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Une rencontre à trois

Chapitre 5

Promenade au Palais Royal

Voyeur / Exhibition
Tout est calme, je somnole encore. La chambre est dans la pénombre, à peine éclairée par la lumière du jour au travers des volets. Rien n’est comme d’habitude, je suis à l’étroit, tout contre une femme ?... Après une seconde de réflexion la situation se met en place dans mon esprit, je me remémore hier soir... Sandra est à mon côté, nous sommes trois dans le lit de 140 d’où la promiscuité. Je me remémore... L’idée de Sandra avec sa cheffe Nathalie m’obsède... Je suis folle de jalousie.Un pied frôle ma jambe comme pour me demander « Dors-tu ? » J’y réponds d’une caresse nonchalante sur la cuisse en remontant vers le ventre, j’y rencontre la main de... Nathalie ! J’ouvre les yeux, d’un coup je sors de mes songes... Non c’est la main de mon mari ! Oui bien sûr, hier la soirée avec Sandra et Jack. Sandra est couchée sur le dos, les deux bras croisés au dessus de sa tête, elle me sourit et me fait un bisou sur le nez. Jack est également tourné vers moi.
— Bonjour Line, ma chérie.— Bonjour !
Ses jambes rejettent la couverture au pied du lit, nous sommes tous les trois nus.J’ai son aisselle face à moi, une forte odeur de fauve s’en dégage, de fines gouttelettes de sueur perlent. C’est irrésistible, tellement sensuel, je m’enivre de son effluve. Je ne résiste pas à l’envie de la lécher, je goûte pour la première fois au sel de son corps, je couvre le dessous-de-bras de salive et le bécote longtemps. Ma main a quitté le ventre pour caresser le sein, l’aréole prise d’un frisson se contracte et je roule entre mes doigts le téton alors que son genou tape ma cuisse par saccade.
Je me redresse sur le flanc appuyée sur un coude, je la vois impudique, les genoux relevés et écartés, elle se fait branler par Jack. Elle continue à me sourire, me prend par le cou et m’embrasse amoureusement, sa langue glisse sur la mienne en étouffant ses gémissemets.
A nouveau, son image avec Nathalie m’obsède, un besoin de vengeance m’envahit. J’ai une idée : Nicolas (voir Une Première fois) il faut que je l’appelle.Mais dans l’immédiat je dois la punir, je veux lui faire mal. Mes doigts sur son mamelon, mes dents sur sa langue la brutalisent, lui font mal, la font crier
— Aïeee !... mais t’es folle !!!— Bonjour ma chérie ! (tout en lui faisant un grand sourire). Je vous laisse tous les deux, je vais m’occuper du petit déjeuner.— Merci ma chérie, ajoute Jack, mais il est presque 11 heures !— Si tard !, on va donc faire un brunch.
J’ouvre les rideaux et volets, le soleil hivernal illumine le lit,
— Regardez comme il fait beau ! Allez soyez sages, je viens vous chercher quand c’est prêt.

Arrivée dans la cuisine, j’appelle tout d’abord Nicolas :
— Allo... Bonjour Nicolas, c’est Line, tu te rappelles l’épouse de Jack … Oui, c’est ça, c’était une très belle soirée. Nicolas j’ai envie de te revoir !... Cette après-midi !... Oui bien sûr avec Jack !... Ça serait super. En fait nous avons avec nous une amie et on voudrait faire un gros truc, mais ça serait une surprise... Pourrais-tu venir avec un copain ?... Encore mieux !.... Super vous trois et Jack pour nous deux.... Crois-moi c’est une gourmande !... OK. A 17 heures ça te va ?... Attention ça doit être une surprise totale, vous rentrerez sans bruit, la porte de l’appartement sera ouverte... Moi aussi je t’embrasse à tout à l’heure.

