons enlacées du même côté. On se regarde, on se sourit, on écoute les gémissements de Jack. Sandra rit franchement :

— Tu entends ma chérie comme il réclame sa punition. On va l’attacher correctement, tu vas lui donner ses neufs coups de cravache, maintenant je sais que tu as la main et moi je vais m’équiper du sénégalais.

Notre débauche est saisissante, nous souillées de maquillage et de mouille et lui les yeux bandés, écartelé et barbouillé de rouge à lèvres tout comme un clown aux traits tirés.
Il s’abandonne, on le plie en deux en attachant les chevilles avec les poignets. Entre ses cuisses écartées en V on ne voit que ses couilles et son petit trou. Un œillet sombre, large et strié. Je sais combien il aime qu’on le suce, il sait combien je suis réticente mais ce soir ma langue se colle goulument à l’anneau, mes doigts l’étirent, il est souple. Le coquin m’accompagne en poussant, le bouton se développe, s’ouvre, la pointe de ma langue titille le petit trou bleuté. Sandra est équipée du gode ceinture et me tend la cravache :

— Ah, encore une question, qui vient de te lécher le cul comme ça ?
— Évidemment toi, Sandra !
— Eh bien non, c’est moi mon chéri !
— Ça fera un dixième coup de cravache et c’est ta chérie qui va te les donner ! A toi de jouer Line, et pas de demi mesure.

Comme j’ai vu faire, je me mets de côté et je commence à le caresser du plat du cuir, les fesses d’abord, les cuisses, les bourses ensuite, puis du tranchant, je marque la raie des fesses et j’excite le petit trou. Pour échauffer les chairs je donne une série de petites tapes en précisant que ça ne compte pas comme coups. Tout le postérieur rosit.

Je caresse encore un peu une fesse avant de lui asséner un coup violent, je laisse le temps à la diffusion de se faire, à la marque d’apparaître, au hurlement de douleur de se taire. Après une nouvelle caresse du plat de la cavache sur l’autre fesse, un second coup encore plus violent s’abat sur le globe, même cri de douleur. Je laisse un peu de temps de repos et cette fois, quatre coups d’affilé suivent. Six marques rouge-vif se voient sur la peau. J’excite à nouveau la raie des fesses du tranchant de la cravache avant de l’abattre sauvagement puis je frappe les bourses avec moins de violence. Je termine en me positionnant bien en face de mon mari et lui applique deux coups encore plus forts que les précédents à l’intérieur des cuisses. Le cri de douleur est brutal, puissant puis faiblit.

A peine la cravache s’éloigne que le gode touche le fondement. Nouveau refus de Jack mais Sandra n’en fait cas.

— Pourquoi dire non alors que ton œillet s’ouvre... Tu sens comme il se dilate ? Allez mon chéri, pousse comme avant, fait grossir ton bouton ... Ouais comme ça !
— Laisse-toi aller mon chéri, j’ai dit à Sandra que tu es habitué à l’objet.

Avec précaution, elle ajoute une giclée d’huile d’amende douce, masse la zone, puis se présente à nouveau. Appuyée sur les cuisses tenues ouvertes vers l’arrière, elle le pénètre doucement :

— Eh bien voilà, le monsieur a la baballe dans le fion... il n’y a plus qu’à avaler le morceau. Regarde ma chérie comme ça glisse.
— Je t’ai dit qu’il aime ça ! Vas-y fort.

Alors que Sandra encule mon mari je m’occupe des fruits posés au sommet de la vallée formée par ses cuisses. Je les caresse, les égratigne de mes ongles, j’aime la peau fragile et épilée, les deux couilles glissent et tentent d’échapper à mes caresses, je les prends à pleine main, alors que de l’autre je flatte le membre en espérant le réveiller.
Sandra le ramone lentement de toute la longueur du sexe-toy, puis en coups beaucoup plus courts et plus rapides. La respiration suit le rythme des coups de boutoir.
Mes attentions sont récompensées, même s’il ne bande pas vraiment le tronc se redresse un peu et n’est plus une anguille molle. Elle est couverte du cocktail de sa fornication avec Sandra, je m’en régale et poursuis en lui faisant une turlute de professionnelle.
La danse de Sandra continue et maintenant je le branle au même rythme :

— Oh les filles ! Qu’est-ce que vous me faites !

Sous ma main, je sens l’urètre se contracter mais aucune éjaculation ne se produit, une goutte d’une liqueur visqueuse, épaisse et transparente sort du méat et tombe sur le ventre alors que je maintiens le prépuce tiré très en arrière.
Sandra se retire, détache le gode-ceinture et tombe sur le côté, je libère Jack de ses liens et lui retire le foulard de ses yeux, on se regarde, on se sourit, on s’embrasse amoureusement :

— Merci ma chérie pour ce que vous m’avez offert !

Sandra éteint la lampe de chevet, on s’endort fatigué, les jambes enchevêtrées les unes dans les autres.
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