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Une rencontre à trois

Chapitre 8

Amour au féminin

Lesbienne
En sortant du salon, Jack ouvre une nouvelle bouteille de champagne.De retour dans la salle de bain, je quitte la robe et enlève à Sandra le collier. On reste chacune un long moment sur le bidet, à se laver soigneusement tout en bavardant :
— Dis-moi ma chérie, tu as été bien servie avec trois queues.— Oui… Mais toi avec Claudine, tu n’étais pas à plaindre, elle seule en vaut deux !— Je n’ai pas beaucoup d’expérience, mais c’est vrai, elle en impose !— Écoute j’en ai vues pas mal, je peux te dire qu’elle sort du lot et même qu’elle pourrait faire envie à nombre d’africains. Enfin on s’est faite sacrément démonter… Et maintenant, sois rassurée ma Chérie, ce que tu m’as offert se place au sommet de mes souvenirs érotiques !— Oh zut ! ta robe est tachée.— Pas grave, un souvenir de Claudine, je le garde avec moi.
A présent Sandra face au miroir enlève les traces de maquillage sur ses seins, sa taille est marquée par les cordes qui l’attachaient à la table. Je suis tout proche de son dos, nous nous sourions dans la glace, du bout des doigts je frôle ses hanches, souligne la boursoufflure des cordes, l’embrasse dans le cou :
— Tu es belle ma chérie, j’aime tes marques, viens, rejoignons-les et offrons-leur un spectacle.
Propres et nettes, sans atours, nous retournons nu pieds dans le salon en nous tenant par la taille. La salle est plongée dans la pénombre, seul deux chandeliers éclairent le centre de la pièce. Jack sort de l’obscurité et nous offre une flûte de champagne que nous buvons en restant debout dans la lumière. Il re-disparaît dans la nuit, on entend en sourdine une musique orientale et le bruit d’une cascade. Dans cette ambiance très zen, nous terminons nos verres, enlacées tout en faisant quelques pas de danse, nos regards expriment tous nos désirs.
C’est Sandra qui m’entraîne en s’agenouillant sur le tapis de sol. On laisse nos verres vides sur une petite table et on s’allonge de côté l’une face à l’autre. L’intimité qui nous entoure, nous fait oublier les spectateurs, nous nous sentons seules comme deux amantes sur notre lit.
Dans la semi-obscurité, nous ne voyons que le visage de l’autre, nos lèvres tremblent d’émotion, se joignent et accueillent la langue impatiente. Les mains se perdent dans les chevelures. Les jambes s’entrecroisent, les corps se soudent.
En un mouvement Sandra passe au dessus de moi et pèse de tout son poids. Appuyée sur ses coudes, elle se détache de ma poitrine et s’empare de mes seins, je la maintiens à distance par les épaules, alors que ses doigts roulent mes tétons. Ses jambes forcent la place entre les miennes, ainsi à genoux elle se relève et m’embrasse les tétons, j’aime sa douceur, comme elle me lèche le mamelon, titille la pointe et la mordille gentiment. De mes deux mains dans ses cheveux, je la pousse vers mon ventre. Ses lèvres humides glissent sur le sternum jusqu’au nombril, le mien est en creux, sa langue le fouille et me fait découvrir combien il est sensible. Enfin sa bouche continue sa progression jusqu’à mon sexe.
Je ferme les yeux, me concentre sur mes sensations. Instinctivement mes genoux se relèvent et s’écartent presque à toucher le tapis. Ma vulve s’ouvre, je sens trois doigts de chaque côté, écarter mes lèvres et la langue pointer au centre. Elle vibre sur toute la longueur de l’ourlet protégeant le vagin avant de le pénétrer. Elle y déverse un flot de salive qui s’écoule en moi.
Je ne sens plus sa langue mais seulement sa respiration. Ses mains écartent mes lèvres, m’ouvrent comme un fruit mûr , je sens son souffle au fond de moi, elle voit probablement le plissé de la peau et peut-être le cône de l’utérus. Elle bave, je sens la salive glisser dans mon sexe et deux doigts me fouiller.