Une demi-heure plus tard, tout est prêt, je mets la musique de "Porgy and Bess" et je reviens dans la chambre, les deux se font caresses et câlins.
— Ces Messieurs-dames sont servis !
Dans la salle à manger la table est dressée. Il y a tout ce qu’on peut souhaiter pour un bon brunch. A chaque moment son plaisir pour l’instant c’est celui de manger. Les discussions portent sur ce que nous avons vécu hier soir et définir le programme pour l’après-midi :
— Sandra tu nous confirmes que tu dois partir ce soir, tu ne peux pas retarder ton retour? Nous sommes si bien ensemble !— C’est vrai mais je dois rentrer, demain je travaille mais nous avons encore toute l’après-midi, mon TGV n’est qu’à 21 heures !— OK ! Dommage mais je comprends. Je vous propose : on se prépare et on va se promener dans Paris, il fait un temps superbe et pas trop froid. — …— De toute manière c’est moi qui décide aujourd’hui ! Alors voilà, on va faire un peu d’exhib... donc tenue adéquate ! Sandra, nue sous ta jupe, je te prêterai mes boules de geisha, ton vagin doit se muscler en prévision des réjouissances de cette après-midi.
— Oui Maîtresse ! Qu’elle répond en souriant.— Toi Jack, tu porteras ton plug anal car j’ai bien idée de te défoncer le cul en soirée ! — Oui Maîtresse ! ça promet d’être chaud !.— Maîtresse, je range tout, si vous voulez, allez vous préparer.— Merci Sandra, rejoins-nous dans la salle de bain quand tu auras fini.
Je prends ma douche tranquillement et Jack me suis quand Sandra arrive :
— Entre ma chérie, je commence à me maquiller et Jack termine de se doucher.— Oui Sandra, viens je vais te laver !— Ça risque d’être plus long à deux ! — On a le temps, viens ! — Oh, les coquins pas trop tout de même !
Elle entre dans la douche avec mon mari et tout en me maquillant je les observe. Se lavent-ils mutuellement ou se caressent-ils, en tous cas c’est très sensuel.Lui collé à son dos, elle simulant une danse du ventre, les mains se rejoignent au creux du ventre. Elle creuse les reins, bombe la poitrine et se tient aux hanches de mon mari, en tortillant du croupion. La salope ne se gêne pas, Jack s’éloigne et lui donne deux claques sur les fesses plus bruyantes que violentes, celles-là tu ne les as pas volées.
Ils se font face à présent. Lui continue ses soins sur les jambes en se mettant à genoux et là surprise ! Alors qu’elle ouvre les cuisses pour s’accroupir, un jet puissant jaillit sur le visage de Jack. Instinctivement, il se recule mais elle le maintient fermement des deux mains contre elle. Le coquin ne résiste pas et même colle sa bouche sur le clito et le méat lorsque le jet faiblit.
A peine est-il relevé qu’elle lui parle avant de s’assoir au sol. Il bande et se masturbe devant elle, leurs regards se fixent et... Il lui pisse dessus, d’abord sur les seins, puis le visage, la miction est abondante, la bouche s’ouvre et se ferme avant de gober le gland en recevant quelques gouttes dorées. Elle le suce encore, lui masse les couilles.
Elle se relève, appuyée dos au mur et le pied posé haut sur le mur perpendiculaire. Il vient à elle, fléchit légèrement les jambes, la bite en main il pointe le gland et d’un coup la pénètre, cette fois il la baise pour de vrai. Telle une liane elle s’accroche à lui, une jambe autour de la taille et les deux bras au cou. Ainsi sous mes yeux ils copulent comme deux amants, je vois le vagin et le membre qui coulisse. Je pense qu’il ne m’a jamais prise comme çà, qu’il n’a jamais bu ma pisse, que beaucoup de choses sont nouvelles aujourd’hui.
Leur exercice dure cinq bonnes minutes puis tout le monde descend y compris le sexe qui sort la tête basse . Les amants contents de leur union, de leur exhibition s’embrassent longuement… Oh ! la vengeance est un plat qui se mange froid, toi mon gaillard, tu vas t’en prendre plein le cul et toi ma salope, avec ton histoire avec Nathalie tu vas t’en souvenir de cette douche !Je disparais dans la chambre pour me préparer et laisse les deux amants se sécher.
— Ça y est vous deux, la douche a été bonne ? Moi je suis habillée… Allez dépêchez-vous, on n’a pas que ça à faire. Dans trois minutes on part qu’on profite du soleil.— Oui Maîtresse (disent les deux à l’unisson, je me réjouis du futur)
Tout le monde est prêt, l’un avec son Plug et l’autre avec ses boules de Geisha, nous partons vers le jardin du Palais Royal.