La pénombre, ma position couchée, le bien-être procuré par Sandra m’amènent à l’extase. Je vis intensément ce moment brusquement interrompu par l’éloignement de mon amante. J’ouvre les yeux, habituée à l’obscurité je distingue trois spectateurs sur les canapés et Claudine assise sur le tapis à mon côté. Elle me sourit et m’envoie un baiser du bout des lèvres, tout en caressant son mat de cocagne. Son image disparaît quand une cuisse se pose contre ma joue.
Sandra vient de se mettre en levrette au dessus de moi. Je ne vois que le V de ses cuisses et sa fente. Elle est trop loin de mes lèvres, mais une simple pression sur les fesses fait ouvrir le V jusqu’à l’avoir sur ma bouche.Sandra reprend là où elle en était à savoir deux doigts excitant mon point G. Sa main gauche ouvre exagérément ma vulve alors que la droite la fouille. Un troisième doigt s’introduit dans mon puits d’amour, rejoint par l’auriculaire. La pénétration est lente, profonde, elle comble mes envies.
De mon côté je suce Sandra, aspire le clito, l’allonge et le mord à sa base. Il est aussi long et gros que mon auriculaire, ma langue tourne par demi cercle. Elle, satisfaite de mon initiative, plaque son pubis glabre sur mon nez.
Ses quatre doigts plantés dans mon sexe, me fouillent, tentent de toucher l’utérus. Elle ressort la main à l’exemple d’un trépan de forage. Elle me veut plus ouverte et passe mes jambes sous ses aisselles. Position confortable mais tellement indécente.
Elle lèche à nouveau les pétales de ma fleur, les écarte sur les rives de mes cuisses puis revient dans le cœur, les doigts en pointe, le pouce s’est placé au centre de la paume, ils me pénètrent, m’élargissent, mes lèvres se distendent, s’ouvrent et laissent passer la jonction des doigts. Même habituée, c’est une phase délicate, la main plonge et se referme au fond du vase.
Un flot de cyprine filtre au plus profond de moi et inonde la grotte, c’est la plus grande satisfaction que je puisse lui offrir. Le « Floc, Floc ! » produit nous fait entrer dans un cercle vicieux de jouissance, plus fort, plus excitant, plus rapide, plus de plaisir et plus de sécrétions sonores.
J’ai l’impression d’avoir orgasme sur orgasme... Je cesse de gémir pour râler et crier. Je n’entends plus la musique mais seulement mes sons indécents.Avant de tomber d’inanition, elle arrête, la main sort laissant béant mon sexe. Je sens une chevelure, une respiration sur mon ventre, c’est Claudine qui me lèche, qui m’embrasse et me crache dans le vagin, d’autres mains s’appuient sur mes cuisses comme pour m’ouvrir en deux, suivis de baisers. Enfin on m’aide à regrouper mes genoux.
Sandra libère mon visage et me redonne la vision. C’est Claudine et Nicolas qui m’aident à me relever et Jack vide la bouteille dans ma flûte.
Il est 19 heures passée, depuis un moment on se repose, les autres parlent beaucoup, je n’y prête pas attention. Assise sur le canapé Sandra continue à me câliner et me murmure :
— Line j’ai un désir.— … dis-moi ma chérie.— La première fois qu’on s’est vu tu m’as parlé de la dilatation anale, tu m’a dit qu’il fallait être motivée, — Et le faire progressivement.— Je le suis et je te fais confiance !
Elle me regarde intensément, tout en l’embrassant dans le cou je lui sussure
— Mets-toi en levrette ! Et détends-toi.