C’est un bel endroit historique et tranquille au cœur de Paris. Le jardin est installé au centre d’un espace entouré de galeries du 18ème siècle sous lesquelles circulent pas mal de monde même le dimanche.
Pour commencer je demande aux deux amants de s’installer sur un banc distant d’une dizaine de mètres de la galerie en la regardant pour me faire une belle exhib. Je me mets le long d’un pilier de la galerie de manière à ne pas être vue.
Sandra me semble habituée à cet exercice et conduit mon mari sur ce chemin inconnu. Voyeuse plus qu’exhib je suis contente de cette situation. Le plus naturellement du monde, elle ouvre son manteau et relève sa jupe noire sur ses cuisses ouvertes en découvrant son ventre nu. La position assise dégage le pubis glabre, de loin on pourrait imaginer qu’elle porte un slip couleur chair. Tout contre lui, elle prend sa main, la passe sur ses épaules et la glisse dans son décolleté, avant de l’embrasser à pleine bouche. Il oublie la situation et se libère. On voit le couple s’embrasser, l’homme peloter la femme outrageusement, le sein à moitié découvert et pour compléter le tableau, la femme pose résolument sa main libre sur le pantalon. Le baiser dure cinq bonnes minutes. Aucun des deux n’observent le passage des gens dans la galerie. Une vingtaine de couples passent, certains sans regarder le jardin, la plupart en jetant un coup d’œil discret pour ne pas gêner ce couple d’amoureux qui se croit seul au monde. Deux ou trois s’arrêtent, commentent et même un homme photographie.
Satisfaite je reviens vers mes amoureux et les conduis un peu à l’écart, vers un lieu plus discret. Je demande à Sandra de faire une fellation à Jack appuyé à un arbre
— Tu écartes tes cuisses qu’on puisse voir ta chatte.— Mais Line c’est dangereux, s’il y a un flic.— T’inquiète, je surveille à distance !
La situation est plus compliquée, Sandra s’installe, accroupie, cuisses ouvertes à 90°, sans problème elle sort la verge de mon mari mais ce dernier paralysé par l’exhib, a Popol en berne. Qu’à cela ne tienne Sandra s’applique au moment où les boules de geisha s’échappent de leur caverne et tombent au sol. En un instant elle les récupère et les met en poche. Elle se remet à l’ouvrage, sa robe est relevée jusqu’au ventre, elle prend la verge molle en bouche et la pompe. Je m’éloigne pour me poster contre un autre arbre et surveiller les alentours. Je vois mon couple se détendre commencer à prendre du plaisir. Jack prend la tête de Sandra entre ses mains et lui baise la bouche.A nouveau satisfaite et ne voulant pas épuiser mon chéri je reviens vers eux pour interrompre la gâterie.
— C’est dommage, tu m’aurais laissé encore 3 minutes et je lui crachais la sauce.
Le salaud ne se rend même plus compte de la réalité avec la bite à l’air, bandant comme un cerf et me force à intervenir :
— Alors tu ranges ton matériel ou j’appelle la police !
Il revient sur terre. Je réfléchis et demande à Sandra :
— Tu vas t’exhiber ici, en mettant un pied sur le banc, en tournant le dos à la galerie et tu vas te branler devant nous, je veux entendre le bruit de ta mouille.
On s’installe face à elle sur un banc à trois mètres de l’autre côté de l’allée. Le soleil baisse à l’horizon, la fraîcheur éloigne les passants, peu de gens peuvent nous voir sauf à sortir de la galerie et à devenir "observateur volontaire". Elle s’installe comme demandé, la jupe relevée jusqu’au haut de la cuisse et commence à se branler d’une main, l’autre sur la hanche retient la robe ouverte, tout le ventre et le sexe sont visibles.
Elle s’applique, varie le rythme, caresse le clito et fait si bien que quelques minutes plus tard nous entendons le bruit de sa cyprine agitée par les doigts et le miaulement de son plaisir. Je demande à Jack d’aller la lécher ce qu’il fait en oubliant les risques pris dans cette aventure.
Je vais pour arrêter l’action lorsque je vois un couple d’une cinquantaine d’années venir vers nous. Je le reconnais, il avait observé la première exhib. Inquiète, je les vois sourire et la femme me faire signe de ne rien dire. Je les laisse approcher de Jack à genoux aux pieds de Sandra.
C’est la femme qui prend l’affaire en main, signale sa présence d’un murmure, d’une caresse à Sandra. Elle l’embrasse et s’assied à son côté posant sa main sur le sexe. Expérimentée elle la pénètre de trois doigts et commence à la branler à grand bruit.
Le soleil a disparu, les visiteurs ont quitté le jardin. Jack revient vers moi avec le compagnon de la visiteuse. Les deux s’assoient à mes côtés ouvrent ma robe et commencent à me peloter en toute liberté. Jack m’embrasse à pleine bouche et me caresse tranquillement les seins, le visiteur relève ma jupe pour me prendre au sexe et me branler en harmonie avec sa femme et Sandra de l’autre côté de l’allée. Les deux obtiennent la reddition de nos sexes qui couvrent leurs mains de jouissance.
Après quelques propositions d’échangisme et de refus de notre part nous nous séparons en toute amitié.Un peu à regret mais sachant ce qui nous attend, je propose de quitter le jardin.
— On va rentrer, il va faire nuit, merci Sandra pour cette exhib, tu sais que c’était pour nous une première.— Ah oui ! Je n’aurais pas cru, c’était vraiment hard. Moi, j’aime beaucoup ces situations un peu risquées et cette bonne femme, hummm je serais bien allée plus loin avec elle, c’est probablement une baiseuse comme il y en a peu.— Rentrons, il se fait tard.
Nous ne sommes pas loin de la maison et sur le chemin, une surprise : nous rencontrons Nicolas en compagnie d’une nana et d’un mec. Discrètement je lui fais signe de se taire. Après notre discussion de ce matin, il comprend. Ceci étant pour ne pas éveiller de soupçons vis à vis de Jack il vient à nous et nous salue :
— Jack, quelle surprise, toujours en bonne compagnie.— Et toi donc Nicolas !, tu te rappelles de Line ma femme ?— Oui, bien sûr comment pourrais-je l’oublier !— Et je te présente une amie ...
Je coupe brutalement la conversation
— Nicolas, bonsoir, très heureuse ! Mais excuse-nous, nous sommes pressés notre amie Sandra doit prendre son train. A très bientôt j’espère et encore une fois excuse-nous !— Oui à très bientôt Line, et bonne soirée à vous Sandra !
Je m’éloigne rapidement avec Sandra au bras et lui explique qui est ce Nicolas et que je ne connais pas ses amis.Jack reste un peu en arrière à discuter et nous rejoint en me faisant un clin d’œil. Tous trois entrons dans la cour de l’immeuble.
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