Nous retournons sur le tapis, je prends au passage un flacon d’huile d’amende douce. Elle se met en position, la joue et la pointe des seins posés sur le tapis, cuisses ouvertes et de ses deux mains écartent un maximum ses globes. Son étoile du nord s’étire sur les côtés.Je caresse longuement le popotin sur toute sa surface, le couvre de baisers avant de m’attacher à l’axe médian. Je le lèche sur toute sa longueur et me fixe sur le petit trou qui me sourit.
— Laisse-moi faire ma chérie !
Ses deux mains me laissent le champ libre. Je masse l’anneau, écarte et rapproche les chairs de plus en plus. J’embrasse l’intimité, la lèche, ma langue pointe le centre, ma salive s’infiltre.Sandra réagit en gémissant et en se dandinant. Je la sens prête. Il faut battre le fer tant qu’il est chaud..Un doigt prend la place de la langue et pénètre l’anneau sans difficulté, il l’apprivoise, le masse, un deuxième se glisse assez facilement mais je sens que les chairs se contractent :
— Accompagne-moi ma chérie, ne te contracte pas, au contraire pousse comme aux toilettes... Oui voilà comme ça, c’est bien continue.
Je prends mon temps, ne veux pas la bousculer, m’assure de sa décontraction. L’introduction d’un doigt supplémentaire est précédée d’un anulingus très mouillé de sorte que petit à petit ma salive pénètre bien le sphincter. L’œillet s’ouvre, se détend, le quatrième doigt est en place.Ma main tourne sur elle même, mes doigts s’écartent dans le fourreau, ils le façonnent comme un potier. Bouche et main se partagent la tâche sans que l’anneau ne relâche la tension. J’ajoute dans le fondement une giclée d’huile. Le bénéfice est immédiat, les doigts glissent sans contraintes, Sandra gémit de plaisir.La place semble se libérer, je continue à forer, usiner, aléser l’anneau. Les chairs sont souples et ne se contractent plus :
— Ça va Sandra ?— Hummm, c’est bon Line comme tu fais.
Il faut façonner l’anneau quand il reste ouvert !. Je verse quatre, cinq gouttes d’huile d’amende douce sur mes doigts et encore quelques unes dans le cratère. Les quatre doigts vont et viennent sans aucune résistance. Le mouvement s’amplifie, le pouce se cale à l’intérieur de la main. L’œillet rose est devenu rouge carmin. Les cinq doigts bloquent à leur jonction, je les allonge, les affine, l’attache du pouce est saillante et Sandra fait le pas décisif :
— OUI MAINTENANT, d’un coup de rein l’anus avale la main... AAAHH !
Cri accompagné d’une rumeur admirative des spectateurs.L’anneau se referme sur le poignet. Ma main est dans le rectum, je caresse les chairs humides et élastiques, un doigt touche l’anneau du fond qui ouvre sur le tube digestif. Ma main baigne dans un cocktail de suc intestinal d’huile et de salive. Je sens la pression de l’anus retenir mon poignet. Mon lent labourage des chairs entraîne un relachement du fourreau et de l’anneau. Progressivement les mouvements de la main s’allongent, le poignet coulisse jusqu’à la base de la main, le va-et-vient s’amplifie. après 3 ou 4 essais je la pistonne sur au moins dix centimètres. Je détache mon attention de ses fesses, ma main libre caresse le visage, sa langue me lèche les doigts :
— Oh Line, tu m’as explosé le cul ! Oh putain c’est autre chose qu’une bite et c’est tellement bon !
Je continue à la fister le poing fermé, l’autre main s’en prend aux mamelles qu’elle saisit à la base, presse et relève ou saisit le téton pour le rouler et l’allonger. La douceur fait place à la frénésie. Claudine nous retrouve sur le tapis, assise de côté sur une fesse elle prend Sandra par le cou et lui susurre :
— Crois-tu vraiment qu’un poing soit mieux qu’une bite ?— …
Pour toute réponse elle l’embrasse. Les jeux sont faits, je cède la place et la Trans sans hésiter d’un coup la sodomise :
— C’est vrai que tu es bien préparée !
La fille la burine sans relâche à grand coup « Han !Han ! »
— Oui comme ça, éclate-moi le cul.
Sandra respire irrégulièrement avec des trémolos dans la voix, elle murmure semble pleurer, son « Ui, ui, ui » prend le rythme des coups de ventre. Au chuintement de sa vulve qu’elle se branle, s’ajoute un long « Ouiiiiiiiiii » de Claudine qui s’immobilise collée à ses fesses.Elle sort de l’antre défloré, sa verge a perdu toute sa superbe, le gland tombe et entraîne un flot de jouissance, une tâche énorme se forme sur le drap déjà souillé de traînées de sperme et de mouille de nos accouplements précédents. Toutes les trois à genoux Claudine dans son dos, moi face à elle félicitons Sandra sous les applaudissements de nos trois spectateurs qui se sont rhabillés.La lumière inonde la pièce à présent et nous sort de ce monde de luxure. Sandra a les yeux fixés sur une pendule :
— Line il faut que je file, mon train est dans une heure !
Nico, Claudine et Clément nous quittent rapidement.Tout va très vite alors, j’appelle un taxi avant de retrouver Sandra assise sur le bidet en train de se laver. Elle a déjà regroupé ses affaires dans la valise. Elle remet ses bas et sa robe noire, sa veste bleue cintrée, enfile son manteau.Un tendre baiser à Jack, un beaucoup plus intense avec moi. J’ai une larme au coin de l’œil
— T’inquiète ma Chérie on reste en contact et la prochaine fois tu viens à Reims.
Encore un baiser et comme la première fois, la porte s’ouvre, le sac disparaît, le silence est total, le vide immense... à bientôt Sandra !
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